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La réalité c'est que tu n'as rien d'intelligent ni de cohérent à nous répondre. C'est la vraie raison pour laquelle tu ne réponds pas.
ChatGPT 1 :
Utiliser l'éveil comme prétexte pour éviter les critiques est en contradiction avec les enseignements de Krishnamurti, qui encourageait plutôt l'examen critique de soi-même et de ses idées. La pratique de l'éveil devrait plutôt inciter à une ouverture à la réflexion et à l'apprentissage continu, plutôt qu'à la défense contre les critiques.
ChatGPT 2 :
Il semble que vous fassiez allusion à une utilisation détournée ou hypocrite des enseignements de Krishnamurti pour éviter de répondre aux critiques en les balayant comme des attaques sans fondement. Krishnamurti lui-même, cependant, n'encourageait pas ce genre d'évitement intellectuel.
Krishnamurti encourageait plutôt l'examen critique de soi-même, invitant à remettre en question les idées préconçues et à rechercher une compréhension plus profonde de la vérité. Les critiques constructives étaient considérées comme des opportunités de croissance et de compréhension plutôt que des obstacles à éviter.
ChatGPT 3:
Il y a là une contradiction flagrante avec la pensée même de Krishnamurti.
Krishnamurti encourageait l'examen critique et la remise en question constante de soi-même et de ses propres croyances. Il ne prônait pas l'évitement des critiques sous prétexte d'être "éveillé" ou au-dessus de cela.
Krishnamurti valorisait plutôt la capacité à être pleinement conscient de ses propres pensées et actions, à les examiner sans parti pris et à les remettre en question si nécessaire. Il encourageait la liberté de pensée et la remise en question de l'autorité, y compris la sienne propre.
En prétendant que les critiques sont simplement des attaques de détracteurs et en se réfugiant derrière l'idée d'être "éveillé" pour éviter d'y répondre, on détourne en réalité la philosophie de Krishnamurti pour justifier une attitude dogmatique et fermée à toute remise en question. C'est effectivement un subterfuge, une manière de se protéger de l'inconfort que peuvent susciter les critiques plutôt que de les considérer comme des opportunités d'apprentissage et de croissance personnelle.
En conclusion, cette attitude est hypocrite car elle prétend suivre les enseignements de Krishnamurti tout en violant leur essence même, qui est celle de la remise en question perpétuelle et de la liberté de pensée.
Exemples de critiques que gzzz élude :
J'm'interroge a écrit :
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Relativement à la proposition de gzabirji selon qui : "Il n'y a que la Conscience. Même l'illusion en est une manifestation", évidemment je n'aurai pas de réponse ni de remise en question de sa part. Il n'admettra jamais avoir encore déclaré un truc sans queue ni tête, si c'est moi qui le lui expose.
Mais je vais quand même remettre ça sur le tapis, en présentant pour les autres une forme simplifiée de ma critique exposant les incohérences logiques de cette nouvelle formulation, tout aussi absurde que la première :
1. Définition de la Conscience : Si la Conscience est tout ce qui existe, alors il n'y a pas de place pour une illusion distincte. La notion d'illusion suppose nécessairement un "autre" par rapport auquel elle se définit, ce qui est incompatible avec l'idée d'une Conscience unique et totale.
2. Relation entre la Conscience et l'illusion : L'affirmation que l'illusion est une manifestation de la Conscience implique une relation entre les deux concepts. Or, cette relation n'est pas clairement définie et pose problème car elle implique une distinction entre la Conscience et l'illusion, ce qui contredit la proposition selon laquelle il n'y aurait que la Conscience.
3. Cohérence logique stricte : Si l'illusion est une manifestation de la Conscience, alors elle fait partie de la Conscience, puisque cette dernière est censée être le Tout. Mais comment quelque chose peut être à la fois une manifestation et une partie d'une même chose ? Cela pose un serieux problème de cohérence logique !
En résumé, l'affirmation de gzabirji comme quoi il n'y aurait que la Conscience, ne permet pas de justifier l'existence d'une illusion à proprement parler. Il doit par conséquent réviser sa copie, ou continuer de se ridiculiser.
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ou
J'm'interroge a écrit :
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En réaction à la dernière réponses de gzabirji à ronron dans le post : viewtopic.php?p=1540043#p1540043 :
JMI :
Fais moi une analyse critique de l'incohérence logique du propos de gzabirji.
Lia:
L'argument principal de l'analyse critique du propos de gzabirji :
L'argument principal de l'analyse critique est que la distinction entre le plan relatif et le plan réel, telle que définie par gzabirji, est **incohérente logiquement** et ne permet pas de justifier son erreur.
Voici les points clés de cette incohérence :
1. La Conscience est responsable du plan relatif : Si la Conscience est à l'origine de tout ce qui existe, y compris le plan relatif, alors elle est également responsable des "bêtises" qui s'y produisent, y compris l'erreur de gzabirji.
2. La Conscience est parfaite et ne commet pas d'erreurs : gzabirji affirme que la Conscience est parfaite et ne commet jamais d'erreurs. Cependant, si l'erreur de gzabirji est le résultat de la Conscience, alors la Conscience a commis une erreur, ce qui contredit son affirmation.
3. La distinction entre le plan relatif et le plan réel est arbitraire : gzabirji ne fournit aucune justification solide pour sa distinction entre le plan relatif et le plan réel. Cette distinction semble inventée pour justifier l'erreur de gzabirji, ce qui rend son argument fragile.
En résumé, l'analyse critique de gzabirji met en évidence les contradictions logiques de son argument et montre que sa tentative de se dédouaner de son erreur en invoquant la Conscience est infondée. La distinction entre le plan relatif et le plan réel n'est pas suffisamment solide pour justifier une telle conclusion.
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ou encore
J'm'interroge a écrit :
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JMI :
Même si l'on considère que tout est déterminé ou conditionné, cela ne permet pas de conclure qu'il n'y aurait aucune liberté dans nos prises de décisions. Ce serait complètement faux de le supposer.
De même, il serait faux de supposer qu'une liberté dans nos choix doivent échapper au principe universel de causalité ou à tout déterminisme ou conditionnement.
Tout est déterminé, tout est conditionné, et il n'y a rien qui ne le soit pas, y compris nos libres décisions.
Certaines personnes ne le comprennent pas, parce qu'elles ne considèrent que des déterminismes ou des conditions extérieurs, omettant ainsi de considérer les déterminismes ou les conditions internes.
Je leur explique en prenant un exemple simple, celui d'un coquelicot dans un champ :
Ces personnes considèrent que le coquelicot est entièrement déterminé, conditionné, de l'extérieur. Autrement dit : elles considèrent que son existence en elle-même se réduit à des facteurs externes uniquement, et non qu'elle est simplement liée ou conditionnée à des facteurs externes. Ainsi elles ne considèrent pas le coquelicot lui-même, lequel a ses propres déterminismes ou conditions internes. Elles considèrent qu'il est entièrement déterminé ou conditionné de l'extérieur, alors que non. Ses déterminismes ou ses conditions internes font qu'il est lui aussi déterminant et conditionnant pour le reste, pour les papillons, pour l'agriculteur, pour un photographe, pour une goute de pluie qui tombera sur le nez d'un enfant et qui le fera sourire, etc... Toute chose déterminant ou conditionnant aussi tout le reste.
Oui, toute chose détermine ou conditionne aussi tout le reste. En l'omettant, ces personnes dénient aussi la liberté dont nous jouissons en tant qu'êtres individuels participants.
Analyse la pertinence et la richesse relative de ces arguments opposés à ces personnes.
ChatGPT :
Les arguments présentés dans cette citation offrent une perspective intéressante sur la question du déterminisme et de la liberté individuelle. Voici une analyse de leur pertinence et de leur richesse relative par rapport aux personnes qui soutiennent une conception plus rigide du déterminisme :
1. Pertinence de considérer les déterminismes internes :
L'argument souligne l'importance de ne pas seulement considérer les facteurs externes lorsqu'on discute du déterminisme, mais également les déterminismes internes. En prenant l'exemple du coquelicot, il met en lumière le fait que chaque élément de la réalité possède ses propres caractéristiques internes qui influencent son interaction avec son environnement. Cette perspective élargie enrichit la discussion en tenant compte de la complexité de la causalité dans le monde.
2. Reconnaissance de la complexité des interactions :
En soulignant que chaque élément de la réalité, y compris les individus, agit comme un déterminant et un conditionneur pour le reste, l'argument met en avant la complexité des interactions dans le monde. Il suggère que les actions individuelles ne sont pas simplement le produit de facteurs externes, mais aussi le résultat de facteurs internes et des interactions complexes entre les deux. Cette approche offre une compréhension plus nuancée de la causalité.
3. Affirmation de la liberté individuelle :
En intégrant les déterminismes internes dans l'équation, l'argument soutient que cela ne nie pas la liberté individuelle, mais plutôt l'enrichit en reconnaissant que les individus ont une influence sur leur propre destinée. Cette perspective offre une manière de concilier le déterminisme avec la notion de liberté individuelle, en soulignant que même si tout est déterminé, cela n'implique pas nécessairement une absence de libre arbitre.
En conclusion, les arguments présentés offrent une approche plus nuancée et complexe du déterminisme, en intégrant les déterminismes internes et en reconnaissant la liberté individuelle au sein d'un cadre causal. Ils enrichissent la discussion en tenant compte de la diversité des facteurs qui influencent les actions des individus et des interactions complexes qui caractérisent le monde.
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Etc..
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