Posté : 02 déc.04, 08:23
Non, desertdweller, je ne te donnerai jamais la définition Biblique de la pédophilie, car même si elle existait, elle ne refléterait que la législation d'époque, ce qui serait un bien faible argument. Ça fait par contre deux fois que je te donne la définition Biblique de la sexualité humaine, qui est une définition théologique et non culturelle, de laquelle tu devrais normalement conclure que la pédophilie est une transgression de la loi divine.
Homme = espèce humaine
homme = représentant mâle de l'espèce humaine
Voici disons les trois axes que je distingue dans la Bible au sujet de la sexualité humaine:
- L'Homme est fondamentalement sexué, c'est-à-dire homme et femme
- L'Homme est créé à l'image de Dieu
- La volonté créatrice de Dieu se confond avec sa volonté d'amour
À partir de ces trois définitions, on peut unifier le tout: la sexualité humaine, moteur de la création de nouveaux êtres humains, est, comme toutes les dimensions naturelles de l'homme, faite à l'image de Dieu: sa puissance créatrice est confondue avec sa puissance d'amour.
La sexualité humaine, dans le plan de Dieu, se veut donc amoureuse et féconde: comme l'un est moteur de l'autre chez Dieu, l'un est moteur de l'autre chez l'homme, tant théologiquement que biologiquement (c'est là qu'on voit que la théologie rejoint la science.)
Or un enfant immature ne peut pas encore vraiment aimer: il n'a pas la maturité qu'il faut pour savoir ce qu'est vraiment se donner, il n'est pas encore un être totalement développé et libre dans ses décisions. Il est encore à apprendre et à obéir à ses supérieurs: il ne peut pas entretenir une relation d'égal à égal avec un adulte, voilà l'amour entre un enfant et un adulte ne peut pas exister comme il existe entre deux adultes. Enfin, tant que l'enfant n'est pas adulte, son développement affectif est encore imparfait et instable: il se cherche lui-même, particulièrement à l'adolescence, et comme il ne se connaît pas lui-même, il ne peut se donner, car il ne sait pas qu'est-ce qu'il donne. Ce n'est pas une question d'âge, c'est une question développement corporel et affectif.
Voilà pourquoi la pédophilie n'est ni normale au plan biologique, ni bonne au plan théologique.
Homme = espèce humaine
homme = représentant mâle de l'espèce humaine
Voici disons les trois axes que je distingue dans la Bible au sujet de la sexualité humaine:
- L'Homme est fondamentalement sexué, c'est-à-dire homme et femme
- L'Homme est créé à l'image de Dieu
- La volonté créatrice de Dieu se confond avec sa volonté d'amour
À partir de ces trois définitions, on peut unifier le tout: la sexualité humaine, moteur de la création de nouveaux êtres humains, est, comme toutes les dimensions naturelles de l'homme, faite à l'image de Dieu: sa puissance créatrice est confondue avec sa puissance d'amour.
La sexualité humaine, dans le plan de Dieu, se veut donc amoureuse et féconde: comme l'un est moteur de l'autre chez Dieu, l'un est moteur de l'autre chez l'homme, tant théologiquement que biologiquement (c'est là qu'on voit que la théologie rejoint la science.)
Or un enfant immature ne peut pas encore vraiment aimer: il n'a pas la maturité qu'il faut pour savoir ce qu'est vraiment se donner, il n'est pas encore un être totalement développé et libre dans ses décisions. Il est encore à apprendre et à obéir à ses supérieurs: il ne peut pas entretenir une relation d'égal à égal avec un adulte, voilà l'amour entre un enfant et un adulte ne peut pas exister comme il existe entre deux adultes. Enfin, tant que l'enfant n'est pas adulte, son développement affectif est encore imparfait et instable: il se cherche lui-même, particulièrement à l'adolescence, et comme il ne se connaît pas lui-même, il ne peut se donner, car il ne sait pas qu'est-ce qu'il donne. Ce n'est pas une question d'âge, c'est une question développement corporel et affectif.
Voilà pourquoi la pédophilie n'est ni normale au plan biologique, ni bonne au plan théologique.
Tu ne comprends toujours pas que ce n'est pas le fait d'être homosexuel qui est reprochable, mais les pratiques homosexuelles?Quand donc des gens bornes vont-ils accepter que l’homosexualite ne se choisi pas.
Dois-je me répéter: Ce n'est pas parce qu'on ignore la genèse de cette modification de parcours qu'il ne s'agit pas d'une modification de parcours, d'une "déviation".A l’epoque ou la Bible fut ecrite la connaissance du cerveau humain etait au zero absolu et on est encore loin du compte. On en est a des balbutiement.
La nature créé toutes sortes d'êtres plus ou moins exceptionnels, ce qui ne signifie pas qu'ils puisse être acceptés en tant qu'êtres normaux. Accepter l'autre, c'est d'abord accepter sa différence, pas dire qu'il est pareil. L'homosexuel n'a pas la même sexualité que l'hérérosexuel: il n'y a donc pas de raisons qu'au départ, il ait les mêmes droits par rapport à cette sexualité.Il ne s’agit pas de se comporter tel qu’enseigne dans un livre, aussi saint soit il, mais d’accepter que la nature joue des tours.
Je me rends compte que mon exemple de l’hermaphrodisme est passe sous la carpette. Si la nature permet la creation de ce genre d’individus, pourquoi pas autre chose ?
C'est faux. On ne parle pas que de sentiments, on parle de société, et de responsabilité familiale dans l'éducation de la prochaine génération et d'individus humains (les enfants) qui ont autant de droits que d'autres (les homosexuels).Non, on ne permet pas a un trisomique de devenir president, mais c’est pas de ca qu’on parle. On parle de sentiments et rien d’autre que de se sentiments. L’amour, tout comme la faim, est une pulsion. Dire qu’elle est necessaire a la survivance de la race c’est ignorer qu’on peut manger sans faim, juste par gout, par plaisir. Alors manger par plaisir, est ce denaturer la faim ?
En tant que mammifère, les comportements amoureux chez l'homme ne sont pas très différents de ceux observés chez les animaux, et sont manifestement ordonnés à la même fonction. Les espèces ne développent rien qui ne contribue directement à leur survie: ce serait une dépense d'énergie inutile et une nuisance. Chaque fois que les scientifiques découvrent une nouvelle fonction dans un organisme vivant, la première question est: à quoi ça sert pour sa survie?Essayer de dire que l’amour ne peut qu’exister qu’en tant que moteur de la procreation, n’est base sur aucune verite scientifique.