Stop ! a écrit : ↑19 juin23, 01:19
Une chose est certaine, avant que Dieu ne constate que la lumière était une bonne chose, il vivait dans le noir.
Non:
Et-il-dit, sera--faite-lumière et-(sera)-fut-faite-lumière. (le signe O, wav ,
et placé devant le verbe *dire en modifie le temps grammatical)
*
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1205231004.html
En fait Ælohîm "s'éclaire**" lui-même dans un circuit composé par trois points.
** La lumière écrite en G.1,v.3: A°OR, n'étant la lumière décrite par la science moderne, mais l'expression d'un moyen terme vu comme harmonieux, entre deux points.
Ajouté 30 minutes 6 secondes après :
Saint Glinglin a écrit : ↑19 juin23, 00:45
En voici qui sont perdus :
Ainsi, avant de créer l'univers, Dieu a éprouvé une satisfaction absolue en Lui-même. Dieu a habité joyeusement seul dans l'éternité en tant que Trinité. Ces trois êtres étaient en communion les uns avec les autres de toute éternité. Ils s'aimaient les uns les autres. Nous savons qu'à un moment donné, ils ont discuté de la rédemption de l'humanité (Éphésiens 1:4-5 ; 2 Timothée 1:9 ; Jean 17:24), mais tout le reste est un mystère.
https://www.gotquestions.org/Francais/D ... avant.html
"mais tout le reste est un mystère"
Le penchant les uns vers les autres, s'est inversé, son sens s'est inversé (effectue un retour) à la manière d'un pendule.
Cette idée est très ancienne. elle apparaît dans un texte étudié par M.Gardiner, Hymns to Amon er repris par A.Moret dans Les Mystères Egyptiens.
"Un effort plus accentué vers la conception d’une Trinité-Unité apparaît dans le papyrus de Leyde, de l’époque des Ramessides, récemment publié par M. Gardiner*. Voici comment y est définie la nature du dieu suprême de l’époque, Amon-Thébain : « Trois dieux sont tous les dieux :
qui n’ont pas leurs pareils. Celui dont la nature (litt. le nom) est mystérieuse, c’est Amon; Râ est la tête; Phtah est le corps. Leurs villes sur terre, établies à jamais, sont Thèbes, Héliopolis, Memphis (stables) pour toujours. Quand il y a un message du ciel, on l’entend à Héliopolis; on le répète dans Memphis à Phtah (Neferher) ; on en fait une lettre, écrite en caractères de Thot, pour la ville d’Amon (Thèbes) avec tout ce qui s’y rapporte. La réponse et la décision sont données à Thèbes, et ce qui sort c’est à l’adresse de l’Ennéade divine, tout ce qui sort de sa bouche, celle d’Amon. Les dieux sont établis pour lui, suivant ses commandements. Le message, il est pour tuer ou pour faire vivre. Vie et mort en dépendent pour tous les êtres, excepté pour lui Amon, et pour Râ (et pour Phtah), unité-trinité . »
Malgré l’obscurité de certaines phrases, il ressort que les trois grands dieux de l’époque ramesside constituent une Unité-Trinité, un Dieu en trois personnes, que le texte désigne en ces termes exprès.
Comme l’explique M. Gardiner, la volonté de la Trinité est une; le texte cherche comment fonctionne le mécanisme de cette commune administration du monde. La pensée divine se révèle au ciel sous forme de message parlé; le Verbe divin résonne aux oreilles dans la ville d’Héliopolis dont le dieu représente la face de la trinité, autant dire la tète pensante. Le message est transmis à Phtah, le corps de la trinité ; là, il est répété, prend une forme matérielle et tangible, une fois transcrit le scribe des dieux. Quand la fois pensé à Héliopolis forme concrète à Memphis, Thèbes, à l’approbation d'Amon, dont le nom est caché, l’intelligence invisible. Lui seul imprime l’élan définitif et l’envoie comme un ordre aux dieux secondaires, soumis à ses lois comme tout le reste des êtres".
Commentaire:
1, Amon, 2, Râ, 3, Phtah, 4. Amon