Re: Les 17 soncepts de la langue ummite.
Posté : 20 juin23, 06:28
par J'm'interroge
.
Significations des soncepts de la langue ummite :
A : "vérité, action effectivité".
B : (ou son équivalent espagnol V) : "contribution, participation".
D : "manifestation, apparence, forme".
E : "image mentale, perception, sensation".
G : "organisation ", "agencement ".
I : la "différence ", l' "altérité".
K : "mélange".
L : "équivalence, correspondance ".
M : "union, couplage, relation".
N : "flux, transfert".
O : "Entité, être, réalité dimensionnelle ".
R : "imitation ".
S : "rond, cercle, tour, cycle, répétition".
T : "devenir, évolution".
U : "dépendance ".
W : "variation, changement, événement, nouveauté, information".
Y : "groupe, ensemble, paquet, volume ".
________________
AA : symétrie, stabilité, égalité
DD : Forme permanente ou « réponse asservie ».
EE : Schéma constitué d’images mentales, patron, plan, modèle, concept de « continuité de l’image mentale », codification, engramme.
I I : Frontière, symétrie « de part et d’autre de la frontière », confinement.
MM : en interrelation.
NN : échanges.
OO : Ensemble de composants en équilibre.
UU : mutuellement dépendants.
.
Significations des soncepts de la langue ummite :
A : "vérité, action effectivité".
C'est l'idée du constat de réalité par les conséquences, l'action ou les "effets". L'idée est déjà fonctionnelle. Prenons un exemple des arbres bougent sous l'action du vent. Les arbres sont A (effectifs, on peut les voir et les toucher) et le vent est A, puisque son effet est t perceptible. Ce soncept est relationnel, fonctionnel. Il exprime la relation entre une réalité supposée et ses effets [...].. C'est surtout le seul concept d'action, et il en faut un au minimum, sinon le discours devient purement figé. Il ne peut, sans lui, véhiculer l'idée d' "agir".
B : (ou son équivalent espagnol V) : "contribution, participation".
C'est une idée fonctionnelle, de relation.
La contribution n'est pas un objet, c'est I' expression de la relation entre le contributeur et celui ou ceux qui sont destinataires. C'est un mot-relation [...].
La contribution n'est pas un objet, c'est I' expression de la relation entre le contributeur et celui ou ceux qui sont destinataires. C'est un mot-relation [...].
D : "manifestation, apparence, forme".
Il ne s'agit pas d'un "objet", mais de la relation entre "une réalité " [pas forcément perceptible] et la perception que nous en avons. Prenons l'exemple de la gravitation. L'attraction universelle existe. La chute des corps en est une "manifestation". Une réalité peut avoir de multiples manifestations, mais une manifestation peut être commune à plusieurs réalités. C'est donc un mot-relation [...]. Ce phonème est spécialement important : c'est lui qui autorise la formulation implicite du multicosmos, en déclarant qu'une même "réalité dimensionnelle " peut avoir plusieurs manifestations (D), en particulier "une par cosmos considéré ", mais exclusives.
E : "image mentale, perception, sensation".
Ce n'est pas un objet, c'est un concept. Il véhicule la relation fonctionnelle entre une réalité "physiquement ou mentalement perçue " et sa présence à la conscience. Je dirais que dans le binôme "réalité dimensionnelle observée ou perçue "et "observateur", le soncept D traduit la déformation perceptive rapportée à la "réalité dimensionnelle "alors que le soncept E traduit la déformation perceptive rapportée à l'observateur. Il s'agit de toutes façons de "relations d'information" [...]. Un stimulus, une image mentale ou une idée, par sens considéré.
G : "organisation ", "agencement ".
Ce n'est pas un objet. L'organisation c'est le constat de l'ensemble des relations qui sont établies entre les "réalités dimensionnelles".[...] . Une organisation comporte "n" relations.
I : la "différence ", l' "altérité".
C'est à l'évidence une relation, puisqu'il ne saurait y avoir de différence sans au moins 2 termes à comparer. Le soncept I implique une relation de comparaison. C'est une relation en général binaire [...].
K : "mélange".
Ce n'est pas un objet. C'est une expression de relation. Il ne saurait y avoir de mélange sans au moins 2 constituants.
L : "équivalence, correspondance ".
Ce ne sont pas des objets, mais des idées de relation. C'est l'expression de la relation par elle-même, puisque dans sa définition générale une relation est une "correspondance "ou une "équivalence" [...].
M : "union, couplage, relation".
N'est à l'évidence pas un objet, puisque ça n'a pas de sens d'unir un objet ! Il en faut au moins 2 ! Le couplage, l'union est donc l'expression d'une relation de 'lien' [...].. On peut en effet réunir plusieurs constituants pour n'obtenir qu'un regroupement unique. L'union est plus durable que le mélange.
N : "flux, transfert".
Ce n'est pas un objet, mais l'idée d'une relation, puisqu'il traduit le "déplacement " d'une origine vers une destination. La relation implique le mouvement (au moins énergétique, à cause du rayonnement) [...].
O : "Entité, être, réalité dimensionnelle ".
C'est le seul soncept qui évoque ce que nous nommons objet. On remarquera que "l'objet "ou le "mot-objet", au sens Russellien, correspond à une réalité physique ou à son idée, dans notre système de pensée. Dans la pensée ummite, le soncept O évoque tout ce qui est dimensionnel, c'est à dire exprimable en équations, même très complexes, et non nécessairement perceptible. Je veux dire non limité à notre univers sensoriel. En tant qu'objet, il sera souvent le pivot de l'expression pratique des relations. Il est lui-même aussi une relation, sauf lorsqu'il exprime "la dimension elle-même". En effet, tout résultat d'équation(s), et c'est la définition du présent soncept, est le résultat d'une ou plusieurs relations (équations) abouties. Le soncept O véhicule la relation "descriptive "de sa justification: ses relations à ses composants. La réalité dimensionnelle est l'expression en général matérielle, mais elle peut ne pas l'être, des relations "gravitationnelles "plus ou moins nombreuses et complexes qui la constituent [...]. C'est le seul son qui pourrait être rendu (de façon restrictive) par une famille de nos mots-objets : être, individu, sujet, créature, objet, bidule, machin, chose, truc, etc.. ..Je constate que nous avons ici le seul "concept-objet "de cette langue. Il ne fait pas référence à la perception. Mais c'est une abstraction qui rend compte de la "matérialité " ou de la perception possible [...]..
R : "imitation ".
Ce n'est pas un objet, mais une idée de relation. Selon que l'on considère le sens, le cardinalité change, du simple fait que l'original est par définition unique [...].
S : "rond, cercle, tour, cycle, répétition".
L'idée n'est pas celle de l'objet rond, mais beaucoup plus celle de la boucle, du parcours fermé avec retour à l'origine. Ce que précise "tour "ou "cycle "ou "répétition". En ce sens, c'est une relation de consécutivité, donc temporelle, en sus de l'expression fonctionnelle d'un parcours logique avec retour aux conditions initiales, éventuellement répétable [...].
T : "devenir, évolution".
Ce n'est pas un objet, mais une idée. Elle exprime aussi une relation : celle de la réalité (dimensionnelle ou non) à elle-même, à travers le temps [...].
U : "dépendance ".
C'est clairement une relation : on ne peut envisager de dépendance sans préciser de quoi le "sujet "est dépendant [...].
W : "variation, changement, événement, nouveauté, information".
C'est aussi une idée relationnelle : celle de la présence en regard de l'absence qui l'a précédée, ou l'inverse. Cette relation doit effectivement être envisagée en plus du "devenir", car le "devenir "est celui d'une réalité existante. Le "rien "ne peut pas "devenir". En revanche, une "réalité dimensionnelle "peut se manifester "à la place " du "rien", c'est la relation d' "apparition "dans sa dynamique consécutive, qui en fait d'ailleurs la base du vocable "temps " [...].
Y : "groupe, ensemble, paquet, volume ".
La relation est ici celle de "rassemblement, regroupement", de prise en compte collective, globale, mais sans que soient impliqués de liens exprimés par M. Pour être plus précis, Si vous prenez un sac et y mettez 3 boules en vrac, vous obtenez un ensemble de boules : c'est le son Y et si les boules sont différentes, soit en taille, soit en couleur ou tout autre différenciateur que vous souhaitez évoquer, vous direz YI. Si en revanche, vous accolez ces 3 boules par des vis ou de la colle, vous aurez aussi un ensemble de boules mais OM [unies, ou réunies] et si elles sont différentes, selon des critères comparables à ceux évoqués précédemment, vous direz selon votre volonté de souligner les différences ou le couplage YIM ou OMI.
________________
Le doublement du soncept , (qu'il faut ajouter à cette liste ) exprime "la symétrie, l'égalité, l'équilibre, la continuité, la stabilité". Il s'agit de relations qui expriment, soient une fonction entre deux ou plusieurs objets (égalité, équilibre), soit une fonction intrinsèque de non-modification, de constance (continuité, stabilité : [...]).
Ce qui conduit au constat que la sémantique de cette langue est construite presque exclusivement sur des concepts relationnels, par définition indépendants de tout référentiel. Ces briques sont les constituants "idéaux "d'une pensée "fonctionnelle". En effet, toute fonction est au moins une relation. Les objets ou les concepts " n'existent " pas en tant que tels: ils sont décrits comme des combinaisons de relations. Il n'y a pas de référentiel tel qu'un dictionnaire ou une liste de "mots", puisque ceux-ci sont composés selon les besoins des idées à exprimer."
Exemples de doublements :
Ce qui conduit au constat que la sémantique de cette langue est construite presque exclusivement sur des concepts relationnels, par définition indépendants de tout référentiel. Ces briques sont les constituants "idéaux "d'une pensée "fonctionnelle". En effet, toute fonction est au moins une relation. Les objets ou les concepts " n'existent " pas en tant que tels: ils sont décrits comme des combinaisons de relations. Il n'y a pas de référentiel tel qu'un dictionnaire ou une liste de "mots", puisque ceux-ci sont composés selon les besoins des idées à exprimer."
Exemples de doublements :
AA : symétrie, stabilité, égalité
DD : Forme permanente ou « réponse asservie ».
EE : Schéma constitué d’images mentales, patron, plan, modèle, concept de « continuité de l’image mentale », codification, engramme.
I I : Frontière, symétrie « de part et d’autre de la frontière », confinement.
MM : en interrelation.
NN : échanges.
OO : Ensemble de composants en équilibre.
UU : mutuellement dépendants.
.