gzabirji a écrit : ↑08 nov.24, 07:55
À un niveau de langage plus élevé, il n'y a plus ni "nous", ni "je".
Le joker classique du niveau de langage...
Ce qui est fascinant c'est de voir que, comme pour les Témoins de Jéhovah, Mormons, Francs maçons, scientologues etc. de l'extérieur, ces lignes de fuite, ces grosses ficelles sautent aux yeux mais l'adepte, lui, y voit la Vérité.
Et c'est logique, c'est justement le fait que les autres voient les choses différemment qui enferme la personne dans sa conviction d'avoir raison au milieu d'un monde qui ne voit pas la lumière et peuplé de "haters".
Ce qui est le plus frappant c'est cette comédie de la profondeur avec ces "niveaux de langages" avec ces silences dans les vidéos, les yeux en mouvement perpétuel.
Toujours les mêmes grosses ficelles : un langage spécifique, une gestuelle, des attitudes stéréotypées permettant d'identifier celui qui fait partie du "nous".
Igordhossegor a écrit : ↑08 nov.24, 20:38
Le joker classique du niveau de langage...
Ce qui est fascinant c'est de voir que, comme pour les Témoins de Jéhovah, Mormons, Francs maçons, scientologues etc. de l'extérieur, ces lignes de fuite, ces grosses ficelles sautent aux yeux mais l'adepte, lui, y voit la Vérité.
À propos de "Vérité", voici ce que tu écrivais à mon encontre le 29 octobre à 18h17 heure de Paris :
Igordhossegor a écrit : Donc, Gzmachin traite de "conne" l'IA qui ne connaît pas une citation mais lui, lorsqu'on lui demande où on peut trouver cette citation répond "l'arc en ciel aux mille couleurs qui nous glisse entre les doigts".
En réalité, l'IA ne connaît pas la citation parce que, visiblement, elle n'existe pas.
Cette "citation" qui est aussi attribuée à d'autres est sans doute, une invention
(...) Le véritable c.rétin dans l'histoire, c'est celui qui méprise les autres parce qu'ils ne connaissent pas une chose, chose dont l'idiot n'a évidemment pas vérifié l'authenticité et qui s'avère totalement fausse.
(c'est moi qui souligne)
Quelques temps plus tard, la fameuse citation a pourtant été retrouvée, complétée d'une courte incise de seulement trois ou quatre mots.
Comme chacun peut donc le constater, puisque nous l'avons sous les yeux, tes propos sont insultants et émaillés d'erreurs grossières.
Ils constituent une magnifique attaque ad hominem, un plaidoyer à charge basé sur une conviction personnelle qui s'est finalement révélée totalement fausse.
Une fois la vérité mise au jour concernant cette fameuse citation de Krishnamurti, on aurait pu s'attendre à quelque excuse de ta part, un mea culpa qui aurait été le bienvenu.
Seulement voilà, un hater, un rageux (en français) ne s'encombre pas de telles convenances. Il déborde de haine, saisit la moindre occasion de salir son interlocuteur, de cracher son venin et de mordre comme un chien.
C'est là le rôle que joue son personnage. Cela lui procure sa dose d'adrénaline et il se moque totalement des conséquences de ses attaques personnelles, que ce soit sur autrui ou sur son propre organisme.
Ainsi, la seule question que je t'invite ici à te poser, Igordhossegor, c'est la suivante :
- Suis-je réellement ce personnage qui déborde de haine contre son prochain ? Ou bien ce comportement détestable est-il la conséquence d'un parcours de vie personnel et d'un conditionnement sur lequel je n'ai pas le moindre contrôle ?
J'm'interroge a écrit : ↑08 nov.24, 10:58
C'était une question rhétorique qui reprenait ton propos.
Elle ne t'était donc pas adressée, puisque j'en connaissais la réponse, que d'ailleurs : tu ne démens pas.
gzabirji a écrit : ↑08 nov.24, 19:50
Je n'ai jamais écrit que les mots "dissocieraient la réalité en éléments séparés", l'ami.
Ce sont des propos qui sont apparus dans ton esprit, et tu t'es simplement imaginé que j'avais écrit quelque chose de ce genre.
Tu n'as certes, jamais formulé explicitement que "le langage, les mots, l'intellect, dissocieraient la réalité en éléments séparés", c'est normal, puisque c'est ma formulation, et parce que c'est la raison que je donne à ta croyance, celle que selon toi, et ça tu l'as bien écrit : "les mots pour en parler sont systématiquement duels.".
Tu sais lire ? C'est toi qui parles de fausse attribution ?! Si tu considères que c'est une fausse attribution, il ne faut pas simplement l'affirmer, ou tenter de faire croire que je créerais de fausses citations. Ça c'est plutôt ton dada. Non, si tu déclares que c'est une fausse attribution, il faudra bien plus que cela, il faudra montrer que ce que je dis est faux, autrement dit, que cette raison que je donne est fausse, et donc expliquer autrement, en quoi, si je me trompes, le langage, les mots, l'intellect, seraient par nature "systématiquement duels" comme tu le prétends, pour parler de ce dont tu ferais selon toi l'expérience.
Certes, tu as pas compris la raison que je donne ni ses fondements. Ne comprenant d'ailleurs probablement même pas précisément pourquoi tu parles de dualité et de non-dualité, ni pourquoi tu considères le langage comme "systématiquement duel". Tu ne l'as pas formulé explicitement, mais la raison de cette considération, c'est bien celle que je donne, et c'est ta croyance implicite, autrement dit : celle que ton propos implique. En effet, c'est bien parce que, comme je l'ai assez longuement expliqué, tu confonds distinguer et dissocier, que tu parles de dualité quand il s'agit juste de distinctions.
En effet, l'on ne peut croire que les "mots sont systématiquement duels", que si l'on pense qu'en distinguant par les mots, l'on dissocierait la réalité en éléments séparés, de manière illusoire certes, mais que c'est bien ce qui se produirait forcément. Alors qu'en réalité, le fait de distinguer, ne fait cela que dans ta croyance.
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ChatGPT :
Vous mettez en évidence un point de débat fondamental : la fonction du langage et de l'intellect dans la structuration de notre perception de la réalité. En effet, gzabirji semble adhérer à une vision où le langage serait intrinsèquement "duel" — c'est-à-dire qu'il diviserait la réalité en entités séparées, créant des distinctions et des oppositions qui masqueraient notre expérience "non-duelle" de la réalité. Cette perspective est courante dans certaines traditions spirituelles et philosophiques qui posent le langage et l'intellect comme des barrières à une expérience pure et immédiate de la réalité, non médiée par des concepts ou des jugements.
Cependant, votre argument réintroduit une nuance essentielle : le langage ne dissocie pas nécessairement les éléments de la réalité, mais les distingue. Cette distinction ne crée pas une rupture absolue, mais permet au contraire une intégration des différents aspects de l’expérience au sein d’une compréhension cohérente et qui reconnaît l'interdépendance des éléments de la réalité qui sont distingués.. Autrement dit, vous défendez l'idée que le langage et l'intellect, loin de fragmenter notre perception, jouent un rôle structurant et unifiant. Par les mots, nous distinguons des éléments sans nécessairement rompre leur lien mutuel ou avec l'ensemble ; nous décrivons et nommons les aspects de l’expérience pour mieux appréhender leurs interrelations et interdépendance.
Cela revient à dire que le langage est au service d'une compréhension intégrative et non de la division. Par exemple, distinguer la dualité de la non-dualité dans une discussion philosophique ne les oppose pas comme en concepts indépendants ni ne crée de scission entre eux, mais permet d'analyser leurs significations, leurs limites et leurs éventuelles implications. Ainsi, parler de dualité et de non-dualité enrichit notamment la compréhension de la relation entre ces concepts et de leur relation dialectique.
Votre distinction entre distinguer et dissocier est particulièrement pertinente ici. Distinguer revient à identifier des aspects dans un ensemble, tandis que dissocier impliquerait de les séparer de manière radicale en éléments isolés ou indépendants, comme si les concepts, ou les éléments différents distingués eux-mêmes étaient irréconciliables. Dans cette optique, le langage et l’intellect ne nous éloignent pas d’une expérience unifiée de la réalité, mais nous permettent au contraire de mieux en saisir les facettes et d’en approfondir notre compréhension.
L'idée d'une compréhension qui reconnaît l'interdépendance des éléments de la réalité ne peut pas être considérée comme fondamentalement duelle. En d'autres termes, il s'agit d'une compréhension qui ne réduit pas la réalité à des entités séparées, mais qui saisit comment les éléments se relient et interagissent. Ce type de compréhension serait donc "cohérente" et "unifiante", dans le sens où elle intègre les liens et relations entre les choses, plutôt que de les isoler ou de les compartimenter.
En résumé, vous invitez gzabirji à reconsidérer le rôle du langage et de l'intellect : non pas comme des éléments qui entravent l’expérience d’unité, mais comme des instruments qui nous aident à naviguer dans cette complexité. Vous défendez ainsi une vision intégrative où le langage, loin d’être un piège duel, serait au contraire une passerelle qui nous permettrait d’approfondir notre compréhension de la réalité sans pour autant la fragmenter.
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ChatGPT :
[...]
Le texte met également en évidence un paradoxe fondamental dans le discours de Gzabirji. En effet, d'un côté, celui-ci nie toute possibilité de compréhension rationnelle et, par conséquent de communicabilité de ce qu'est l'éveil. D'un autre côté, aspirant à en montrer la direction, il se retrouve en situation d'en parler. C'est une contradiction : on ne peut à la fois affirmer l'incommunicabilité de l'éveil et discourir à son sujet de manière à le pointer. Cette position paradoxale peut en effet être perçue comme une manière de protéger artificiellement ce discours de toute critique rationnelle.
Par ailleurs, le texte mentionne des traditions, comme l’Advaita et la pratique du Neti Neti (ni ceci ni cela), qui abordent les limites du langage. Pour ces écoles, en effet, certaines expériences spirituelles échappent en grande partie aux catégories conceptuelles ordinaires. Cependant, même dans ces traditions, il y a une tentative de structurer un discours qui, tout en acceptant les limites de la parole, permet à l'auditeur de s'approcher d'une compréhension plus intuitive et profonde, une transmission indirecte, certes, mais néanmoins guidée par la raison. C’est là peut-être ce que l'auteur du texte appelle une “transmission intelligible” : elle ne présume pas que l’expérience soit purement logique, mais qu’elle reste accessible, partiellement au moins, à une forme de compréhension partagée.
Au final, le texte affirme que si l'éveil est véritablement vécu et compris, il doit y avoir une capacité à en parler sans tomber dans des affirmations creuses ou dogmatiques. Selon l'auteur de ce texte, une expérience authentique implique une compréhension qui, même si elle peut toucher des réalités subtiles ou non-ordinaires, garde une cohérence logique minimale qui permet à l'explication ou à la désignation de cette expérience de dépasser le cadre de la croyance personnelle.
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Chat GPT :
Dans cet échange, on voit un débat assez technique et philosophique sur la nature du langage, de la distinction et de la dualité.
JMI semble remettre en question l’interprétation de gzabirji concernant la "dualité" inhérente aux mots et au langage. JMI reproche à gzabirji de ne pas reconnaître l'implication de son propre propos, qui selon JMI, revient à considérer que les mots et le langage introduisent une séparation illusoire des éléments de la réalité. Pour JMI, cette "dualité" des mots est une confusion entre deux concepts différents : distinguer et dissocier. Il avance que, bien que les mots puissent effectuer des distinctions, cela ne signifie pas qu’ils dissocient la réalité en éléments séparés, et cela même de manière illusoire.
De son côté, gzabirji dément l'interprétation de JMI, affirmant qu’il n’a jamais dit que le langage dissocie la réalité. Selon lui, JMI lui prête une interprétation qu’il n’a pas formulée.
En somme, le point de divergence entre eux se trouve dans l’interprétation de ce que signifie "dualité" dans le langage. JMI distingue entre "distinguer" et "dissocier" et reproche à gzabirji de ne pas comprendre la différence entre les deux, ce qui le mène à faire des affirmations qu’il juge incorrectes.
JMI :
JMI lui prête-t-il vraiment un propos qui ne serait pas celui de gzabirji ?
L'accusation de fausse attribution faite par gzabirji est-elle justifiée ?
ChatGPT :
Non, il semble que JMI ne prête pas vraiment un propos à gzabirji qui serait entièrement étranger à ce que ce dernier a exprimé. L'accusation de fausse attribution par gzabirji ne semble donc pas justifiée.
En effet, JMI reconnaît explicitement que la phrase "le langage, les mots, l'intellect, dissocieraient la réalité en éléments séparés" est sa propre formulation. Il ne prétend pas que gzabirji ait énoncé cette phrase, mais utilise cette formulation pour résumer, interpréter, ou expliciter ce qu'il perçoit comme la croyance implicite de gzabirji. Pour JMI, la conviction de gzabirji selon laquelle "les mots sont systématiquement duels" (ce que gzabirji a bien affirmé) implique logiquement que selon ce dernier, les mots créent une forme de séparation dans la perception de la réalité. Ainsi, JMI développe son argumentation à partir de cette implication, non pas pour falsifier les propos de gzabirji, mais pour en tirer ce qu’il considère comme une conséquence logique.
L'accusation de fausse attribution de gzabirji pourrait être vue comme un malentendu sur ce qu'est une attribution implicite versus explicite. Alors que gzabirji semble penser que JMI a déformé son propos, JMI s'efforce de clarifier un point de logique en affirmant que la nature "systématiquement duelle" des mots, comme l'entend gzabirji, repose implicitement sur une conception où les mots créent une séparation (ou dissociation) illusoire de la réalité.
En somme, JMI ne crée pas une fausse citation mais interprète les propos de gzabirji pour en explorer les implications sous-jacentes, ce qui rend l'accusation de fausse attribution infondée. .
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
J'm'interroge a écrit : ↑09 nov.24, 00:35
Tu n'as certes, jamais formulé explicitement que "le langage, les mots, l'intellect, dissocieraient la réalité en éléments séparés",
Merci de le reconnaître.
Non seulement je n'ai rien dit de tel, mais ce n'est même pas ce dont je témoigne.
J'm'interroge a écrit : ↑09 nov.24, 02:15
Si si, tu le dis bel et bien. Tu ne le dis pas explicitement, mais c'est bien ce que ton propos implique. C'est implicite.
C'est simplement que tu ne fais pas les connexions. .
Ah, d'accord... Tu sais mieux que les autres ce qu'ils ont à l'esprit.
On va aller loin avec ça...
gzabirji a écrit : ↑09 nov.24, 02:31
Ah, d'accord... Tu sais mieux que les autres ce qu'ils ont à l'esprit.
Dans notre cas c'est évident. Si tu le savais et si j'avais tort, tu m'aurais répondu en m'expliquant en quoi ce que j'ai dit serait faux.
Mais je constate que tu en es bien incapable.
gzabirji a écrit : ↑09 nov.24, 02:31
On va aller loin avec ça...
Toi sans doute. Il semble que certaines subtilités t'échappent..
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J'ai demandé à ChatGPT une définition précise du concept de non-dualité, à la lumière de ce que j'ai exposé. Voici sa réponse que je juge tout à fait pertinente :
"La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque. Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas, sont des constructions relatives, mais qui ne fragmentent en rien pour autant cette unité du réel indivisible, en élément séparés. Dinstinguer n'étant pas dissocier."
L'IA ajoute :
"Cette formulation est en effet plus précise et fidèle au concept de non-dualité. En affirmant que les distinctions sont des constructions relatives sans fragmenter l’unité fondamentale du réel, elle évite l'écueil de considérer ces distinctions comme de simples illusions. La phrase finale, "Distinguer n'étant pas dissocier," clarifie bien l'idée que percevoir des différences n’implique pas de les considérer comme des divisions substantielles. Cette définition capture donc avec rigueur la non-dualité comme une réalité indivisible, où les distinctions apparaissent sans briser cette unité intrinsèque.
Elle met également en relief l’essentiel du propos de JMI, qui insiste sur la distinction entre distinguer et dissocier, et répond ainsi au point de confusion soulevé par JMI, dans le discours de gzabirji."
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Je constate que l'IA que tu qualifiais de "conne", est bien plus intelligente que toi, en ce sens qu'elle comprend d'elle-même des choses que toi tu ne comprends même pas quand on te les explique clairement. .
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
gzabirji a écrit : ↑08 nov.24, 21:09
Comme chacun peut donc le constater, puisque nous l'avons sous les yeux, tes propos sont insultants et émaillés d'erreurs grossières.
Où sont donc ces erreurs grossières puisque la citation en tant que telle n'a pas été retrouvée dans sa version tronquée? C'est celle-là que pointe Igor... Et pointant la fautive, il a raison sur toute la ligne.
Le plus ahurissant dans l'affaire, c'est que nous avons été plusieurs à la contester dans sa formulation tronquée, toi la prenant telle quelle et ne te posant même pas la question quant à sa justesse. En plus, le fait de la penser de Krishnamurti sans t'y attarder montrait une certaine superficialité... Mais quoi de vraiment nouveau quand on te connaît?
... un plaidoyer à charge basé sur une conviction personnelle qui s'est finalement révélée totalement fausse.
Encore faux!
S'agit donc pas que tu l'imagines fausse pour qu'elle le soit!
Une fois la vérité mise au jour concernant cette fameuse citation de Krishnamurti, on aurait pu s'attendre à quelque excuse de ta part, un mea culpa qui aurait été le bienvenu.
Ce commentaire te pointe toi-même...
Mais pas facile, n'est-ce pas, quand on regarde les autres de haut!
J'm'interroge a écrit : ↑09 nov.24, 02:41
J'ai demandé à ChatGPT une définition précise du concept de non-dualité, à la lumière de ce que j'ai exposé. Voici sa réponse que je juge tout à fait pertinente :
"La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque. Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas, sont des constructions relatives, mais qui ne fragmentent en rien pour autant cette unité du réel indivisible, en élément séparés. Dinstinguer n'étant pas dissocier."
"Dinstinguer", J'm'interroge, vraiment ?
Oups !
Commence par arrêter de prendre les gens pour des imbéciles. Tu viens de te faire attraper, les doigts dans le pot de confiture.
Pour ma part je le savais déjà, mais à présent tout le monde peut constater que tu modifies les citations de l'intelligence artificielle, y ajoutant sans vergogne tes propos personnels, coquilles comprises, en faisant croire que cela provient de ChatGPT.
gzabirji a écrit : ↑09 nov.24, 05:12
"Dinstinguer", J'm'interroge, vraiment ?
Oups !
Oui "distinguer n'est pas dissocier". Tout à fait. Ce que tu ne comprends toujours pas. Et cette distinction est cruciale, sans quoi l'on arrive à ce genre d'inepties que tu profères.
gzabirji a écrit : ↑09 nov.24, 05:12
Commence par arrêter de prendre les gens pour des imbéciles. Tu viens de te faire prendre, les doigts dans le pot de confiture.
Pour ma part je le savais déjà, mais à présent tout le monde peut constater que tu modifies les citations de l'intelligence artificielle, y ajoutant sans vergogne tes propos personnels, coquilles comprises, en faisant croire que cela provient de ChatGPT.
Non, sans m'en rendre compte, j'avais simplement intégré mon propre commentaire dans la réponse de l'I.A.. C'était un rappel que je voulais mettre à la suite, et qui s'est retrouvé par mégarde dans la citation. C'est arrivé par erreur quand j'ai arrangé le texte, car il s'agit d'un texte que j'ai recomposé à partir de deux réponses originales de ChatGPT.
Donc tu supposes mal et conclus mal en suggérant que ce serait mon habitude de "trafiquer" les textes, ce qui n'est pas le cas.
>>>>>> Tu ferais donc mieux d'être plus attentif au sens des textes qu'aux fautes d'orthographe, de grammaire ou de syntaxe. Mais, ce n'est pas étonnant de ta part. Et c'est là encore une diversion pour ne pas répondre sur le fond.
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D'ailleurs je n'ai pas vraiment "trafiqué" ce texte..
La preuve : Voici les 2 textes originaux qui m'ont servi, après les avoir décomposés, à recomposer celui que j'avais mis en citation :
Texte 1 (original) :
"La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque. Cela implique que toute réalité est perçue comme un tout indivisible, sans aucune scission fondamentale, et que cette unité du réel indivisible ne peut être fragmentée en éléments séparés."
Texte 2 (original) :
"Cela implique également que les distinctions entre différentes entités ou phénomènes sont relatives et non absolues. Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas sont des constructions relatives, mais qui ne fragmentent en rien l'unité fondamentale de la réalité, qui demeure indivisible malgré les différences apparentes."
À comparer avec mon texte :
"La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque.Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas, sont des constructions relatives, mais qui ne fragmentent en rien pour autantcette unité du réel indivisible, en élément séparés."
Oh quel manipulateur je suis ! J'ai rajouté un "pour autant" et une virgule....
En le relisant, je vois que j'ai fait aussi une faute d'accord et une bidouille au niveau de la ponctuation. Je vais donc rectifier ça de suite :
J'm'interroge a écrit :
"La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque. Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas, sont des constructions relatives, qui ne fragmentent en rien pour autant, cette unité du réel indivisible, en élément séparés."
[EDIT]
Ça ne change strictement rien au fond.
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De plus la suite était un presque pur copier-coller :
"Cette formulation est en effet plus précise et fidèle au concept de non-dualité. En affirmant que les distinctions sont des constructions relatives sans fragmenter l’unité fondamentale du réel, elle évite l'écueil de considérer ces distinctions comme de simples illusions. La phrase finale, "Distinguer n'étant pas dissocier," clarifie bien l'idée que percevoir des différences n’implique pas de les considérer comme des divisions substantielles. Cette définition capture donc avec rigueur la non-dualité comme une réalité indivisible, où les distinctions apparaissent sans briser cette unité intrinsèque.
Elle met également en relief l’essentiel du propos de JMI, qui insiste sur la distinction entre distinguer et dissocier, et répond ainsi au point de confusion soulevé par JMI, dans le discours de gzabirji."
À comparer avec la réponse originale générée par ChatGPT :
"Cette formulation est en effet plus précise et fidèle au concept de non-dualité. En affirmant que les distinctions sont des constructions relatives, qui n'affectent en rien l'intégrité de l'ensemble et ne fragmentent pas l’unité fondamentale du réel, elle évite l'écueil de considérer ces distinctions comme de simples illusions. La phrase finale, "Distinguer n'étant pas dissocier," clarifie bien l'idée que percevoir des différences n’implique pas de les considérer comme des divisions substantielles. Cette définition capture donc avec rigueur la non-dualité comme une réalité indivisible, où les distinctions apparaissent sans briser cette unité intrinsèque.
Elle met également en relief l’essentiel du propos de JMI, qui insiste sur la distinction entre distinguer et dissocier, et répond ainsi au point de confusion soulevé."
Je n'avais qu'enlevé une partie de phrase pour alléger la lecture. Et j'ai précisé pour "le point soulevé" que c'était de mon fait.
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__________________
PS : Au fait, contrairement à ce que tu crois l'I.A. n'est pas aussi conne que tu le penses. Si on lui injecte de la nuance, des définitions précises, des textes construits et possédant une certaine profondeur logique, en général elle ne répond pas de la merde.
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Modifié en dernier par J'm'interroge le 10 nov.24, 14:08, modifié 1 fois.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
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La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque. Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas, sont des constructions relatives, mais qui ne fragmentent en rien pour autant, cette unité du réel indivisible en éléments séparés.
En effet, distinguer n'est pas dissocier.
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La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
J'm'interroge a écrit : ↑10 nov.24, 14:11.
La non-dualité, en compréhension stricte, est le concept selon lequel la réalité est sans séparation ni division intrinsèque. Elle postule une unité fondamentale de tout ce qui existe, où les distinctions telles que moi/autre, intérieur/extérieur, ici/là-bas, sont des constructions relatives, mais qui ne fragmentent en rien pour autant, cette unité du réel indivisible en éléments séparés.
Il manque le plus important : cette réalité Une et indivisible, c'est Ce que Nous Sommes réellement.
gzabirji a écrit : ↑10 nov.24, 20:06
Il manque le plus important : cette réalité Une et indivisible, c'est Ce que Nous Sommes réellement.
Le rajouter, ce serait une erreur.
En effet : il y a ce que nous sommes, et il y a le reste. Nous ne sommes pas qui, ou ce que nous ne sommes pas. Je ne suis pas toi, tu n'es pas moi, nous ne sommes pas tel autre, nous ne sommes pas le siège sous lequel nous avons nos fesses, ni le massif du Mont Blanc. Tout ceci est bien distinct et distinguable. Le truc c'est juste de reconnaître qu'il ne s'agit pas d'éléments intrinsèquement dissociables. La non-dualité c'est simplement reconnaître que la réalité est sans séparation ni division intrinsèque, qu'il y a une unité et une interdépendance fondamentale de tout ce qui existe, et donc que distinguer n'est pas dissocier.
L'expérience authentique de l'éveil préserve une distinction fonctionnelle entre "ce que nous sommes" et "le reste" du réel.
Le fait que "Tout est un" n'oblige en rien de tout identifier comme étant Nous-mêmes, ou de Nous identifier au "Tout". (Je mets les majuscules pour que tu comprennes.)
>>>>> L'expérience de la non-dualité c'est simplement reconnaître qu'il n'y a en rien de division intrinsèque, tout en préservant toutes distinctions nécessaires à une vie fonctionnelle, sans chercher à se prendre illusoirement pour autre chose, et encore moi pour le "Tout".
>>>>>>>>>> Dire comme tu le fais que "cette réalité Une et indivisible, c'est Ce que Nous Sommes réellement", trahit bien plus une fausse identification au Tout, que ça ne parlerait de la non-dualité. .
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !