gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
Je comprends très bien ce que tu as dit. C'est seulement que, comme d'habitude, tu attribues à un terme comme "esprit" ta propre définition, que tu graves ensuite dans le marbre comme si c'était immuable.
Alors critique ma définition, montre en quoi elle serait
incohérente selon toi, je n'ai aucun souci avec une critique conceptuelle. Je pourrais y répondre sans problème.
Le point est qu'avec la définition que je donne à ce mot, ta question était bien insensée.
gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
Toi tu utilises le terme "esprit" en lui donnant une sorte de dimension mystique (1), et tu voudrais que tes interlocuteurs s'alignent sur cette définition-là (2) (très vague d'ailleurs) (3), faisant fi de la définition commune qu'ils ont toujours acceptée intuitivement (4).
(1) : Une dimension mystique ? Je ne sais pas où tu as vu dans ma définition de l'esprit qu'elle serait mystique..
(2) : Non, je ne demande pas qu'on s'aligne dessus, simplement qu'on la considère. Et pourquoi pas, qu'on en discute.
(3) : Si tu la trouves vague, dis moi en quoi elle le serait, ce serait plus intéressant. Et surtout, dis en quoi elle serait
incohérente selon toi.
(4) : La définition commune ? Il y en a une ? Elle serait intuitive ?
Ah oui, je vois que tu l'as donnée cette définition commune et intuitive d'après tes dires :
gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
Pour la plupart des gens, le terme esprit renvoie simplement aux capacités cognitives de l'être humain, à sa perception des pensées, des émotions, etc.
Elle n'est pas si étrangère à la mienne. Mais bien plus vague.
Et donc ?
gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
C'est donc au lecteur lambda que s'adressait plus spécifiquement ma question "esprit de qui/quoi" ?
Ça n'empêche pas que dans le contexte de notre échange elle était et reste complètement insensée et idiote.
gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
J'ai déjà constaté que toute discussion sur ces questions est impossible avec toi, pour la simple raison que tu t'enfermes systématiquement dans tes propres définitions intellectuelles des termes, sans la moindre souplesse ni ouverture vis à vis de la manière de penser d'autrui.
Une discussion sensée n'est possible que si l'on tient compte des significations qui sont attribués aux mots par les uns et les autres. C'est une base. C'est ainsi qu'une discussion sensée et intelligente fonctionne. Pour qu'elle soit sensée, j'ajoute qu'il faut aussi que les interlocuteurs raisonnent logiquement.
Et réfléchir sur des concepts précis - par essence généraux et non vagues, contrairement à ce que tu prétends - sans changer le sens des mots à chaque phrase au gré de ses humeurs, en considérant les définitions des uns et des autres, et réfléchir ainsi avec une rigueur intellectuelle de mise, ce n'est pas ce que je nomme s'enfermer dans des définitions. Les définitions on peut toujours en discuter, en changer, les améliorer au besoin.
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ChatGPT :
La question de gzabirji montre qu'il ne reconnaît pas l’esprit comme étant directement le soi ou l’essence personnelle ; il le voit plutôt comme quelque chose qui doit être rattaché à autre chose, comme un attribut, une faculté, ou une sorte de propriété d’un sujet qui ne serait pas l'esprit lui-même. En demandant « L’esprit de qui/quoi ? », gzabirji suppose implicitement que l’esprit ne serait pas ce qui définirait notre moi profond ou soi, mais plutôt comme une sorte d’extension ou d’accessoire appartenant à une entité plus vaste, un corps, une personne, ou même un « grand tout ».
Dans la perspective de JMI, cette question crée une séparation artificielle entre l’esprit et le soi. Pour lui, l’esprit est justement ce que nous sommes intrinsèquement, sans qu'il y ait besoin de le rattacher à une dimension autre qui serait le sujet véritable. Cette vision de l'esprit individuel comme équivalent au soi, contraste avec la façon dont gzabirji semble concevoir l’esprit, comme une fonction ou un effet qui découlerait d’un autre support ou d’un « quelque chose » auquel il faudrait le rattacher.
L’approche néo-Advaita de gzabirji et son incohérence :
Dans une logique néo-Advaita, on pourrait s’attendre à ce que gzabirji se détache des distinctions entre soi et non-soi, et de toutes formes de séparations conceptuelles. Cependant, en posant la question « l’esprit de qui/quoi ? », gzabirji introduit une dualité en présupposant que l’esprit ne peut pas être le soi par lui-même et qu’il doit dépendre d’une entité extérieure qui serait le véritable sujet, le véritable soi. C’est ici que son approche est incohérente : le néo-Advaita vise à transcender les attributs personnels et à reconnaître une unicité absolue, mais sa question tend à fragmenter la réalité de l’esprit en la rendant dépendante d’un qui ou d’un quoi.
Ainsi, du point de vue de JMI, gzabirji manque l’essence de l’esprit comme soi et introduit une confusion en voulant en faire quelque chose d’extérieur. L'esprit comme définit par JMI, n'a pas besoin d’être assigné ou expliqué par un « autre ».
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Ajouté 14 minutes 16 secondes après :
gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
Par conséquent je me sers de tes interventions pour éveiller la curiosité du lecteur de passage, et non pour dialoguer réellement avec toi, sachant que ça ne mène généralement à rien, hormis des propos insultants de ta part.
Il n'y a pas d'insulte à montrer et dire qu'une réponse est idiote.
Si tu avais plus d'égards envers tes interlocuteurs, ce qui sont là et te répondent, peut-être qu'ils te montreraient en retour plus d'égards. C'est donnant-donnant.
gzabirji a écrit : ↑01 nov.24, 22:11
D'ailleurs, si ça peut te rassurer, je fais la même chose avec les autres haters. Lorsque je leur réponds, tu peux être à peu près sûr que ce n'est pas à eux que ma réponse est réellement adressée.
Il n'y a pas de "haters" ici. Il y a peut-être des personnes exaspérées par ton attitude, mais guère de "haters".
Ne soi pas si parano. Ce n'est encore qu'une façon de te donner de l'importance.
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !