@ VENT,
A quoi bon répondre à ton long dernier post, puisqu'il n'apporte
strictement rien au débat qui nous intéresse. En effet, tu te contentes d'y contredire ce que j'avance sans le plus petit argument ni le moindre esprit critique, sans même une citation de la Bible qui appuierait ce que tu avances, y cherchant à me faire dire ou à m'attribuer des pensées qui ne sont pas les miennes et à dénigrer...
Tu parles de mes convictions ou absence de conviction personnelles concernant la pertinence des paroles bibliques dans la réalité, convictions ou absence de conviction que tu ne connais d'ailleurs pas, puisque je n'en parle pas, refusant de le faire pour la simple et très bonne raison que mon avis personnel n'est pas le sujet de ce fil, celui-ci étant ce que dit effectivement la Bible sur l'âme, preuve à l'appuie.
Tu en arrives même à détourner la Parole de Dieu à des fins idéologiques...
En fait, tu te fiches éperdument de ce que dit le livre Saint! Ce qui compte pour toi étant ce que dit le CC des TJ, qu'il ne faut absolument pas contredire même si ce qu'il dit est contraire à ce qu'enseigne la Bible, de laquelle il se réclame pourtant, en parole...
Pourquoi en outre te répondre puisque tu ne réponds pas à la demande pourtant légitime que je t'ai adressée:
J'm'interroge a écrit :>>>>> Revenons donc à la Parole de Dieu et comme je t'y ai déjà gentiment invité, explique moi plutôt en détail comment tu comprends les passages que j'ai cités plus en amont, avec toute l'argumentation requise!
Mais tu préfères faire diversion avec l'épisode de la mort de Lazare que par ailleurs je ne nie pas, dont je n'ai jamais dit qu'il aurait pu s'en relever de lui-même etc...
-----> Tes œuvres!? Je les vois donc très bien tes œuvres!
Jésus lui-même parle de la mort de Lazare comme d'un SOMMEIL:
"il s'est endormi" dit-il! Il n'a pas dit par exemple:
"il est retourné au néant" ou
"il est dans le souvenir de Dieu".
N'est-ce pas?
Et la mort de Lazare est un sommeil "
particulier" car c'est bien de la
mort dont il s'agit!
Je ne souligne que cette vérité, le terme que Jésus emploie, rien de plus: je ne fais pas dire à cette parole plus que ce qu'elle dit explicitement, ni n'essaye contrairement à toi de tirer le sens des mots dans une acceptation restreinte, ce que seul justifie un désir de concordance avec une vision bien arrêtée, celle des TJ. Cette parole de Jésus n'est pas anodine il convient de la respecter en ne l'éludant pas aussi rapidement que tu le fais. Car dans tes lignes, tu montres que tu n'en tiens tout simplement pas compte.
Cette parole de Jésus n'est pas une preuve formelle de la survie de l'âme, elle appuie en effet le fait que Lazare sera "réveillé" par Jésus. Mais elle n'est certainement pas une preuve du contraire! Car elle va plutôt dans le sens d'une mort qui ne serait pas un "néant" pour le défunt - ne t'en déplaise! -, le sommeil n'étant qu'un état transitoire et donc certainement pas un anéantissement.
Si donc cette parole de Jésus n'est pas une preuve pour ce qui est de la survie de l'âme, elle ne l'interdit cependant absolument pas, ce serait même le contraire.
Pour ce qui est de nous renseigner quant au sujet qui nous intéresse ici, je le reconnais cependant volontiers, c'est un élément biblique qui doit être considéré comme assez secondaire, car il ne permet pas de trancher à lui seul, ni dans un sens, ni dans l'autre. Il est néanmoins important de le conserver comme pièce à conviction renforçant les autres éléments avancés plus en amont, qui eux constituent des preuves incontournables. Si incontournables d'ailleurs que tu n'oses même pas les aborder, sans quoi tu serais contraint de reconnaître toi-même ton erreur.
>>>>> Si donc tu revenais à la parole de Dieu comme je t'y invite - à TOUTE la Parole de Dieu! - et que tu tentais l'exercice que je te propose: m'expliquer en détail comment tu comprends les passages que j'ai cités, ceux dont tu ne parles jamais, avec toute l'argumentation requise, peut-être reviendrais-tu à ce que dit réellement la Bible, et à une position un peu plus humble.
Conseil: fais cela plutôt que de t'attaquer à mes convictions (ou absence de conviction) qui ne te regardent pas et que de toute façon: tu serais sans nul doute bien incapable de juger!