tony-truand a écrit :...
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une espèce A va être éloignée de tant de l'ancêtre commun C. Idem pour une espèce B. L'éloignement entre A et B est donc l'addition de ces deux éloignements. Donc pas étonnant que A et B soit plus distant sur le plan génétique que A de C et B de C.
Et puis de toute façon je n'ai pas dit de tel chose, c'est toi qui me les fait dire, comme d'hab. Mais comme tu en parle, je t'explique.
Ah, faut vraiment faire dans le basique de chez basique avec toi! Tu veux qu'on fasse la table de deux aussi?
Et quel est le nom de chaque lignée???? Nous ne devons pas faire des mathématiques ou de l’algèbre!!!!!!!!!!! Ce procédé est abstrait et démontre que la réalité ne fait pas figure de saisies....... Il faut nommer les lignées Tony, avec des noms concrets si elles existent!!!!!!!!!
Et pour
maddiganed et
Faleen:
De bonne foi???? Maddiganed tu reconnais donc qu’il y a de la valeur d’être de “bonne foi”.... Et Faleen, tu dis:
C'est une question d'a-priori : ils ne VEULENT pas croire.
Tu aurais + de chances en remettant en cause la genèse.
Je pensais que nous ne devions pas “être de bonne foi en science”..... mais que nous devions prouver!!!!!!!..... Tu avoues donc que telle ou telle affirmation de “la science” n’a pas été prouvée, mais qu’il faut quand même y croire......!!!!!!!!!
Continuons en attendant sur
la réponde de l’oeuf et de la poule proposée par Reeves:
Dans la dernière intervention nous lisions donc (selon Reeves) que:
des cellules “
inventent”.... que des ancêtres lointains de la poule “
mettent au point la reproduction sexuelle” ....... Et pour couronner le tout il dit: “nous avons résolu le problème”............
J’espère que vous avez compris mes points d’
??????????? C’est là un langage anthropomorphique et métaphysique.... Ce n’est pas de la science expérimentale.... comme le sous-entendent trop bien les évolutionnistes....
SUITE: (ce qui élucidera mon point de vue):
Grâce au cadre historique de l’évolution, nous avons résolu un problème qui paraissait insoluble. Ce succès nous suggère une démarche. Utilisant la même clef que pour aborder le problème, du nombre et du nombrant, nous sommes amenés à nous poser un certain nombre de questions. Quel est l’ancêtre commun, le germe conjoint du nombre et du nombrant? Comment les deux se différencient-ils au cours du temps? Comment coévoluent-ils pour prendre leur forme actuelle?
Quelle forme prend le nombre quand le nombrant n’existe pas? N’oublions pas que dans cette forme primitive—–– quelle qu’en soit la nature —— le nombre est “opérationnel”, depuis les temps les plus anciens de l’Univers. Il y a 200 millions d’années, la Terre, peuplée de dinosaures anlphabètes, gravitait impassible autour du Soleil. Elle obéisssait aveuglément à “ce” qui allait devenir les lois de Newton.
Les leçons apprises dans le poulailler nous suggèrent une analyse historique des relations entre la pensée et le cosmos.
note perso:
donc il part du poulailler qu’il croit avoir résolu, pour entrer dans l’explication de la formation de l’Univers....
Essayons d’en établir la chronologie[/color]. On peut donner des dates à l’apparition des objets traités par les divers sciences. Cela se présente de la façon suivante.
L’Univers d’il y a 15 milliards d’années était très différent de l’Univers contemporain. On peut comparer l’état de la matière d’alors à une purée indifférenciée de particules élémentaires. Cette matière antique et les foces qui s’y déploient s’étudient avec les méthodes traditionnels de la PHYSIQUE.
Dans cette purée primitive il y a ni atomes ni molécules, l’hydrogène aparaît 1 million d’années plus tard. La chimie moléculaire doit attendre l’apparition des premiers atomes lourds.
Or, pour fabriquer ces atomes, il faut d’abord faire des étoiles. Puis attendre que ces étoiles achèvent leurs existences. À leur mort, elles libéreront dans l’espace la panoplie des noyaux lourds engendrés dans leur coeur torride. De ces noyaux naîtront les premiers atomes lourds et, par leurs combinaisons, les premières molécules complexes. Au bas mot, il faut compter plusieurs centaines de millions d’années avant de voir la chimie cosmique entrer dans une phase active...
À SUIVRE
note: Hubert Reeves n’est pas athée... Je ne m’oppose pas à ce qu’il dit...
Je veux seulement démontrer que comme tout “bon scientifique” , Reeves, (comme scientifique) n’arrive pas à donner une définition scientifiquement acceptable sur les origines... Cela ne se peut pas, et que toute élucubration de tentatives tendent à l’anthropomorphismes des éléments et à la métaphysique.....