20ème argument : l'ordre des événements.
J'ai lu une hypothèse un peu curieuse qui affirme que Cyrus serait un premier Messie et que les 7 premières semaines commenceraient en -587 av JC, à la destruction de Jérusalem, pour s'achever en -537 av JC quand Cyrus ordonne le retour des juifs dans leur pays.
Outre le fait que 7 semaines font 49 années et non pas 50 comme le suggère cette hypothèse, elle vient en pleine contradiction avec les termes de la prophétie.
La voici :
Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et 62 semaines
Les modalités sont donc très claires, la prophétie
commence par l'ordre de reconstruction et non pas le contraire qui voudrait que l'ordre de reconstruction viendrait après .... rien... puisque dans ce cas on ignore quand cela commencerait.
La construction du texte est donc celle-ci :
depuis l'ordre de reconstruction jusqu'à Messie, 7 et 62 semaines.
Or l'hypothèse de Cyrus place l'ordre de reconstruction
après 7 semaines et non pas au début en contradiction avec Daniel.
21ème argument. Un général Perse qui ressuscite.
Le titre accrocheur, je l'avoue, de ce 21 argument va nous permettre, cette fois-ci, de nous plonger dans les archives babyloniennes alors que jusqu'ici nos recherches s'étaient cantonnées aux écrits d'historiens côté grec.
Nous allons parler d'un général Perse archi-connu, dont le nom était
Mardonius.
Voici sa fiche Wikipedia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mardonios ... s%20Ier%20.
- Mardonios est un général perse qui joue un grand rôle dans les guerres médiques.
Il est apparenté à la famille des Achéménides car il épouse Artazostre, l’une des filles de Darius Ier.
En 492 av. J.-C., il dirige la première expédition envoyée par Darius contre la Grèce. La résistance des Thraces et le naufrage de sa flotte près du mont Athos le font renoncer.
Lors de la seconde guerre médique, il est le bras droit de Xerxès Ier, qui lui laisse le commandement après l’échec de Salamine. Il tente l’ouverture de négociations avec Athènes durant l’hiver 480 av. J.-C., mais, devant le refus athénien, il envahit de nouveau l’Attique, s'empare de nouveau d’Athènes désertée par ses habitants, avant d’être battu et tué, en luttant comme il put, à la bataille de Platées (479 av. J.-C.).
Nous ne parlons donc pas d'un illustre inconnu mais du n°2, après Darius 1er, puis Xerxés 1er, de l'armée Perse pendant 13 années.
Notons que sa mort a lieu en -479 av JC et qu'elle n'a rien de cachée puisqu'il décède au vu et au su de tout le monde lors de la bataille de Platée qui est celle qui met fin aux guerres médiques.
Alors pourquoi réveiller ce brave homme .
Parce que ce général Perse possédait beaucoup de biens, et notamment une propriété qui conservait méticuleusement toutes les archives qui la concernait . Et évidemment, on a retrouvé ces tablettes cunéiformes.
Ce lot d’archives concerne des événements ayant eu lieu dans les années 3 à 10 du règne de Xerxès 1er.
En effet, comme toutes les archives sérieuses de l'époque, la date y était portée, et comme le calcul du temps n'était pas établi par rapport à une date fixe du passé, comme nous le faisons avec l'année de la venue de Jésus, les copistes de cette époque là utilisaient la date de commencement du règne d'un monarque en place.
Là où nous écririons l'an 2 après Jésus, un copiste aurait écrit l'an 29 du règne du César Auguste.
Tout cela pour vous dire que cette collection de tablettes portent des dates qui vont de la 3ème année de Xerxès à sa 10ème année.
Nous nous intéressons donc aux documents datés de la 10ème année de Xerxès.
Si nous prenons pour hypothèse la date retenue par certains historiens, c'est en -486 av JC que Xerxès deviendrait roi et sa 10ème années de règne aurait eu lieu en -475/-476 environ.
Seulement Mardonios est mort depuis 4 années à ce moment là et son domaine semble l'ignorer.
A moins d'imaginer que les administrateurs du domaine de Mardonios ait zappé l'information et qu'ils aient cru pendant 4 années que leur patron était toujours vivant quelque part, je pense que nous avons un problème.
Et ce problème est d'autant plus grand que ce général était célébrissime. Qui pouvait ignorer sa mort ?
Par contre, si Xerxès est déjà co-roi avec son Père Darius depuis -496 av JC, alors les dates de ces tablettes du domaine de Mardonios serait échelonnées entre - 493 et -486 av JC, une époque où Mardonios était bien vivant.
Qu'elle est la conséquence de ce changement de date. Xerxès aurait régné 21 ans comme retenu par tous les historiens de maintenant et du passé, mais avec un commencement de règne en -496 av JC, au côté de son Père Darius 1er.
Ainsi Artaxerxès serait roi à la mort de Xerxés en -475 av JC, Thémistocle le rencontrerait comme le dit Plutarque, vers -473, et la 20ème année d'Artaxerxés tomberait en -455 av JC.
Et là, nous aurions les 483 années de la prophétie de Daniel qui débuteraient, comme indiqué dans son texte, puisque Néhémie situe l'ordre attendu par la prophétie de Daniel dans la 20ème années d'Artaxerxés.
Et qui apparaît au bout de ces 483 années, soit en 29 de notre ère ? Lisez Luc 3:1 tout en sachant que le règne de Tibère César commence en l'an 14 de notre ère..
C'est bluffant, non ?
Vous comprenez la raison de ma passion pour cette prophétie car si ces calculs sont bons, vous avez la preuve que le Messie Jésus n'était pas un accident de l'histoire, mais quelqu'un attendu par un personnage capable de prédire, ce qui veut dire "contrôler", l'existence d'un homme exceptionnel des siècles à l'avance.
22ème argument : Etude de l'hypothèse des 2 oints et d'une application à Onias III par un écrivain se prétendant être Daniel qui simulerait une rédaction à l'époque de Cyrus alors qu'il vivrait au même moment que cet Onias III.
Cette hypothèse pose déjà un postulat incontournable. Celui qui se prétend être Daniel serait un menteur..
L'autre constat, puisqu'il aurait réussi à bluffer tout le monde, est que ce menteur serait hyper intelligent car personne, au premier siècle, n'a jamais pensé à cette hypothèse.
Seulement, que penseriez vous d'un individu se prétendant mathématicien et qui sècherait gravement devant une simple équation à 2 inconnues, ou une multiplication, si vous préférez.. En effet, il existe une règle absolue qui se définit ainsi :
qui peut le plus peut le moins..
Je veux vous démontrer la faiblesse absolue de cette hypothèse.
Dans un argument précédent, je vous ai expliqué que les défenseurs de l'hypothèse que nous étudions arguaient que la mauvaise connaissance de l'histoire du VIème siècle av JC, par Daniel, prouvait qu'il avait écrit plus tard.. Nous avons précisément prouvé le contraire, mais là n'est plus notre propos.
Je veux me saisir de cet argument, qui ne pourra pas être rejeté par nos opposants, pour étudier les écrits de Daniel et vérifier s'il connaissait vraiment les événements du II siècle qu'il prétendait connaître et transformer en prophétie.
Car ne nous y trompons pas, l'hypothèse que je réfute ici affirme que Daniel connaissait Onias III et qu'il a bricolé son histoire pour en faire une prophétie.
Que savons nous d'Onias III. Ce que tout le monde savait au II siècle. Qu'il est devenu grand prêtre en -187 av JC.
Et donc Daniel aurait du le savoir aussi . Donc mettez vous à sa place. Daniel, le menteur, veut faire une prophétie et il choisit cette date d'onction de Onias III comme point d'arrivée.
Question: pourquoi mettre cette onction après une période de 483 années ? Daniel sait compter, s'il ajoute 187 + 483 années, il obtient comme nous -670 av JC.
Seulement Jérusalem est elle détruite en -670, a t'elle besoin d'un ordre de reconstruction cette année là ? Evidemment non !
Pourtant Daniel écrit que les 483 années débutent au moment d'un ordre de reconstruction de Jérusalem.
En d'autres termes, Daniel se plante puisqu'il a écrit qu'Onias III serait oint 483 années après un ordre de reconstruire une ville qui n'était pas détruite à ce moment là ..
Vous ne trouvez pas que pour un faussaire, il est particulièrement mauvais ? Il ignore l'histoire de sa nation et celle d'Onias III.
Que penseriez vous d'un écrivain qui écrirait sur vous, sachant que vous seriez né en 1980; et qui indiquerait que cette année correspond à la 400 années après la révolution française.(1789) . Vous douteriez de son diplôme.
Et bien voilà ce qu'aurait fait notre faux Daniel... un magnifique plantage !
Après cela, pouvons nous vraiment dire que Daniel maîtrisait son histoire du II siècle. Evidemment non !
Alors comment concilier le Daniel qui connait parfaitement l'histoire entre les III et IV siècle av JC, avec le Daniel qui aurait écrit une prophétie tellement loufoques, dans ses dates, qu'elle aurait eu l'effet inverse que celui escompté.
En d'autres termes, ce que Daniel écrit sur le oint, si ce oint est Onias III, n'a ni queue ni tête et ne correspond à rien.
C'est encore plus vrai si on fait correspondre le début des 70 semaines à l'année -587 av JC. Car dans ce cas, Daniel serait encore plus ridicule en affirmant qu'Onias III a été oint grand-prêtre en -54 av JC, au lieu de -187 av JC.
C'est donc une erreur de 130 années pour quelqu'un qui vivrait au moment des faits. Quelle magnifique plantage !!
Mais il y a mieux ! L'hypothèse Onias III voudrait que Daniel, un contemporain, ait inventé une fausse prophétie pour faire croire que cet Onias serait béni de Dieu..
Seulement dans cette hypothèse, il faudrait que ce plan ait fonctionné. Trouvons nous, à l'époque d'Onias III et même après, la moindre trace qui montrerait que les gens de cette époque là appliquaient à Onias III les effets de la prophétie des 70 semaines de Daniel.
Et bien non ! C'est une fois encore un flop magistral.
Il n'y a chez personne, pas plus chez les Macchabées que chez d'autres juifs, le moindre rapprochement entre Daniel et Onias III qui laisserait comprendre que le peuple pensait que Daniel avait prophétisé sur Onias III.
C'est donc la preuve que ce qui est montré comme évident par les défenseurs de cette hypothèse ne l'était absolument pas pour les premiers concernés, les contemporains de Onias III. Daniel se serait encore planté.
Je repose les données du problème pour les nouveaux arrivants.
Daniel, un prophète dont le livre fait partie du canon biblique juif, a utilisé un mot ultra précis pour annoncer la venue, dans le futur, d'un personnage unique qu'il qualifiait soit de Prince, soit de Conducteur. Ce mot est "MESSIE".
Le Pentateuque utilisait ce mot pour désigner les grands-prêtres par exemple, alors que les livres historiques l'employaient pour caractériser les rois que Dieu choisissait pour diriger son peuple.
Tout cela concernait ce que nous appellerons des "petits" messies en comparaison avec LE MESSIE attendu au premier siècle par les juifs, comme indiqué dans mon dernier message que Homère n'a pas lu apparemment.
Lorsque nous étudions chacune des 39 utilisations de ce mot dans l'AT, il apparaît que seuls 3 livres prophétiques utilisent ce mot.
Esaie qui annonce la venue de Cyrus le Perse, l'appelant le Messie de Jéhovah. Habacuc qui explique que Jéhovah protégera son Messie, et enfin Daniel 9 qui utilise 2 fois ce mot dans sa prophétie.
Nous éliminons de suite Esaie et Cyrus tant il est évident que le Messie attendu ne pouvait être que juif. Faut il rappeler les prophéties sur la lignée de David, la naissance du Christ à Bethleem, etc...
Nous éliminons aussi Habacuc qui n'annonce aucune venue de qui que ce soit mais seulement une action protectrice de Jéhovah pour son oint.
Reste Daniel qui nous dit que 483 ans après un ordre officiel, viendrait Messie.
Quand donc un juif disait au premier siècle : nous avons trouvé le Messie, il ne pouvait faire référence qu'au livre de Daniel.
23ème argument: une traduction intéressante
Autre élément : je vous cite la bible du Rabbinat du grand rabbin Zadoc Kahn
Sache donc et comprends bien qu’à partir du moment où fut donné l’ordre de recommencer à reconstruire Jérusalem jusqu’à un prince oint,
N'y voyez vous pas un indice ? recommencer à reconstruire. C'est donc, selon cette traduction un recommencement opéré sur une reconstruction, et non pas une reconstruction initiale.
Si vous préférez, cette phrase suggère que la ville ait déjà subit un premier commencement de reconstruction. La reconstruction serait donc celle ordonnée par Cyrus, et le recommencement de la reconstruction serait celui de l'époque de Néhémie.
Voici plusieurs textes qui traduisent dans ce sens le mot hébreu rendu par "recommencer" dans cette bible du Raabbinat :
Nombres 11.4
Le ramassis de gens qui se trouvaient au milieu d'Israël fut saisi de convoitise; et même les enfants d'Israël recommencèrent (shuwb) à pleurer et dirent: Qui nous donnera de la viande à manger?
Esdras 9.14
recommencerions (shuwb)-nous à violer tes commandements et à nous allier avec ces peuples abominables?
Le sens initial de l'hébreu shuwb emporte le sens de "retour, d'une action recommencée, de revenir, de tenter à nouveau, de remettre"
Seulement, et la bible du Rabbinat le rend très bien. Ce recommencement concerne une RE construction, ce qui veut dire que l'on commence une deuxième fois à reconstruire la ville.
24ème argument : exemple de tablettes cunéiformes validant -475 av JC
Je fais ici référence ici à deux tablettes faisant partie d'un lot d'archives qui concernent des contrats de location d'une terre agricole sur une longue période de temps. Ce qui nous intéresse correspond aux deux dernières tablettes.
Un point à retenir pour comprendre cet argument : les copistes de l'époque conservaient ensemble et bien classés chronologiquement tous les contrats de location d'une terre en y ajoutant, à chaque échéance, le dernier contrat en cours de validité.
Imaginez que la reconduction des contrats se fasse chaque année, nous aurions les contrats ainsi classés; -480 -479 -478 -477 etc...
En -476 un nouveau contrat aurait été établi et ajouté aux archives après -477.
Ce qui a été découvert, et il faut le retenir, c'est une collection absolument complète de contrats sur un même terrain, rangés les uns après les autres, avec un classement strictement chronologique. Et ce sont les 2 derniers contrats qui soulèvent cet argument.
En effet, l'avant dernier document est daté de la 26 ème année de Darius et permet un contrat de fermage de 4 années, de -495 à
-492 av JC
Par contre, le dernier document indique un nouveau contrat daté de la 4ème année de Xerxés, soit , selon la chronologie acceptée actuellement, en
-482 av JC
Or, nous l'avons dit, ces tablettes se suivent chronologiquement, rappelons le. Et une terre n'était jamais laissée sans fermage à l'époque.
Vous aurez remarqué qu'il manque 10 années entre les deux dates avancées par ces tablettes. Concrètement, ces deux documents nous apprennent que la 22ème année de Darius est la 4ème année de Xerxès qui aurait donc commencé à régner en -496 av JC.
Nous avons ici la démonstration d'un co-règne entre Darius et Xerxès, Darius ayant la primauté tout comme, par exemple, Nabonide avait en son temps la primauté sur son fils Balthazar , roi à Babylone au moins 10 années. (voir l'argument n°17 )
25ème argument : exemple et traitement d'un contre argument
Je résume cette réponse de homère qui est un copié collé d'un site anti-TJ.
Déjà, cela démarre par un mensonge. Personne n'essaie chez les TJ de raccourcir le règne de Xerxès. Il a bien régné 21 années. Par contre, les TJ font seulement valoir une autre approche, en la mentionnant seulement, qui voudrait que Xerxès ait bien régné 21 années, mais que sur ces 21 années, 10 d'entre elles seraient un co-règne qui modifierait la chronologie tout en respectant scrupuleusement le nombre d'années de règnes des rois Darius et Xerxès.
Je simplifie : si 2 rois règnent 36 ans + 21 ans, vous avez un total de 57 années, mais si dans les 21 années du second roi, 10 années se passent en commun avec le 1er roi, alors le total fait 47 années. Cela décale donc de 10 années le moment où le second roi meurt et se trouve remplacé par son fils Artaxerxés.
Ainsi, personne ne parle de 11 années de règne seulement pour Xerxès.
Ensuite, ce texte ment encore lorsqu'il dit :
Il n’y a pas la plus légère évidence à l’appui d’une telle co-régence. . J'en suis quand même, et c'est loin d'être fini, au 25ème argument que je vous propose, preuves à l'appui, qui indique que la chronologie des historiens grecs pose questionnement et remet en question l'hypothèse défendue par Homer. .
Ensuite, ce document proposé par Homère fait référence à Hérodote. Je pose donc le raisonnement.
- Les TJ se servent d'Hérodote pour dire qu'il disait que Xerxès était roi 10 ans en même temps que Darius, son père. Mais Hérodote disait plus loin que ce co-règne n'aurait duré qu'une seule année.
En fait, les TJ n'ont pas contredit Hérodote en le citant et ceux que citent Homère ont une fois encore déformé les propos TJ.
Lisez bien, car vous savez que les mots ont un sens, surtout quand on s'en sert pour accuser les gens.
Les TJ ne disent pas qu'Hérodote a dit que Xerxès aurait été roi pendant 10 années avec son Père. Ils disent simplement que Hérodote a écrit que Xerxès a eu le statut de successeur, ce qui en faisait le second personnage du royaume après son Père, sans indiquer la durée.
Le scoop d'Hérodote ne se trouve pas dans la longueur du co-règne, mais dans le fait qu'il y a eu un statut de successeur. C'est même une nouvelle capitale car même si Hérodote le limite à 1 année seulement, personne ne peut plus dire qu'une co-régence était impossible institutionnellement chez les Perses.
C'est la preuve, amenée sur un plateau par Homère, qu'une co-régence du type "Nabonide/Batthazar", que nous avons démontré, était tout à fait possible chez les Perses aussi.
Imaginez que Darius ne soit pas mort 1 an après, mais 10 ans ou 20 ans après, alors nous aurions une co-régence Darius Xerxès, de 10 ou 20 années.
Voilà l'argument des TJ: Hérodote a prouvé qu'une co-règence avait eu lieu ce qui valide sa possibilité.
Maintenant que Hérodote dise qu'il n'a duré qu'un an n'efface pas la démonstration TJ.
Le document proposé par Homer n'a rien d'une démarche vraiment historique. C'est un pamphlet anti TJ qui ignore la façon de procéder des historiens qui est une technique des petits pas et non pas des grandes déclarations.
Ce que les TJ ont exploité avec raison dans les écrits d'Hérodote, c'est la preuve d'une co-rengence père/fils. Je vous avoue même qu'ayant lu Hérodote aussi, j'avais pour projet de faire de ce fait un de mes futurs arguments.
Je le fais donc un peu plus vite que prévu. Et j'en tire la conclusion suivante :
Xerxès a co-régné avec son Père.
mais cela suppose qu'on en trouve des traces, d'où le 24ème argument à venir .