Salem Ben Ammar
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 17 oct.17, 21:28Si le tout et son contraire avait une religion ce serait l’islam par Salem Ben Ammar
Comment Mahomet MDSL (Malédiction et disgrâce soient sur lui) était en mesure de lire le Coran en présence de Gabriel, alors que d'une part les musulmans qui ne sont témoins de rien mais qui sont convaincus que leur prophète de mauvais augure était totalement analphabète et d'autre part le Coran n'avait pas encore était transcrit sur aucun support et les versets ni rassemblés ni ordonnés ?
Et le même Coran qui a l'art de se mêler les babouches tord le cou à sa propre vérité (106 sourate 17 Al-Isra):
« Nous avons fait descendre un Coran que Nous avons fragmenté, pour que tu le lises lentement aux gens. Et Nous l'avons fait descendre graduellement. »
Ce qui est évident quand on sait que le dernier verset qu'Allah lui aurait adressé comme un missile (281 de la sourate de la Vache) 9 jours avant que les Anges de la mort ne l'envoient en enfer le 8 juin 632, comme si les Arabes déclaraient lesurs naissances et leurs décès à cette époque. Cela fait partie des miracles administratifs de l'islam et le doute n'est aucunement permis.
Si la contradiction avait une religion ce serait ainsi assurément l'islam , d'un côté les musulmans prétendent que la révélation a duré 23 ans et d'un autre qu'il est descendu selon le malsain Coran dans ses versets machiavéliques(sourate asu'ara v.192 195;sourate azumar v.1-3;sourate al baqarah v.185 ) en bloc en deux tours trois mouvements (djoumlat wahida, littéralement en une seule phrase) pendant la fameuse nuit d'al Qadr
Affirmer des vérités non prouvées matériellement relève de la pure fabulation. Nonobstant le fait que la codification de l'écriture de la langue arabe a été entamée au VIII e siècle.
Comment Mahomet MDSL (Malédiction et disgrâce soient sur lui) était en mesure de lire le Coran en présence de Gabriel, alors que d'une part les musulmans qui ne sont témoins de rien mais qui sont convaincus que leur prophète de mauvais augure était totalement analphabète et d'autre part le Coran n'avait pas encore était transcrit sur aucun support et les versets ni rassemblés ni ordonnés ?
Et le même Coran qui a l'art de se mêler les babouches tord le cou à sa propre vérité (106 sourate 17 Al-Isra):
« Nous avons fait descendre un Coran que Nous avons fragmenté, pour que tu le lises lentement aux gens. Et Nous l'avons fait descendre graduellement. »
Ce qui est évident quand on sait que le dernier verset qu'Allah lui aurait adressé comme un missile (281 de la sourate de la Vache) 9 jours avant que les Anges de la mort ne l'envoient en enfer le 8 juin 632, comme si les Arabes déclaraient lesurs naissances et leurs décès à cette époque. Cela fait partie des miracles administratifs de l'islam et le doute n'est aucunement permis.
Si la contradiction avait une religion ce serait ainsi assurément l'islam , d'un côté les musulmans prétendent que la révélation a duré 23 ans et d'un autre qu'il est descendu selon le malsain Coran dans ses versets machiavéliques(sourate asu'ara v.192 195;sourate azumar v.1-3;sourate al baqarah v.185 ) en bloc en deux tours trois mouvements (djoumlat wahida, littéralement en une seule phrase) pendant la fameuse nuit d'al Qadr
Affirmer des vérités non prouvées matériellement relève de la pure fabulation. Nonobstant le fait que la codification de l'écriture de la langue arabe a été entamée au VIII e siècle.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 28 oct.17, 00:16C’est l’islam lui-même qui porte en lui les germes des crimes contre l’humanité par Salem Ben Ammar
Les musulmans et leurs idiots utiles serinent que l'islam est paix alors qu'il n'y a de salut pour l'humanité que dans la soumission et la dhimmitude.
N'-a-il pas été prescrit à Mahomet de ne laisser aucune chance aux "mécrus" ? : "...Il n'est donné à aucun prophète de faire des prisonniers tant qu'il n'a pas mis les mécréants hors de combat sur la terre."( S.8,V.67).
La paix ne régnera sur terre que le jour où plus aucune religion ne cohabitera avec l'islam (S.8, V.39).
Ils affirment que l'islam est le culte de la tolérance et qu'il respecte jalousement les croyants des autres religions monothéistes.
Tout indique que ses laudateurs sont manifestement atteints de cécité mentale et ont confondu le Coran avec la Déclaration Universelle des Droits de l'homme et du Citoyen.
En effet, aucun verset coranique ne recommande aux musulmans de faire preuve de bienveillance et de compréhension à l'égard des non-musulmans et de les accepter tels qu'ils sont, assimilés surtout à des bêtes de la pire espèce aux yeux de leur divinité maléfique.
L'islam n'accepte l'autre sauf s'il se soumet à sa tyrannie.
Le message coranique porte en lui tous les germes de la haine de l'autre et du racisme à caractère religieux :"O vous qui avez cru! Ne prenez pas les Juifs et les Chrétiens comme amis et soutiens...Allah ne guide pas la gente injuste." (S.4, V.34).
Sa tolérance se mesure aussi à l'aune du châtiment réservé aux siens qui veulent exercer leur liberté de conscience : " Qui que ce soit qui après avoir accepté la foi en Allah, exprime la Non-Croyance, sauf sous la contrainte, son cœur demeurera ferme dans la Foi, sur ceux de tels hommes qui ouvrent leur cœur à la Non-Croyance, sur eux est la Colère d'Allah, et une peine terrible sera la leur." (S.16, V.106).
Tant qu'ils ne cherchent pas à briser les chaînes de leur esclavage, ils n'encourent aucun châtiment et n'ont rien à craindre pour leur vie : "S'ils se détournent(de l'islam), saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez." (S.4, V.89).
On ne punit pas de mort le musulman pour le meurtre d'un kafir, mais en revanche il est permis de tuer celui qui abjure sa foi islamique comme l'ordonne Mahomet.
La vie d'un kafir et d'un apostat ne valent pas plus que celle d'un cafard dans l'islam.
Ils affirment que l'islam est amour mais peut-il y avoir d'amour sous la contrainte et sans la liberté d'aimer ?
L'islam sans la soumission et l'obéissance n'est plus islam. L'amour est d'abord celui que le supposé créateur doit témoigner à ses créatures sans contrainte ni contre-partie.
Un père doté de raison ne force pas ses enfants à l'aimer et les menacer de mort s'ils ne cèdent pas à ses désirs narcissiques.
Il leur enseigne et éduque dans la voie de l'amour et du respect de leurs semblables indépendamment de leurs origines, sexe et croyance. L'amour ne se décrète pas et qu'il soit imposé aux hommes contre leur gré :" Obéissez à Allah, obéissez au Messager, et prenez garde!"(S.5, V.92)
Une religion n'existe que dans le miroir des siens dont le comportement est en adéquation avec leurs prescrits religieux.
Un enfant est le produit de son éducation, le musulman est le produit de l'islam.
Son personnage est façonné par les préceptes coraniques et la sunna. Quand on est musulman, on doit vivre et appliquer l'islam dans toute sa rigueur et authenticité.
Contrairement à ce que la majorité silencieuse musulmane laisse entendre que l'islam est consensuel et que l'on peut vivre sa religion tout en étant dans la modernité, or, l'islam qui se veut une loi éternelle, une voie unique pour tous les musulmans sans influence extérieure. Il est inconciliable avec les autres voies qui sont forcément suspectes et qui doivent être combattues jusqu'à ce qu'à leur élimination finale.
Faire de la place à l'islam comme le proclament ses laquais c'est faire entrer un loup dans la bergerie. Pour tuer ainsi la laïcité il n'y a pas mieux que de lui inoculer le poison de l'islam.
L'islam ne reconnaît ni le facteur temps ni l'espace, il a pour fonction essentielle de diluer la vie dans le bain acide de l'ignorance et l'obscurantisme. C'est la négation même du temps. Figer et scléroser la vie comme le symbolise la pierre tombale de la ka'aba.
L'islamisation des sociétés consiste à faire des temps passés une horloge pour les temps présents et des temps passés avec des aiguilles arrêtées au VII e siècle.
Il prône un modèle de société et des mœurs qui prévalaient au temps de Mahomet. Un homme "parfait" pour des hommes qui aspirent à lui ressembler.
Peu importe ses dérives morales, ses bas instincts bestiaux, ses obsessions sexuelles pathologiques, ses penchants pédophilies, ses troubles narcissiques prononcés et sa personnalité borderline, son tempérament violent et colérique, son égocentrisme pathologique, son intolérance, sa nature criminogène, un homme qui ne respecte rien ni personne, sans code moral ni éthique, traître et fourbe, imposteur et affabulateur, mégalomane et nombriliste, voleur, pilleur et assassin, ingrat et velléitaire, guerrier et vandale, sans foi ni loi, gourou et faux-prophète, despote et tyrannique, ultra-violent et sanguinaire, haineux et anti-juif et anti-chrétien, fermé à la critique et au dialogue. Mahomet est leur exemple à suivre, quel exemple.
Avec un minimum de lucidité et de clairvoyance, ils devraient se rendre compte d'eux-mêmes que sa biographie devrait lui valoir d'être condamné symboliquement à titre posthume comme étant le plus grand criminel de tous les temps. il est jugé comme ce qu'il y a de meilleur pour eux. Se comporter comme lui et faire de son mode vie amoral et transgressif la norme pour les humains du XXI e siècle.
Le retour en force de la loi de la jungle où le pouvoir est aux plus forts et aux prédateurs de disposer de la vie des faibles et des sans défense, et sans tabous et interdits sexuels, où l'on peut tuer un Juif ou un chrétien en toute légitimité chariatique.
Pourquoi son nom est synonyme de mémoricide dans le sens de destruction de la mémoire historique, culturelle, archéologique, urbanistique des peuples comme en Irak, en Syrie et au Mali ?
Des questions qui resteront comme toujours sans réponses.
forcément suspectées d'arrière-Comment peut-on égorger des êtres humains au nom d'Allah comme si on égorgeait un mouton toujours au nom d'Allah ?
C'est la seule religion au monde où l'on sacrifie la vie humaine en hommage à dieu.
Ces monstres qui coupent les têtes à leurs semblables étaient-ils humains comme nous avant de commettre de tels actes de cruauté ?
Effaré et abasourdi par autant de barbarie. Est-ce que ce sont leurs dogmes mortifères et ultra-violents qui les ont mutés en coupeurs de têtes ?
Aucune excuse à faire valoir, ni misère, ni pauvreté, ni exclusion, autant d'arguments insultants pour la conscience humaine, c'est comme si l'on faisait l'apologie du nazisme.
Ils auraient peut-être une éducation qui les prédisposent à cela, et la religion produit sur eux un effet catalyseur.
Convaincu que tous leurs coreligionnaires ne sont pas des monstres, loin s'en faut. Ils lisent les mêmes textes qu'eux, mais ils n'ont pas perdu apparemment leur humanité pour autant.
Ne cherchons pas les causes là où elles ne sont pas, il faut disséquer leurs cerveaux, pour déceler les cause de leurs bestialités.
Sont-ils nés tout-à-faits humains comme nous et leur caryotype est-il normal ?
Bien souvent on assiste à un basculement de la voyoucratie et le banditisme vers ces crimes contre l'humanité.
La solution serait de déclarer le jihad comme le premier ennemi de l'humanité et qui doit être combattu comme tel.
Les musulmans et leurs idiots utiles serinent que l'islam est paix alors qu'il n'y a de salut pour l'humanité que dans la soumission et la dhimmitude.
N'-a-il pas été prescrit à Mahomet de ne laisser aucune chance aux "mécrus" ? : "...Il n'est donné à aucun prophète de faire des prisonniers tant qu'il n'a pas mis les mécréants hors de combat sur la terre."( S.8,V.67).
La paix ne régnera sur terre que le jour où plus aucune religion ne cohabitera avec l'islam (S.8, V.39).
Ils affirment que l'islam est le culte de la tolérance et qu'il respecte jalousement les croyants des autres religions monothéistes.
Tout indique que ses laudateurs sont manifestement atteints de cécité mentale et ont confondu le Coran avec la Déclaration Universelle des Droits de l'homme et du Citoyen.
En effet, aucun verset coranique ne recommande aux musulmans de faire preuve de bienveillance et de compréhension à l'égard des non-musulmans et de les accepter tels qu'ils sont, assimilés surtout à des bêtes de la pire espèce aux yeux de leur divinité maléfique.
L'islam n'accepte l'autre sauf s'il se soumet à sa tyrannie.
Le message coranique porte en lui tous les germes de la haine de l'autre et du racisme à caractère religieux :"O vous qui avez cru! Ne prenez pas les Juifs et les Chrétiens comme amis et soutiens...Allah ne guide pas la gente injuste." (S.4, V.34).
Sa tolérance se mesure aussi à l'aune du châtiment réservé aux siens qui veulent exercer leur liberté de conscience : " Qui que ce soit qui après avoir accepté la foi en Allah, exprime la Non-Croyance, sauf sous la contrainte, son cœur demeurera ferme dans la Foi, sur ceux de tels hommes qui ouvrent leur cœur à la Non-Croyance, sur eux est la Colère d'Allah, et une peine terrible sera la leur." (S.16, V.106).
Tant qu'ils ne cherchent pas à briser les chaînes de leur esclavage, ils n'encourent aucun châtiment et n'ont rien à craindre pour leur vie : "S'ils se détournent(de l'islam), saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez." (S.4, V.89).
On ne punit pas de mort le musulman pour le meurtre d'un kafir, mais en revanche il est permis de tuer celui qui abjure sa foi islamique comme l'ordonne Mahomet.
La vie d'un kafir et d'un apostat ne valent pas plus que celle d'un cafard dans l'islam.
Ils affirment que l'islam est amour mais peut-il y avoir d'amour sous la contrainte et sans la liberté d'aimer ?
L'islam sans la soumission et l'obéissance n'est plus islam. L'amour est d'abord celui que le supposé créateur doit témoigner à ses créatures sans contrainte ni contre-partie.
Un père doté de raison ne force pas ses enfants à l'aimer et les menacer de mort s'ils ne cèdent pas à ses désirs narcissiques.
Il leur enseigne et éduque dans la voie de l'amour et du respect de leurs semblables indépendamment de leurs origines, sexe et croyance. L'amour ne se décrète pas et qu'il soit imposé aux hommes contre leur gré :" Obéissez à Allah, obéissez au Messager, et prenez garde!"(S.5, V.92)
Une religion n'existe que dans le miroir des siens dont le comportement est en adéquation avec leurs prescrits religieux.
Un enfant est le produit de son éducation, le musulman est le produit de l'islam.
Son personnage est façonné par les préceptes coraniques et la sunna. Quand on est musulman, on doit vivre et appliquer l'islam dans toute sa rigueur et authenticité.
Contrairement à ce que la majorité silencieuse musulmane laisse entendre que l'islam est consensuel et que l'on peut vivre sa religion tout en étant dans la modernité, or, l'islam qui se veut une loi éternelle, une voie unique pour tous les musulmans sans influence extérieure. Il est inconciliable avec les autres voies qui sont forcément suspectes et qui doivent être combattues jusqu'à ce qu'à leur élimination finale.
Faire de la place à l'islam comme le proclament ses laquais c'est faire entrer un loup dans la bergerie. Pour tuer ainsi la laïcité il n'y a pas mieux que de lui inoculer le poison de l'islam.
L'islam ne reconnaît ni le facteur temps ni l'espace, il a pour fonction essentielle de diluer la vie dans le bain acide de l'ignorance et l'obscurantisme. C'est la négation même du temps. Figer et scléroser la vie comme le symbolise la pierre tombale de la ka'aba.
L'islamisation des sociétés consiste à faire des temps passés une horloge pour les temps présents et des temps passés avec des aiguilles arrêtées au VII e siècle.
Il prône un modèle de société et des mœurs qui prévalaient au temps de Mahomet. Un homme "parfait" pour des hommes qui aspirent à lui ressembler.
Peu importe ses dérives morales, ses bas instincts bestiaux, ses obsessions sexuelles pathologiques, ses penchants pédophilies, ses troubles narcissiques prononcés et sa personnalité borderline, son tempérament violent et colérique, son égocentrisme pathologique, son intolérance, sa nature criminogène, un homme qui ne respecte rien ni personne, sans code moral ni éthique, traître et fourbe, imposteur et affabulateur, mégalomane et nombriliste, voleur, pilleur et assassin, ingrat et velléitaire, guerrier et vandale, sans foi ni loi, gourou et faux-prophète, despote et tyrannique, ultra-violent et sanguinaire, haineux et anti-juif et anti-chrétien, fermé à la critique et au dialogue. Mahomet est leur exemple à suivre, quel exemple.
Avec un minimum de lucidité et de clairvoyance, ils devraient se rendre compte d'eux-mêmes que sa biographie devrait lui valoir d'être condamné symboliquement à titre posthume comme étant le plus grand criminel de tous les temps. il est jugé comme ce qu'il y a de meilleur pour eux. Se comporter comme lui et faire de son mode vie amoral et transgressif la norme pour les humains du XXI e siècle.
Le retour en force de la loi de la jungle où le pouvoir est aux plus forts et aux prédateurs de disposer de la vie des faibles et des sans défense, et sans tabous et interdits sexuels, où l'on peut tuer un Juif ou un chrétien en toute légitimité chariatique.
Pourquoi son nom est synonyme de mémoricide dans le sens de destruction de la mémoire historique, culturelle, archéologique, urbanistique des peuples comme en Irak, en Syrie et au Mali ?
Des questions qui resteront comme toujours sans réponses.
forcément suspectées d'arrière-Comment peut-on égorger des êtres humains au nom d'Allah comme si on égorgeait un mouton toujours au nom d'Allah ?
C'est la seule religion au monde où l'on sacrifie la vie humaine en hommage à dieu.
Ces monstres qui coupent les têtes à leurs semblables étaient-ils humains comme nous avant de commettre de tels actes de cruauté ?
Effaré et abasourdi par autant de barbarie. Est-ce que ce sont leurs dogmes mortifères et ultra-violents qui les ont mutés en coupeurs de têtes ?
Aucune excuse à faire valoir, ni misère, ni pauvreté, ni exclusion, autant d'arguments insultants pour la conscience humaine, c'est comme si l'on faisait l'apologie du nazisme.
Ils auraient peut-être une éducation qui les prédisposent à cela, et la religion produit sur eux un effet catalyseur.
Convaincu que tous leurs coreligionnaires ne sont pas des monstres, loin s'en faut. Ils lisent les mêmes textes qu'eux, mais ils n'ont pas perdu apparemment leur humanité pour autant.
Ne cherchons pas les causes là où elles ne sont pas, il faut disséquer leurs cerveaux, pour déceler les cause de leurs bestialités.
Sont-ils nés tout-à-faits humains comme nous et leur caryotype est-il normal ?
Bien souvent on assiste à un basculement de la voyoucratie et le banditisme vers ces crimes contre l'humanité.
La solution serait de déclarer le jihad comme le premier ennemi de l'humanité et qui doit être combattu comme tel.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 02 nov.17, 00:55Le terrorisme est comme un nez au milieu du visage musulman par Salem Ben Ammar
Le terrorisme musulman est étroitement corrélé à la progression de l'islam en Occident au cours de 35 dernières années.
En effet, il progresse au même rythme que la progression de la population musulmane régulière et clandestine dans cette région du monde.
Quand bien même le fléau terroriste est loin de lui être spécifique et n'épargne aucun pays au monde, on peut difficilement ignorer le lien de cause à effet entre les deux variables.
Que le terrorisme soit le visage du phénomène de radicalisation qui n'est en réalité que le retour toute voile dehors à l'islam des sources cela est évident mais ce que l'on ne saurait nier est que l'Occident est devenu une cible à abattre pour l'islam fondamentaliste qui est en train de conquérir des pans entiers de ses territoires et se faire de plus en plus visible à travers la prolifération inquiétante des mosquées-casernes, l'explosion exponentielle du port du voile et le commerce halal.
Tout se passe comme si les attentats terroristes sont une manifestation de l'expansionnisme musulman ou plutôt un mode
Quand bien même il a été le théâtre de violence terroriste dans les années 70 impulsée par différents groupuscules comme la bande à Baader, le FLB, Action Directe, la Brigade Rouge, le FNLC, l'IRA, il n'en demeure pas moins qu'avec la forte poussée migratoire musulmane il est passé du stade du terrorisme que l'on peut qualifier de soubresaut à un terrorisme structurel autrement beaucoup plus lourd en termes de victimes et aux effets incommensurables à tous les niveaux psychologique, humain, politique, culturel et civilisationnel.
Plutôt que de durcir le ton avec les musulmans et de leur faire comprendre que jamais cette terre ne sera un nouveau Liban il s'emploie à banaliser le terrorisme et préparer psychologiquement ses populations à composer avec comme s'il était devenu une sorte de fatalité, une métastase incurable contre laquelle il n'existe aucun remède possible pour l'éradiquer.
Pire encore, il se fait l'avocat de ses assaillants allant même jusqu'à condamner ses propres enfants qui mettent leur vie en péril pour avertir leurs concitoyens sur la haute toxicité du péril musulman.
Aucun gouvernement occidental n'a eu le courage de lier terrorisme et islam qui sont les deux faces d'un même miroir.
Plus l'islam sort de l'ombre et plus le poids du terrorisme se fait pesant dans le quotidien des citoyens occidentaux.
Leur vie a changé en tout et dans tout. Ils doivent apprendre à intégrer dans leur comportement la menace terroriste qui peut se manifester dans leurs déplacements, leurs lieux de travail et de loisirs, leurs chez eux.
Ils ne sont plus en sécurité nulle part alors qu'au temps où les musulmans étaient quasi invisibles ils n'avaient rien à craindre pour la sécurité dont ils se préoccupaient comme de leur première guigne.
Ils sont passés d'hommes libres à des hommes en liberté surveillée si ce n'est des condamnés à mort en sursis.
Le terrorisme musulman est étroitement corrélé à la progression de l'islam en Occident au cours de 35 dernières années.
En effet, il progresse au même rythme que la progression de la population musulmane régulière et clandestine dans cette région du monde.
Quand bien même le fléau terroriste est loin de lui être spécifique et n'épargne aucun pays au monde, on peut difficilement ignorer le lien de cause à effet entre les deux variables.
Que le terrorisme soit le visage du phénomène de radicalisation qui n'est en réalité que le retour toute voile dehors à l'islam des sources cela est évident mais ce que l'on ne saurait nier est que l'Occident est devenu une cible à abattre pour l'islam fondamentaliste qui est en train de conquérir des pans entiers de ses territoires et se faire de plus en plus visible à travers la prolifération inquiétante des mosquées-casernes, l'explosion exponentielle du port du voile et le commerce halal.
Tout se passe comme si les attentats terroristes sont une manifestation de l'expansionnisme musulman ou plutôt un mode
Quand bien même il a été le théâtre de violence terroriste dans les années 70 impulsée par différents groupuscules comme la bande à Baader, le FLB, Action Directe, la Brigade Rouge, le FNLC, l'IRA, il n'en demeure pas moins qu'avec la forte poussée migratoire musulmane il est passé du stade du terrorisme que l'on peut qualifier de soubresaut à un terrorisme structurel autrement beaucoup plus lourd en termes de victimes et aux effets incommensurables à tous les niveaux psychologique, humain, politique, culturel et civilisationnel.
Plutôt que de durcir le ton avec les musulmans et de leur faire comprendre que jamais cette terre ne sera un nouveau Liban il s'emploie à banaliser le terrorisme et préparer psychologiquement ses populations à composer avec comme s'il était devenu une sorte de fatalité, une métastase incurable contre laquelle il n'existe aucun remède possible pour l'éradiquer.
Pire encore, il se fait l'avocat de ses assaillants allant même jusqu'à condamner ses propres enfants qui mettent leur vie en péril pour avertir leurs concitoyens sur la haute toxicité du péril musulman.
Aucun gouvernement occidental n'a eu le courage de lier terrorisme et islam qui sont les deux faces d'un même miroir.
Plus l'islam sort de l'ombre et plus le poids du terrorisme se fait pesant dans le quotidien des citoyens occidentaux.
Leur vie a changé en tout et dans tout. Ils doivent apprendre à intégrer dans leur comportement la menace terroriste qui peut se manifester dans leurs déplacements, leurs lieux de travail et de loisirs, leurs chez eux.
Ils ne sont plus en sécurité nulle part alors qu'au temps où les musulmans étaient quasi invisibles ils n'avaient rien à craindre pour la sécurité dont ils se préoccupaient comme de leur première guigne.
Ils sont passés d'hommes libres à des hommes en liberté surveillée si ce n'est des condamnés à mort en sursis.
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Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 08 nov.17, 00:41Le Goebbels nazislamiste Tarek Ramadan renvoyé d’Oxford
07/11/2017 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Le Goebbels nazislamiste Tarek Ramadan vient d’être renvoyé à ses chères études par l’Université d’Oxford qui vient enfin de redorer son blason tellement terni par la présence en son sein de cet individu.
En effet, la prestigieuse université anglaise s’est quelque peu rachetée en prenant une décision de bon sens après l’avoir recruté comme professeur d’islamologie, comme si l’islam pouvait être une science fondamentale, en contre-partie de l’argent pourri du Qatar cet Emirat-voyou-bailleur de fonds du terrorisme musulman qui passe pour être le plus grand corrupteur de la planète.
Espérons que sa disgrâce est le début de la fin du Qatar.
07/11/2017 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Le Goebbels nazislamiste Tarek Ramadan vient d’être renvoyé à ses chères études par l’Université d’Oxford qui vient enfin de redorer son blason tellement terni par la présence en son sein de cet individu.
En effet, la prestigieuse université anglaise s’est quelque peu rachetée en prenant une décision de bon sens après l’avoir recruté comme professeur d’islamologie, comme si l’islam pouvait être une science fondamentale, en contre-partie de l’argent pourri du Qatar cet Emirat-voyou-bailleur de fonds du terrorisme musulman qui passe pour être le plus grand corrupteur de la planète.
Espérons que sa disgrâce est le début de la fin du Qatar.
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Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 10 nov.17, 05:04Tarek Ramadhan devrait répondre de l’héritage de son grand-père dont il est si fier par Salem Ben Ammar
Tarek Ramadhan peut-il être explicitement contre la violence terroriste et appeler au respect du vivre ensemble et de la démocratie alors qu'il clame que son grand-père Hassan al-Banna, le fondateur la plus grande organisation terroriste de tous les temps, est l'homme qui a façonné sa pensée ?
Une pensée qui aurait pourtant valu à d'autres des procès en cascade pour apologie du nazisme dans le sens où ce triste aïeul était un partisan déclaré d'Adolphe Hitler.
Son idéalisation maladive de son grand-père lui a-t-il fait oublier une autre réalité plus actuelle qu'est le terrorisme musulman dont les auteurs sont majoritairement issus de la Confrérie nazislamiste des Frères criminels musulmans ?
http://precaution.ch/wp/?p=166
Les islamistes qui sont tout aussi fiers que lui de se revendiquer de cet héritage doctrinaire ont au moins la franchise d'avancer à visage découvert et de ne pas se faire passer pour l'islamiste complet-cravate sur les plateaux de télévision.
Un personnage insaisissable et difficile à cerner, tant il a l'art de changer de partitions langagières et d'attitudes au gré de ses interlocuteurs, de dire aux uns, généralement les non-musulmans, ce qu'il veut leur faire croire et se faire passer à leurs yeux comme le gendre idéal, la takkiyia de mise, et aux autres, les musulmans assoiffés de revanche et ruminant leur rancœur contre l'Occident, où il est lui-même et n'a donc plus besoin de porter un masque, il se doit de leur livrer le vrai fond de sa pensée pour exalter leurs sentiments communautaires et religieux. L'ange et le démon. Une sorte de Dr Jekill et Mister Hyde.
Il est étonnant que cet homme puisse bénéficier d'autant d'impunité et d'audience médiatique malgré sa parenté idéologique affichée avec son grand-père. Jamais il n'a été interpellé publiquement sur cet héritage très lourd pourtant à porter et qui ne semble susciter l'indignation de personne. Comme si l'on se réjouissait de le voir brandir ce legs immonde en trophée. De tous les héritiers proclamés, il devrait être celui qui ne devrait mis en quarantaine car comme si l'on donnait la parole à travers lui à cet aïeul fervent admirateur du Mufti nazislamite de Jérusalem, al-Husseini? d'Hitler et de Mussolini,dont le nom devrait figurer dans le musée des pires ennemis du genre humain.
C'est à lui de lever l'ambiguïté sur ses accointances politiques et idéologiques de ce grand-père.
Tant qu'il s'inscrit dans sa continuité tous les doutes sont permis quand à ses propres soubassements idéologiques qui seraient loin d'être frappés du sceau de la démocratie et de l'humanisme.
Il est difficile de croire qu'il œuvre pour la paix et la concorde entre les hommes tant qu'il reste attaché à la pensée nazislamiste de son grand-père.
Il n'est pas sa créature il est le dépositaire de sa marque.
Tarek Ramadhan peut-il être explicitement contre la violence terroriste et appeler au respect du vivre ensemble et de la démocratie alors qu'il clame que son grand-père Hassan al-Banna, le fondateur la plus grande organisation terroriste de tous les temps, est l'homme qui a façonné sa pensée ?
Une pensée qui aurait pourtant valu à d'autres des procès en cascade pour apologie du nazisme dans le sens où ce triste aïeul était un partisan déclaré d'Adolphe Hitler.
Son idéalisation maladive de son grand-père lui a-t-il fait oublier une autre réalité plus actuelle qu'est le terrorisme musulman dont les auteurs sont majoritairement issus de la Confrérie nazislamiste des Frères criminels musulmans ?
http://precaution.ch/wp/?p=166
Les islamistes qui sont tout aussi fiers que lui de se revendiquer de cet héritage doctrinaire ont au moins la franchise d'avancer à visage découvert et de ne pas se faire passer pour l'islamiste complet-cravate sur les plateaux de télévision.
Un personnage insaisissable et difficile à cerner, tant il a l'art de changer de partitions langagières et d'attitudes au gré de ses interlocuteurs, de dire aux uns, généralement les non-musulmans, ce qu'il veut leur faire croire et se faire passer à leurs yeux comme le gendre idéal, la takkiyia de mise, et aux autres, les musulmans assoiffés de revanche et ruminant leur rancœur contre l'Occident, où il est lui-même et n'a donc plus besoin de porter un masque, il se doit de leur livrer le vrai fond de sa pensée pour exalter leurs sentiments communautaires et religieux. L'ange et le démon. Une sorte de Dr Jekill et Mister Hyde.
Il est étonnant que cet homme puisse bénéficier d'autant d'impunité et d'audience médiatique malgré sa parenté idéologique affichée avec son grand-père. Jamais il n'a été interpellé publiquement sur cet héritage très lourd pourtant à porter et qui ne semble susciter l'indignation de personne. Comme si l'on se réjouissait de le voir brandir ce legs immonde en trophée. De tous les héritiers proclamés, il devrait être celui qui ne devrait mis en quarantaine car comme si l'on donnait la parole à travers lui à cet aïeul fervent admirateur du Mufti nazislamite de Jérusalem, al-Husseini? d'Hitler et de Mussolini,dont le nom devrait figurer dans le musée des pires ennemis du genre humain.
C'est à lui de lever l'ambiguïté sur ses accointances politiques et idéologiques de ce grand-père.
Tant qu'il s'inscrit dans sa continuité tous les doutes sont permis quand à ses propres soubassements idéologiques qui seraient loin d'être frappés du sceau de la démocratie et de l'humanisme.
Il est difficile de croire qu'il œuvre pour la paix et la concorde entre les hommes tant qu'il reste attaché à la pensée nazislamiste de son grand-père.
Il n'est pas sa créature il est le dépositaire de sa marque.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 12 nov.17, 05:27Le mythe de l’islam du contexte
18/09/2017 Salem Ben Ammar 4 commentaires
On a pas le droit de dire des vacheries sur l’islam. Alors qu’il s’autorise tous les droits de dire les pires vacheries sur les non-musulmans.
Jamais un dogme religieux ou politique n’a atteint des tels sommets de la haine de l’autre.
L’islam d’hier est l’islam d’aujourd’hui et l’islam de demain jusqu’à la fin des temps. Il se veut intemporel et inoxydable. Juste pour tordre le coup au principe de contextualisation de son enseignement.
La judeohobie n’a par exemple varié d’un iota depuis l’époque de Mahomet. L’islam est toujours fidèle à son texte d’origine.
Chercher à le sortir du texte c’est lui tout simplement vouloir le réformer.
Or, un islam réformé n’est plus l’islam. Il perd sa moelle et sa substance. Vérité d’un jour vérité pour toujours. Telle est la loi de l’islam.
On s’y accommode ou on y renonce. Il n’y a pas une autre voie possible. Personnaliser sa relation à l’islam c’est l’altérer, sorir violer sa loi et donc l’apostasier.
Un musulman est celui qui doit appliquer la Sunna mahométane dans toute sa rigueur et ses exigences, Ce que Mahomet a dit et fait, il doit en prendre acte et le mettre en oeuvre.
Nulle part dans le Coran il est écrit que les musulmans peuvent faire jouer leur clause de conscience pour des raisons qui les rébutent.
Allah décide et le musulman exécute. Ce qui lui paraît être un mal s’avère être un bien pour lui. Car c’est Allah qui l’a choisi pour lui.
La loi de l’islam ne change pas, c’est le monde qui doit changer pour elle.
Ce sont les musulmans qui doivent changer de mode de comportement et jamais la loi de l’islam dans le cas de figure où ils se trouvent en minorité dans des contrées non-musulmanes, dar al-harb, pour tromper la vigilance des infidèles en leur donnant l’impression que l’islam et de ne rien laisser transparaître de la vraie vérité de sa loi. Jouer à l’illusionniste pour les enfumer jusqu’au jour où ils seront en force pour leur révéler la vraie nature de la loi de l’islam.
Attendre d’être en position de force pour dégainer l’épée ou plutôt faire parler la poudre et semer l’effroi dans leurs cœurs.
Le contexte chez eux est l’attitude à avoir selon les circonstances.
Le texte est toujours de mise et la vérité de l’islam n’est pas reléguée dans la remise.
18/09/2017 Salem Ben Ammar 4 commentaires
On a pas le droit de dire des vacheries sur l’islam. Alors qu’il s’autorise tous les droits de dire les pires vacheries sur les non-musulmans.
Jamais un dogme religieux ou politique n’a atteint des tels sommets de la haine de l’autre.
L’islam d’hier est l’islam d’aujourd’hui et l’islam de demain jusqu’à la fin des temps. Il se veut intemporel et inoxydable. Juste pour tordre le coup au principe de contextualisation de son enseignement.
La judeohobie n’a par exemple varié d’un iota depuis l’époque de Mahomet. L’islam est toujours fidèle à son texte d’origine.
Chercher à le sortir du texte c’est lui tout simplement vouloir le réformer.
Or, un islam réformé n’est plus l’islam. Il perd sa moelle et sa substance. Vérité d’un jour vérité pour toujours. Telle est la loi de l’islam.
On s’y accommode ou on y renonce. Il n’y a pas une autre voie possible. Personnaliser sa relation à l’islam c’est l’altérer, sorir violer sa loi et donc l’apostasier.
Un musulman est celui qui doit appliquer la Sunna mahométane dans toute sa rigueur et ses exigences, Ce que Mahomet a dit et fait, il doit en prendre acte et le mettre en oeuvre.
Nulle part dans le Coran il est écrit que les musulmans peuvent faire jouer leur clause de conscience pour des raisons qui les rébutent.
Allah décide et le musulman exécute. Ce qui lui paraît être un mal s’avère être un bien pour lui. Car c’est Allah qui l’a choisi pour lui.
La loi de l’islam ne change pas, c’est le monde qui doit changer pour elle.
Ce sont les musulmans qui doivent changer de mode de comportement et jamais la loi de l’islam dans le cas de figure où ils se trouvent en minorité dans des contrées non-musulmanes, dar al-harb, pour tromper la vigilance des infidèles en leur donnant l’impression que l’islam et de ne rien laisser transparaître de la vraie vérité de sa loi. Jouer à l’illusionniste pour les enfumer jusqu’au jour où ils seront en force pour leur révéler la vraie nature de la loi de l’islam.
Attendre d’être en position de force pour dégainer l’épée ou plutôt faire parler la poudre et semer l’effroi dans leurs cœurs.
Le contexte chez eux est l’attitude à avoir selon les circonstances.
Le texte est toujours de mise et la vérité de l’islam n’est pas reléguée dans la remise.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 14 nov.17, 01:18Quand Tarek Ramadhan se faisait le promoteur de l’islamisme en Tunisie au profit de la secte nazislamiste d’Ennahadha
31/10/2017 Salem Ben Ammar Un commentaire
Au lieu d’ergoter sur le visage de toutes ces visites qui pour les partisans d’Ennahdha
s’inscrivent dans le jeu démocratique tunisien actuel, comme si l’islamisme est compatible avec la démocratie, il faut lever le voile sur ces visites et qu’est ce qu’elles dissimulent réellement.
Quelle est leur face cachée ? Quelle visibilité cherchent-elles à donner à l’idéologie islamiste telle que la banalise Tarek Ramadhan, futur hôte de la secte mafieuse d’Enahdha ?
Avec cette visite qui clôt une véritable caravane du tour de la Tunisie des agents des ténèbres islamistes on se doit de s’inquiéter et s’interroger sur le vrai sens de la visite de l’orfèvre en fourberie
intellectuelle, le chantre de l’islamisme moderne, adepte du poly-langage, celui qui n’a jamais condamné les attentats du 11 septembre, négationniste des révolutions du printemps arabe, descendant du sinistre fondateur de la confrérie des Frères Musulmans connu pour ses
affinités nazies et sa haine du Juif ?
En sa qualité d’héritier congénital et spirituel de cet inhumaniste notoire, sa visite ne peut être dénuée de fondement idéologique. Vouloir les assimiler à des simples visites de courtoisie, voire une tournée d’artistes égyptiens ou autres, c’est nier leur caractère hautement attentatoire
à l’identité tunisienne et à la dignité humaine du peuple tunisien. Assimiler ces visites à des simples concerts musicaux, c’est oublier une chose fondamentale, c’est faire fi du prosélytisme
agressif inhérent auxdites visites. Le plus grave est qu’elles visent à baliser le terrain à la théocratie wahhabite.
Elles constituent une violation flagrante de la souveraineté nationale.
Quand le boucher du Caire,le clone égyptien du tristement célèbre boucher de Mauthausen, exhorte les tunisiens à adopter la loi scélérate, féminicide, liberticide et barbare de la Charia afin de servir d’exemple pour les pays frères, son appel est caractéristique d’un délit d’ingérence dans les affaires d’un Etat souverain.
%ais cela ne semble guère susciter le moindre émoi chez les autorités tunisiennes de transition dont la mission est de préparer le terrain à la prise de pouvoir par la voie la plus démocratique possible à la secte infecte d’Ennahdha. Freiner la propagande islamiste dans son envol risquerait fort de leur attirer les foudres des bailleurs de fonds wahhabo-islamistes d’Ennahdha.
En réalité, toutes ces visites font partie d’un vaste programme de propagande idéologique initié, conçu, organisé financé par les wahhabites.
Ces prédicateurs médiatisés par la chaîne de la télé propagande wahhabites dont ils sont de surcroît salariés, aux visages multiformes du plus effrayant au plus avenant, tel que celui de l’héritier de l’adorateur d’Hitler, sont tout simplement en service commandé, ils sont tels ces mercenaires et snipers dont tous les despotes du monde sont férus pour mâter leurs peuples.
Dans le contexte tunisien, ils opèrent comme des véritables VRP de l’idéologie wahhabite à laquelle adhère la secte d’Ennahdha en vue d’apprivoiser la masse tunisienne.
Ils sont là pour promouvoir les valeurs rétrogrades du wahhabisme et battre la campagne pour Ennahdha et préparer la naissance imminente de futur Emirat de la Tunisie dont le vendu et terroriste Ghannouchi en sera l’Emir et son félon de gendre en sera le Grand Vizir.
Les partis tunisiens qui ont raté le rendez-vous de l’Assemblée Constituante à cause de leur apathie, vont de nouveau rater la marche de l’histoire celle qui pourra sauver la Tunisie de la barbarie wahhabite. Ennahdha est en pleine campagne deprosélytisme idéologique annonciateur de l’Oumma islamique.
Elle n’a pas besoin d’attendre le démarrage de la campagne officielle parce qu’elle est au-dessus des lois républicaines qu’elle va immanquablement abolir au nom de l’essence divine de ses édits.
Que Tarek Ramadhan ou le boucher du Caire fasse l’apologie de l’islamisme dans toutes ses variantes, ils sont aux ordres de leurs commanditaires de Doha et de Djeddah. Ils n’ont pas à respecter les lois tunisiennes parce qu’ils sont dans une logique oummienne, on est frères musulmans, ni tunisiens, ni algériens, ni égyptiens, les frontières nationales s’effacent devant la loi divine. Par conséquent, ils sont chez eux, ils peuvent s’ingérer dans les affaires
tunisiennes en toute souveraineté.
L’escogriffe de Jebali n’a pas fait mystère pourtant des desseins d’Ennahdha pour la Tunisie et les tunisiens continuent à l’occulter.
Ni constitution, ni démocratie, ni république, ni droits fondamentaux, ce sera la théocratie et
rien d’autre et Tarek Ramadhan, expert en manipulation mentale saura vous faire passer le message et vous envoûter par son charme diabolique.
Dr Salem Ben Ammar
31/10/2017 Salem Ben Ammar Un commentaire
Au lieu d’ergoter sur le visage de toutes ces visites qui pour les partisans d’Ennahdha
s’inscrivent dans le jeu démocratique tunisien actuel, comme si l’islamisme est compatible avec la démocratie, il faut lever le voile sur ces visites et qu’est ce qu’elles dissimulent réellement.
Quelle est leur face cachée ? Quelle visibilité cherchent-elles à donner à l’idéologie islamiste telle que la banalise Tarek Ramadhan, futur hôte de la secte mafieuse d’Enahdha ?
Avec cette visite qui clôt une véritable caravane du tour de la Tunisie des agents des ténèbres islamistes on se doit de s’inquiéter et s’interroger sur le vrai sens de la visite de l’orfèvre en fourberie
intellectuelle, le chantre de l’islamisme moderne, adepte du poly-langage, celui qui n’a jamais condamné les attentats du 11 septembre, négationniste des révolutions du printemps arabe, descendant du sinistre fondateur de la confrérie des Frères Musulmans connu pour ses
affinités nazies et sa haine du Juif ?
En sa qualité d’héritier congénital et spirituel de cet inhumaniste notoire, sa visite ne peut être dénuée de fondement idéologique. Vouloir les assimiler à des simples visites de courtoisie, voire une tournée d’artistes égyptiens ou autres, c’est nier leur caractère hautement attentatoire
à l’identité tunisienne et à la dignité humaine du peuple tunisien. Assimiler ces visites à des simples concerts musicaux, c’est oublier une chose fondamentale, c’est faire fi du prosélytisme
agressif inhérent auxdites visites. Le plus grave est qu’elles visent à baliser le terrain à la théocratie wahhabite.
Elles constituent une violation flagrante de la souveraineté nationale.
Quand le boucher du Caire,le clone égyptien du tristement célèbre boucher de Mauthausen, exhorte les tunisiens à adopter la loi scélérate, féminicide, liberticide et barbare de la Charia afin de servir d’exemple pour les pays frères, son appel est caractéristique d’un délit d’ingérence dans les affaires d’un Etat souverain.
%ais cela ne semble guère susciter le moindre émoi chez les autorités tunisiennes de transition dont la mission est de préparer le terrain à la prise de pouvoir par la voie la plus démocratique possible à la secte infecte d’Ennahdha. Freiner la propagande islamiste dans son envol risquerait fort de leur attirer les foudres des bailleurs de fonds wahhabo-islamistes d’Ennahdha.
En réalité, toutes ces visites font partie d’un vaste programme de propagande idéologique initié, conçu, organisé financé par les wahhabites.
Ces prédicateurs médiatisés par la chaîne de la télé propagande wahhabites dont ils sont de surcroît salariés, aux visages multiformes du plus effrayant au plus avenant, tel que celui de l’héritier de l’adorateur d’Hitler, sont tout simplement en service commandé, ils sont tels ces mercenaires et snipers dont tous les despotes du monde sont férus pour mâter leurs peuples.
Dans le contexte tunisien, ils opèrent comme des véritables VRP de l’idéologie wahhabite à laquelle adhère la secte d’Ennahdha en vue d’apprivoiser la masse tunisienne.
Ils sont là pour promouvoir les valeurs rétrogrades du wahhabisme et battre la campagne pour Ennahdha et préparer la naissance imminente de futur Emirat de la Tunisie dont le vendu et terroriste Ghannouchi en sera l’Emir et son félon de gendre en sera le Grand Vizir.
Les partis tunisiens qui ont raté le rendez-vous de l’Assemblée Constituante à cause de leur apathie, vont de nouveau rater la marche de l’histoire celle qui pourra sauver la Tunisie de la barbarie wahhabite. Ennahdha est en pleine campagne deprosélytisme idéologique annonciateur de l’Oumma islamique.
Elle n’a pas besoin d’attendre le démarrage de la campagne officielle parce qu’elle est au-dessus des lois républicaines qu’elle va immanquablement abolir au nom de l’essence divine de ses édits.
Que Tarek Ramadhan ou le boucher du Caire fasse l’apologie de l’islamisme dans toutes ses variantes, ils sont aux ordres de leurs commanditaires de Doha et de Djeddah. Ils n’ont pas à respecter les lois tunisiennes parce qu’ils sont dans une logique oummienne, on est frères musulmans, ni tunisiens, ni algériens, ni égyptiens, les frontières nationales s’effacent devant la loi divine. Par conséquent, ils sont chez eux, ils peuvent s’ingérer dans les affaires
tunisiennes en toute souveraineté.
L’escogriffe de Jebali n’a pas fait mystère pourtant des desseins d’Ennahdha pour la Tunisie et les tunisiens continuent à l’occulter.
Ni constitution, ni démocratie, ni république, ni droits fondamentaux, ce sera la théocratie et
rien d’autre et Tarek Ramadhan, expert en manipulation mentale saura vous faire passer le message et vous envoûter par son charme diabolique.
Dr Salem Ben Ammar
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 16 nov.17, 04:23Il n’y a pas plus de différence entre le voile islamique que la croix gammée nazie
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Le port du voile partiel ou intégral pour la femme musulmane est la marque de l’infamie, son étoile jaune
23 décembre 2011, 17:56
Quelle est la différence entre une voilée intégrale ou partielle et une non-voilée ? La première vit dans le monde des ténèbres et la deuxième nous éclaire par sa lumière ?
L’une est la laideur incarnée et l’autre est la beauté au grand jour. Quand on se voile, on cherche à cacher son vice et son esprit retors et quand on se dévoile c’est qu’on a rien à dissimuler du regard d’autrui.
Quand à ce schizophrène paranoïde de Marzougui, le bouffon du palais, il doit savoir lui en tant que sujet doublement concerné de par son métier et de son état psychique pathologique, que le voile ne voile pas les fantasmes, ni les pulsions, les attirances sexuelles pour le sexe opposé, ou les désirs et qu’il est surtout symptomatique de l’état de la perversion mentale et sexuelle de la pauvre femme ainsi qu’une manifestation ostentatoire de ses graves troubles identitaires.
Elle exhibe sa double soumission à Dieu et à l’homme. Il est aussi l’expression de sa phobie d’assumer sa féminité, de sa peur de sa propre image et de sa dignité humaine.
Elle se cache d’elle-même, en se dissimulant derrière un linceul noir ou gris le même dans lequel elle sera enveloppée à sa mort et que son époux pourrait lui ôter pour assouvir son appétit sexuel insatiable.
Selon une Fatwa nécrophile wahhabite, un musulman sunnite pourrait jouir du corps sans vie de sa femme jusqu’à 6 heures après son décès. Le seul voile qui la protège son prédateur-profanateur est la pierre tombale.
Autant se dévoiler de son vivant que de se faire violer après sa mort. Femme voilée, femme violée comme le dit Gisèle Halimi et ceci est d’autant plus vrai qu’elle n’est pas maîtresse de son corps qui est assimilé à un champs de labour où il peut y aller à sa guise et par conséquent contre la volonté de sa femme.
N’est-il pas dit que les anges maudissent la femme qui se refuse à son mari ? Est-ce statut de simple objet sexuel qu’elle affiche à travers le port du voile, de corps sans vie, d’une nymphomane halal qui n’assume pas ses perversions sexuelles ou d’une femme victime de rapports sexuels non-consentis, mais sacralisés et rendus légitimes par la religion musulmane elle-même qui ne reconnaît pas le viol conjugal ? Une condition féminine réduite à la simple fonction de maternité. Est-cela ce que le voile veut exprimer comme témoignage afin de permettre à la femme-mère, à l’exclusion des autres, sous les pieds desquels ruissellent les eaux du paradis ?
Qu’elle le veuille ou non, le voile renvoie à l’état d’avilissement de la femme et de ses conditions de vie dégradantes et humiliantes. De sa relégation, de son exclusion et de son état d’infériorité dogmatique à l’homme. Elle est cette chose que l’homme doit cacher de la vue de l’homme.
Le voile marque surtout sa dépersonnalisation et de sa dissolution dans une culture ultra machiste et phallocrate, irrévérencieuse pour les femmes. Faire du voile partiel ou intégral un symbole de liberté, c’est comme si on fait de l’Islam ou de toute autre religion un symbole d’épanouissement humain et d’affirmation de soi. *
Une femme ne peut pas être libre quand elle se cache de son ombre, et quand elle vit en périphérie de son groupe social. Marginalisée et avilie. Le voile ne signifie rien d’autre que le degré de rabaissement de la femme. Il est à la fois sa prison mentale et sa incarcération sociale.
Le voile lui permet de camoufler sa souffrance, de la dissimuler du regard étranger, son mal-être et sa misère psycho-affective. Une femme voilée se ment à elle-même en laissant croire que c’est une forme de liberté. La vraie liberté n’est pas dans le port du voile, elle est dans sa rupture avec l’atavisme culturel et religieux qui l’enserre et qu’elle porte comme le Christ sur le Chemin de la Croix. On ne fait pas pas du fardeau du poids oppressant et aliénant de la tradition une source de liberté. Faire de la tradition un facteur d’émancipation féminine autant rétablir l’esclavage et le servage dans nos usines pour faire un modèle d’organisation du travail.
Quant à en faire un symbole de vertu, autant conjuguer la vertu avec l’âme noire des terroristes qui pullulent dans les sociétés musulmanes. Il symbolise la réaction et le refus du progrès.
Le voile ne fait pas la musulmane non plus comme son non port. On ne juge pas les femmes à l’aune de leur accoutrement vestimentaire, on les juges sur leur capacité de mener un combat digne pour leur liberté.
Une liberté où l’on a pas peur de soi où l’on avance à visage découvert pour affronter les regards des hommes qui font de la somission de la femme et de sa relégation un code de vie en société.
Etre libre, c’est être capable d’assumer sa féminité et en faire rempart contre l’expropriation du corps de la femme et sa marchaandisation à des fins mercantiles et religieuses, djihad du Nikah.
Associer le port du voile à la liberté c’est faire fi des contraintes culurelles fortement imprégnées par le fait religieux qui font obligation à la femme de se soustraire du regard de mâle-dominateur-prédateur.
Dans la culture hyper machiste musulmane et segrégationniste son port est assimilé à une sorte d’uniforme de travail protecteur qui immunise la femme contre les accidents, autrement dit les agressions sexuelles auxquelles elle s’exposerait si elle se garde de le porter.
Comme si la femme voilée n’était pas victime de viol. Le port du voile n’est aucunement un filet protecteur ou une ceinture de chasteté, et encore moins un signe de rupture avec les traditions aliénatrices, oppressantes et culpabilisantes de la femme, propriété absolue de son groupe social d’appartenance.
Une femme qui se dit et se veut libre ne peut aliéner sa soi-disant liberté en marquant ostentatoirement son allégeance au pouvoir absolu de l’homme sur sa vie.
Les sociétés les plus iberticides du monde musulman que sont l’Arabie Saoudite, Oman, Afghanistan sont celles dont les cités ressemblent à un théâtre d’ombres chinoises. Beaucoup d’autres sont en train de s’inscrire dans leur sillage et qui connaissent justement un fort recul des libertés les plus élémentaires qui se traduisent par une explosion exeponentielle du port de voile.
Là où le sacré bigot fait son grand retour, le voile prolifère. La corrélation entre les deux est réelle et doit intepeller ces femmes qui prétendent faire de leur univers carcéral un hymne à la liberté.
En dévoyant la liberté pour ne pas transgresser les normes culturelles, elles s’insultent elles-mêmes et se font complices de leurs bourreaux.
Il n’y a pas de liberté quand son corps est entravé par les chaînes des traditions, la seule liberté est dans la résilience et l’affirmation de soi. A-t-on besoin d’exhiber sa vertu morale si on a pasquelque part des soucis avec la morale elle-même ? En quoi est-ce vertueux quand des femmes musulmanes voilées s’adonnent à la prostitution à des fins religieuses ? N’est-il pas primordial pour ces femmes d’avoir des rapports sexuels protégés plutôt que de protéger leur visage du regard de l’homme ?
Avec la femme voilée l’insignifiant devient signifié et vice-versa, contrairement à la femme non-voilée est une femme assumée, qui n’a pas peur de son ombre, une femme de rupture avec le carcan religieux et libre et une voilée est une femme à l’identité violée.
Le voile ne fait pas la voie de la félicité et son non-port le chemin de l’enfer. Plus on a peur de soi et de son environnement étouffant et archaïque plus on a tendance de se cacher de soi-même et de vouloir paraître ce qu’on est pas.
Ce pauvre psychopathe insignifiant et à la laideur physique qui ferait peur à Frankenstein en personne s’il est devenu aujourd’hui ce qu’il n’aurait jamais dû être même dans ses délires psychotiques les plus aigus ce n’est pas ces femmes sans âme et dépourvues de personnalité qui sont sorties dans les rues de la Tunisie pour braver avec courage, détermination et dignité les balles de Ben Ali, ce sont les safirates tant honnies par lui. Ces femmes n’ont pas voilé leur dignité et ne la voileront jamais et dire qu’elles sont elles aujourd’hui qu’on a mis à l’index et on vitupère et qu’on a écarté de la vie politique du pays et ce sont les femmes qui portent le voile de l’indignité qui ont les honneurs du pays.
La révolution tunisienne n’a pas été faite contre l’honneur des non-voilées et encore moins pour celles qui la déshonorent aujourd’hui en faisant la lie des barbus et font fi de leur dignité.
Quand une société est minée par l’intégrisme de l’esprit, où la religion est elle-même victime, c’est un signe qui est révélateur de l’état de la pathologie mentale de cette société. Ce n’est par hasard que les sectes dans le monde musulman se font aujourd’hui leur chou gras du mal-être des populations frustes. La ferveur religieuse n’a pas gagné du terrain, c’est la maladie mentale qui prolifère et qui ravage le corps social et humain.
Quel crédit peux-t-on donner à une masse fruste qui confond bulletin de vote et ticket de train pour le paradis ? Comme si le train du paradis pouvait exister! Quel crédit peux-t-on aussi donner à de propos émanant d’un sujet psychopathe qui fait partie de ces 50% d’hommes tunisiens répertoriés comme tel par l’O.M.S. outre ce malade qui a longtemps voilé sa nature neurodégénérative a fini par la dévoiler. Il a une peur phobique de regarder son visage qui se reflète sur le visage clair lumineux de la femme non-voilée.
En conclusion, le voile quelle que soit sa forme, marque surtout le statut de l’infamie et de l’ignominie dont jouit la femme dans les sociétés musulmanes, comparables à celui du juif sous le gouvernement de Pétain.
Souhaitons surtout qu’il ne soit pas le signe avant-coureur d’un autre statut inhumain que le nazisme a infligé au Juif et à tous ceux qui n’avaient pas de marqueur génétique ou idéologique hitlérien.
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
Le port du voile partiel ou intégral pour la femme musulmane est la marque de l’infamie, son étoile jaune
23 décembre 2011, 17:56
Quelle est la différence entre une voilée intégrale ou partielle et une non-voilée ? La première vit dans le monde des ténèbres et la deuxième nous éclaire par sa lumière ?
L’une est la laideur incarnée et l’autre est la beauté au grand jour. Quand on se voile, on cherche à cacher son vice et son esprit retors et quand on se dévoile c’est qu’on a rien à dissimuler du regard d’autrui.
Quand à ce schizophrène paranoïde de Marzougui, le bouffon du palais, il doit savoir lui en tant que sujet doublement concerné de par son métier et de son état psychique pathologique, que le voile ne voile pas les fantasmes, ni les pulsions, les attirances sexuelles pour le sexe opposé, ou les désirs et qu’il est surtout symptomatique de l’état de la perversion mentale et sexuelle de la pauvre femme ainsi qu’une manifestation ostentatoire de ses graves troubles identitaires.
Elle exhibe sa double soumission à Dieu et à l’homme. Il est aussi l’expression de sa phobie d’assumer sa féminité, de sa peur de sa propre image et de sa dignité humaine.
Elle se cache d’elle-même, en se dissimulant derrière un linceul noir ou gris le même dans lequel elle sera enveloppée à sa mort et que son époux pourrait lui ôter pour assouvir son appétit sexuel insatiable.
Selon une Fatwa nécrophile wahhabite, un musulman sunnite pourrait jouir du corps sans vie de sa femme jusqu’à 6 heures après son décès. Le seul voile qui la protège son prédateur-profanateur est la pierre tombale.
Autant se dévoiler de son vivant que de se faire violer après sa mort. Femme voilée, femme violée comme le dit Gisèle Halimi et ceci est d’autant plus vrai qu’elle n’est pas maîtresse de son corps qui est assimilé à un champs de labour où il peut y aller à sa guise et par conséquent contre la volonté de sa femme.
N’est-il pas dit que les anges maudissent la femme qui se refuse à son mari ? Est-ce statut de simple objet sexuel qu’elle affiche à travers le port du voile, de corps sans vie, d’une nymphomane halal qui n’assume pas ses perversions sexuelles ou d’une femme victime de rapports sexuels non-consentis, mais sacralisés et rendus légitimes par la religion musulmane elle-même qui ne reconnaît pas le viol conjugal ? Une condition féminine réduite à la simple fonction de maternité. Est-cela ce que le voile veut exprimer comme témoignage afin de permettre à la femme-mère, à l’exclusion des autres, sous les pieds desquels ruissellent les eaux du paradis ?
Qu’elle le veuille ou non, le voile renvoie à l’état d’avilissement de la femme et de ses conditions de vie dégradantes et humiliantes. De sa relégation, de son exclusion et de son état d’infériorité dogmatique à l’homme. Elle est cette chose que l’homme doit cacher de la vue de l’homme.
Le voile marque surtout sa dépersonnalisation et de sa dissolution dans une culture ultra machiste et phallocrate, irrévérencieuse pour les femmes. Faire du voile partiel ou intégral un symbole de liberté, c’est comme si on fait de l’Islam ou de toute autre religion un symbole d’épanouissement humain et d’affirmation de soi. *
Une femme ne peut pas être libre quand elle se cache de son ombre, et quand elle vit en périphérie de son groupe social. Marginalisée et avilie. Le voile ne signifie rien d’autre que le degré de rabaissement de la femme. Il est à la fois sa prison mentale et sa incarcération sociale.
Le voile lui permet de camoufler sa souffrance, de la dissimuler du regard étranger, son mal-être et sa misère psycho-affective. Une femme voilée se ment à elle-même en laissant croire que c’est une forme de liberté. La vraie liberté n’est pas dans le port du voile, elle est dans sa rupture avec l’atavisme culturel et religieux qui l’enserre et qu’elle porte comme le Christ sur le Chemin de la Croix. On ne fait pas pas du fardeau du poids oppressant et aliénant de la tradition une source de liberté. Faire de la tradition un facteur d’émancipation féminine autant rétablir l’esclavage et le servage dans nos usines pour faire un modèle d’organisation du travail.
Quant à en faire un symbole de vertu, autant conjuguer la vertu avec l’âme noire des terroristes qui pullulent dans les sociétés musulmanes. Il symbolise la réaction et le refus du progrès.
Le voile ne fait pas la musulmane non plus comme son non port. On ne juge pas les femmes à l’aune de leur accoutrement vestimentaire, on les juges sur leur capacité de mener un combat digne pour leur liberté.
Une liberté où l’on a pas peur de soi où l’on avance à visage découvert pour affronter les regards des hommes qui font de la somission de la femme et de sa relégation un code de vie en société.
Etre libre, c’est être capable d’assumer sa féminité et en faire rempart contre l’expropriation du corps de la femme et sa marchaandisation à des fins mercantiles et religieuses, djihad du Nikah.
Associer le port du voile à la liberté c’est faire fi des contraintes culurelles fortement imprégnées par le fait religieux qui font obligation à la femme de se soustraire du regard de mâle-dominateur-prédateur.
Dans la culture hyper machiste musulmane et segrégationniste son port est assimilé à une sorte d’uniforme de travail protecteur qui immunise la femme contre les accidents, autrement dit les agressions sexuelles auxquelles elle s’exposerait si elle se garde de le porter.
Comme si la femme voilée n’était pas victime de viol. Le port du voile n’est aucunement un filet protecteur ou une ceinture de chasteté, et encore moins un signe de rupture avec les traditions aliénatrices, oppressantes et culpabilisantes de la femme, propriété absolue de son groupe social d’appartenance.
Une femme qui se dit et se veut libre ne peut aliéner sa soi-disant liberté en marquant ostentatoirement son allégeance au pouvoir absolu de l’homme sur sa vie.
Les sociétés les plus iberticides du monde musulman que sont l’Arabie Saoudite, Oman, Afghanistan sont celles dont les cités ressemblent à un théâtre d’ombres chinoises. Beaucoup d’autres sont en train de s’inscrire dans leur sillage et qui connaissent justement un fort recul des libertés les plus élémentaires qui se traduisent par une explosion exeponentielle du port de voile.
Là où le sacré bigot fait son grand retour, le voile prolifère. La corrélation entre les deux est réelle et doit intepeller ces femmes qui prétendent faire de leur univers carcéral un hymne à la liberté.
En dévoyant la liberté pour ne pas transgresser les normes culturelles, elles s’insultent elles-mêmes et se font complices de leurs bourreaux.
Il n’y a pas de liberté quand son corps est entravé par les chaînes des traditions, la seule liberté est dans la résilience et l’affirmation de soi. A-t-on besoin d’exhiber sa vertu morale si on a pasquelque part des soucis avec la morale elle-même ? En quoi est-ce vertueux quand des femmes musulmanes voilées s’adonnent à la prostitution à des fins religieuses ? N’est-il pas primordial pour ces femmes d’avoir des rapports sexuels protégés plutôt que de protéger leur visage du regard de l’homme ?
Avec la femme voilée l’insignifiant devient signifié et vice-versa, contrairement à la femme non-voilée est une femme assumée, qui n’a pas peur de son ombre, une femme de rupture avec le carcan religieux et libre et une voilée est une femme à l’identité violée.
Le voile ne fait pas la voie de la félicité et son non-port le chemin de l’enfer. Plus on a peur de soi et de son environnement étouffant et archaïque plus on a tendance de se cacher de soi-même et de vouloir paraître ce qu’on est pas.
Ce pauvre psychopathe insignifiant et à la laideur physique qui ferait peur à Frankenstein en personne s’il est devenu aujourd’hui ce qu’il n’aurait jamais dû être même dans ses délires psychotiques les plus aigus ce n’est pas ces femmes sans âme et dépourvues de personnalité qui sont sorties dans les rues de la Tunisie pour braver avec courage, détermination et dignité les balles de Ben Ali, ce sont les safirates tant honnies par lui. Ces femmes n’ont pas voilé leur dignité et ne la voileront jamais et dire qu’elles sont elles aujourd’hui qu’on a mis à l’index et on vitupère et qu’on a écarté de la vie politique du pays et ce sont les femmes qui portent le voile de l’indignité qui ont les honneurs du pays.
La révolution tunisienne n’a pas été faite contre l’honneur des non-voilées et encore moins pour celles qui la déshonorent aujourd’hui en faisant la lie des barbus et font fi de leur dignité.
Quand une société est minée par l’intégrisme de l’esprit, où la religion est elle-même victime, c’est un signe qui est révélateur de l’état de la pathologie mentale de cette société. Ce n’est par hasard que les sectes dans le monde musulman se font aujourd’hui leur chou gras du mal-être des populations frustes. La ferveur religieuse n’a pas gagné du terrain, c’est la maladie mentale qui prolifère et qui ravage le corps social et humain.
Quel crédit peux-t-on donner à une masse fruste qui confond bulletin de vote et ticket de train pour le paradis ? Comme si le train du paradis pouvait exister! Quel crédit peux-t-on aussi donner à de propos émanant d’un sujet psychopathe qui fait partie de ces 50% d’hommes tunisiens répertoriés comme tel par l’O.M.S. outre ce malade qui a longtemps voilé sa nature neurodégénérative a fini par la dévoiler. Il a une peur phobique de regarder son visage qui se reflète sur le visage clair lumineux de la femme non-voilée.
En conclusion, le voile quelle que soit sa forme, marque surtout le statut de l’infamie et de l’ignominie dont jouit la femme dans les sociétés musulmanes, comparables à celui du juif sous le gouvernement de Pétain.
Souhaitons surtout qu’il ne soit pas le signe avant-coureur d’un autre statut inhumain que le nazisme a infligé au Juif et à tous ceux qui n’avaient pas de marqueur génétique ou idéologique hitlérien.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 21 nov.17, 04:20Pourquoi la Charia, la loi de l’islam, est mortelle pour l’humanité
24/10/2017 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
La charia pour la femme est bien pire que les lois nazies pour les non-aryens
Dr Salem Benammar
Peut-on au nom de la démocratie et des lois de la République octroyer un statut à des mouvements sectaires islamistes qui prônent la charia, cette porte ouverte aux abus de droit et aux injustices, voire de légitimation de crimes contre l’humanité ?
Sait-on que toute mansuétude et bienveillance à l’égard des mouvements totalitaires et génocidaires équivaut à la reconnaître implicitement et contribuer progressivement à l’instauration de la loi canonique de la charia mortifère pour les libertés humaines les plus élémentaires tels que le choix de ses habits ou la liberté de circuler au volant de sa voiture punie de dix coups de fouet chez les wahhabites et ordonnateur et grand argentier de l’islamisme polymorphe qu il soit jihadiste, salafiste ou qoutbiste ?
Comment nos sociétés démocratiques peuvent-elles se résoudre au nom des libertés de culte et de conscience à donner un droit de cité à des mouvements ancrés dans leur identité religieuse dont le seul objectif est d’utiliser les lois de la république pour mieux l’achever et substituer à des lois humaines, fruits des assemblées démocratiques, une loi synonyme de désordre moral, d’injustice, d’arbitraire, de racisme, d’antisémitisme, de lapidation, de mutilation, d’amputation, de viol, de pédophilie, d’inquisition, de décapitation, de brimades, de sexisme érigé en dogme religieux, d’inégalités, d’avalissement et asservissement de la femme et de la négation de ses droits.
Une loi qui donnerait aux lois raciales de Nüremberg des relents humains. Un véritable poison pour les droits de l’homme et des libertés publiques.
Comme si on oublie ou feint d’oublier que la charia qui fait du musulman juge, partie et bourreau, est un instrument d’aliénation juridique de la femme et des minorités sexuelles, ethniques et religieuses.
C’est la consécration du pouvoir sans limite de l’homme sur la femme sous couvert de la religion, brimades, harcèlement, violence, exaction, sévices sexuels, voire meurtre, autant de crimes et délits qui échapperont au couperet de la justice républicaine, au nom de l’exception des lois de l’islam et par conséquent de leur suprématie sur les lois républicaines confortant ainsi les musulmans dans leur mépris et rejet des lois non-musulmanes.
Avec la Charia, du monde des lumières l’humanité plongera dans le monde des ténèbres.
De l’ordre juridique de droit positif, elle passe au désordre juridique et au règne de la loi du plus fort. Scellant le sort de la femme, de de l’autoritarisme et la légalisation de la violence et des traitements inhumains.
Admettre l’usage de la charia dans les cités, c’est lui reconnaître un statut de plein droit en sa qualité d’ennemie viscérale de la femme en lui accordant de la sorte un droit de veto sur nos lois puisqu’elle se considère au dessus des lois de la République, c’est se faire soi même complice de la mise à mort du système juridique protecteur de ses droits et les vôtres aussi.
A moins d être maso, cupide, veule, inconscient ou irresponsable, cela équivaut à se tirer une balle dans le pied.
Nul ne saurait affirmer que cette loi prétendue divine a toutes les caractéristiques d’une loi.
N’importe quel croyant en l’absence de clergé peut s ériger en législateur et l’ exécuteur selon l’interprétation qu’il peut en faire tel que décréter une Fatwa, simple avis juridique de portée civile ou pénale.
Mais plus souvent pénal pour motiver la sentence capitale ou des pogroms. Le danger avec la loi canon de la Charia est qu’elle est l’objet de toutes les spéculations interprétatives et imprécises des règles susceptibles de l’encadrer et la formuler.
Le fait qu’elle ne soit pas codifiée dans un quelconque corpus juridique ne peut que la rendre incertaine, floue, ambiguë, sujette à caution et inapplicable.
En effet, comme le souligne Souheib Bencheikh: » c’est un concept spirituel, donc synonyme d un cheminement personnel mais qui, à travers l histoire, couvre le travail des écoles juridiques, malékites au Maghreb, hanbalites en Turquie, hanbalites en Arabie Saoudite, si bien que le droit musulman est varié et il n’a aucune sacralité et souffre de ne pas avoir été mis à jour. » Comment peut-on aussi conférer un caractère juridique à une norme spirituelle censée fixer la voie à suivre pour les musulmans (sourate 45; verset 18) ?
Assimilée comme étant la source du droit musulman qui se décline pourtant en 4 écoles juridiques (madhahb) ne peut que susciter de sérieux doutes sur sa rationalité juridique.
Tout indique que la charia n est pas un système juridique fruit de la raison humaine et encore moins de caractère canon immuable et intemporel puisqu’elle est à géométrie variable dans le sens de son interprétativité propre à chaque école.
Contrairement à ce que ses partisans prétendent, on ne peut faire d’un système juridique non écrit ou codifié une vérité divine absolue ayant force de loi qui ne tolère aucune contestation ni dérogation.
Les tentatives de réforme de la Charia et de sa véritable définition juridique auxquelles on assiste depuis les écoles de pensée théologique tels que Mu’atazalites et les Asharites, au VIII ème et IX ème siècles, ne peuvent que le lever le voile sur l’ impossibilité de sa reformulation et de sa clarification.
Ce qui va de soi dans la mesure ou’ le peut rationaliser l’ irrationnel. On ne peut pas non plus donner une cohérence à une loi abscons, hyper subjective et apocryphe en lui accordant le statut d un code juridique soi-disant d d’essence divine supposée régir tous les aspects de la vie des musulmans, publique et privé ainsi que les interactions avec les croyants, ce qui suppose que les non-croyants sont exclus du champ de la charia et politique.
Alors que dans notre système juridique non seulement nul n est au dessus des lois, mais surtout que nul n est exclu du champ de la loi.
L’absence de cohérence juridique et le flou théologique qui la caractérisent sont la cause première des abus et dérives rattachés à la charia. Elle est davantage apparentée à une loi naturelle, appelée communément la loi de la jungle, où l’on se doit de laisser la nature accomplir son oeuvre sans l intervention humaine pour la réguler ou la codifier.
Elle est cette loi qui lie le prédateur, dans le contexte musulman c’est l’homme, à sa proie, sa victime consentie sous couvert de la Loi sacrée du Coran qui est la femme. Et accessoirement les non-musulmans et tous ceux qui ne rentrent pas dans les normes sexuelles telle que la définit Dieu.
Il est permis de qualifier la charia de loi scélérate semblable aux lois raciales nazies de 1935 où l on cherche à instaurer un ordre social, humain politique sur la base des critères subjectifs, inégalitaires et partiaux de caractère ethnique, sexuel et religieux. Une loi où seule l’interdit devient la norme et le permis devient l’exception.
Dans les sociétés appliquant la charia, la déraison humaine détermine le mode d organisation sociale, familiale et interindividuelle comme si son fonctionnement échappe à la mécanique de l’intelligence et de la conscience humaine.
L’homme qui est par définition un animal politique est dépourvu de pensée propre et toute son action doit s s’inscrire dans la voie que groupe d’appartenance lui indique.
Ce code de bonne conduite en société que peut être la Charia a des effets négateurs et liberticides sur les libertés humaines les plus élémentaires qui doivent se fondre dans le collectif et jamais s exprimer en dehors.
On dit même que la liberté n existe pas si elle n’est pas l’oeuvre du collectif. En aucun cas la Charia ne peut pas s inscrire dans un cadre républicain juste, ouvert et tolérant. respectueux des droits individuels.
Elle est incompatible avec les lois de la république et les valeurs de citoyenneté, elle vise à avilir à instrumentaliser le sacré à des fins d’exacerbation et d’institutionnalisation de la violence morale, inhumaine et de traitement dégradant et humiliant infligé aux femmes et aux minorités.
En totale violation de l’article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et de l’article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.
Une loi qui est un vrai simulacre juridique et pas seulement ne devrait pas avoir droit de cité au vu de son caractère incitatif à la torture et aux atteintes caractérisées et avérées aux droits humains.
La charia qui fait de la femme une quasi-esclave, un objet dépourvu d’existence propre, dépossédée de tous ses droits les plus élémentaires au profit de son tuteur de mari devra être éradiquée de la même façon que les lois nazies.
Avec elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre, autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellations, bannissement, excommunication, le délit du blasphème, l’ apostasie, lesclavagisme, les rapts, les razzias, l’inquisition, la pédophilie dans le sens des mariages pré pubères, le viol conjugal, l’ homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation etc. Son caractère machiste, ségrégationniste, ostraciste, discriminatoire, relégationniste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui lui permet d’ester en justice.
Ainsi une femme victime d’abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une franco marocaine victime d un viol à Dubaï et qui s est retrouvée en prison au motif qu’elle est responsable de son propre viol ( Touria Tiouli: en prison à Dubaï pour avoir été violée éd. Michel Lafon2004).
Aux termes de cette loi canonique la femme a surtout des devoirs. Ses droits sont ceux que lui fixent son mari ou le membre mâle de sa famille ou sa belle famille en cas d’absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est susceptible de lui infliger en cas d insoumission et le châtiment final (la sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet).
La femme sert de variable d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes.
Elle est le bouc-émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l’état d objet sexuel dont la seule fonction sociale est d assouvir les pulsions sexuelles de son maître auxquelles elle ne peut s y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges(sourate de la femme).
Le corps de la femme n’est il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l’homme qu’il pourra labourer qu il pourra labourer à volonté ?
Le mariage dans le droit musulman qu’il soit codifié ou non, régi par le Coran ou la Charia, n’est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune fondée sur le respect mutuel et de l’intégrité physique de la femme, il est un acte d’appropriation et de colonisation du corps de la femme et de son assujettissement à l’homme comme le stipulent les sourates ci-après : Sourate 4 : « 38. Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous avez à craindre l’inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »
– (II, 223) : « Les femmes sont votre champ [labeur]. Cultivez-le de la manière que vous l’entendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété. »
Net et sans équivoque.
La Charia qui fait de la polygamie son mode d’ expression majeure et donc de la femme un bien marchand de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit absolu , l’immunisant contre toutes tentatives de résilience de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant mais combien redoutable : le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure laissée à sa libre-appréciation.
Seul l’homme est maître du jeu dont il fixe lui-même les règles qui sont autant de contraintes qui pèsent sur la femme. Il est procureur, juge, partie et bourreau au sens du droit musulman.
Le prophète lui-même disait que la place de la femme est enfer. Jugée comme une éternelle pêcheresse, elle est coupable avant même d’avoir été jugée. Et comme souvent dans le droit musulman on juge à charge, il ne peut avoir de respect de droit de la défense, et pire encore quand c’est une femme qui est mise en cause.
Etre femme dans l’islam est un quasi crime, même quand elle est victime de viol, elle clouée au pilori et mise sur le banc des accusés, et son violeur se trouve doublement innocenté aussi bien par l’opinion publique que par les tribunaux appliquant la charia.
Au mieux, on l’offre comme un butin de guerre à son violeur comme au Maroc pour laver l’honneur de sa famille.
Même quand elle est victime de meurtre, sa famille est rarement dédommagée par le meurtrier.
Dans les sociétés où la charia a force de loi, la femme est réduite à une portion congrue, dépourvue de droits, contrairement à ceux dont jouissent l’homme, exerçant un pouvoir total et exorbitant qui contraste avec l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme.
A titre d’exemple, la femme n’est pas en droit d’initier le divorce, d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde d’enfants en cas de séparation, ni de bénéficier du maintien dans le domocile conjugal.
Des millions de femmes sont jetées à la rue souvent avec leurs enfants dans les sociétés musulmanes.
De même que la charia fait interdiction absolue à la femme musulmane de se marier à un non-musulman, à la différence de l’homme musulman qui est en droit de contracter ce type d’union à la condition exprésse d’élever ses enfants dans la religion musulmane. Dans l’islam, c’est l’homme qui transmet sa foi.
Ainsi l’enfant dans le cadre de ce type d’union est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère.
En conclusion, cette loi canon n’est rien d’autre que l’expression majeure d’un système idéologique dont la finalité est de coloniser le corps et l’esprit de la femme au profit de son maître-esclavagiste sous couvert du sacré
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24/10/2017 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
La charia pour la femme est bien pire que les lois nazies pour les non-aryens
Dr Salem Benammar
Peut-on au nom de la démocratie et des lois de la République octroyer un statut à des mouvements sectaires islamistes qui prônent la charia, cette porte ouverte aux abus de droit et aux injustices, voire de légitimation de crimes contre l’humanité ?
Sait-on que toute mansuétude et bienveillance à l’égard des mouvements totalitaires et génocidaires équivaut à la reconnaître implicitement et contribuer progressivement à l’instauration de la loi canonique de la charia mortifère pour les libertés humaines les plus élémentaires tels que le choix de ses habits ou la liberté de circuler au volant de sa voiture punie de dix coups de fouet chez les wahhabites et ordonnateur et grand argentier de l’islamisme polymorphe qu il soit jihadiste, salafiste ou qoutbiste ?
Comment nos sociétés démocratiques peuvent-elles se résoudre au nom des libertés de culte et de conscience à donner un droit de cité à des mouvements ancrés dans leur identité religieuse dont le seul objectif est d’utiliser les lois de la république pour mieux l’achever et substituer à des lois humaines, fruits des assemblées démocratiques, une loi synonyme de désordre moral, d’injustice, d’arbitraire, de racisme, d’antisémitisme, de lapidation, de mutilation, d’amputation, de viol, de pédophilie, d’inquisition, de décapitation, de brimades, de sexisme érigé en dogme religieux, d’inégalités, d’avalissement et asservissement de la femme et de la négation de ses droits.
Une loi qui donnerait aux lois raciales de Nüremberg des relents humains. Un véritable poison pour les droits de l’homme et des libertés publiques.
Comme si on oublie ou feint d’oublier que la charia qui fait du musulman juge, partie et bourreau, est un instrument d’aliénation juridique de la femme et des minorités sexuelles, ethniques et religieuses.
C’est la consécration du pouvoir sans limite de l’homme sur la femme sous couvert de la religion, brimades, harcèlement, violence, exaction, sévices sexuels, voire meurtre, autant de crimes et délits qui échapperont au couperet de la justice républicaine, au nom de l’exception des lois de l’islam et par conséquent de leur suprématie sur les lois républicaines confortant ainsi les musulmans dans leur mépris et rejet des lois non-musulmanes.
Avec la Charia, du monde des lumières l’humanité plongera dans le monde des ténèbres.
De l’ordre juridique de droit positif, elle passe au désordre juridique et au règne de la loi du plus fort. Scellant le sort de la femme, de de l’autoritarisme et la légalisation de la violence et des traitements inhumains.
Admettre l’usage de la charia dans les cités, c’est lui reconnaître un statut de plein droit en sa qualité d’ennemie viscérale de la femme en lui accordant de la sorte un droit de veto sur nos lois puisqu’elle se considère au dessus des lois de la République, c’est se faire soi même complice de la mise à mort du système juridique protecteur de ses droits et les vôtres aussi.
A moins d être maso, cupide, veule, inconscient ou irresponsable, cela équivaut à se tirer une balle dans le pied.
Nul ne saurait affirmer que cette loi prétendue divine a toutes les caractéristiques d’une loi.
N’importe quel croyant en l’absence de clergé peut s ériger en législateur et l’ exécuteur selon l’interprétation qu’il peut en faire tel que décréter une Fatwa, simple avis juridique de portée civile ou pénale.
Mais plus souvent pénal pour motiver la sentence capitale ou des pogroms. Le danger avec la loi canon de la Charia est qu’elle est l’objet de toutes les spéculations interprétatives et imprécises des règles susceptibles de l’encadrer et la formuler.
Le fait qu’elle ne soit pas codifiée dans un quelconque corpus juridique ne peut que la rendre incertaine, floue, ambiguë, sujette à caution et inapplicable.
En effet, comme le souligne Souheib Bencheikh: » c’est un concept spirituel, donc synonyme d un cheminement personnel mais qui, à travers l histoire, couvre le travail des écoles juridiques, malékites au Maghreb, hanbalites en Turquie, hanbalites en Arabie Saoudite, si bien que le droit musulman est varié et il n’a aucune sacralité et souffre de ne pas avoir été mis à jour. » Comment peut-on aussi conférer un caractère juridique à une norme spirituelle censée fixer la voie à suivre pour les musulmans (sourate 45; verset 18) ?
Assimilée comme étant la source du droit musulman qui se décline pourtant en 4 écoles juridiques (madhahb) ne peut que susciter de sérieux doutes sur sa rationalité juridique.
Tout indique que la charia n est pas un système juridique fruit de la raison humaine et encore moins de caractère canon immuable et intemporel puisqu’elle est à géométrie variable dans le sens de son interprétativité propre à chaque école.
Contrairement à ce que ses partisans prétendent, on ne peut faire d’un système juridique non écrit ou codifié une vérité divine absolue ayant force de loi qui ne tolère aucune contestation ni dérogation.
Les tentatives de réforme de la Charia et de sa véritable définition juridique auxquelles on assiste depuis les écoles de pensée théologique tels que Mu’atazalites et les Asharites, au VIII ème et IX ème siècles, ne peuvent que le lever le voile sur l’ impossibilité de sa reformulation et de sa clarification.
Ce qui va de soi dans la mesure ou’ le peut rationaliser l’ irrationnel. On ne peut pas non plus donner une cohérence à une loi abscons, hyper subjective et apocryphe en lui accordant le statut d un code juridique soi-disant d d’essence divine supposée régir tous les aspects de la vie des musulmans, publique et privé ainsi que les interactions avec les croyants, ce qui suppose que les non-croyants sont exclus du champ de la charia et politique.
Alors que dans notre système juridique non seulement nul n est au dessus des lois, mais surtout que nul n est exclu du champ de la loi.
L’absence de cohérence juridique et le flou théologique qui la caractérisent sont la cause première des abus et dérives rattachés à la charia. Elle est davantage apparentée à une loi naturelle, appelée communément la loi de la jungle, où l’on se doit de laisser la nature accomplir son oeuvre sans l intervention humaine pour la réguler ou la codifier.
Elle est cette loi qui lie le prédateur, dans le contexte musulman c’est l’homme, à sa proie, sa victime consentie sous couvert de la Loi sacrée du Coran qui est la femme. Et accessoirement les non-musulmans et tous ceux qui ne rentrent pas dans les normes sexuelles telle que la définit Dieu.
Il est permis de qualifier la charia de loi scélérate semblable aux lois raciales nazies de 1935 où l on cherche à instaurer un ordre social, humain politique sur la base des critères subjectifs, inégalitaires et partiaux de caractère ethnique, sexuel et religieux. Une loi où seule l’interdit devient la norme et le permis devient l’exception.
Dans les sociétés appliquant la charia, la déraison humaine détermine le mode d organisation sociale, familiale et interindividuelle comme si son fonctionnement échappe à la mécanique de l’intelligence et de la conscience humaine.
L’homme qui est par définition un animal politique est dépourvu de pensée propre et toute son action doit s s’inscrire dans la voie que groupe d’appartenance lui indique.
Ce code de bonne conduite en société que peut être la Charia a des effets négateurs et liberticides sur les libertés humaines les plus élémentaires qui doivent se fondre dans le collectif et jamais s exprimer en dehors.
On dit même que la liberté n existe pas si elle n’est pas l’oeuvre du collectif. En aucun cas la Charia ne peut pas s inscrire dans un cadre républicain juste, ouvert et tolérant. respectueux des droits individuels.
Elle est incompatible avec les lois de la république et les valeurs de citoyenneté, elle vise à avilir à instrumentaliser le sacré à des fins d’exacerbation et d’institutionnalisation de la violence morale, inhumaine et de traitement dégradant et humiliant infligé aux femmes et aux minorités.
En totale violation de l’article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et de l’article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.
Une loi qui est un vrai simulacre juridique et pas seulement ne devrait pas avoir droit de cité au vu de son caractère incitatif à la torture et aux atteintes caractérisées et avérées aux droits humains.
La charia qui fait de la femme une quasi-esclave, un objet dépourvu d’existence propre, dépossédée de tous ses droits les plus élémentaires au profit de son tuteur de mari devra être éradiquée de la même façon que les lois nazies.
Avec elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre, autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellations, bannissement, excommunication, le délit du blasphème, l’ apostasie, lesclavagisme, les rapts, les razzias, l’inquisition, la pédophilie dans le sens des mariages pré pubères, le viol conjugal, l’ homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation etc. Son caractère machiste, ségrégationniste, ostraciste, discriminatoire, relégationniste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui lui permet d’ester en justice.
Ainsi une femme victime d’abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une franco marocaine victime d un viol à Dubaï et qui s est retrouvée en prison au motif qu’elle est responsable de son propre viol ( Touria Tiouli: en prison à Dubaï pour avoir été violée éd. Michel Lafon2004).
Aux termes de cette loi canonique la femme a surtout des devoirs. Ses droits sont ceux que lui fixent son mari ou le membre mâle de sa famille ou sa belle famille en cas d’absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est susceptible de lui infliger en cas d insoumission et le châtiment final (la sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet).
La femme sert de variable d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes.
Elle est le bouc-émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l’état d objet sexuel dont la seule fonction sociale est d assouvir les pulsions sexuelles de son maître auxquelles elle ne peut s y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges(sourate de la femme).
Le corps de la femme n’est il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l’homme qu’il pourra labourer qu il pourra labourer à volonté ?
Le mariage dans le droit musulman qu’il soit codifié ou non, régi par le Coran ou la Charia, n’est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune fondée sur le respect mutuel et de l’intégrité physique de la femme, il est un acte d’appropriation et de colonisation du corps de la femme et de son assujettissement à l’homme comme le stipulent les sourates ci-après : Sourate 4 : « 38. Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous avez à craindre l’inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »
– (II, 223) : « Les femmes sont votre champ [labeur]. Cultivez-le de la manière que vous l’entendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété. »
Net et sans équivoque.
La Charia qui fait de la polygamie son mode d’ expression majeure et donc de la femme un bien marchand de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit absolu , l’immunisant contre toutes tentatives de résilience de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant mais combien redoutable : le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure laissée à sa libre-appréciation.
Seul l’homme est maître du jeu dont il fixe lui-même les règles qui sont autant de contraintes qui pèsent sur la femme. Il est procureur, juge, partie et bourreau au sens du droit musulman.
Le prophète lui-même disait que la place de la femme est enfer. Jugée comme une éternelle pêcheresse, elle est coupable avant même d’avoir été jugée. Et comme souvent dans le droit musulman on juge à charge, il ne peut avoir de respect de droit de la défense, et pire encore quand c’est une femme qui est mise en cause.
Etre femme dans l’islam est un quasi crime, même quand elle est victime de viol, elle clouée au pilori et mise sur le banc des accusés, et son violeur se trouve doublement innocenté aussi bien par l’opinion publique que par les tribunaux appliquant la charia.
Au mieux, on l’offre comme un butin de guerre à son violeur comme au Maroc pour laver l’honneur de sa famille.
Même quand elle est victime de meurtre, sa famille est rarement dédommagée par le meurtrier.
Dans les sociétés où la charia a force de loi, la femme est réduite à une portion congrue, dépourvue de droits, contrairement à ceux dont jouissent l’homme, exerçant un pouvoir total et exorbitant qui contraste avec l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme.
A titre d’exemple, la femme n’est pas en droit d’initier le divorce, d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde d’enfants en cas de séparation, ni de bénéficier du maintien dans le domocile conjugal.
Des millions de femmes sont jetées à la rue souvent avec leurs enfants dans les sociétés musulmanes.
De même que la charia fait interdiction absolue à la femme musulmane de se marier à un non-musulman, à la différence de l’homme musulman qui est en droit de contracter ce type d’union à la condition exprésse d’élever ses enfants dans la religion musulmane. Dans l’islam, c’est l’homme qui transmet sa foi.
Ainsi l’enfant dans le cadre de ce type d’union est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère.
En conclusion, cette loi canon n’est rien d’autre que l’expression majeure d’un système idéologique dont la finalité est de coloniser le corps et l’esprit de la femme au profit de son maître-esclavagiste sous couvert du sacré
.
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Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 23 nov.17, 03:00N’en déplaise au Front National, le harcèlement est une plaie sociétale
21/11/2017 Salem Ben Ammar Un commentaire
Que le Front National soit dans le déni du harcèlement sexuel n’a rien d’étonnant de sa part.
Que peut-on attendre d’un parti pour qui la femme citoyenne et patriote n’a pas sa place dans le monde du travail, elle est un ventre porteur et une bobonne ?
Le machisme est dans son ADN idéologique. Il n’est en rien différent des mouvements islamistes. Pour lui en substance si la femme est victime d’avances sexuelles récurrentes, elle l’a forcément cherchée. Elle n’avait qu’à rester dans son foyer pour lui épargner des situations inconvenantes.
Sa morale politique consiste essentiellement à user et abuser de toutes les stratagèmes les plus odieux, pervers et insidieux pour arriver ses fins et qui se victimise quand il se fait prendre la main dans le pot ?
On ne peut imaginer le FN qui se nourrit du l’intox et de la propagation de la mauvaise rumeur se faire l’avocat des Français en butte au harcèlement dans leur quotidien. Sa tentative de placardiser Florian Philippot n’est pas sans rappeler les méthodes déloyales courantes chez les employeurs qui plutôt que de trouver une issue juste et équitable dans les conflits de travail qui les oppose s’acharnent sur les salariés dont ils veulent se débarrasser à bon compte les déstabilisent en les marginalisant dans l’ent hstcek ne peut pas condamner une pratique sournoise où l’auteur ne s’avance pas à visage découvert qui s’arrange toujours à ce qu’il n’y ait jamais de preuves et de témoins.
Il semble ignorer que le harcèlement quelle que soit sa forme est un acte délictuel et très dangereux pour l’état de santé mentale des victimes qui peut les pousser jusqu’au suicide indépendamment de son coût financier pour l’assurance maladie quand il a lieu dans le milieu du travail en termes de prise en charge des arrêts de maladie.
Les ravages sociaux, personnels et professionnels du harcèlement moral ou sexuel sont incommensurables.
Le FN serait peut-être avisé de se renseigner sur le nombre des salariés ont vu leur carrière professionnelle anéantie et leur vie brisée pour ne pas avoir cédé aux pressions récurrentes de leurs chefs hiérarchique ?
Que connaît-il du monde du travail pour pouvoir occulter ce fléau mortel pour les salariés en proie au chantage de leur hiérarchie et qui préférent exercer leur droit de retrait en démissionnant de leur poste de travail pour préserver leur santé ?
Des questions qui dépassent le logiciel politique et intellectuel de ce parti qui en voulant banaliser le harcèlement fait délibérément le choix du harceleur aux dépens du harcelé.
Le FN a mis des œillères pour ne pas regarder la réalité du harcèlement en face de peur qu’il compatisse pour ses victimes. Politiquement et médiatiquement c’est moins porteur que ses chevaux de bataille habituels alors que le fléau touche une bonne partie des salariés en France et pas seulement eux. Dans les couples, dans la rue, dans le quartier, dans le voisinage, aucun secteur ni aucune couche sociale ne sont épargnés.
J’ai appris à mes dépens les effets néfastes du harcèlement moral en milieu du travail.
Je m’en étais sorti difficilement contrairement à un ami et collègue qui y avait laissé sa vie.
21/11/2017 Salem Ben Ammar Un commentaire
Que le Front National soit dans le déni du harcèlement sexuel n’a rien d’étonnant de sa part.
Que peut-on attendre d’un parti pour qui la femme citoyenne et patriote n’a pas sa place dans le monde du travail, elle est un ventre porteur et une bobonne ?
Le machisme est dans son ADN idéologique. Il n’est en rien différent des mouvements islamistes. Pour lui en substance si la femme est victime d’avances sexuelles récurrentes, elle l’a forcément cherchée. Elle n’avait qu’à rester dans son foyer pour lui épargner des situations inconvenantes.
Sa morale politique consiste essentiellement à user et abuser de toutes les stratagèmes les plus odieux, pervers et insidieux pour arriver ses fins et qui se victimise quand il se fait prendre la main dans le pot ?
On ne peut imaginer le FN qui se nourrit du l’intox et de la propagation de la mauvaise rumeur se faire l’avocat des Français en butte au harcèlement dans leur quotidien. Sa tentative de placardiser Florian Philippot n’est pas sans rappeler les méthodes déloyales courantes chez les employeurs qui plutôt que de trouver une issue juste et équitable dans les conflits de travail qui les oppose s’acharnent sur les salariés dont ils veulent se débarrasser à bon compte les déstabilisent en les marginalisant dans l’ent hstcek ne peut pas condamner une pratique sournoise où l’auteur ne s’avance pas à visage découvert qui s’arrange toujours à ce qu’il n’y ait jamais de preuves et de témoins.
Il semble ignorer que le harcèlement quelle que soit sa forme est un acte délictuel et très dangereux pour l’état de santé mentale des victimes qui peut les pousser jusqu’au suicide indépendamment de son coût financier pour l’assurance maladie quand il a lieu dans le milieu du travail en termes de prise en charge des arrêts de maladie.
Les ravages sociaux, personnels et professionnels du harcèlement moral ou sexuel sont incommensurables.
Le FN serait peut-être avisé de se renseigner sur le nombre des salariés ont vu leur carrière professionnelle anéantie et leur vie brisée pour ne pas avoir cédé aux pressions récurrentes de leurs chefs hiérarchique ?
Que connaît-il du monde du travail pour pouvoir occulter ce fléau mortel pour les salariés en proie au chantage de leur hiérarchie et qui préférent exercer leur droit de retrait en démissionnant de leur poste de travail pour préserver leur santé ?
Des questions qui dépassent le logiciel politique et intellectuel de ce parti qui en voulant banaliser le harcèlement fait délibérément le choix du harceleur aux dépens du harcelé.
Le FN a mis des œillères pour ne pas regarder la réalité du harcèlement en face de peur qu’il compatisse pour ses victimes. Politiquement et médiatiquement c’est moins porteur que ses chevaux de bataille habituels alors que le fléau touche une bonne partie des salariés en France et pas seulement eux. Dans les couples, dans la rue, dans le quartier, dans le voisinage, aucun secteur ni aucune couche sociale ne sont épargnés.
J’ai appris à mes dépens les effets néfastes du harcèlement moral en milieu du travail.
Je m’en étais sorti difficilement contrairement à un ami et collègue qui y avait laissé sa vie.
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Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 24 nov.17, 04:00Pour le maître à penser du terrorisme islamique Rached Ghannouchi : »Daech est l’image de l’islam en colère »
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
L’islam en colère est un pléonasme. Une vue de l’esprit. Il est tout le temps de mauvais poil, incapable de se contrôler. Impulsif, hystérique congénital, tyrannique, écorché vif et sanguin. Rongé par une crise de nerfs chronique depuis sa naissance il n’a jamais pu canaliser ses pulsions violentes et mortifères. Son mal est incurable. En aucun moment de sa vie il n’a fait preuve de maîtrise de soi et d’apaisement. Toujours le sabre au vent pour décapiter ses opposants. Ruminant sa haine et sa rancoeur pour l’humanité qui n’est pas la sienne.
Intolérant à la frustration il ne supporte pas qu’on ne cède pas à ses caprices. Un dément de la pire espèce.
Atteint de la folie de grandeur et s’enrage pour ne pas avoir le monde à ses sales pattes.
Le jour où il ne sera plus en rogne et calmera ses ardeurs bellicistes et velléitaires ce sera sa fin.
1437 ans qu’il ne cesse de déverser son venin sur l’humanité, réduisant en cendres des empires glorieux. Pire qu’une meute de fauves blessés il est grand temps de le faire taire pour que l’humanité puisse enfin trouver la paix.
C’est un volcan en éruption permanente laissant échapper de ses cratères des gaz hautement toxiques provoquant près de 300 millions de morts et des dégâts incommensurables sur l’écosystème. Autour de lui c’est la mort de la vie.
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire
L’islam en colère est un pléonasme. Une vue de l’esprit. Il est tout le temps de mauvais poil, incapable de se contrôler. Impulsif, hystérique congénital, tyrannique, écorché vif et sanguin. Rongé par une crise de nerfs chronique depuis sa naissance il n’a jamais pu canaliser ses pulsions violentes et mortifères. Son mal est incurable. En aucun moment de sa vie il n’a fait preuve de maîtrise de soi et d’apaisement. Toujours le sabre au vent pour décapiter ses opposants. Ruminant sa haine et sa rancoeur pour l’humanité qui n’est pas la sienne.
Intolérant à la frustration il ne supporte pas qu’on ne cède pas à ses caprices. Un dément de la pire espèce.
Atteint de la folie de grandeur et s’enrage pour ne pas avoir le monde à ses sales pattes.
Le jour où il ne sera plus en rogne et calmera ses ardeurs bellicistes et velléitaires ce sera sa fin.
1437 ans qu’il ne cesse de déverser son venin sur l’humanité, réduisant en cendres des empires glorieux. Pire qu’une meute de fauves blessés il est grand temps de le faire taire pour que l’humanité puisse enfin trouver la paix.
C’est un volcan en éruption permanente laissant échapper de ses cratères des gaz hautement toxiques provoquant près de 300 millions de morts et des dégâts incommensurables sur l’écosystème. Autour de lui c’est la mort de la vie.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 26 nov.17, 00:46Intolérance, fanatisme et djihad, les 3 mamelles de la Tunisie par Salem Ben Ammar
Indépendamment des dessous de cette "Révolution de l'hiver pourri arabe" conçue et mise en scène par les stratèges de la géopolitique de la Maison Blanche, on ne peut nier qu'elle a eu moins le mérite d'avoir révélé au monde le vrai visage de la Tunisie.
Un visage méconnu et occulté mais que cette mascarade révolutionnaire, véritable usine à gaz, a permis de faire découvrir ses stigmates des plus cauchemardesques et repoussantes.
Plus personne ne peut dire aujourd'hui que la Tunisie est un pays à part dans le marécage nauséabond des pays musulmans. Son ADN n'est en rien différent de celui de l'Afghanistan ou de la Somalie.
Pour l'islam on tue père et mère pour ne pas s'exposer au châtiment divin. Pour lui on trahit la patrie pour la cause de l'Oumma de malheur.
On croyait que les Tunisiens étaient un peuple de bon sens, éclairé et ouvert sur le monde et plus ou moins immunisés contre le fanatisme, l'intolérance, la haine de l'autre, le racisme, la violence, le djihad dans la voie d'Allah, l'antisémitisme et l'obscurantisme, mais ce n'était en réalité qu'une illusion car ils ne pouvaient donner libre-cours de leur nature profondément belliqueuse et velléitaire à cause de Bourguiba et Ben Ali qui avaient le souci de l'image de la Tunisie pour séduire les touristes et les investisseurs internationaux.
Derrière le rideau de fer créé par ses anciens despotes se cachait une autre Tunisie autrement plus effrayante et hideuse, celle dont le Coran et la Sunna ont dessiné les contours et les composantes et auxquelles elle a échappé en apparence.
Les masques sont tombés au lendemain du 17 janvier 2011, et la Charia reprend ses droits et impose la rigueur inhumaine de ses lois. Il est permis de tuer ceux qui se détournent de la voie de l'islam ou osent formuler la moindre critique à son égard.
Dans mon cas, je ne saurais prendre le moindre risque à me rendre dans un pays où un terroriste est honoré et un libre-penseur qui trouble les musulmans dans leurs convictions est jugé comme impie et un apostat et dont il permis de châtier au nom de la cette loi criminelle et scélérate de la Charia.
Ma mère est partie sans que je lui dise adieu ni pouvoir faire mon deuil d'elle en allant se recueillir sur sa tombe parce que la mère-patrie devenue hostile à ses enfants qui l'aiment depuis ce jour maudit où sa lie politique l'avait trahie sous l'égide de l'I. S.I.E.
Attristé et affligé par cette descente aux enfers d'un pays qui m'a vu naître et témoin de mes premiers sourires et larmes,mais je préfère continuer à faire vivre en moi jusqu'à la fin de mes jours le souvenir des miens plutôt que de finir sous la lame d'un couteau de boucher d'un illuminé qui aspire à l'érection éternelle et à l'éthylisme chronique.
Autant subir la double peine de la perte de ma patrie et de ma mère et de continuer à dénoncer avec ma plume les ravages destructeurs de l'islam sur les sociétés humaines.
En Tunisie, il n'y a désormais de place que pour les manipulateurs enturbannés qui embrigadent le peuple pour le détourner de la voie du progrès humain et qui nourrissent son cœur de la haine de l'Occident, et ses enfants fidèles et loyaux sont voués aux gémonies.
On a inversé l'échelle des valeurs et c'est ma tragédie personnelle. Il m'est intolérable de voir les terroristes la gouverner et souiller son sol chargé d'histoire tandis que les patriotes sont jetés de la Roche Tarpéienne.
Comme si aimer cette terre sacrée qui vient d'accueillir en son sein le noble corps de ma mère héritière d'une lignée de ces hommes et femmes qui ont marqué l'histoire de la Tunisie et dont le sang des deux de ses petits-fils ont irrigué sa Révolution est un crime et un pêché mortel.
Ne peut vivre en Tunisie que celui qui la trahit. Un pédophile, un terroriste, un imposteur, un prédicateur, un vitrioleur, un violeur, un assassin, un incendiaire, un fornicateur, un escroc, un raciste, un antisémite, un exciseur, un vendu ont tous les privilèges tant qu'ils sont musulmans et des humains de mon espèce sont comme des pestiférés qu'il faut éradiquer, l'ennemi à abattre parce qu'ils ne croient pas aux vertus humanistes de l'islam et qui préfèrent leur patrie à leur religion.
Il n'y a de modèle matriciel pour l'homme que l'humain qu’il est , la mère qui lui a insufflé l'amour donné et la patrie qui lui enseigné la liberté.
Autant de valeurs inconnues à la religion. Une mère et une patrie sont irremplaçables, les perdre c'est perdre son âme mais perdre une religion, ce n'est pas une âme qu'on perd c'est la liberté retrouvée.
Indépendamment des dessous de cette "Révolution de l'hiver pourri arabe" conçue et mise en scène par les stratèges de la géopolitique de la Maison Blanche, on ne peut nier qu'elle a eu moins le mérite d'avoir révélé au monde le vrai visage de la Tunisie.
Un visage méconnu et occulté mais que cette mascarade révolutionnaire, véritable usine à gaz, a permis de faire découvrir ses stigmates des plus cauchemardesques et repoussantes.
Plus personne ne peut dire aujourd'hui que la Tunisie est un pays à part dans le marécage nauséabond des pays musulmans. Son ADN n'est en rien différent de celui de l'Afghanistan ou de la Somalie.
Pour l'islam on tue père et mère pour ne pas s'exposer au châtiment divin. Pour lui on trahit la patrie pour la cause de l'Oumma de malheur.
On croyait que les Tunisiens étaient un peuple de bon sens, éclairé et ouvert sur le monde et plus ou moins immunisés contre le fanatisme, l'intolérance, la haine de l'autre, le racisme, la violence, le djihad dans la voie d'Allah, l'antisémitisme et l'obscurantisme, mais ce n'était en réalité qu'une illusion car ils ne pouvaient donner libre-cours de leur nature profondément belliqueuse et velléitaire à cause de Bourguiba et Ben Ali qui avaient le souci de l'image de la Tunisie pour séduire les touristes et les investisseurs internationaux.
Derrière le rideau de fer créé par ses anciens despotes se cachait une autre Tunisie autrement plus effrayante et hideuse, celle dont le Coran et la Sunna ont dessiné les contours et les composantes et auxquelles elle a échappé en apparence.
Les masques sont tombés au lendemain du 17 janvier 2011, et la Charia reprend ses droits et impose la rigueur inhumaine de ses lois. Il est permis de tuer ceux qui se détournent de la voie de l'islam ou osent formuler la moindre critique à son égard.
Dans mon cas, je ne saurais prendre le moindre risque à me rendre dans un pays où un terroriste est honoré et un libre-penseur qui trouble les musulmans dans leurs convictions est jugé comme impie et un apostat et dont il permis de châtier au nom de la cette loi criminelle et scélérate de la Charia.
Ma mère est partie sans que je lui dise adieu ni pouvoir faire mon deuil d'elle en allant se recueillir sur sa tombe parce que la mère-patrie devenue hostile à ses enfants qui l'aiment depuis ce jour maudit où sa lie politique l'avait trahie sous l'égide de l'I. S.I.E.
Attristé et affligé par cette descente aux enfers d'un pays qui m'a vu naître et témoin de mes premiers sourires et larmes,mais je préfère continuer à faire vivre en moi jusqu'à la fin de mes jours le souvenir des miens plutôt que de finir sous la lame d'un couteau de boucher d'un illuminé qui aspire à l'érection éternelle et à l'éthylisme chronique.
Autant subir la double peine de la perte de ma patrie et de ma mère et de continuer à dénoncer avec ma plume les ravages destructeurs de l'islam sur les sociétés humaines.
En Tunisie, il n'y a désormais de place que pour les manipulateurs enturbannés qui embrigadent le peuple pour le détourner de la voie du progrès humain et qui nourrissent son cœur de la haine de l'Occident, et ses enfants fidèles et loyaux sont voués aux gémonies.
On a inversé l'échelle des valeurs et c'est ma tragédie personnelle. Il m'est intolérable de voir les terroristes la gouverner et souiller son sol chargé d'histoire tandis que les patriotes sont jetés de la Roche Tarpéienne.
Comme si aimer cette terre sacrée qui vient d'accueillir en son sein le noble corps de ma mère héritière d'une lignée de ces hommes et femmes qui ont marqué l'histoire de la Tunisie et dont le sang des deux de ses petits-fils ont irrigué sa Révolution est un crime et un pêché mortel.
Ne peut vivre en Tunisie que celui qui la trahit. Un pédophile, un terroriste, un imposteur, un prédicateur, un vitrioleur, un violeur, un assassin, un incendiaire, un fornicateur, un escroc, un raciste, un antisémite, un exciseur, un vendu ont tous les privilèges tant qu'ils sont musulmans et des humains de mon espèce sont comme des pestiférés qu'il faut éradiquer, l'ennemi à abattre parce qu'ils ne croient pas aux vertus humanistes de l'islam et qui préfèrent leur patrie à leur religion.
Il n'y a de modèle matriciel pour l'homme que l'humain qu’il est , la mère qui lui a insufflé l'amour donné et la patrie qui lui enseigné la liberté.
Autant de valeurs inconnues à la religion. Une mère et une patrie sont irremplaçables, les perdre c'est perdre son âme mais perdre une religion, ce n'est pas une âme qu'on perd c'est la liberté retrouvée.
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Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 28 nov.17, 05:44Salem Benammar
48 min ·
La démographie algérienne a retrouvé sa vigueur par la grâce d'Allah. Il n'y a de richesse que la multitude dirait Staline. l'Algérie peut s'enorgueillir, faute de croissance économique, elle brille sur le plan démographique et au rythme de son taux de croissance actuel elle pourra rattraper la France dans 30 ans.
Tant pis si le gâteau à partager est pour 20 millions de convives, Malthus ne connaît rien aux miracles de l'islam, mais elle est sûre qu'avec la bénédiction du Tout-Puissant Allah qui a promu les musulmans au premier rang de l'humanité pas dans le sens de la marche train, elle saura satisfaire l'appétit des siens mais à condition que le FLN renonce au moins aux 30% de sa part du gâteau et les Algériens maîtrisent leur natalité galopante.
48 min ·
La démographie algérienne a retrouvé sa vigueur par la grâce d'Allah. Il n'y a de richesse que la multitude dirait Staline. l'Algérie peut s'enorgueillir, faute de croissance économique, elle brille sur le plan démographique et au rythme de son taux de croissance actuel elle pourra rattraper la France dans 30 ans.
Tant pis si le gâteau à partager est pour 20 millions de convives, Malthus ne connaît rien aux miracles de l'islam, mais elle est sûre qu'avec la bénédiction du Tout-Puissant Allah qui a promu les musulmans au premier rang de l'humanité pas dans le sens de la marche train, elle saura satisfaire l'appétit des siens mais à condition que le FLN renonce au moins aux 30% de sa part du gâteau et les Algériens maîtrisent leur natalité galopante.
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Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 28 nov.17, 22:51C’est la faute aux musulmans eux-mêmes si l’islam suscite peurs et rejets
par Salem Ben Ammar
Peut-on avoir du respect pour des gens qui voient en nous des pestiférés parce que nous sommes dans le refus de leur dogme ? En toute évidence, c'est non et mille fois non. Un non ferme et définitif. Pas de respect pour ceux qui prennent notre respect pour un du.
Quelle empathie peut-on avoir à leur égard alors qu’ils n’éprouvent aucune compassion pour les victimes des attentats terroristes perpétrés par les leurs, qui suivent à la lettre les préceptes coraniques et la Sunna mahométane ?
Comme si, croire ce en quoi ils croient était une chance pour nous. Quand bien ce serait le cas, libre à nous de ne pas le croire.
Si le salut des hommes était dans leur soumission, ils ne seraient pas les derniers de la classe humaine.
S’ils en sont là aujourd’hui, c’est à cause des freins religieux qui mutilent leurs énergies créatrices et paralysent leurs actions.
Ils sont comme un toxicomane qui vante les bienfaits de sa drogue, inconscient de ses effets néfastes sur son propre état.
Ils sont tellement sous l’emprise de l’islam, à force de le consommer à forte dose du lever au coucher, voire pendant leur sommeil, depuis leur stade fœtal jusqu’à la tombe, qu’ils ont perdu tout contrôle de leurs pensées et n’ont plus de volonté propre.
Allah est à la manœuvre de leur vie et eux agissent comme des O.S. au temps des roulements à billes, répétant inlassablement les mêmes gestes.
Programmés mentalement et conditionnés idéologiquement à ne faire que ce qu’Allah leur ordonne.
Aucun recul intellectuel pour évaluer les conséquences de leurs actes.
Dépourvus de tout sens critique, fermés à la voix de la raison et murés dans leurs certitudes comme un fou convaincu qu'il est le Christ en personne.
Un musulman qui raisonne et réfléchit sur le vrai sens de l’islam cesse d’être musulman.
Totalement déconnectés de leur propre vie, ils ne peuvent imaginer le monde autrement que par et pour l’islam. C’est devenu pour eux un véritable organe vital.
En le perdant, ils perdent l’espoir de toucher leur Graal paradisiaque – qui est la pire des choses qui puisse leur arriver.
Pris dans le tourbillon de la peur de l’enfer, ils font de leur vie un enfer sur terre.
Ils se plaignent de l’hostilité grandissante à l’égard de leur religion (qui s’apparente à la famille du bolchevisme et du nazisme), mais à supposer qu’elle subisse cette hostilité, pourquoi se montre-t-elle si agressive, arrogante, exhibitionniste, violente, terrifiante, envahissante, expansionniste ? Pourquoi ses membres s’illustrent-ils par les transgressions des lois de leurs pays d’accueil ?
On juge un arbre à ses fruits. Or, l’arbre musulman est bien loin de donner des fruits propres à la consommation humaine. Comme si on avait planté un arbre fruitier sur un site contaminé.
Le mot islam est devenu une source de peur irrationnelle à cause des images cauchemardesques et angoissantes qu’il envoie de lui-même quotidiennement. Son nom est évocateur de crimes terroristes.
Que les musulmans apprennent à regarder la réalité en face et cessent de crier au complot contre l’islam – le seul complot est celui orchestré par l’islam depuis son avènement. Des rivières de sang et des centaines de millions de vies humaines fauchées sur son chemin.
Ne laissant aucune trace de vie à chacun de ses passages. Pire que le Napalm.
L’islam ne dominera pas le monde : il sera son fossoyeur si rien n’est fait pour l’arrêter dans ses avancées dévastatrices.
Il n’a pas plus de vertus morales que les sectes sataniques, n’est certainement pas un rempart contre la dépravation et la luxure, ni un antidote aux maux de l’humanité.
Est-ce la faute aux détracteurs de l’islam ou la leur si l’islam a le visage de la barbarie humaine ?
Que font les musulmans pour l’humaniser et le pacifier ? Rien! En revanche, ils préfèrent nous saouler avec leur sempiternel refrain « ce n’est pas ça l’islam », alors que l’islam est à la paix ce que le nazisme est à l’humanisme.
L’islam est bien pire qu’ils ne puissent l’imaginer eux-mêmes. On ne peut modifier son ADN.
Ce n’est pas de l’islamophobie – qui est une pathologie psychique qui ne relève guère du Code pénal – que de dénoncer le caractère mortifère de leur dogme qui porte en lui tous les germes destructeurs de la vie sur terre.
Quel vivre ensemble peut-on envisager avec les partisans d’une idéologie suprémaciste, liberticide, hégémonique et intolérante ?
Comment œuvrer pour le bien commun de l’humanité avec des gens qui se prennent pour son nombril et son essence, pour qui il n’y a de vérité que dans l’islam, où toute autre vérité en dehors de la sienne doit être combattue à mort ?
Ils se disent à l’origine de tout sans avoir jamais rien apporté de concret et de positif au reste du monde. Ils sont les premiers à bénéficier des bienfaits apportés par les autres.
Ils n’ont qu’un but, faire tomber le monde dans l’escarcelle de l’islam, pour lui imposer la loi scélérate et criminelle de la Charia.
Leur curseur mental est bloqué en l’an 622, ils ne rêvent que d’une chose : y retourner en empruntant la route humaine à contre-sens, et qu’importent les dégâts provoqués.
En quoi est-ce un délit que de faire tomber le masque d’une idéologie qui instrumentalise le sacré à des fins politiques pour dominer le monde ?
Je ne suis pas un benêt ni atteint de je ne sais quel syndrome, pour éprouver une quelconque sympathie à leur égard.
Je ne combats pas la haine avec la haine, ce serait nourrir leur fonds de commerce de victimisation pathétique. Il est de mon devoir de faire tomber le masque de l’ange de la mort dont ils affublent leur culte.
Si ces gens avaient la culture de l’amour, ils ne se tueraient pas entre eux et ne feraient pas de la mort du non-musulman un idéal pour gagner leur funeste bordel dans l’au-delà.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
par Salem Ben Ammar
Peut-on avoir du respect pour des gens qui voient en nous des pestiférés parce que nous sommes dans le refus de leur dogme ? En toute évidence, c'est non et mille fois non. Un non ferme et définitif. Pas de respect pour ceux qui prennent notre respect pour un du.
Quelle empathie peut-on avoir à leur égard alors qu’ils n’éprouvent aucune compassion pour les victimes des attentats terroristes perpétrés par les leurs, qui suivent à la lettre les préceptes coraniques et la Sunna mahométane ?
Comme si, croire ce en quoi ils croient était une chance pour nous. Quand bien ce serait le cas, libre à nous de ne pas le croire.
Si le salut des hommes était dans leur soumission, ils ne seraient pas les derniers de la classe humaine.
S’ils en sont là aujourd’hui, c’est à cause des freins religieux qui mutilent leurs énergies créatrices et paralysent leurs actions.
Ils sont comme un toxicomane qui vante les bienfaits de sa drogue, inconscient de ses effets néfastes sur son propre état.
Ils sont tellement sous l’emprise de l’islam, à force de le consommer à forte dose du lever au coucher, voire pendant leur sommeil, depuis leur stade fœtal jusqu’à la tombe, qu’ils ont perdu tout contrôle de leurs pensées et n’ont plus de volonté propre.
Allah est à la manœuvre de leur vie et eux agissent comme des O.S. au temps des roulements à billes, répétant inlassablement les mêmes gestes.
Programmés mentalement et conditionnés idéologiquement à ne faire que ce qu’Allah leur ordonne.
Aucun recul intellectuel pour évaluer les conséquences de leurs actes.
Dépourvus de tout sens critique, fermés à la voix de la raison et murés dans leurs certitudes comme un fou convaincu qu'il est le Christ en personne.
Un musulman qui raisonne et réfléchit sur le vrai sens de l’islam cesse d’être musulman.
Totalement déconnectés de leur propre vie, ils ne peuvent imaginer le monde autrement que par et pour l’islam. C’est devenu pour eux un véritable organe vital.
En le perdant, ils perdent l’espoir de toucher leur Graal paradisiaque – qui est la pire des choses qui puisse leur arriver.
Pris dans le tourbillon de la peur de l’enfer, ils font de leur vie un enfer sur terre.
Ils se plaignent de l’hostilité grandissante à l’égard de leur religion (qui s’apparente à la famille du bolchevisme et du nazisme), mais à supposer qu’elle subisse cette hostilité, pourquoi se montre-t-elle si agressive, arrogante, exhibitionniste, violente, terrifiante, envahissante, expansionniste ? Pourquoi ses membres s’illustrent-ils par les transgressions des lois de leurs pays d’accueil ?
On juge un arbre à ses fruits. Or, l’arbre musulman est bien loin de donner des fruits propres à la consommation humaine. Comme si on avait planté un arbre fruitier sur un site contaminé.
Le mot islam est devenu une source de peur irrationnelle à cause des images cauchemardesques et angoissantes qu’il envoie de lui-même quotidiennement. Son nom est évocateur de crimes terroristes.
Que les musulmans apprennent à regarder la réalité en face et cessent de crier au complot contre l’islam – le seul complot est celui orchestré par l’islam depuis son avènement. Des rivières de sang et des centaines de millions de vies humaines fauchées sur son chemin.
Ne laissant aucune trace de vie à chacun de ses passages. Pire que le Napalm.
L’islam ne dominera pas le monde : il sera son fossoyeur si rien n’est fait pour l’arrêter dans ses avancées dévastatrices.
Il n’a pas plus de vertus morales que les sectes sataniques, n’est certainement pas un rempart contre la dépravation et la luxure, ni un antidote aux maux de l’humanité.
Est-ce la faute aux détracteurs de l’islam ou la leur si l’islam a le visage de la barbarie humaine ?
Que font les musulmans pour l’humaniser et le pacifier ? Rien! En revanche, ils préfèrent nous saouler avec leur sempiternel refrain « ce n’est pas ça l’islam », alors que l’islam est à la paix ce que le nazisme est à l’humanisme.
L’islam est bien pire qu’ils ne puissent l’imaginer eux-mêmes. On ne peut modifier son ADN.
Ce n’est pas de l’islamophobie – qui est une pathologie psychique qui ne relève guère du Code pénal – que de dénoncer le caractère mortifère de leur dogme qui porte en lui tous les germes destructeurs de la vie sur terre.
Quel vivre ensemble peut-on envisager avec les partisans d’une idéologie suprémaciste, liberticide, hégémonique et intolérante ?
Comment œuvrer pour le bien commun de l’humanité avec des gens qui se prennent pour son nombril et son essence, pour qui il n’y a de vérité que dans l’islam, où toute autre vérité en dehors de la sienne doit être combattue à mort ?
Ils se disent à l’origine de tout sans avoir jamais rien apporté de concret et de positif au reste du monde. Ils sont les premiers à bénéficier des bienfaits apportés par les autres.
Ils n’ont qu’un but, faire tomber le monde dans l’escarcelle de l’islam, pour lui imposer la loi scélérate et criminelle de la Charia.
Leur curseur mental est bloqué en l’an 622, ils ne rêvent que d’une chose : y retourner en empruntant la route humaine à contre-sens, et qu’importent les dégâts provoqués.
En quoi est-ce un délit que de faire tomber le masque d’une idéologie qui instrumentalise le sacré à des fins politiques pour dominer le monde ?
Je ne suis pas un benêt ni atteint de je ne sais quel syndrome, pour éprouver une quelconque sympathie à leur égard.
Je ne combats pas la haine avec la haine, ce serait nourrir leur fonds de commerce de victimisation pathétique. Il est de mon devoir de faire tomber le masque de l’ange de la mort dont ils affublent leur culte.
Si ces gens avaient la culture de l’amour, ils ne se tueraient pas entre eux et ne feraient pas de la mort du non-musulman un idéal pour gagner leur funeste bordel dans l’au-delà.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Salem Ben Ammar
Ecrit le 01 déc.17, 02:21Salem Benammar
13 h ·
Dans la société arabe pré-islamique, on connaît sa mère mais pas son père. La femme était libre de son corps et pouvait avoir autant d'amants qu'elle voulait. Quand elle tombait enceinte elle faisait venir chez elle tous ses amants parmi lesquels elle choisissait d'office le père de l'enfant à naître. Le patriarcat musulman a porté un coup mortel à la liberté sexuelle des femmes. Pour ce qui est de Mahomet né dans un milieu matriarcal, je m'en remets au seul Allah qui saura mieux vous éclairer que moi à son sujet.
13 h ·
Dans la société arabe pré-islamique, on connaît sa mère mais pas son père. La femme était libre de son corps et pouvait avoir autant d'amants qu'elle voulait. Quand elle tombait enceinte elle faisait venir chez elle tous ses amants parmi lesquels elle choisissait d'office le père de l'enfant à naître. Le patriarcat musulman a porté un coup mortel à la liberté sexuelle des femmes. Pour ce qui est de Mahomet né dans un milieu matriarcal, je m'en remets au seul Allah qui saura mieux vous éclairer que moi à son sujet.
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