Dhimmis dans la mesure où ils sont concitoyens... Racket de la protection... S'ils ne le sont pas, ils sont mécréants...
Les mécréants ne sont pas seulement des athées sans religion / car un athée peut avoir une spiritualité au diapason de l'humain, du social, de la profession, du sociétal. Les mécréants sont ceux qui ne croient à rien, À RIEN, À RIEN.
Je ne sais pas où vous avez pris ça, mais ce n'est pas du tout ce qu'on lit ailleurs...
Par exemple:
Motifs possibles du takfîr (« mécréant, incroyant, ingrat, infidèle »), au pluriel kouffar)`
Dans le sunnisme, le takfîr peut s'appliquer à une personne en raison d'une croyance, d'une parole ou d'un acte :
exemples de croyance : renier l'unicité de Dieu, le statut des prophètes de l'islam ou un précepte religieux consensuel de sa communauté. Ce n'est pas la non-pratique du précepte qui mène au takfîr, mais le fait de renier qu'il fasse partie de la religion. Cependant, la prière (salat) voire l'aumône obligatoire (zakat) sont des cas particuliers, car certains ouléma (notamment parmi les hanbalites) émettent le takfîr pour leur simple abandon (voir l'article salat pour plus d'informations sur l'abandon de la prière en islam). Aussi, le fait de douter ou de ne pas excommunier ceux qui ont pris un autre chemin que celui de l'islam (ex. : Chrétiens - Juifs - athées) ;
exemples de parole : insulter Dieu, ses anges, ses livres, ses prophètes, le jour dernier ou le destin bon ou mauvais. Pour certains Sunnites, le fait d'insulter les épouses ou les compagnons de Mahomet est aussi une cause de takfîr ;
exemples d'acte : se prosterner devant une statue, piétiner le Coran, etc.
Les dix grands motifs au takfîr
Selon certains ouléma[Qui ?], les annulations de l'islam (c'est-à-dire rendant mécréante la personne qui n'en commet ne serait-ce qu'une) sont au nombre de dix (il en existe cependant plus, les 10 grand annulatifs de l'Islam sont repris ci-dessous) :
agréer ou pratiquer l'associationnisme ;
mettre des intermédiaires (qu'on invoque, en qui on place la confiance…) entre Dieu et une personne ;
ne pas considérer les non-musulmans comme mécréants ou douter de leur incroyance [réf. nécessaire] ;
avoir la conviction qu'une voie ou qu'un jugement sont meilleurs que ceux d'Allah ou Mahomet (cf. Sourate 5:44) ;
détester une chose venue du messager de Dieu même si on la met en application ;
se moquer d'une chose faisant partie de la religion, d'un châtiment ou d'une récompense de Dieu (cf. Sourate 9:65-66) ;
agréer ou pratiquer la sorcellerie ;
s'allier militairement avec les « Juifs et les Chrétiens alliés les uns les autres » contre des musulmans (cf. sourate 5:51-55) ;
croire que certaines personnes peuvent sortir de la voie de Mahomet ;
ne pas du tout apprendre ni ne pratiquer l'islam.
De plus, il n’y a aucune différence concernant ces annulations de l’islam, entre celui qui les commet par humour, sérieusement, ou par peur (seul celui qui y est contraint est excusé). Chacune de ces annulations fait partie des actes associationnistes majeurs.
LIEN
Je ne manque pas de donner l'exemple historique du "Après moi, le déluge"
C'est tout à fait l'impression en lisant le Coran puisque c'est la dernière religion, l'unique et la seule, son dernier prophète, la dernière révélation...