Donc, on est bien d'accord: peu importe la façon dont on prononce le nom de Dieu.
Mais, pour vous, c'est important de l'appeller avec un nom, même si on l'appelle Merlin, pourvu que ce soit un nom.
Par contre c'est très gênant de l'appeler "Papa" ou "Père" ou "Seigneur".
Mes enfants m'appellent "papa" et quand ils parlent de moi ils disent "mon Père". S'il m'appellaient par mon prénom, je le leur reprocherais. Mais s'ils m'appellaient d'un prénom de leur invention, je ne leur répondrait même pas.
Moi même je ne me permettrais pas d'appeler mes parents par leur prénom.
Si je parle à mon docteur, je dis "Monsieur" ou "docteur", et quand je parle à mon maire c'est "monsieur le maire", je ne me permettrais pas de l'appeler par son nom. Suis-je d'une époque révolue ?
Ajouté 27 minutes 43 secondes après :
Est-ce que tu as vu quelquepart dans l'écriture que Dieu donne un nom qui n'a pas de signification à quelqu'un ?agecanonix a écrit : ↑30 juil.21, 07:18 Ce que veux Jéhovah, c'est être reconnu pour son nom et par son nom.
il a clamé des dizaines de fois : je suis Jéhovah, c'est là mon nom pour l'éternité.
Tu parles d'une éternité !!!
Non !
Est-ce que tu t'es demandé pourquoi ?
Est-ce que tu t'es posé la question pourquoi Dieu a changé le nom de Abram en Abraham et celui de Jacob en Israël ?
Est-ce pour la graphie ? Pour la prononciation ? Ou pour le sens ?
Est-ce que tu comprends ce que veut dire ce passage:
Exode 23,21 "« J’envoie un ange devant toi+ ...mon nom est en lui.
Est-ce que ça veut dire que l'ange s'appellait YHWH ou est-ce que ce nom était inscrit sur lui ?
Et ici, Malachie 1:
"« “Un fils honore son père+, et un serviteur son maître. Si donc je suis un père+, où est l’honneur qui m’est dû+ ? Et si je suis un maître*, où est la crainte* qui m’est due ?”, vous demande Jéhovah des armées, à vous prêtres qui méprisez mon nom+ !
« “Mais vous dites : ‘Comment avons-nous méprisé ton nom ?’”
7 « “En présentant sur mon autel de la nourriture* souillée.”
« “Et vous dites : ‘Comment t’avons-nous souillé ?’”
« “C’est en disant : ‘La table de Jéhovah+ est méprisable.’ 8 Et lorsque vous présentez en sacrifice une bête aveugle, vous dites : ‘Il n’y a rien de mal à cela.’ Et lorsque vous présentez une bête boiteuse ou malade : ‘Il n’y a rien de mal à cela+.’” »
C'était quoi ce mépris du nom ?
Etait-ce une mauvaise prononciation ?
Etait-ce dans l'expression ?
Ou était-ce l'acte et la pensée du coeur ?
Et encore: Esaïe 52,5
« Que dois-je donc faire ici ? » demande Jéhovah.
« Car mon peuple a été enlevé en échange de rien.
Ceux qui dominent sur lui poussent des cris de triomphe+, déclare Jéhovah,
et constamment, tout au long du jour, on manque de respect à mon nom+.
6 Pour cette raison, mon peuple connaîtra mon nom+ ;
pour cette raison, ce jour-là, ils sauront que c’est moi qui parle.
Oui, c’est moi ! »
Comment pouvaient-ils manquer de respect à un nom qu'ils ne connaissaient pas ?
Tu vois bien qu'il ne s'agit pas du mot, il ne s'agit pas du tétragramme.
Vous en êtes arrivé au point de faire comme les juifs: eux ont effacé le nom divin, et vous vous avez souhaité le mettre sur votre front, mais les motifs sont les mêmes: attachement à la lettre et rejet de l'esprit.