lafrisée a écrit : ↑23 déc.23, 01:35
De toute façon, fable ou pas, les poissons sont de moins en moins nombreux dans les mers, il y a des nano particules de plastiques dans tous les organismes vivants et un continent de plastique au milieu de l'océan, les forêts vierges d'amazone rétrécissent à vue d'oeil et les espèces animales disparaissent aussi à une vitesse grand V, signe d'une détérioration de l'environnement car l'homme détruit tout.
Même si le climat n'est pas impacté il est urgent d'arrêter de polluer et de détruire notre environnement. Sinon espèce après espèce, il arrivera un jour où tout sera tellement dégradé que même la composition de l'air changera, et rendra impropre la vie humaine telle que nous la connaissons (mon avis)
Quand aux couples homosexuels, ce n'est pas leur sexualité que bénit le pape, c'est l'amour qui les unit, l'amour étant le signe incontestable de Dieu. (mon avis)
Permettez moi de réagir.
J'ai vu aux actualités cette déclaration de votre homme de culte à votre tête.
Vous semblez mélanger l'amour sentiment qui unit les gens, et l'amour sexuel qui est différend puisqu'il ne s'applique qu'aux gens de sexes différents.
C'est comme si vous disiez qu'un homme qui a un rapport sexuel avec une chèvre c'est par amour pour la chèvre qui pousse cet homme à aimer la chèvre, c'est pareil pour le cas d'hommes entre eux, et pour la petite histoire, j'ai entendu parler d'un de vos curés de votre établissement à Rome, établissement qui sert à la fois de musée et de lieu de recueillement pour vous qu'un curé sortait le soir pour accomplir des actes très répréhensibles auprès d'un jeune homme qui se faisait payer par le curé, et son nom à ce jeune homme était "Mangiacapra" ce qui signifie "mange une chèvre en italien" donc vous voyez, en vous parlant de chèvres je n'étais pas loin de la vérité.
Ah j'ai retrouvé l'article
Mangiacapra, ancienne escorte de prêtres, publie son nouvel essai
parRo. Ro.
« Le coup d’État du politiquement correct », avec une préface du père Ariel S. Levi
Pour les curieux la suite de l'article :
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Mangiacapra, ancienne escorte de prêtres, publie son nouvel essai
parRo. Ro.
« Le coup d’État du politiquement correct », avec une préface du père Ariel S. Levi
Mangiacapra, ancienne escorte de prêtres, publie son nouvel essai
Mangiacapra, ancienne escorte de prêtres, publie son nouvel essai
« Le coup d’État du politiquement correct » est le titre du nouveau livre de Francesco Mangiacapra, un jeune Napolitain qui a fait la une des journaux il y a quelques années pour son premier livre « Il numero uno » dans lequel il racontait ses aventures en tant qu’escorte de prêtres et soulignait le phénomène de l’homosexualité chez les prêtres catholiques. L’essai publié par « L’Isola di Patmos » préface écrite pour le livre de Francesco Mangiacapra par le Père Ariel S. Levi di Gualdo, prêtre et théologien, fondateur des Edizioni L’Isola di Patmos, dirigées par Jorge Facio Lince, qui a édité l’édition du volume.
Le risque de conformité
Le voile du « politiquement correct » plane sur une société indifférente à la violence réelle, mais prête à exposer au pilori, pour une plaisanterie ou une satire inoffensive, ceux qui osent s’opposer à la pensée unique. Méprisant la liberté de pensée, ils en sont venus à proposer une loi qui punit non pas tant les paroles, les actes et les omissions, mais les pensées des non-alignés. Dans Le coup d’État du politiquement correct, Mangiacapra analyse certains thèmes significatifs de la civilisation moderne, allant de la dynamique liée aux politiques d’immigration, au dysfonctionnement des corps canoniques envers une grande partie de la population pour favoriser une minorité ; Il analyse l’hypocrisie rampante du « politiquement correct » et la facilité avec laquelle il se propage en obscurcissant les esprits moins attentifs qui s’avilissent, en adoptant des philosophies de pensée qui conduisent souvent à limiter la faculté de jugement et d’expression de ceux qui s’impliquent dans ce tourbillon de fausse respectabilité. « Lorsque la démocratie est rongée par le cancer du politiquement correct – dit Mangiacapra – elle se transforme en une dictature des minorités, un régime antidémocratique dont le fondamentalisme consiste à nier la réalité objective pour privilégier un sens fanatique extrême du respect de tous, dans lequel, pour ne pas tomber dans une offense potentielle au détriment de certaines catégories de personnes, La liberté de pensée et d’expression des majorités est discriminée, niée et abjurée. Une tyrannie qui prétend délégitimer la société civile de la capacité d’opinion sur n’importe quel groupe minoritaire social, politique ou religieux parce qu’ils sont tous devenus incontestablement sacrés et intouchables.
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