Re: Le véritable évangile du Salut par la Foi en Jésus SEULE
Posté : 27 oct.18, 07:34
Dieu peut donner mais il peut aussi reprendre sans pour autant se parjurer s'il a défini les conditions du maintien de sa bénédiction.
un exemple : quand Dieu conclut une alliance avec la nation d'Israel, cette alliance est imméritée.
Il leur dit donc : si vous respectez ma Loi, vous serez mon peuple et je ferai de vous un royaume de prêtres, mais si vous abandonnez cette alliance, alors je vous abandonnerai aussi et vous serez déportés dans d'autres nations.
Qui peut affirmer que cette faveur faite à une nation entière était méritée ? Logos ?
Qu'avaient fait les membres des 12 tribus d'Israel pour mériter un tel traitement de faveur ? Absolument rien.
Dieu respectait une promesse faite à leur ancêtre.
Maintenant qui peut affirmer que Dieu, parce qu'il leur avait offert cette "grâce" , car c'était bien une grâce, une faveur imméritée, que Dieu donc ne pouvait plus les rejeter ensuite comme si le fait d'offrir une grâce le contraignait à tout supporter ensuite, même l'insupportable ?
Car à preuve du contraire, cette nation qui avait bénéficié de la faveur imméritée de Dieu a finalement été rejetée complètement pour avoir mis à mort Jésus..
Faites maintenant le relation avec les chrétiens appelés qui ont remplacé cette nation d’Israël pour constituer le futur royaume de prêtres. Car il s'agit bien d'un remplacement, les non-juifs se substituant aux juifs défaillants.
Tout comme les 12 tribus, les appelés sont choisis non pas sur leurs propres œuvres, mais par faveur imméritée.
Et tout comme les 12 tribus, s'ils insultent le sang du Christ Dieu les remplacera.
C'est le sens de Hébreux 10.
Car si nous pratiquons le péché volontairement après avoir reçu la connaissance exacte de la vérité, il ne reste plus pour les péchés aucun sacrifice, 27 mais [il y a] une certaine attente terrible du jugement et [il y a] une jalousie ardente qui va consumer ceux qui s’opposent. 28 Si quelqu’un a repoussé la loi de Moïse, il meurt sans compassion, sur le témoignage de deux ou trois. 29 D’une punition combien plus sévère pensez-vous que sera jugé digne l’homme qui aura piétiné le Fils de Dieu et qui aura considéré comme une chose ordinaire le sang de l’alliance par lequel il a été sanctifié ,et qui aura outragé avec mépris l’esprit de la faveur imméritée ? 30 Car nous connaissons celui qui a dit : “ À moi la vengeance ; c’est moi qui paierai de retour ” ; et encore : “ Jéhovah jugera son peuple. ” 31 C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant
Ainsi la faveur imméritée ne contraint pas Dieu à bénir ou continuer à bénir des individus qu'il avait cru capable de lui obéir mais qui finissent par piétiner le sang du Christ .
Comment pourraient-ils le faire ? En enseignant un faux évangile privant d'autres humains de la vérité sur le devoir d'obéir à Dieu, obéissance que Dieu jugera en temps et en heure.
Logos confond "œuvres" pour gagner son salut et obéissance à Dieu par des actions. Aimer n'est pas à proprement parlé une oeuvre, mais c'est un devoir, un commandement de Dieu. Celui qui aime ne produit donc pas une oeuvre mais se conduit tout simplement comme un chrétien.
Tout comme les juifs sont passés à côté de la faveur imméritée de Dieu expliquée avec Moise, de même un chrétien appelé peut passer à côté de la faveur imméritée de Dieu s'il ne lui obéit pas.
un exemple : quand Dieu conclut une alliance avec la nation d'Israel, cette alliance est imméritée.
Il leur dit donc : si vous respectez ma Loi, vous serez mon peuple et je ferai de vous un royaume de prêtres, mais si vous abandonnez cette alliance, alors je vous abandonnerai aussi et vous serez déportés dans d'autres nations.
Qui peut affirmer que cette faveur faite à une nation entière était méritée ? Logos ?
Qu'avaient fait les membres des 12 tribus d'Israel pour mériter un tel traitement de faveur ? Absolument rien.
Dieu respectait une promesse faite à leur ancêtre.
Maintenant qui peut affirmer que Dieu, parce qu'il leur avait offert cette "grâce" , car c'était bien une grâce, une faveur imméritée, que Dieu donc ne pouvait plus les rejeter ensuite comme si le fait d'offrir une grâce le contraignait à tout supporter ensuite, même l'insupportable ?
Car à preuve du contraire, cette nation qui avait bénéficié de la faveur imméritée de Dieu a finalement été rejetée complètement pour avoir mis à mort Jésus..
Faites maintenant le relation avec les chrétiens appelés qui ont remplacé cette nation d’Israël pour constituer le futur royaume de prêtres. Car il s'agit bien d'un remplacement, les non-juifs se substituant aux juifs défaillants.
Tout comme les 12 tribus, les appelés sont choisis non pas sur leurs propres œuvres, mais par faveur imméritée.
Et tout comme les 12 tribus, s'ils insultent le sang du Christ Dieu les remplacera.
C'est le sens de Hébreux 10.
Car si nous pratiquons le péché volontairement après avoir reçu la connaissance exacte de la vérité, il ne reste plus pour les péchés aucun sacrifice, 27 mais [il y a] une certaine attente terrible du jugement et [il y a] une jalousie ardente qui va consumer ceux qui s’opposent. 28 Si quelqu’un a repoussé la loi de Moïse, il meurt sans compassion, sur le témoignage de deux ou trois. 29 D’une punition combien plus sévère pensez-vous que sera jugé digne l’homme qui aura piétiné le Fils de Dieu et qui aura considéré comme une chose ordinaire le sang de l’alliance par lequel il a été sanctifié ,et qui aura outragé avec mépris l’esprit de la faveur imméritée ? 30 Car nous connaissons celui qui a dit : “ À moi la vengeance ; c’est moi qui paierai de retour ” ; et encore : “ Jéhovah jugera son peuple. ” 31 C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant
Ainsi la faveur imméritée ne contraint pas Dieu à bénir ou continuer à bénir des individus qu'il avait cru capable de lui obéir mais qui finissent par piétiner le sang du Christ .
Comment pourraient-ils le faire ? En enseignant un faux évangile privant d'autres humains de la vérité sur le devoir d'obéir à Dieu, obéissance que Dieu jugera en temps et en heure.
Logos confond "œuvres" pour gagner son salut et obéissance à Dieu par des actions. Aimer n'est pas à proprement parlé une oeuvre, mais c'est un devoir, un commandement de Dieu. Celui qui aime ne produit donc pas une oeuvre mais se conduit tout simplement comme un chrétien.
Tout comme les juifs sont passés à côté de la faveur imméritée de Dieu expliquée avec Moise, de même un chrétien appelé peut passer à côté de la faveur imméritée de Dieu s'il ne lui obéit pas.