VexillumRegis a écrit :Mon cher ahasverus,
Vous parlez avec votre esprit rationnaliste, je vous parle avec ma foi chrétienne.
La naissance du Christ est un Mystère, et toutes vos démonstrations scientifiques et médicales, aussi logiques soient-elles, n'y changeront rien.
Les catholiques fidèles défendront jusqu'à leur dernier souffle le depositum fidei.
Et si sensus deficit, / Ad firmandum cor sincerum, / sola fides suficit -- Si la raison défaille, la seule foi suffit pour affermir un coeur droit (S. Thomas d'Aquin, Pange lingua).
- VR -
Non la naissance du Christ n'etait pas un mystere. Jesus est venu au monde homme et non Dieu. et il est venu au monde comme n'importe quel homme.
Dire autre chose c'est lui enlever son humanite.
Cette insistence de certain catho d'enlever a Marie et au Christ leurs attributs humains est au bord de l'heresie et n'a d'autre but que de sanctifier la chastete et le celibat, et salir la dimension sexuelle de l'etre humain.
Tu parle de foi chretienne, moi j'appelle ca de l'obsession mal placee.
Marie etait enceinte tout comme n'importe quelle femme. L'annonciation c'est 9 mois avant Noel au cas ou tu ne l'aurais pas remarque.
Marie a tres probablement eu les malaises de toutes les femmes enceintes avec toutes les consequences, crampes, vomissements, son dejeuner a du se retrouver sur le sol de la cour plusieures fois qu'une.
Que ca te plaise ou non, les deux ont fait pipi et caca et ont du se torcher le cul. Et leurs excrements avaient la meme couleur et la meme odeur que pour tous les etres humains.
Marie a eu ses regles a tous les mois avec tout ce que cela comporte. Jesus a eu des erections et des ejaculations nocturnes pendant toute sa puberte.
Nier tout ca c'est vouloir enlever le caractere humain deMarie et Jesus. En contradiction absolue de la revelation.
Dans les debuts du christianisme, une forme d'heresie niait ces attribute humains a Jesus. Elle a ete condamnee dans un des tous premier concile
it was by the consent of the Divine will that the flesh was allowed to suffer and do what belonged to it."
Jean Damascene