Des musulmans, agents inconscients du sionisme.

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marco ducercle

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Re: Des musulmans, agents inconscients du sionisme.

Ecrit le 30 oct.16, 06:47

Message par marco ducercle »

yacoub a écrit :Un commandant du Front al-Nosra : « Les Américains sont à nos côtés »
par roman_garev

Cette interview avec un commandant du Front al-Nosra menée par Jürgen Todenhöfer a d’abord été publiée en allemand le 26 septembre 2016 dans le Kölner Stadtanzeiger, le principal quotidien de la région de Cologne.
Le journal Der Spiegel remet en cause l'authenticité de cette vidéo qui reprend trait pour trait le discours d'Assad:
http://www.spiegel.de/international/wor ... 14892.html

yacoub

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Re: Des musulmans, agents inconscients du sionisme.

Ecrit le 30 oct.16, 06:55

Message par yacoub »

DAESH-ISRAËL : un jeu de rôle ?
par Jacques-Robert SIMON

Israël est sans nul doute le pays le plus concerné par l’avancée de Daesh. Pourtant son rôle régional n’est relaté par personne. Peut-on toutefois tenter de le cerner ?

DAESH-ISRAËL : UN JEU DE RÔLE ?

Jacques-Robert SIMON

Le « sacré » émerge naturellement de toute collectivité : c’est ce qui assure la cohérence du groupe. Aux uns la foi offre un espoir, aux autres elle donne le pouvoir de dominer. Dans le creuset du moyen orient trois religions monothéistes ont vu le jour. Le degré d’intrication pouvoir-religion détermine directement le niveau d’intolérance voire de barbarie auquel elles peuvent donner lieu.

Les valeurs Chrétiennes bases du pouvoir en Occident vont être les premières à s’effondrer sous les assauts de ceux qui ne voulaient plus respecter les contraintes morales qui s’attachent à elles. Les citoyens devenus consommateurs préférèrent obérer un au-delà incertain pour une jouissance plus réelle. La « République », héritière laïque des valeurs christiques, ne fut plus que brandie pour mieux l’abandonner. La Démocratie (du spectacle) lui succéda. Cet effondrement n’eut pas lieu pour la religion juive grâce (ou à cause) de la création de l’État d’Israël, Nation tellement menacée que toutes et tous la soutinrent d’une foi d’autant plus ardente que le danger était grand. Il n’eut pas lieu non plus pour la religion musulmane qui ne régnait pas sur une fraction suffisamment prospère de l’humanité, les musulmans n’étaient que trop partiellement entrés dans l’ère de la « grande bouffe ».

Les États-Unis se distinguent de l’Europe : si la consommation est encore plus frénétique que sur le vieux continent, les américains affichent une foi inébranlable, non pas tellement en Dieu mais en eux-mêmes. Ils venaient d’en finir avec l’esclavage, mais pas encore avec la ségrégation raciale, quand ils se donnèrent la mission de briser les chaînes de tous les peuples de la planète. Une succession impressionnante d’interventions suivit la seconde guerre mondiale dont l’une retentissante au Vietnam : le peuple Américain de libérateur devint providentiel. La main armée qui manquait à la « démocratie » était trouvée et, pour la première fois, la domination d’un couple religion/pouvoir entendait s’étendre à la terre entière.

La création de l’État d’Israël, qui sauva la religion juive du déclin, avait besoin d’un protecteur immensément puissant, ce ne pouvait être que les États-Unis. Dans les temps anciens, l’anéantissement du Royaume d’Israël originel avait été suivi de la dispersion du peuple élu qui le constituait. Les juifs durent se fondre au sein de sociétés ne partageant pas leur foi. La religion juive, structurellement, n’est pas prosélyte et leur statut ne les associait pas au pouvoir. Tout changea lors de la création de l’État d’Israël dans lequel religion et pouvoir sont intimement mêlés.

Les Arabes antiques, la foi en l’Islam établie, partirent en guerres de conquête contre différents empires avec différents objectifs : djihad pour contrer l'expansion du christianisme, razzias pour s’enrichir ... Selon les récits, leur succès fulgurant résulte principalement de l'affaiblissement des anciens empires : le conquérant est alors vu comme un libérateur : les autorités musulmanes allègent les impôts fonciers et mènent une politique de « tolérance islamique » (relative).

Les protagonistes de nos jours ! L’Europe, plus vraiment Chrétienne, doutant de tout et surtout d’elle même, honteuse de son passé, subissant son avenir et ânonnant des vérités qu’elle se garde bien de faire passer dans le réel. Les États-Unis qui pensent que le messie ressemble à Rambo, qui affichent à chaque seconde une foi qu’ils n’ont pas et qui veulent imposer par tous les nombreux moyens qu’ils possèdent leur suprématie économique, politique, financière. Israël qui rejoint le camp des pays où pouvoirs religieux et politiques sont confondus et qui tente de vivre au milieu de plus d’un milliard de musulmans par la force plutôt que par leur force traditionnelle forgée par les échanges. Les fidèles de l’islam qui regrettent leur empire et surtout la fierté qu’ils tiraient d’être puissants et reconnus.

Comment éclate une guerre islamique ? En 1988, des manifestations contre le président Chadli Bendjedid eurent lieu, nombre de manifestants se réclamaient de l’islamisme. L'armée tira sur les foules, faisant plus de 500 morts. Une nouvelle constitution fut alors proposée qui supprimait le parti unique, la référence au socialisme, et instaurait les libertés d'expression. Des partis politiques, dont le Front islamique du salut (FIS), se formèrent et furent reconnus par le gouvernement. Lors des élections locales du 12 juin 1990, premières élections libres en Algérie depuis son indépendance, le FIS remporte 953 communes sur 1539. Le 26 décembre 1991 au premier tour des élections législatives, le FIS obtient 188 sièges sur 231. L'armée pousse alors le chef de l'État à la démission et le processus électoral est interrompu. Les élus du FIS et leurs sympathisants sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien. Une guerre civile s’en suit qui durera de 1991 à 2002 et fit environ 100 000 morts. Le FIS évolua alors vers d’autres formes : le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) qui lui même donna naissance à Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI). L’enracinement populaire d’une forme intégriste de l’Islam ne semble faire aucun doute.

La guerre d’Afghanistan (1979-1989) permet de percevoir les lignes de force d’une confrontation entre une grande puissance, l’URSS, et des musulmans (moudjahidines) possédant une foi militante et guerrière proche de celle mise en œuvre en Algérie lors de la guerre civile. Les soviétiques impliquèrent 150 000 hommes, 200 avions, 190 hélicoptères. Les moudjahidines bénéficièrent de financements massifs de la part des États-Unis et de l’Arabie Saoudite : l’Afghanistan fut le Vietnam de l’Union Soviétique. Des moyens militaires gigantesques mis en œuvre par des Nations précautionneuses des vies ne viennent pas à bout de guerriers n’ayant aucune crainte de mourir.

Dix-neuf terroristes se réclamant d’Al-Qaïda détournent quatre avions de ligne en septembre 2001 … Il faut éradiquer le « mal ».

Aux cotés de Rambo, il y a Minnie. Elle incarne le ludique, la joie, la douceur, mais elle a les mêmes objectifs que Rambo. Ses armes : les droits de la Femme (à ne pas confondre avec les droits de l’Homme). Agiter les foules est devenu aisé grâce à Internet, il est donc possible de mettre à terre un régime. C’est d’autant plus facile lorsque ce régime est presque respectable, ceci limite l’atrocité de ses réactions. Les Minnie-révolutions se succédèrent ainsi dans presque tous les pays arabes : Tunisie, Libye, Égypte, Yémen, Syrie … avec une constante dans les conséquences : la situation de mauvaise devint critique. La survie d’un État juif au proche orient est-elle mieux ou moins bien assurée au sein de pays arabes disloqués ?

Daesh est une des innombrables dénominations de ces innombrables groupes qui veulent renouveler, faire renaître, incarner la foi islamique. La plupart ont trouvé un certain écho parmi le peuple arabe. Daesh a pris à bras le corps les problèmes des « sans grade » en utilisant la terreur. Cette organisation sait en plus utiliser les techniques Hollywoodiennes : elle a un sens aigu de la mise en scène et de la communication. Les exécutions, les supplices, les exactions sont soigneusement filmés et diffusés sur Internet.

Semer la terreur chez l’ennemi est certes une technique pour gagner une guerre, mais, dans le même temps une immense haine à leur égard s’amplifie de jour en jour et cette détestation se généralise à l’encontre de tout le monde musulman.

Lorsque l’on hait des ennemis, il est naturel d’adorer ceux qui vous protègent d’eux. Un monde bipolaire s’installe : « You're either with us, or against us ». Le choix est donc entre les USA (et Israël) et les terroristes musulmans. Choisir son camp dans ce qui devient une « guerre de civilisation » est devenu impératif. Ceci renforce le « leadership » américain sur le monde dit « libre ».

La main mise de Daesh sur l’ensemble du globe est irréaliste, par contre que les États-Unis soient sur le point de le faire est plus que probable.

Daesh pourrait être alors le chiffon rouge que l’on agite pour arriver plus vite à ses fins.

Il serait gênant que l’on puisse penser que sous couvert de faire la guerre au terrorisme, on fasse la guerre aux arabes, du moins aux arabes pauvres (les magnats du pétrole n’étant évidemment pas concernés). Il faudra aussi comprendre pourquoi un des plus fidèles ennemis d’Israël, le Hezbollah, combat Daesh.
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yacoub

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Re: Des musulmans, agents inconscients du sionisme.

Ecrit le 08 déc.16, 02:40

Message par yacoub »

L'Égypte du président Sissi bascule dans le camp pro-Assad

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© Alexei Druzhinin, AFP | Le président Vladimir Poutine et son homologue Abdel Fattah al-Sissi, photographiés à Sotchi, en 2015.

Texte par Marc DAOU

Dernière modification : 08/12/2016
Défiant ses partenaires arabes, surtout l’Arabie saoudite, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a récemment officialisé son soutien au régime de Bachar al-Assad et placé son pays dans le giron russe.

Après avoir conforté son pouvoir à l’intérieur du pays et noué une solide entente avec la Russie de Vladimir Poutine, l’Égypte du président Abdel Fattah al-Sissi s’emploie à reprendre sa place sur l’échiquier régional. Quitte à revoir ses calculs diplomatiques et à se désolidariser de ses partenaires sunnites sur la question de la crise syrienne, au nom de la guerre contre le terrorisme islamiste.

Abdel Fattah al-Sissi défie ainsi les monarchies du Golfe, obnubilées par leur rivalité politico-religieuse avec l’Iran chiite, source de déstabilisation du Moyen-Orient depuis plusieurs années, au Yémen, en Irak, et en Syrie.

Des conseillers militaires égyptiens en Syrie ?

Fin novembre, le président égyptien a en effet affiché son soutien total à l'armée de son homologue syrien Bachar al-Assad, déjà parrainé par Moscou et Téhéran, contre les groupes rebelles, soutenus par Riyad et ses alliés du Golfe. "Notre priorité est de soutenir les armées nationales, par exemple en Libye pour renforcer le contrôle de l'armée sur le territoire et traiter les éléments extrémistes. Même chose en Syrie et en Irak", avait-il déclaré lors d’un entretien diffusé par la télévision publique portugaise RTP.

Pour que le message soit encore plus clair, il avait adopté la rhétorique du Kremlin en affirmant que la position de son pays était "de respecter la volonté du peuple syrien, et qu'une solution politique à la crise syrienne [était] la meilleure façon de procéder".

En outre, depuis quelques semaines, notamment à la suite de la visite au Caire du responsable des services de sécurité syriens, le général Ali Mamlouk, les informations faisant état de la présence de "conseillers militaires égyptiens" aux côtés des forces de Damas se sont multipliées dans des médias arabes. Mercredi 7 décembre, Al-Akhbar, un journal libanais proche du Hezbollah pro-iranien, a révélé qu’un certain nombre d’experts militaires et sécuritaires égyptiens étaient présents en Syrie dans le cadre d’une coopération entre les deux pays visant "à combattre la menace terroriste". Le quotidien affirme que leur nombre s’élèvera à 200 d’ici fin 2016.

Le 24 novembre, le quotidien libanais pro-syrien As-Safir indiquait, qu'une unité de 18 pilotes de l'armée égyptienne avait été déployée sur une base militaire dans le centre de la Syrie. Une information qui a été officiellement démentie par Le Caire. Pas par Damas.

Se libérer de l’emprise financière de Riyad

Ces développements interviennent dans un contexte de tensions déjà très vives entre Égyptiens et Saoudiens, depuis le soutien du Caire, en octobre, d’une résolution russe sur la Syrie à l’ONU. Un épisode qui a sensiblement détérioré les relations privilégiées entre les deux puissances régionales, puisqu’en réponse, le royaume wahhabite a suspendu la livraison de produits pétroliers au Caire.

Le pouvoir égyptien, sous perfusion financière saoudienne depuis la reprise en main du pays en 2013 par les militaires, aux dépens des Frères musulmans et du président Mohamed Morsi, cherche depuis à se libérer de cette emprise économique en se rapprochant des Russes.

Et ce, au moment où Moscou cherche, de son côté, à étendre son influence au Moyen-Orient, en profitant des rapports de plus en plus distants entre les puissances de la région et les Occidentaux. La Russie avait été la première à manifester son soutien au nouveau pouvoir issu de l'armée en 2013, tandis que l’allié américain historique prenait ses distances avec les militaires égyptiens et que l’administration Obama se détournait de plus en plus de la région.

En attente de retombées économiques, ce rapprochement s’est concrétisé d’un point de vue militaire par des exercices conjoints entre les deux armées et des livraisons de matériel militaire au Caire. Un appui vital pour le pouvoir égyptien, qui doit faire face à la fois à la menace insurrectionnelle jihadiste dans le Sinaï et à l’instabilité chronique de son voisin libyen.

Après Poutine, Trump

Pragmatique, le président Sissi compte également profiter des conséquences sur la conjoncture internationale de la présidentielle américaine, qui a propulsé le "poutinophile" Donald Trump à la Maison Blanche, lui aussi partisan de la même ligne dure à l’égard des mouvements radicaux.

Et le raïs égyptien a toutes les raisons d’espérer tirer des bénéfices du changement d’administration à Washington - qui interviendra en janvier 2017 -, ayant eu le rare privilège de s’être entretenu, le 19 septembre à New York, avec le président élu, alors que ce dernier n’était encore qu’un simple candidat.

Dans un communiqué publié à la suite de cette entrevue par le service de presse du milliardaire américain, le président égyptien avait été cité "en exemple de ce que doit être un allié exemplaire" dans le cadre de la lutte contre "le terrorisme et l’islamisme radical". Donald Trump avait assuré que s’il venait à être élu à la présidence, "les États-Unis d'Amérique [seraient] un ami fidèle mais aussi un allié, sur lequel l'Égypte pourra compter, les jours et les années à venir".

Il lui avait même promis de se rendre en Égypte en visite officielle et de l’inviter en retour à Washington. De quoi ouvrir de nouvelles perspectives pour le pouvoir de l’ancien maréchal.
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yacoub

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Re: Des musulmans, agents inconscients du sionisme.

Ecrit le 04 juil.17, 22:51

Message par yacoub »

Boko Haram enlève 37 villageoises
Niger
Le groupe islamiste a mené un raid dimanche dans une localité du sud-est du Niger, égorgeant neuf personnes et en kidnappant près d'une quarantaine.

Boko Haram a enlevé dimanche 37 femmes et tué 9 personnes dans un village situé au nord de Diffa (ici à l'image) dans le sud-est du Niger. (Mardi 4 juillet 2017) Image: AFP (33 Images)

Des «éléments» du groupe islamiste nigérian Boko Haram ont enlevé dimanche 37 femmes et tué 9 personnes dans un village du sud-est du Niger, près de la frontière avec le Nigeria, a annoncé mardi le gouverneur de la région de Diffa (sud-est).

«Les éléments de Boko Haram (...) ont égorgé neuf personnes (...) Ils ont pris des femmes, 37 femmes, et sont partis avec elles», a affirmé le gouverneur Laouali Mahamane Dan Dano à la télévision publique nigérienne. «Des poursuites sont déjà engagées par les Forces de défense et de sécurité (FDS) et nous espérons que dans les prochaines jours ces femmes seront retrouvées et seront libérées», a-t-il ajouté.

Récent attentat suicide dans la région


Le gouverneur qui s'est rendu lundi à Ngalewa, le village attaqué, a expliqué que «les éléments de Boko Haram sont venus à pied» pour «mieux se faufiler» à travers le lac Tchad et le dispositif sécuritaire. Ngalewa est situé à quelques kilomètres de la ville de Kabaléwa au nord de Diffa, théâtre d'un attentat suicide mercredi. «Ngalewa s'est toujours opposé à Boko Haram, voilà pourquoi ils sont venus s'en prendre à ses paisibles citoyens», a expliqué le gouverneur.

Joint par l'AFP par téléphone, le maire du village, Abari El Hadj Daouda, avait indiqué lundi que l'attaque avait eu lieu dimanche soir «entre 22h00 et 2300 (21h00 et 22h00 GMT)». Il avait aussi parlé «d'une trentaine ou quarantaine de femmes et enfants enlevés par les assaillants» ainsi que de «neuf morts».

Attaques récurrentes

La région de Diffa, qui compte quelques 600'000 habitants, subit depuis 2015 des attaques récurrentes de Boko Haram. Elle abrite plus de 300'000 réfugiés et déplacés, dont des milliers vivent au milieu d'une population locale déjà très pauvre, selon l'ONU qui demande à la communauté internationale d'accroître son soutien financier.

Mi-avril, l'armée nigérienne a repoussé une offensive de Boko Haram, tuant une cinquantaine de ses combattants près de la localité de Gueskérou, dns la même région. Depuis décembre, 150 combattants nigériens de Boko Haram ont déposé les armes et se sont rendus aux autorités nigériennes, selon les autorités. (afp/nxp)
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