Re: Le personnage
Posté : 08 mai24, 01:24
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@ vic,
Je pense que c'est une mauvaise traduction. Le mot "être"...
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@ vic,
Je pense que c'est une mauvaise traduction. Le mot "être"...
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Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
En tous cas , on comprend suffisamment , même avec le caractère approximatif de la traduction ce qu'il a voulu dire .J'm'interroge a écrit : ↑08 mai24, 01:24 .
@ vic,
Je pense que c'est une mauvaise traduction. Le mot "être"...
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Pour moi les perceptions ne sont en rien duelles. Les affects ne le sont pas plus. Et les représentations imaginales non plus.vic a écrit :"Quand quelqu'un dit " je suis moi même " , elle vie dans la dualité de la perception . Dans l'être on ne peut se reconnaitre , l'entité susceptible de reconnaitre étant disparue"". (Dhiravamsa)
C'est très facile.'mazalée' a écrit : ↑08 mai24, 00:13 En
rappel ici de la définition de mensonge.
Mensonge : Assertion sciemment contraire à la vérité.
Dire un mensonge.
Prouve dzagjirbi que j'ai sciemment prononcé une assertion contraire à la vérité
Si tu ne le peux pas tout ce que tu dis est nul et n'est que du vent...
Je vois que tu n'as rien compris de ma critique ou que tu tentes de l'éluder très maladroitement.
De quel vécu il était question ? Ça tu l'esquives !J'm'interroge a écrit :Si c'est un vécu, tu dois pouvoir le décrire en termes de perceptions, d'affects, de ressentis, et non par des généralités théoriques.
Puis tu donnais l'exemple d'un mal de ventre ou celui du goût d'une pomme.
J'm'interroge a écrit :Je ne te demandais pas une description complète ni même précise...
Moi je dis que tu ne vis pas ce que tu prétends vivre, car tu n'en donnes aucune description. Si tu avais vraiment de tels vécus, tu pourrais les décrire. Puisque tu ne le peux pas même vaguement et maladroitement, c'est que ce ne sont pas des vécus, mais bien de simples croyances que tu as faites tiennes.
J'm'interroge a écrit :Si tu dis que tu as une forte douleur au ventre au niveau de l'estomac et que c'est comme une intense brûlure, tout le monde comprendra. Il serait même possible de détailler encore davantage si besoin..
J'm'interroge a écrit :- H) Comment décrirais-tu par conséquent ce vécu [celui dit de la permanence] ?
gzabirji a écrit : De la même manière que je décrirais le goût de la pomme : de manière très vague et imprécise. Pas le choix.
Mais le point est qu'on sait bien que tu ne le peux pas. Même de manière vague et imprécise. Et cela, pour la raison dite et clairement identifiée par moi.J'm'interroge a écrit : Mais alors fais ! Vas y... Qu'est-ce que tu attends ? Ne te contente pas de dire que tu le ferais de telle ou telle manière... Fais le bon Dieu !
J'm'interroge a écrit :C'est toujours descriptible avec des mots. Même le "bleu" du ciel.
D'ailleurs on peut déjà simplement dire si c'est un goût, un son, un touché, une couleur, une douleur, une sensation de chaud, de froid de picotement, une émotion, un ressenti...
Si ce n'est même pas l'un ou l'autre, ce n'est simplement rien.
* Note : je parlais ici du fait qu'il confond bien vécus et propos théoriques tirés de vécus, notamment quand il parle d'un vécu qui serait celui de la permanence.J'm'interroge a écrit :La gravité c'est une théorie permettant d'expliquer des observations ou expériences diverses que l'on fait.
Donc non ! On n'expérimente pas la gravité, on expérimente des vécus qui s'expliquent plus ou moins bien par cette théorie...
>>>>> Encore une fois tu confonds tout... *
Et non ! Ni toi ni personne n'expérimentez h 24 des choses qui se rapporteraient à cette théorie. Exemple : quand je fais mes papiers, ou dans d'autres situations je n'expérimente rien de la sorte.
De plus, si je prenais un ticket pour la station orbitale, je n'expérimenterais rien qui laisse penser à la gravité... J'expérimenterais au contraire tout un ensemble de choses qui me laisseraient plutôt penser qu'il n'y en a pas... Je me dirais : "Tiens ! Gzabirji dit vraiment de la merde..."... et je rigolerais un bon coup.
Tu racontes donc n'importe quoi et tu confonds bien ce que j'ai dit que tu confonds. *
Je ne vois pas là aucune preuve que j'ai prononcé un mensonge. Soit que j'ai travesti la vérité.gzabirji a écrit : ↑08 mai24, 01:45 C'est très facile.
1- nous avions déjà eu la même discussion sur le mini-tchat voilà quelques semaines, et j'avais déjà répondu la même chose.
2- tu as fourni le lien de la vidéo d'origine, en précisant le timecode de la fameuse phrase sortie de son contexte. Pour parvenir à l'endroit précis de la vidéo où la phrase est prononcée, tu as forcément dû écouter ce que dit Krishnamurti juste auparavant.
Voilà voilà...
Note : étant donné que le libre-arbitre n'est lui aussi qu'une illusion, tu n'es absolument ni coupable, ni responsable des mensonges que tu profères. De même, tu n'es ni coupable ni responsable de t'attaquer à mon personnage ou à n'importe lequel des mes frères et sœurs de l'éveil. C'est simplement le chemin sur lequel tu te trouves, et ça n'empêche absolument pas ta propre évolution spirituelle sur laquelle tu n'as pas le moindre contrôle car elle se produit de manière spontanée, comme pour tout le monde.
De même, je n'ai pas la moindre idée des raisons infinies qui ont pu me conduire à dénoncer tes mensonges, ou à les ignorer la première fois que tu t'y es essayé.
Seule la Conscience est à la manœuvre dans tout ce qui survient, ou plus précisément dans tout ce qui "semble" survenir.
À la question du "pourquoi" nous agissons de telle ou telle manière, la réponse est toujours la même :
Bien à toi.
L'esprit sans référence est duel , non duel , ni duel ni non duel etc ...a écrit :j'minterroge a dit :Il n'y a aucune dualité dans les vécus.
Comme je te l'ai dit dans mon message précédent, ça n'a pas la moindre importance. Tu fais ce que tu fais en fonction de ce que ton propre conditionnement te pousse à faire, et c'est pareil pour tout le monde.
Je ne le dirais plus comme ça.
J'm'interroge a écrit :Il n'y a aucune dualité dans les vécus.
Pour ce qui est de mes vécus, et en ce que j'en comprends : il n'y a plus la moindre dualité.
Ben oui, puisqu'il n'y a plus référence à telle ou telle chose ou tel ou tel principe ou non principe .a écrit :J'minterroge a dit : Pour ce qui est de mes vécus, et en ce que j'en comprends : il n'y a plus la moindre dualité.
J'm'interroge a écrit : ↑08 mai24, 01:50 Et quant au goût de la pomme aussi, mais remettons bien dans le contexte de ma critique
J'm'interroge a écrit : Si c'est un vécu, tu dois pouvoir le décrire en termes de perceptions, d'affects, de ressentis, et non par des généralités théoriques.
gzabirji a écrit : Pas du tout. Il existe une multitude d'exemples de "vécus" qui sont totalement indescriptibles avec des mots, ou alors de manière très vague et maladroite. J'ai déjà évoqué le "mal au ventre", mais je peux élargir à la plupart des expériences de douleur physique. La douleur physique est très difficile à décrire avec des mots, tu n'as qu'à essayer pour voir.
Mais je pourrais également citer l'expérience du "goût". Il existe une infinité de goûts différents, mais les mots pour les décrire se comptent à peine sur les doigts des deux mains. Essaie un peu de décrire précisément le goût de la pomme, tu verras à quel point c'est impossible.
J'm'interroge a écrit : Les goûts aussi se décrivent plutôt bien. Déjà, le fait de dire qu'il s'agit d'un goût c'est un début, ensuite il est également possible de détailler, de comparer, etc..
gzabirji a écrit : De la même manière que je décrirais le goût de la pomme : de manière très vague et imprécise. Pas le choix. Voilà pourquoi l'invitation est toujours de venir soi-même croquer dans la pomme, seul moyen de savoir quel goût elle a.
Au fond des choses , lorsque l'on examine un phénomène,,il est vacuité , c'est à dire qu'il est sans référence .a écrit :Gzabirji a dit : Pas du tout. Il existe une multitude d'exemples de "vécus" qui sont totalement indescriptibles avec des mots, ou alors de manière très vague et maladroite. J'ai déjà évoqué le "mal au ventre", mais je peux élargir à la plupart des expériences de douleur physique. La douleur physique est très difficile à décrire avec des mots, tu n'as qu'à essayer pour voir.
Mais je pourrais également citer l'expérience du "goût". Il existe une infinité de goûts différents, mais les mots pour les décrire se comptent à peine sur les doigts des deux mains. Essaie un peu de décrire précisément le goût de la pomme, tu verras à quel point c'est impossible.
Peut être .Quelque chose m'apparait comme étant un arbre en tous cas .a écrit :j'minterroge a dit : Si je parle par exemple de l'arbre dans le fond de mon jardin, je réfère bien à quelque chose de réel.
Je vois que tu n'as rien compris de ma critique ou que tu tentes de l'éluder très maladroitement.
De quel vécu il était question ? Ça tu l'esquives !J'm'interroge a écrit :Si c'est un vécu, tu dois pouvoir le décrire en termes de perceptions, d'affects, de ressentis, et non par des généralités théoriques.
Puis tu donnais l'exemple d'un mal de ventre ou celui du goût d'une pomme.
J'm'interroge a écrit :Je ne te demandais pas une description complète ni même précise...
Moi je dis que tu ne vis pas ce que tu prétends vivre, car tu n'en donnes aucune description. Si tu avais vraiment de tels vécus, tu pourrais les décrire. Puisque tu ne le peux pas même vaguement et maladroitement, c'est que ce ne sont pas des vécus, mais bien de simples croyances que tu as faites tiennes.
J'm'interroge a écrit :Si tu dis que tu as une forte douleur au ventre au niveau de l'estomac et que c'est comme une intense brûlure, tout le monde comprendra. Il serait même possible de détailler encore davantage si besoin..
J'm'interroge a écrit :- H) Comment décrirais-tu par conséquent ce vécu [celui dit de la permanence] ?
gzabirji a écrit : De la même manière que je décrirais le goût de la pomme : de manière très vague et imprécise. Pas le choix.
Mais le point est qu'on sait bien que tu ne le peux pas. Même de manière vague et imprécise. Et cela, pour la raison dite et clairement identifiée par moi.J'm'interroge a écrit : Mais alors fais ! Vas y... Qu'est-ce que tu attends ? Ne te contente pas de dire que tu le ferais de telle ou telle manière... Fais le bon Dieu !
J'm'interroge a écrit :C'est toujours descriptible avec des mots. Même le "bleu" du ciel.
D'ailleurs on peut déjà simplement dire si c'est un goût, un son, un touché, une couleur, une douleur, une sensation de chaud, de froid de picotement, une émotion, un ressenti...
Si ce n'est même pas l'un ou l'autre, ce n'est simplement rien.
* Note : je parlais ici du fait qu'il confond bien vécus et propos théoriques tirés de vécus, notamment quand il parle d'un vécu qui serait celui de la permanence.J'm'interroge a écrit :La gravité c'est une théorie permettant d'expliquer des observations ou expériences diverses que l'on fait.
Donc non ! On n'expérimente pas la gravité, on expérimente des vécus qui s'expliquent plus ou moins bien par cette théorie...
>>>>> Encore une fois tu confonds tout... *
Et non ! Ni toi ni personne n'expérimentez h 24 des choses qui se rapporteraient à cette théorie. Exemple : quand je fais mes papiers, ou dans d'autres situations je n'expérimente rien de la sorte.
De plus, si je prenais un ticket pour la station orbitale, je n'expérimenterais rien qui laisse penser à la gravité... J'expérimenterais au contraire tout un ensemble de choses qui me laisseraient plutôt penser qu'il n'y en a pas... Je me dirais : "Tiens ! Gzabirji dit vraiment de la merde..."... et je rigolerais un bon coup.
Tu racontes donc n'importe quoi et tu confonds bien ce que j'ai dit que tu confonds. *
Je t'ai déjà proposé plusieurs "mots" qui, bien que très imparfaits, permettent une sorte de description au moins du ressenti profond du vécu de l'éveil spirituel.J'm'interroge a écrit : ↑08 mai24, 02:16Ces vécus sont-ils totalement indescriptibles ou bien sont-ils en fait descriptibles bien que certes de manière vague et maladroite ?