Re: Question à propos de 1914
Posté : 18 janv.15, 06:33
VENT a écrit :"marco ducercle" DE 45 à 90, y a quoi comme guerre? Puisqu'une bataille n'est pas une guerre, suivant vos critères qui changent tout le temps.
"VENT"
Ces organisations terroriste ont pris leur source avec le partage des territoires de la palestine et la création d'un état d'Israël. Or ce partage des territoires à été le résultat de la première guerre mondiale pour l'hégémonie en 1914.
Dans l'hypothèse que ta théorie pourrait être mise en balance avec la première guerre mondiale en 1914, pourquoi ces dates et guerre que tu mentionnes ne sont pas considéré comme étant la date de l'intronisation de Jésus en 1870 ? pourquoi non seulement Russel mais aussi Jonas Wendell, George Stetson, George Storrs et Nelson Barbour, n'ont pas cité 1870 comme la fin des temps des gentils et le début des temps des nations ? N'était -il pas plus simple d'annoncer la date de 1870 donc il voyaient les événements en temps réelle que d'annoncer la fin des temps des gentils pour 1914 soit 34 ans avant ?marco ducercle a écrit : C'est bien ce que dis, les criteres changent tout le temps. Maintenant, ce qui compte c'est le lien de cause a effet. La défaite de la France contre la Prusse(ce n'était pas encore l'Allemagne) en 1870 vont etre un élément déterminent a 14/18 : Paris est assiégée dès le 19 septembre, et tombe le 29 janvier 1871. Le gouvernement doit demander l'armistice : les préliminaires de paix ont lieu à Versailles, le traité sera signé à Francfort le 10 mai 1871. La sanction est lourde : l'Empire Allemand (dont l'unité autour du roi de Prusse, devenu Empereur ou Kaiser, a été proclamée dans la Galerie des Glaces du palais de Versailles) pose les exigences suivantes : - Toute l'Alsace et une partie de la Lorraine deviendront un "Reichland", territoire de l'Empire Allemand - la France reconnaît devoir à l'Empire Allemand la somme de 5 milliards de francs(-or!)
jv chap. 10 p. 134 Ils grandissent dans la connaissance exacte de la vérité (extrait)
LES TÉMOINS DE JÉHOVAH n’ont pas cherché à introduire de nouvelles doctrines, un nouveau genre de culte, une nouvelle religion. Par contre, leur histoire moderne fait apparaître leurs efforts consciencieux pour enseigner le contenu de la Bible, la Parole de Dieu. C’est la Bible qui est le fondement de toutes leurs croyances et de leur mode de vie. Plutôt que de forger des croyances qui refléteraient les tendances permissives du monde actuel, ils cherchent à se conformer de toujours plus près aux enseignements bibliques et aux pratiques du christianisme du Ier siècle.
Au début des années 1870, Charles Russell et ses compagnons ont entrepris d’étudier la Bible très sérieusement. Force leur fut de constater que la chrétienté avait largement dévié des enseignements et des pratiques du christianisme primitif. Frère Russell n’a pas affirmé avoir été le premier à discerner cela, et il a reconnu franchement être redevable à d’autres personnes pour l’aide qu’elles lui avaient apportée durant ses premières années d’étude des Saintes Écritures. Il a parlé avec reconnaissance du bon travail que divers mouvements de la Réforme avaient accompli dans le but de faire davantage briller la lumière de la vérité. Il a cité par leurs noms des hommes qui étaient ses aînés de plusieurs années: Jonas Wendell, George Stetson, George Storrs et Nelson Barbour, lesquels ont personnellement et de différentes façons contribué à sa compréhension de la Parole de Dieu.
Il a également dit ceci: “Les doctrines que nous soutenons et qui, elles aussi, semblent si récentes, si neuves et si différentes, ont été déjà soutenues d’une certaine manière longtemps avant nous: L’élection, la grâce gratuite, le rétablissement de toutes choses, la justification, la sanctification, la glorification et la résurrection, par exemple.” Il n’était pas rare, toutefois, qu’un groupe religieux se distingue par une compréhension plus claire d’une vérité biblique, un autre groupe par une autre vérité, et ainsi de suite. Bien souvent, ces groupes n’arrivaient pas à progresser davantage parce qu’ils étaient empêtrés dans des doctrines et des credos imprégnés des croyances qui avaient eu cours dans la Babylone et dans l’Égypte antiques ou qui étaient empruntées aux philosophes grecs.
jv chap. 10 p. 134 Ils grandissent dans la connaissance exacte de la vérité (extrait)
La fin des temps des Gentils
Depuis longtemps, la question de la chronologie biblique intriguait beaucoup ceux qui étudiaient la Bible. Des commentateurs avaient émis une kyrielle d’avis sur la prophétie de Jésus relative aux “temps des Gentils” et sur le compte rendu, fait par le prophète Daniel, du rêve relatif à une souche d’arbre liée pour “sept temps”. — Luc 21:24, Sa; Dan. 4:10-17.
Dès 1823, John Brown, dont l’œuvre a été publiée en Angleterre, à Londres, a calculé que les “sept temps” de Daniel chapitre 4 correspondaient à une durée de 2 520 ans. Mais il n’a pas discerné clairement la date à laquelle la période prophétique avait commencé ou quand elle s’achèverait. Il a toutefois fait le lien entre ces “sept temps” et les temps des Gentils de Luc 21:24. En 1844, E. Elliott, ecclésiastique britannique, a désigné 1914 comme une date possible pour la fin des “sept temps” de Daniel, mais il a aussi proposé une autre solution qui donnait la date de la Révolution française. En 1849, Robert Seeley, de Londres, a résolu le problème d’une façon semblable. Enfin, vers 1870, une publication de Joseph Seiss et de ses collaborateurs, imprimée à Philadelphie (Pennsylvanie), présentait des calculs qui faisaient de 1914 une date importante, même si le raisonnement qu’elle contenait partait d’une chronologie que Charles Russell a écartée par la suite.
Puis, dans les numéros d’août, de septembre et d’octobre 1875 du Herald of the Morning, Nelson Barbour a aidé à harmoniser les détails que d’autres avaient signalés. En utilisant une chronologie compilée par Christopher Bowen, ecclésiastique anglais, et publiée par E. Elliott, Nelson Barbour a fait coïncider le début des temps des Gentils avec le détrônement de Sédécias annoncé en Ézéchiel 21:25, 26, et il a indiqué que 1914 marquerait la fin des temps des Gentils.