Richard Dawkins a mentionné dans son ouvrage quelques maigres études pseudo-scientifiques pour étayer ses affirmations. Ce ne sont que des foutaises, car qu'en est-il des athées religiophobes dans les pays communistes qui ont massacré et torturé des millions de personnes ?
D'ailleurs son propre comportement contredit les conclusions mensongères auxquelles il espérait parvenir, à savoir que son comportement sectaire, agressif et égocentrique contredit ses propres affirmations. Son livre est constamment truffé de sophismes, de mensonges, de confusions, d'erreurs et de contradictions. Ceux qui se réfèrent constamment à son ouvrage pour étayer leurs propres croyances irrationnelles ont donc mis de côté (ou étouffer) tout esprit critique et tout honnêteté en lisant son ouvrage.
Pour les autres études pseudo-scientifiques :
Vous oubliez déjà que la morale se base sur la religion, et que l'athéisme postule (implique ou abouti, peu importe) l'a-moralité, donc l'absence de morale, qui peut être par la suite comblée par des valeurs perverties, mauvaises, contradictoires, immorales, arbitraires, personnelles et non-universelles, etc. Heureusement, des athées s'inspirent partiellement des valeurs morales religieuses.
L'étude du contexte est très important, de même que les finalités et les actions perverses commises par des individus criminels et pervertis. Cela change totalement de honnêtes gens pacifiques. Il est vrai que dans la Bible, certains passages sont confus et probablement altérés ou imprécis (absence de contexte) par les fautes ou imprécisions des traductions effectuées. Dans le Qur'ân par contre, rien de tout cela n'existe, et l'étude de George Tamarin se serait révélée être un échec.
Il suffirait de citer le fait que plusieurs ex-athées ou non-pratiquants qui étaient violents, agressifs et ignorants, ont su, après avoir embrassé une tradition spirituelle, devenir des gens respectueux, courtois, instruits, doux, pieux et sages. Ces faits ne manquent pas (ils se comptent par millions). On se demande alors si les gens qui affirment le contraire ne seraient pas des idiots (utiles ? pour certaines propagandes...) ou des gens foncièrement malhonnêtes ?
Pour les autres études mentionnées, encore faut-il savoir si les procédés étaient honnêtes et objectifs, car l'omission d'un seul facteur peut compromettre toute une conclusion.
Aucune vérité confirmant les conclusions fallacieuses des études mentionnées n'est présente dans vos maigres références. D'autres références scientifiques démontrent l'opposé de vos prétentions.
Ce que ne précise par votre étude, c'est de savoir s'ils se revendiquaient croyants et pratiquants, car théoriquement beaucoup se disent croyants mais se comportent comme des "athées" (il ne s'agit pas d'attaques personnelles, car en tant que personne, chacun mérite le respect, mais de constater les aboutissants "logiques" de ce qu'engendrent naturellement l'athéisme poussé au bout de ses propres postulats ; là aussi il faut distinguer différentes catégories : athées fanatiques, athées modérés, ou des athées/agnostiques qui ne le sont pas en vérité : déistes, panthéistes, théistes sans pratique ni religion particulière, etc.). Une autre absence de précision est le fait que beaucoup de détenus n'étaient pas vraiment croyants avant d'entrer en prison, et que c'est justement après leur incarcération, qu'ils ont retrouvé la foi ; car aucun obstacle d'ordre matériel et illusoire (perte de temps inutile, attachements matériels futiles et illusoires, etc.) ne se dressait face à eux-même (donc ayant plus de temps pour méditer, réfléchir, se remettre en question, etc.). ils retrouvent une sorte de réalité dévoilée, correspondant au Divin et au repentir ainsi qu'au regret, donc à une remise en question et aspirent à une meilleure vie. De plus, la plupart des prisonniers (certains sont emprisonnés de façon arbitraire et totalement injustifiable) sont des alcooliques, des drogués, des trafiquants d'arme, des meurtriers (pour différents mobiles : jalousie, argent, société corrompue et patrons esclavagistes, etc.) ; or, tout cela ne correspond en rien aux religions, étant donné que celles-ci luttent contre ces fléaux.
De même, les taux les plus élevés de vol, de viol, de violence sexuelle (contre les femmes ou même les hommes battus) et de pédophilie se trouvent dans les pays séculiers.
Les auteurs malhonnêtes (?) ou incompétents (?) des études que avez mentionné oublient également le fait que certaines causes nobles peuvent être instrumentalisées par des personnes hypocrites et matérialistes dans les faits, pour atteindre des objectifs très mondains : argent, gloire, domination politique, etc. que les religions rejettent (puisqu'elles condamnent la tyrannie, l'avidité, la luxure, la corruption, etc.). D'ailleurs l'Eglise elle-même n'était pas toujours corrompue et oppressante. Ce n'est que quelques siècles plus tard que certaines autorités chrétiennes renouèrent avec la mentalité impérialiste de la société romaine pré-chrétienne, aux ambitions souvent variées et contradictoires : matérialisme, despotisme politique, etc.
Aujourd'hui par contre, dans l'aboutissement "naturel" des postulats modernes (athéisme, capitalisme, anti-théisme, nihilisme, communisme, démocratisme, laïcisme, etc.), c'est au nom et pour ses idéologies-là, que des millions de morts ont péri au cours de ses trois derniers siècles, sur tous les continents habités.
Les Britanniques ont envahi 90% des pays du monde
Les Britanniques viennent d’être sacrés champions toutes catégories de l’impérialisme. Les Romains, les Ottomans ou l’URSS font pâle figure à côté du bilan de l’Empire britannique: les Anglais auraient envahi 90% des pays du monde au cours de l’Histoire, rapporte The Telegraph.
Ce constat vient d’un nouveau livre écrit par un certain Stuart Laycock. Ce Britannique est allé dans tous les pays du monde, dans l’ordre alphabétique, afin d’y chercher des traces d’une présence militaire anglaise au cours de l’Histoire. Les résultats sont édifiants.
Seulement 22 pays, dont la plupart sont de petites puissances telles que le Luxembourg, la Suède, le Vatican ou encore Monaco, n’ont jamais eu de contacts militaires avec les armées de Sa Majesté. Même si la plupart des pays n’étaient pas des colonies britanniques officielles, elles sont tombées sous influence britannique de différentes manières, explique The Telegraph:
«Le reste (des pays considérés comme envahis) a été inclus car les Britanniques y ont eu une forme de présence militaire –même passagère– soit par la force, la menace de la force, la négociation ou le paiement.»
The Telegraph remarque que les invasions de certains pays sont peu connues du grand public telles que celle de l’Islande en 1940 après que l’île (d’une grande importance stratégique car située entre les Etats-Unis et l’Europe) décide de rester neutre dans le conflit entre Alliés et Axe. Le Vietnam, traditionnellement associé aux Etats-Unis et dans une moindre mesure à la France, a également subit plusieurs incursions britanniques depuis le XVIIe siècle.
Devinez quelle nation à l’honneur d’avoir été la plus envahie par les Anglais? La France bien sûr. La France qui est d’ailleurs la seule autre nation selon Stuart Laycock qui pourrait arriver à un bilan impérial comparable.
La seule? Pas pour The Atlantic Wire qui, non sans une pointe de jalousie, remet en cause la méthode de l’auteur:
«L’auteur a pris quelques libertés avec la définition d’une invasion. Ou au moins, il la définit de manière très large (...) Les incursions de pirates britanniques, de corsaires ou d’explorateurs armés ont également été incluses, à condition qu’ils aient opéré avec l’accord de leur gouvernement.»
Le site américain tient à rappeler l’envergure de la présence américaine dans le monde, surtout si l’on utilise la même méthode que l’auteur:
«Dans ce cas, nous avons un bon candidat pour la deuxième place du prix de l’empire le plus important: les Etats-Unis (...) Mais si l’on colle au plus près à la méthode de Laycock, les données du Département de la Défense montrent que les Etats-Unis ont une présence militaire dans 153 pays dans le monde.»
Et de conclure:
«Les Britanniques ont donc envahi 90% des pays du monde et nous en avons envahi 80% (...) Nous allons juste laisser les Britanniques profiter de leur prix du plus gros empire. C’était marrant tant que ça durait, pas vrai?».
Source :
http://www.slate.fr/lien/64399/royaume- ... r-histoire Publié le 05/11/2012
.
La France, Israël et les Etats-unis ont aussi une très bonne note dans ce domaine (ce qui est péjoratif), car leur rejet étatique de la religion et de ses valeurs (dans le domaine politique, économique et éducatif) se reflète dans leur politique intérieure et extérieure, et ils sont impliqués dans de nombreux conflits directs ou indirects, de la corruption et des pressions politiques dans de nombreux pays du tiers-monde et des pays arabes, en les maintenant dans la pauvreté et la dépendance nocive d'autres états et organisations étrangères.
Vous qui prétendez à la rigueur scientifique, vos raisonnements sont incohérents et comportent trop de sophismes (et donc vos conclusions en sont également affectées, et sont par conséquent, erronées, du moins partiellement)
Un autre lien de cause à effet est que, depuis l'apparition du monde moderne et de l'imposition des idéologies modernes (qui sont liées ; athéisme, matérialisme, nihilisme, communisme, capitalisme, darwinisme social, etc.) : le taux de gens infectés par différents types de cancers augmente de façon alarmante (aussi bien les jeunes que les adultes et que les personnes âgées), ainsi que le taux de dépression, de suicides et de tentatives de suicide, de démence et de troubles mentaux sévères, corruption politique généralisée, disparités économiques et injustices sociales, délinquance, alcooliques, familles brisées, enfants déboussolés et maltraités, guerres économico-politiques (généralement déclarées et imposées par les régimes dits démocratiques et laïcs de l'Occident), des millions de mort chaque année à cause du capitalisme (des guerres que cela provoque et de la famine économique que cette idéologie engendre), de 80 à 120 millions de morts à cause des régimes communistes athées (comme dans l'Ex-URSS, la Chine communiste, Saloth Sâr plus connu sous le nom de Pol Pot qui était le dirigeant politique et militaires des Khmers rouges, communistes athées, persécutant les religieux et leurs opposants, et faisant plus de 1, 7 millions de morts dans le Cambodge actuel, ...). Les régimes nazis et fascistes qui rejetaient la religion et s'inspirait aussi bien de cultes idolâtres (l'athée pur et dur est aussi un idolâtre, en ce sens qu'il adore sa propre personne ou d'autres pseudo-divinités : scientisme, parti politique, nationalisme, femmes, hommes, stars, le "hasard", le "rien", etc. ; chaque être humain place une illusion ou une réalité en tant qu'Absolu, comme valeur sacrée à défendre ou à réaliser, le tout est alors de savoir ce qui est vrai et louable, de ce qui ne l'est pas) que du darwinisme social. A cela, on peut rajouter les (tentatives de ; pour certains) génocides commis sur les amérindiens par les américains (motivés par des ambitions matérialistes), les algériens par la France démocratico-laïque, différentes ethnies africaines, toujours par la France démocratico-laïque, etc. Pour le génocide arménien, bien que cela est contesté pour de bonnes raisons historiques (il faut savoir qu'ils vivaient sous l'empire ottoman depuis des siècles déjà, sans problèmes majeurs), le régime russe avait fait pression sur les arméniens pour qu'ils organisent des mutineries et assassinent quelques fonctionnaires ottomans tout en mettant en péril la vie des civils ottomans, alors, sous le parti des Jeunes Turcs (l'empire ottoman était alors dirigé non plus par la religion, mais par des alliances politiques et modernes, le calife n'avait donc officieusement plus aucun pouvoir), parti laïc et même anti-religieux, les turcs se défendirent et écrasèrent les forces armées arméniennes, qui subirent une énorme défaite (les civils étant généralement épargnés, ils regagnèrent rapidement l'Arménie, la Syrie et les pays voisins de l'époque, comme l'Iran actuel ou la Russie par exemple).
A titre d'expérience et de connaissance personnelle, je peux vous assurer que les personnes les plus altruistes et généreuses que je connaisse sont des musulmans et des chrétiens (et pourtant, je connais beaucoup d'athées, d'agnostiques, de déistes, de juifs et de bouddhistes).
Sur des "échantillons" donc de plusieurs centaines de personnes, les athées sont en bas de la liste. Cela dit, des "croyants" se comportent dans la pratique comme des athées, en s'opposant aux préceptes divins. Et des athées se comportent comme des religieux (en vivant selon des préceptes religieux) car l'athéisme pur ne peut déboucher que sur deux implications : l'a-moralité ou l'immoralité.
Il est aussi connu que les pays les plus égocentriques et individualistes sont la France et les Etats-Unis, deux pays profondément matérialistes (même si les "évangélistes" américains se réclament religieux, souvent, ils s'opposent aux préceptes religieux dans la pratique et sont profondément influencés par les idéologies modernes : matérialisme, capitalisme, etc.).
D'ailleurs la société française même, est rongée par le matérialisme (d'où le taux affolant de dépression et de suicide).
En outre, certains athées se déclarent comme tel uniquement par opposition à l'instrumentalisation politique de la religion, mais quand on les interroge en détail, on s'aperçoit qu'ils ne contestent pas la réalité d'une Force Transcendante, des valeurs religieuses universelles, etc.
Vos études ne nuancent rien du tout et sont assez malhonnêtes. On sait que les gens les plus corrompus de la planète sont les gens qui délaissent leur éthique et les valeurs morales religieuses, donc des hypocrites et des matérialistes,
dans les faits. Que ce soit les matérialistes d'Arabie Saoudite, des politiciens américains, israéliens ou français, tous s'opposent aux valeurs religieuses et sont éloignés autant que possible de toute forme de spiritualité.
C'est une étude menée par l'université du Missouri qui l'atteste (des articles datant du mois d'août de 2012) : la spiritualité aurait un effet bénéfique sur la santé physique et psychique des individus.
Ce travail s'appuie sur trois enquêtes menées auprès de croyants catholiques, protestants, juifs, musulmans et bouddhistes. Dans les cinq cas, il apparaît que la santé mentale des individus est liée au niveau de leur pratique religieuse.
Plus la foi est intense, moins les névroses sont marquées. Le faible degré d'individualisme des croyants, et un fort sentiment de connexion aux autres et à l'univers, seraient les raisons principales qui expliqueraient le phénomène.
Le cas de personnes en phase de convalescence après des maladies sévères (cancer, embolies, lésions cérébrales) a été particulièrement étudié. Il montre que la foi a un impact positif sur le moral des patients et favorise une accélération de la guérison.
Dan Cohen, professeur d'études religieuses et l'un des co-auteurs de cette étude publiée dans le Journal of Religion and Health, estime qu'à partir de ces conclusions, il est possible de réfléchir à de nouvelles stratégies pour améliorer le bien-être des individus, croyants ou non. La pratique de la méditation ou du pardon serait ainsi nettement bénéfique.
Il y a aussi les données de David Myers citant des enquêtes menées par Gallup, le National Opinion Research Centre et la Pew Organisation, qui concluent que les gens pratiquant une forme de spiritualité sont deux fois plus enclins à se déclarer «très heureux» que le personnes moins spirituelles et religieuses.
Il a fait état d'une analyse de plus de 200 études sociales, où il montre que la spiritualité et la religion, diminue considérablement les risques de dépression et de l'abus de drogue ainsi que les tentatives de suicide, et d'autres rapports indiquent la satisfaction générale de la vie accompagnée d'un profond sentiment de bien-être
. Une analyse de 498 études publiées dans des revues scientifiques a conclu que la grande majorité de ces études ont montré une corrélation positive entre l'engagement religieux et des niveaux plus élevés de la perception du bien-être, de l'estime de soi, et de meilleurs résultats positifs (donc d'une diminution significative) de l'hypertension, la dépression clinique et de la délinquance
. Des résultats similaires ont été obtenus par le Handbook of Religion and Mental Health. [4] Plusieurs chercheurs ont aussi établi un lien effectif entre la religiosité spirituelle et l'altruisme. D'autres études approfondies démontrent aussi qu'il ya peu (pour ne pas dire aucune preuve) de preuve que la religion cause des troubles mentaux de façon générale [6] alors que les diverses et nombreuses recherches prouvent plutôt le contraire, à savoir que la religion constitue globalement une contribution positive à la santé mentale. Parmi ce que des chercheurs ont pu imputer à la religion, comme maux, il est nécessaire de préciser qu'il s'agissait de croyants pas toujours pratiquants, à la sincérité douteuse, et au suivi arbitraire des prescriptions religieuses, tout autant que d'une ignorance des propres Livres Saints en question ainsi que des premières exégèses (spirituelles et théologiques) des religions. A cela on peut encore ajouter l'influence profonde ou partielle, de nature nocive, des idéologies modernes, à l'ensemble de la population qui y est soumise (que les gens soient religieux ou non, pratiquants ou non).
Les recherches effectuées par David B. Larson et son équipe du American National Health Research Center [7], en comparant des Américains pieux et d'autres ne pratiquant aucune religion ont abouti à des résultats très surprenants. Par exemple, les personnes pieuses présentent un taux de risque de maladies cardiaques inférieur de 60% à celui des personnes qui pratiquent très peu ou qui n'ont aucune croyance religieuse. Le taux de suicide chez eux est de 100% plus bas, ils souffrent beaucoup moins de tension artérielle, et cette proportion est de 7 contre 1 parmi les fumeurs.
Une étude publiée dans The International Journal of Psychiatry in Medicine, rapporte que les personnes qui se disent non-religieuses (dans le sens d'un rejet à toute forme de spiritualité : qu'elle soit issue des religions abrahamiques ou des traditions spirituelles orientales), tombent plus souvent malades et ont une durée de vie plus courte. Selon les résultats de la recherche, les personnes non-religieuses développent deux fois plus de maladies du tube digestif que les religieux pieux, et le taux de mortalité lié à des maladies respiratoires est supérieur de 66% à celui des gens pieux.
Des chercheurs profanes ont tendance à expliquer de tels impacts positifs comme étant le résultat "des effets psychologiques". Cela signifie que la foi (que ce soit dans le christianisme primitif, l'hindouisme ou l'islam, la foi a toujours signifié un ensemble désignant une attitude globale du croyant, comportant la sincérité, l'amour, l'assiduité et la connaissance) améliore l'état psychologique des gens, et contribue à une meilleure santé. Cette explication peut en effet être considérée comme bien fondée. Mais une conclusion beaucoup plus objective et approfondie apparaît lorsque le sujet est examiné. La foi en Dieu est beaucoup plus forte qu'aucune autre influence psychologique. Des recherches étendues relatives aux croyances religieuses et à la santé physique, menées par le Dr Herbert Benson de la Faculté de Médecine de Harvard, ont abouti à d'étonnants résultats. Bien que n'étant pas lui-même un croyant, le Dr. Benson en a conclu que l'adoration et la foi en Dieu a plus d'effets bénéfiques sur la santé humaine que quoi que ce soit d'autre observé par ailleurs. Benson a déclaré que la conclusion à laquelle il est arrivé est qu'aucune autre foi n'apporte autant de sérénité mentale que celle en Dieu. [8]. Cela s'explique par le fait que Dieu (ou Ses autres Noms désignés par d'autres approches ou spiritualités, mais se référant à la même réalité), coïncide avec l'Absolu, ce qui est proprement et forcément indépassable, puisqu'Infini et Source de toute chose existante et relative (car crée et limitée). Son impact sera donc forcément ce qu'il y aura de plus significatif. On pourrait aussi, dans un autre domaine, montrer l'importance de cette foi, y compris par les takbir répétés par les musulmans des premières générations, lorsqu'ils ripostèrent aux attaques des grandes puissances de l'époque (Byzance, Perse sassanide, ...), qui étaient composées d'armées alors entre 5 fois et 30 fois plus nombreuses que les musulmans, et possédant un arsenal technique et militaire bien plus développé, et malgré tout cela, ils perdirent avec une déconcertante facilité contre les forces musulmanes (on se rappellera aussi de l'épopée des commandants musulmans comme Salâhudîn ou Alp Arslan, qui, revenant d'une expédition, avec environ 15 000 - 20 000 hommes déjà quelque peu épuisés, remporta une victoire imposante contre une armée comprenant environ 600 000 byzantins, alors même que ses hommes étaient épuisés de leurs précédentes expéditions, sans pause ni élaboration profonde de stratégie, mais l'impact de leur takbir et de leur confiance réfléchie et absolue en Dieu, leur ont permis d'obtenir une grande victoire).
La prière et le dhikr sont aussi des facteurs positifs, puisque diminuant le stress, le mal-être, les risques de développer différents cancers, et y compris Alzheimer.
La prière (réalisée avec assiduité), est une arme contre Alzheimer [9], car elle réduirait de 50 % le risque de souffrir de la maladie, selon une étude en Israël.
Prier contre la maladie d'Alzheimer n'est pas seulement un acte de foi, mais peut être un geste thérapeutique. Selon une étude menée conjointement en Israël et aux États-Unis avec un financement de l'Institut national de la santé américain, la prière constitue un antidote très efficace qui permettrait de réduire de moitié chez les femmes les risques de contracter la maladie d'Alzheimer ou d'être victimes de pertes de mémoire et de démence «légères». L'étude, lancée en 2003 auprès d'un échantillon de 892 Arabes israéliens âgés de plus de 65 ans, a été présentée récemment lors d'un colloque sur la maladie d'Alzheimer en Israël.
Le Pr Rivka Inzelberg, de la faculté de médecine de Tel-Aviv, qui a supervisé l'enquête, a précisé au quotidien israélien Haaretz «que, dans l'échantillon choisi, 60 % des femmes priaient cinq fois par jour, comme le veut la coutume musulmane, tandis que 40 % ne priaient que de façon irrégulière». «Nous avons constaté, dix ans après le début de l'étude, que les femmes pratiquantes du premier groupe (celles qui priaient cinq fois par jour) avaient 50 % de chances de moins de développer des problèmes de mémoire ou la maladie d'Alzheimer que les femmes du deuxième groupe», a ajouté la spécialiste. La prière, selon l'étude, a également une influence deux fois plus importante que l'éducation pour protéger les femmes contre cette dégénérescence cérébrale. «La prière est une coutume qui nécessite un investissement de la pensée, c'est sans doute l'activité intellectuelle liée à la prière qui pourrait constituer un facteur de protection ralentissant le développement de la maladie d'Alzheimer», a ajouté le Pr Rivka Inzelberg. Les tests n'ont pas été effectués parmi les hommes de ce groupe dans la mesure où le pourcentage de ceux qui ne priaient pas n'était que de 10 %, un taux insuffisant d'un point de vue statistique pour aboutir à des conclusions fiables. L'enquête a également permis de confirmer que la probabilité de souffrir de la maladie d'Alzheimer est deux fois plus importante chez les femmes que chez les hommes.
Parmi les autres facteurs de risque de présenter une démence de type Alzheimer, les chercheurs ont également retrouvé dans ce travail l'hypertension, le diabète, l'excès de graisses dans le sang et plus globalement les antécédents de maladies cardio-vasculaires.
Les bienfaits de la cannelle : détail important, ces conclusions ne sont pas les premières à établir un lien entre pratiques religieuses ou spirituelles et santé. En 2005, des recherches effectuées en Israël avaient permis de constater que les activités spirituelles ont tendance à ralentir le processus de dépendance provoqué par la maladie d'Alzheimer. Une autre étude, menée sur un tout autre sujet, aussi en Israël, avait conclu que le taux de mortalité parmi les enfants était inférieur au sein des communautés très pratiquantes que parmi la population laïque.
Par ailleurs, le Pr. Michael Ovadia, de l'université de Tel-Aviv, a réussi récemment à isoler une substance extraite de la cannelle qui freinerait le développement de la maladie d'Alzheimer. «L'avantage évident est que la cannelle n'est pas un médicament, mais un produit naturel n'ayant aucun effet secondaire», a affirmé le Pr Ovadia. Des expérimentations ont été entreprises sur des souris. Pour le moment, toutefois, il n'a pas encore été possible de produire à large échelle la molécule aux vertus curatives. Seule certitude, le marché est énorme avec 70.000 personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer en Israël et plus d'une vingtaine de millions dans le monde, selon les chiffres de l'Organisation mondiale de la santé. En France, la maladie concerne 850.000 personnes. Les stratégies de prévention basées sur la pratique d'activités intellectuelles, sur le lien social et l'exercice physique ne doivent pas être négligées.
Parmi les religions et religieux examinés et interrogés au cours des différentes études, il y a généralement des juifs, des chrétiens, des hindous, des musulmans et des bouddhistes, dans les différentes études scientifiques.
Selon l'islam, un véritable musulman est celui qui est à la fois : sincère, rigoureux (mais pas rigoriste), savant, intelligent et pieux. J'en connais personnellement, et pour vous donner une idée, quand ils reçoivent leur salaire, ils ne gardent que le strict nécessaire (loyer, nourriture, électricité, eau) et redistribuent tout le reste aux nécessiteux, hôpitaux, orphelinats, etc. dans l'anonymat, car ils n'espèrent rien de ce monde en retour (contrairement aux faux dons de politiciens, qui ne procèdent que par calculs politiques).
Un autre lien (en anglais) sur le sujet :
http://www.psychosocial.com/IJPR_11/Pos ... _Jerf.html
David Myers, "The Science of Subjective Well-Being", Guilford Press 2007, p. 156.
Smith, Timothy, Michael McCullough et Justin sondage, “Religiousness and Depression: Evidence for a Main Effect and Moderating Influence of Stressful Life Events.”, Psychological Bulletin 129, 2003.
Bryan Johnson et ses collègues de l'Université de Pennsylvanie (en 2002).
[4] Harold Koenig, "Handbook of Religion and Mental Health"
[5] Robert Putnam, "Eg a survey", où ils montrent que les groupes de religieux pratiquants.
[6] Cf. Michael Argyl et d'autres chercheurs.
[7] Patrick Glynn, "God : The Evidence, The Reconciliation of Faith and Reason in a Postsecular World", California, Prima Publishing, 1997, pp. 80-81.
[8] Herbert Benson et Mark Stark, "Timeless Healing", New York, Simon & Schuster, 1996, p. 203.
[9]
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012 ... -alzheimer