tu peux donc facilement comprendre maintenant en te mettant a ma place que pour moi aussi l'athéisme ... c' est consternant.
Ce qui pourrait me sembler consternant , ce n’est pas l’athéisme par lui-même, (l’athéisme n’est qu’une attitude ou une doctrine philosophique qui affirme l'inexistence ou ne conçoit pas l'existence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit).
Mais plutôt de vivre sans croire puisque croire en la vie est l’essentiel de la vie . . .
Comme l’athée par définition ne croit pas à l’existence ou ne conçoit pas l’existence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit, ce qui peut être intéressant serait de lui demander ce à quoi il croit puisque « croire » est l’essentiel de la vie . . .
Ce que je peux « douter » c’est qu’il me réponde qu’il ne croit à rien ( même pas en la vie), et que si cela se révèle exacte dans ma perception claire au moment où je pose cette question, la raison me suggérerait aussitôt d’appeler le Samu ou de faire quelque chose au regard d’une loi qu’on appelle « non assistance à personne en danger » . . .
Une personne qui ne croit absolument plus en la vie est tout bêtement « suicidaire », en danger de mort objective . . .
Ensuite, si la personne (athée) donne des informations sur ce à quoi elle croit, c’est à dire ce que c’est pour elle de « croire en la vie », le dialogue peut s’installer entre celui qui est « athée » et celui qui ne l’est pas . . .
En poursuivant cette « logique », pour que ce dialogue soit possible, il est nécessaire qu’il aille aussi dans le sens de « croire en la vie » sinon ce dialogue est tout bêtement impossible . . .
Comme ce « dialogue » concerne ou tourne autour de ce que signifie « croire en la vie » et que les deux « dialoguant » ont cela en commun puisque comme il est déduit ci-dessus, si ce n’est pas le cas, le dialogue est impossible, il est donc aussi nécessaire que les deux « dialoguant » n’est pas « peur » l’un de l’autre, qu’il y ai une certaine « confiance » . . .Il est évident que sans cette confiance, soit le dialogue est aussi impossible, soit ce n’est plus un véritable dialogue mais un combat entre deux entités qui se voient l’un et l’autre comme un danger ou une menace . . .( Les mots sont comme des balles de revolver disait le philosophe « Sartre », et il est donc sage de savoir sur qui ou quoi on tire
. . .).
Comme les deux « dialoguant » ne désir pas logiquement s’exterminer l’un l’autre puisque raisonnablement ils en ont déduit comme dit ci-dessus de se faire confiance pour pouvoir dialoguer, cela suppose qu’ils sont aussi capable de « foi » . . .
En effet, si tous les hommes « croient » à quelque chose. . .Tous ne sont pas capable de « foi » . . .
La « foi » suppose vraiment une certaine maturité de l’être et l’absence de peur . . .
Tout comme la « foi », c’est se jeter dans l’incertain, la « foi » vérifiée c’est le bonheur de la certitude de l’incertain . . .
Donc, pour revenir à la question ; Qu’est-ce que « croire en la vie » pour l’athée et celui qui ne l’est pas? Exprimé avec « foi », c’est à dire sans peur en ayant une certaine maturité d’être?
Le terme « foi » ne faisant ici aucunement référence à l'existence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit . . .
Et donc l’athée peut avoir une foi ( maturité de l’être et absence de peur) plus grande que le croyant aussi bien que l’inverse . . .
Et qu’est-ce qui fait que nous avons une petite ou une grande foi et comment la faire grandir puisque c’est l’intérêt de chacun d’en avoir une grande. . .
En parlant « d’une grande », je ne parle évidemment pas d’autre chose pour ceux qui ont l’esprit tourné dans une autre direction ne concernant pas directement au sens du propos . . .