Re: NDE: pas besoin de religion pour aimer son prochain
Posté : 15 mai23, 00:59
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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Stop! a écrit :
ils enjoignent aussi d'aimer Dieu plus que soi-même ; donc également plus que son prochain.
Cet amour du prochain minoré par la prescription divine n'existe pas chez les non-religieux,
qui ont donc de meilleures dispositions envers leur prochain que les croyants.
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Sophistique. La minoration n’est que relative. Elle n’implique pas que sans Dieu l’amour du prochain est plus grand. Dans le cas de l’amour de Dieu, il est possible que l’amour du prochain soit plus grand que sans (les 2 amours, de Dieu et du prochain, pouvant se situer à un niveau plus élevé ou intense ou fondé)
L’argument ne conclut pas validement.
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Sophistique pour toi si tu veux.
Mais contrairement à ce que tu avances, et même si elle n’implique pas automatiquement que sans Dieu l’amour du prochain soit plus grand, la latitude du non-croyant pour aimer son prochain est mathématiquement plus grande, si peu que ce soit.
le probleme c'est que les religions limites cette amour de dieu et du prochainChristianK a écrit : ↑18 mai23, 12:04 Comment ca, latitude? Si Dieu est infini et doit être aimé infiniment, la barre est infiniment haute, donc le fait que le prochain soit sous cette barre ne diminue rien. L’infidèle n’aura pas cette justification d’amour du prochain.
Comme aurait dit Aristote au sujet du nombre le plus grand, infini ici signifie le maximum, ou infini en puissance.Stop! a écrit : De toute façon, même si Dieu est infini, l'homme en est loin et n'est même pas capable d'appréhender cette notion d'infini. Alors un amour infini
Non, pas au sens strict de amour : vouloir du bien à autrui (i.e. vouloir le salut donc la conversion) Ceci est immérité. En revanche tout péché mérite chatiment, comme tout crime.enso a écrit :
car pour eux seul les adherents de la dite religion merite cette amour.
c'est là tout le problemeChristianK a écrit : ↑10 juin23, 12:33
Non, pas au sens strict de amour : vouloir du bien à autrui (i.e. vouloir le salut donc la conversion) Ceci est immérité. En revanche tout péché mérite chatiment, comme tout crime.
sauf que cette regle d'or a eté entacher par l'esprit partisant
Bien sur, les partis, les partisans, les clubs, les sectes... ne sont sources que de divisions.
Cette question est différente du point à l’étude, qui est la haine pour les pécheurs ou les infidèles dans une religion. Dans une religion c’est Dieu qui détermine le crime et c’est à lui seul qu’est le chatiment, à moins que le bien commun civil soit en cause.Enso a écrit :
c'est là tout le probleme
qui et comment definir et determiné le peché le crime et son chatiment ?
Faut distinguer guerre juste et injuste avec toutes les conditionsles religions on mal vieilli
elle sont les premiere a appelé au meurtre (guerre) au vol (butin) au viol (decaptive de guerre ) etc ...
Les morts sont en grande majorité politiques, pas religieuses, les justifications ont presque toujours été la justice, donc le bien commun civil ou international.de plus les religions abrahamique on toute echoué a etablit l'amour entre leur adherent ces religions se sont toute divisé et entretué
donc on voit bien tout le probleme et que l'apprentissage de l'amour du prochain a echoué alors meme que le prochain est son frere de religion ...
que dire des autres ...