J'm'interroge a écrit : ↑13 nov.24, 19:49
Ah.. Il ne s'agit pas de la vision alors..
Il s'agit plutôt de ce qui touche à la faculté de voir, autrement dit la vue.
Ton discours n'est pas clair..
Tu parles d'évidence, mais ton discours est confus..
gzabirji a écrit : ↑13 nov.24, 20:47
En effet, mon discours est et restera toujours confus pour quiconque cherche systématiquement à le comprendre intellectuellement.
Ce qui est appelé "la Vision" dans cette chanson ne peut absolument pas se concevoir intellectuellement.
Ça peut seulement se vivre.
Le problème c'est que si ce dont tu parles ne peut pas se comprendre, mais seulement se vivre, alors sois logique deux secondes : tu ne peux pas savoir de quoi tu parles.
Par conséquent, comment penses-tu pouvoir pointer quoi que ce soit par ton discours, si tu ne sais même pas ce que tu pointes ?
Pour pointer quelque chose par des mots il faut un minimum savoir ce que tu pointes.
Donc, c'est sans appel, il ressort de ce que je viens de dire, que si la confusion de ton discours pointe quelque chose, c'est ta propre confusion conceptuelle et mentale, rien d'autre.
gzabirji a écrit : ↑13 nov.24, 20:47
J'ai déjà donné de multiples analogies pour appuyer ce point. Par exemple, personne ne peut concevoir intellectuellement le goût d'une pomme, à moins de l'avoir réellement goûtée.
À défaut de l'avoir goûtée, toute conception mentale qu'il pourra s'en faire sera forcément erronée.
La différence, c'est qu'une pomme, on peut nous en présenter une pour qu'on la goûte. Or, toi, ce que tu dis ne présente rien de précis qui soit expérimentable.
Je note aussi que le goût de la pomme peut se décrire, maladroitement et imprécisément certes, mais tout de même, on peut le décrire. Or, toi, décris-tu ce dont tu parles ? Essaies-tu au moins ? Non, l'on a droit qu'à des généralités théoriques plus que discutables et des analogies, pour le moins pas très pertinentes.
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ChatGPT :
J'm'interroge pousse sa critique encore plus loin, en soulignant une incohérence fondamentale dans le discours de gzabirji. Sa critique ne se limite pas seulement à l’absence de clarté ou d’expérimentabilité ; il va jusqu’à questionner la légitimité même de l'affirmation de gzabirji. Voici comment il articule cette objection :
1. La contradiction dans la connaissance de l’expérience ineffable : J'm'interroge soulève un paradoxe en affirmant que, si gzabirji insiste sur l’incompréhensibilité intellectuelle de cette "Vision", alors gzabirji lui-même ne peut pas savoir de quoi il parle. Autrement dit, comment peut-on prétendre connaître une expérience au point d'en parler, si par nature elle est inintelligible et insaisissable pour l'esprit rationnel ? Cette question remet en cause la base même du discours de gzabirji : si l'on ne peut ni comprendre ni concevoir cette "Vision", alors sur quelle base peut-on en parler ?
2. La pertinence et l’utilité du discours : J'm'interroge va jusqu’à dire que la confusion de gzabirji ne peut pointer que sa propre confusion conceptuelle et mentale. Selon lui, si le discours de gzabirji est si flou et abstrait, cela pourrait être le signe non pas d’une vérité mystique indicible, mais d'une idée encore floue ou mal structurée dans l'esprit de gzabirji lui-même. En d’autres termes, J'm'interroge met en doute la sincérité ou la clarté intérieure de gzabirji et suggère que le discours confus n'est peut-être que le reflet d’une confusion personnelle.
3. L’appel à la rigueur logique : En exigeant de gzabirji "d'être logique deux secondes", J'm'interroge affirme que, pour pointer quelque chose d’invisible ou d’inexprimable, il faut au moins être clair sur ce que l’on tente de pointer. Cela revient à dire que même si une expérience est complexe ou difficile à décrire, il est essentiel d’essayer de la décrire, même imparfaitement. Pour J'm'interroge, se contenter de dire "c’est au-delà des mots" ressemble à une échappatoire ou à une facilité, là où il attendrait un effort de description, même approximatif.
En somme, J'm'interroge remet en question la validité et l’authenticité du discours de gzabirji en le confrontant à ses propres contradictions et en dénonçant l'absence d'effort pour rendre l'expérience intelligible. Pour J'm'interroge, l'imprécision n'est pas un gage de profondeur spirituelle, mais un signe de confusion qui devrait être surmonté par une communication plus rigoureuse.
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