a écrit :J'minterroge a dit ; Nous sommes d'accord, mais gzabirji et les "illuminés" comme lui qui véhiculent ce genre de croyances, ne sont pas à une absurdité près...
vic a écrit : ↑18 juin24, 21:32
En effet .
Le seul truc qu'ils utilisent c'est le biais de confirmation .
Ils disent "on est plusieurs à penser et croire en la même connerie , donc c'est qu'on a raison" .
C'est comme le biais de confirmation du conspirationnisme dont Gzabirji et tout aussi friand .
Oui, c'est son principal pseudo-argument. Qu'il en soit réduit à toujours y recourir est très révélateur.
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vic a écrit : ↑18 juin24, 21:44
Ah Ok , donc ton gif (...) est un témoignage de ce que vous vivez .
gzabirji a écrit : ↑18 juin24, 21:54
Une illustration de ce dont nous témoignons. Les mots sont soigneusement choisis.
Mais vous ne témoignez de rien. Vos soi disant "témoignages" n'en sont en rien. Ce ne sont que des affirmations générales et abstraites ne correspondant à aucun vécu réel. On les attends toujours vos témoignages...
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vic a écrit : ↑18 juin24, 22:00
On en est à 500 pages .
gzabirji a écrit : ↑18 juin24, 22:09
Pas encore, mais on y arrivera sans doute bientôt, au rythme où les haters participent.
Il n'y a de "haters" que dans ta tête. Tu te donnes beaucoup trop d'importance. Porter un jugement critique sur tes affirmations et prétentions n'est en rien de la haine, nous qualifier de "haters" ce n'est encore que l'un de tes subterfuges.
Ad Hominem (attaque personnelle) :
gzabirji utilise le terme "haters" pour qualifier ceux qui critiquent ses affirmations. C'est une forme d'attaque personnelle car le terme "hater" a une connotation négative, suggérant que ces critiques sont motivées par la malveillance ou l'envie, plutôt que par des préoccupations légitimes ou des désaccords rationnels. En qualifiant les critiques de "haters", gzabirji cherche à discréditer les personnes qui émettent ces critiques plutôt que d'aborder le contenu de leurs arguments.
gzabirji ne répond pas aux arguments ou aux points spécifiques soulevés par les critiques. Au lieu de cela, il attaque les motivations des personnes, ce qui détourne l'attention du débat sur le fond des questions soulevées.
Ce sophisme empêche un débat constructif en dévalorisant automatiquement les critiques, créant une barrière émotionnelle qui empêche l'examen objectif des arguments présentés.
Procès d'intention :
gzabirji présume que les critiques sont motivées par la haine, ce qui est une supposition non fondée sur des preuves objectives. Cela revient à attribuer des intentions malveillantes aux critiques sans évaluer les arguments ou les raisons de ces critiques.
En attribuant cette intention de haine, gzabirji évite de répondre aux arguments spécifiques et se concentre plutôt sur une attaque contre les motivations des critiques. Cela détourne l'attention des points soulevés et empêche une discussion rationnelle et objective.
Généralisation Abusive :
gzabirji fait une généralisation abusive en regroupant tous les critiques sous le terme "haters". Cela signifie qu'il considère toutes les critiques comme étant de nature malveillante, sans tenir compte des nuances et des différentes motivations possibles derrière les critiques.
Cette généralisation ignore la possibilité que certaines critiques puissent être constructives et basées sur des préoccupations légitimes ou des désaccords rationnels.
En qualifiant tous les critiques de "haters", gzabirji simplifie à l'extrême une situation complexe, ce qui peut mener à des conclusions erronées et à un rejet injustifié de critiques potentiellement valables.
Fausse Dichotomie (faux dilemme) :
En utilisant le terme "haters", gzabirji crée une fausse dichotomie en suggérant implicitement qu'il n'y a que deux types de personnes : celles qui le soutiennent inconditionnellement et celles qui le détestent (les "haters").
Cette approche ignore la possibilité d'un spectre de positions où les gens peuvent être en désaccord avec certaines affirmations tout en n'étant pas nécessairement malveillants ou haineux.
Elle simplifie indûment le débat en réduisant la complexité des opinions et en excluant les critiques modérées ou constructives.
Épouvantail :
En utilisant le terme "haters", gzabirji peut également être accusé de créer un épouvantail (ou homme de paille). Il caricature les critiques comme étant irrationnellement négatives et motivées par la haine, ce qui est plus facile à rejeter que de répondre aux critiques réelles et peut-être plus nuancées.
En dépeignant les critiques comme des "haters", gzabirji présente une version exagérée et déformée des positions de ses opposants, ce qui rend leurs arguments plus faciles à attaquer.
Cette stratégie détourne le débat des véritables questions soulevées et empêche un échange honnête et approfondi des idées.
Conclusion :
En combinant ces sophismes, gzabirji évite de traiter les critiques de manière rationnelle et constructive. Cette approche nuit à la qualité du débat en transformant une discussion potentiellement enrichissante en une confrontation émotionnelle et polarisée.
Pour un débat productif, il serait plus efficace de répondre directement aux arguments soulevés et de reconnaître la diversité des motivations et des perspectives des critiques.
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l_leo a écrit : ↑18 juin24, 22:47
Son créneau, d’après un gif récent : venez dans mon « épicerie « , pour ne plus souffrir.
On fait ce que l’on peut pour attirer le monde, n’est-ce pas ?
Il y aura toujours de pauvres erres pour se laisser attraper...
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Ajouté 7 minutes 28 secondes après :
Ah oui j'oubliais, si une critique est trop argumentée et détaillée, il esquivera en prétextant que c'est une production mentale, et qu'en tant qu' "éveillé" il est au-delà du mental...
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