Page 41 sur 154

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 21 déc.14, 11:56
par VENT
Les huit derniers survivants de la guerre de 1914-1918
Publié le 12/03/2008 à 15:20
A la Une
Le vétéran britannique Henry Allingham, né en juin 1896, l'un des trois derniers combattants anglais de la Grande Guerre, avec Gordon Brown, en 2006 - Tim Ockenden PA/archives
Le vétéran britannique Henry Allingham, né en juin 1896, l'un des trois derniers combattants anglais de la Grande Guerre, avec Gordon Brown, en 2006 Tim Ockenden PA/archives
Zoomer
Huit vétérans de la Grande guerre de 1914-1948, ayant pris part aux combats sont encore en vie après le décès de Lazare Ponticelli, qui était le dernier poilu français.

Cette liste a été établie à partir du travail de Frédéric Mathieu, concepteur et animateur du site Dersdesders (dersdesders.free.fr). L'AFP n'a retenu que les vétérans qui ont effectivement servi en zone de combat sur terre ou sur mer.

Le dernier soldat allemand de la Première guerre mondiale, Erich Kästner, est décédé le 1er janvier 2008 à l'âge de 107 ans.

Armée britannique

-----------------

- Henry Allingham, né le 6 juin 1896, 111 ans. Doyen des vétérans, il est le seul à avoir combattu du début à la fin du conflit. Engagé volontaire dans l'armée britannique dès 1914, il intègre comme mécanicien le Royal Naval Air Service, prend part en 1916 à la bataille navale du Jutland. Il est reversé en 1917 dans une unité de la Royal Air Force, au sein de laquelle il combat dans la Somme. Il vit aujourd'hui en Angleterre.

- Harry Patch, né le 17 juin 1898, 109 ans. Il est le dernier vétéran britannique à avoir combattu dans les tranchées. Appelé en 1917, il intègre la 7e division d'infanterie légère du Duc de Cornouailles. Il combat sur le front franco-belge, notamment à Ypres. Il est grièvement blessé le 22 septembre 1917 par un obus. Il vit aujourd'hui en Angleterre.

- Claude Choules, né le 3 mars 1901, 106 ans. Entré en 1916 dans la Royal Navy, il sert dès 1917, à bord du cuirassé HMS Revenge en Mer du Nord. Il vit aujourd'hui en Australie.

Armée italienne

---------------

Outre Lazare Ponticelli, deux autres vétérans ont combattu pour l'Italie :

- Delfino Borroni, né le 23 août 1898, 109 ans. Il intègre, en janvier 1917, le corps des Bersagliers, corps d'élite de l'infanterie italienne et combat contre les Austro-hongrois dans le Tyrol, sur le haut plateau d'Asiago. Affecté en septembre 1917 sur le front oriental dans le secteur de Cividale, il prend part à la bataille de Caporetto. Il vit aujourd'hui dans le nord de Italie.

- Francesco Chiarello, né 5 novembre 1898, 109 ans. Appelé dans l'armée italienne dès 1918, il intègre le 19e régiment d'infanterie de Cosenza. Envoyé au front dans la région de Trente, il participe à la contre-offensive de la Piave et à la bataille finale de Vittorio Veneto. Il vit aujourd'hui dans le sud de l'Italie.

Armée américaine

----------------

- Franck Buckles, né le 1er février 1901, 106 ans. Il s'engage en 1917 à l'âge de 16 ans. En décembre 1917, il part pour la France. D'abord ambulancier, il est ensuite affecté à la surveillance et l'escorte de prisonniers allemands. M. Buckles est le dernier vétéran de l'armée américaine à avoir servi en zone de combat. Il vit aujourd'hui en Virginie Occidentale (côte est).

Armée austro-hongroise

----------------------

- Franz Künstler, né le 24 juillet 1900, 107 ans. Le 6 février 1918, il entre au 5e régiment d'artillerie hongrois de Szeged. Après six semaines de formation militaire, il est envoyé sur le front italien et participe aux batailles du Piave (juin 1918) et de Vittorio Veneto (octobre-novembre 1918). Dernier survivant des armées austro-hongroises, M. Künstler vit actuellement dans le sud de l'Allemagne.

Armée de l'Empire Ottoman

-------------------------

- Yakup Satar, né le 11 mars 1898, 109 ans. Il s'engage dans l'armée ottomane en 1915. Il intègre une unité secrète surnommée "gazcilar", dans laquelle des instructeurs allemands les forment à lancer des gaz. Yakup Satar est fait prisonnier par les forces anglo-indiennes lors de la 2e bataille de Kut-el-Amara, le 23 février 1917, sur le front de Bagdad. Dernier vétéran de l'Empire Ottoman, Yakup Satar vit aujourd'hui en Turquie.

- Pays belligérants où il n'y a plus de combattant survivant de la Première guerre mondiale : Allemagne, Belgique, Grèce, Pologne, Portugal, Roumanie, République tchèque, Sénégal...

© 2008 AFP
A LA UNE

http://www.ladepeche.fr/article/2008/03 ... -1918.html

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 28 déc.14, 13:08
par VENT
4 août 1914: Londres s'engage dans une guerre désormais mondiale

http://www.leparisien.fr/flash-actualit ... 045965.php

Le soleil s'est couché depuis un moment sur cette journée du 4 août 1914. L'ultimatum lancé à l'Allemagne qui vient d'envahir la Belgique est sur le point d'expirer. En l'absence de réponse, Londres déclare "un état de guerre" à Berlin, à 23H00 précises.Le gouvernement britannique d'Herbert Asquith avait exigé que Berlin respecte la neutralité belge et retire immédiatement ses troupes du petit royaume.

"Le gouvernement de sa Majesté a décrété qu'un état de guerre existe entre la Grande-Bretagne et l?Allemagne à partir de 23h00 le 4 août", indique un message du ministère des Affaires étrangères à l'ambassade de Berlin à Londres.Ce message qui précipite une Grande-Bretagne largement pacifiste dans une guerre qu'elle souhaitait éviter est le fruit d?une longue réflexion et de nombreux débats internes.L'objectif du ministre des Affaires étrangères, Edward Grey, "était d'empêcher le déclenchement de la guerre", précise l?historien William Mulligan dans son ouvrage "The Great war for Peace". Mais le 3 août, lorsque Berlin déclare la guerre à la France et envahit la Belgique, le ministre admet, résigné, devant le Parlement: "il est clair que la paix en Europe ne peut plus être préservée".- Conflit planétaire -Le Royaume-Uni est la dernière grande puissance européenne à entrer dans le conflit, après l'Autriche-Hongrie le 28 juillet, l'Allemagne et la Russie le 1er août, puis la France le 3."L'entrée en guerre du Royaume-Uni en a fait un conflit planétaire", explique l?historien William Mulligan. "Les combats se sont étendus à l'Afrique, le Japon a rejoint la guerre en extrême-Orient, s'emparant de quelques colonies allemandes, et les soldats des empires (coloniaux) français et britanniques sont venus renforcer les armées en Europe."Mais en ce 4 août 1914, personne n'imagine encore les conséquences à venir. Quand les Britanniques apprennent la nouvelle, ils pensent, comme la plupart des Européens, que la guerre sera de courte durée."Guerre européenne: la Grande-Bretagne participe au combat" titre le Financial Times du 5 août. "La Grande-Bretagne déclare la guerre à l'Allemagne", écrit le Manchester Guardian. "Les cris des vendeurs de journaux ont été le principal moyen par lequel les gens ont appris la déclaration de guerre", raconte à l'AFP Catriona Pennel, professeur d'histoire à l'Université d'Exeter. Et comme "bien évidemment il n?y avait ni radio ni télévision en 1914", rappelle-t-elle, "la plupart n?ont découvert que le lendemain matin qu?ils étaient en guerre".La nouvelle prend un peu plus de temps à atteindre les populations rurales. "La-bas les annonces publiques étaient plus courantes que les +Unes+ de journaux", précise l'historienne. Les policiers et les postiers font également passer le message.- Enthousiasme fantasmé ou réel? -Le 4 août, malgré l'heure tardive, une importante foule s'est rassemblée à Trafalgar square, ce qui fait dire au philosophe britannique Bertrand Brussel, farouchement opposé à la guerre, que "les hommes et femmes ordinaires étaient enchantés à la perspective de la guerre". Une idée longtemps persistante, mais aujourd'hui contestée par la plupart des historiens.Les rassemblements publics dans les villes et les centaines de milliers d?hommes qui s'engagent volontairement dans l'armée (750.000 entre août et septembre) laissent croire à un grand engouement de la population. Pourtant, l'enthousiasme est limité, selon les historiens. "L?arrivée de la guerre était comme un sombre nuage arrivant sur le peuple, inquiet pour le futur de la civilisation européenne", affirme Catriona Pennel.Dans un pays où la conscription n?existait pas, la "ruée sous les drapeaux" relève plus du nationalisme et de la volonté de défendre son pays que de l'enthousiasme. "De nombreux volontaires considéraient que rejoindre l?armée était un devoir", explique à l?AFP l?historien William Mulligan. "Les motivations pour se porter volontaire étaient nombreuses, et l'une d'elle était la peur d'une victoire allemande qui semblait probable après les avancées rapides (allemandes) en Belgique et dans le nord de la France".Les premières troupes britanniques sont presque immédiatement envoyées en France. Trois jours après la déclaration de guerre, le commandant Sir John French et ses hommes de la Force expéditionnaire britannique débarquent sur le territoire français.Contrairement aux prévisions optimistes des stratèges militaires, la guerre durera plus de quatre ans et laissera quelque 10 millions de morts sur les champs de bataille, dont plus de 900.000 soldats venus du Royaume-Uni et de tout l'empire britannique.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 01 janv.15, 12:51
par VENT
Joyeux Noël et bonne année en Champagne... en 1914

http://www.ladepeche.fr/article/2014/12 ... -1914.html

À l'occasion du centenaire de la Première guerre mondiale, la Société archéologique du Gers et l'association des Écrivains publics du Gers ont décidé de s'associer pour vous proposer de découvrir la chronologie des événements marquants de la Grande Guerre, telle qu'ils ont été vécus par les Gersois, au travers des dates importantes et des grandes batailles qui l'ont émaillée...

À la veille de Noël

Ils avaient dit en partant, nous reviendrons terminer les moissons. Les moissons avaient été faites, puis les vendanges, les labours et enfin les semis. Ils n'étaient pas revenus. Puis, ils avaient écrit, nous serons là pour Noël. Noël était arrivé. Pas eux. Quatre mois que les hommes sont partis. Pour la majorité des familles gersoises, c'est la première fois qu'une telle séparation se produit, sur une aussi longue durée et une aussi longue distance. La France entière sépare les uns et les autres. Quel peut être l'état d'esprit de chacun, en cette veille de Noël ? L'heure n'est sûrement pas à la joie !

Pour oublier la tristesse de se trouver loin de chez eux, les soldats multiplient les courriers. Ils montrent que l'espoir ne faiblit pas et les vœux de fin d'année s'accompagnent d'une certitude en une victoire proche, ainsi que d'une nouvelle promesse : «à Pâques, ce sera fini». Mais y croient-ils vraiment ? D'autant que ce mois de décembre, après la relative accalmie de novembre, correspond au lancement d'une nouvelle offensive sanglante, dans une région dont le nom résonne de façon bien ironique en cette période : la Champagne.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/12 ... -1914.html

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 07 janv.15, 00:02
par VENT
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/so ... ince.shtml

Cent ans plus tard, la Première Guerre mondiale continue de marquer notre présent. Dans ce deuxième article d'une série de trois, Jean-Michel Leprince explique comment le découpage du monde après cette guerre a planté les germes des conflits d'aujourd'hui.

« Cette guerre, qui devait être la dernière, qui devait régler tous les problèmes qui traînaient depuis le 19e siècle, a en fait créé tous les problèmes du 20e siècle. »
— Marcelle Cinq-Mars, historienne, Bibliothèque et Archives Canada


« Les tensions aujourd'hui en Europe, que ce soit les problèmes en Ukraine actuellement ou dans les Balkans, sans trop exagérer, j'essaie toujours de les rattacher avec des ramifications de 1914. On sent qu'il y a des liens encore, des tensions ethniques entre certaines communautés qui ont existé à l'époque de la Grande Guerre. »
— Carl Pépin, historien militaire

« La propagande disait "Tout va bien, on est victorieux". Et lorsque l'Allemagne capitule, c'est un effet de choc parmi la population allemande. C'est le phénomène du coup de poignard dans le dos et dont Hitler va se servir en disant que ce sont les politiciens qui ont trahi les Allemands. »
— Michel L'Italien, historien, Défense nationale

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/so ... ince.shtml

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 07 janv.15, 10:14
par marco ducercle
VENT a écrit :l
nation contre nation royaume contre royaume peut être un conflit regionaliste

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 07 janv.15, 21:49
par VENT
VENT a écrit :l
marco ducercle a écrit : nation contre nation royaume contre royaume peut être un conflit regionaliste
STP marco ducercle ne me fait pas dire ce que je n'ai jamais dis, ça commence à bien faire !!!

De plus tu es hors sujet !!!

Le sujet initiale est "1914, on n'a pas fini d'en parler..."

Merci

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 08 janv.15, 02:49
par marco ducercle
VENT a écrit :
marco ducercle a écrit : nation contre nation royaume contre royaume peut être un conflit regionaliste
VENT a écrit :STP marco ducercle ne me fait pas dire ce que je n'ai jamais dis, ça commence à bien faire !!!
VENT a écrit :Mattieu 24:7 “ Car nation se lèvera contre nation et royaume contre royaume, et il y aura des disettes et des tremblements de terre dans un lieu après l’autre
Dans un lieu après l'autre fait allusion à "nation se lèvera contre nation et royaume contre royaume", il est donc bien question que ces événements ce produisent dans le monde entier.

Effectivement, techniquement tu n'as pas dit que c'était pas un conflit régionale, mais tu soutiens qu'il est mondiale. Donc ça revient au meme.
Lorsque je parle de conflit régionale, j'intègre le fait, que les belligérants sont dans la meme zone géographique(Judée Samary/ Syrie). Ce qui est le cas dans la chute de Jerusalem. La guerre 14, elle s'est déroulé sur plusieurs theatres d'opérations France,belgique,Italie,Russie,les pays Slave, l'Empire Ottoman, et meme sur mer)
De plus tu es hors sujet !!!
Le sujet initiale est "1914, on n'a pas fini d'en parler..."
C'est vrai mais dans ton post du 19 Mar 2014, tu écrivait:
Dans ces paroles Jésus à prophétisé que les conflits de cette génération même s'il ne donne pas de date de 1914, seraient d'une telle ampleur qu'ils dureraient jusqu'à ce que le royaume de Dieu les détruise (Mathieu 24:21,22).
Donc je suis en plein le dans le sujet
Cordialement

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 08 janv.15, 07:53
par VENT
Tu passes ton temps à jouer sur les mots

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 08 janv.15, 08:01
par medico
VENT a écrit :Tu passes ton temps à jouer sur les mots
Et dans l'au section sur le même sujet c'est idem.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 08 janv.15, 12:21
par marco ducercle
VENT a écrit :Tu passes ton temps à jouer sur les mots
Je ne joue pas sur les mots, j'essaie de démontrer par A+B que les Évangiles parlent de 70 par ce qu'il y a des faits concomitants, mais rien a faire cette guerre t'empêche de les voire

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 09 janv.15, 03:10
par VENT
Dans les chapitres 24 et 25 de l'évangile de Matthieu Jésus décrit le déroulement du signe qui permet de discerner sa présence en tant que roi céleste du royaume de Dieu, en réponse à la question de ses disciples : “ Dis-nous : Quand ces choses auront-elles lieu, et quel sera le signe de ta présence et de l’achèvement du système de choses ? ”

Matthieu 24:; 21 car alors il y aura une grande tribulation telle qu’il n’y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, non, et qu’il n’y en aura plus. 22 En effet, si ces jours-là n’étaient écourtés, nulle chair ne serait sauvée ; mais à cause de ceux qui ont été choisis ces jours-là seront écourtés.

La génération qui a vu la destruction de Jérusalem en l'an 70 est passée sans laisser de répercussion pour les générations suivante, or la question à propos de 1914 qui fait l'objet de ce sujet démontre que depuis l'an 70 jusqu'à 1914 il s'est écoulé 1844 ans sans que n'apparaisse la chose immonde qui cause la désolation dont a parler le prophète Daniel (Marc 13:14).

Nous n'avons pas besoin que Jésus précise que ce serait une guerre mondiale pour le constater. A partir du moment où toutes les prophéties que Jésus a annoncé et que nous voyons se réaliser au moment de son intronisation céleste en 1914 on ne peut que constater la réalisation du signe.

Si les guerres qui ont eu lieu depuis l'an 70 jusqu'à 1914 soit 1844 ans ont eu pour objectif de conquérir des territoires par des nations, l'enjeu n'est plus le même aujourd'hui. En effet, même si au moyen âge il y eu des guerres dites "de religion" il n'y a jamais eu de signe de grande tribulation, chacun faisait sa gueguerre pour défendre sa politique ou religion. Aujourd'hui le contexte auquel est confronté le monde est le terrorisme qui dit agir "au nom de Dieu" a pris naissance avec la première guerre mondiale en 1914, voilà "la chose immonde qui cause la désolation dont a parler le prophète Daniel " parce qu'elle se tient là où elle ne doit pas être, nous en avons un triste exemple en ce moment même.

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 09 janv.15, 03:22
par marco ducercle

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 09 janv.15, 04:24
par medico
Ce sujet devient un doublon manifeste alors que ce n'était pas le but initiale..

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 09 janv.15, 04:53
par VENT
Désolé mais j'avais posté ce sujet le premier, ce n'est pas moi qui ai fait un doublon

Re: 1914, on n'a pas fini d'en parler...

Posté : 09 janv.15, 06:46
par medico
VENT a écrit :Désolé mais j'avais posté ce sujet le premier, ce n'est pas moi qui ai fait un doublon
Non mais certains le font.