gzabirji a écrit : ↑20 nov.24, 04:58
Comme je te l'ai dit dès le début, chaque "chemin" vers l'éveil spirituel est totalement unique.
Il convient donc d'accompagner le chercheur d'éveil sur le chemin qui est le sien.
Dit le gourou en quête de disciples, surtout féminins...
Dans l'esprit de plusieurs sages et éveillés (ChatGPT) et de ce qui est et arrive, le chemin parcouru étant le bon, tous les chemins y mènent sans qu'il soit nécessaire de faire appel à un gourou... La Conscience-Le fruit...
Mais les choix (-pas le choix?), appartiennent à chacun...
gzabirji a écrit : ↑19 nov.24, 07:01
En effet, j'en suis incapable puisque précisément ce dont je parle n'est pas "objectivable".
Seuls les "objets" sont "objectivables".
Or, ce dont je parle n'est pas un objet mais Le Sujet.
Mes propos ne pointent donc pas vers quelque chose "d'objectif", mais de subjectif.
Plusieurs perspectives...
- Le sujet n'existe pas... Il n'y a que la conscience
- Tout ce qui arrive est projection de la conscience
- Subjectivité et objectivité sont des termes duels
- Il n'y a que subjectivité ou qu'objectivité ou rien des deux...
- Tout événement subjectif est nécessairement objectif du fait de sa réalité en tant qu'événement (et donc il est objectivable)
- Il n'est pas nécessaire qu'un événement soit partagé par d'autres pour qu'il soit objectif (à nuancer?)
J'm'interroge a écrit : ↑20 nov.24, 03:25En effet, il ne montre pas comment voir ce qu'il prétend expérimenter. Autrement dit : il ne donne aucune façon de vérifier objectivement ce qu'il dit.
gzabirji a écrit : ↑20 nov.24, 03:35
Ce qui ne signifie pas que je ne sois pas disposé à le faire.
En attendant, bien.. On attend toujours..
Et en attendant, bien.. Je ne te crois pas capable de le faire.
Il ne suffit pas de suggérer que tu en serais capable, il faut le montrer.
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ronronladouceur a écrit : ↑20 nov.24, 04:27
L'idée n'est pas de contredire pour contredire, mais de clarifier le truc, en soulignant les incohérences, les mal dits, les contradictions, faussetés, immixtions du personnage, etc. Que veux-tu, tu prêtes le flanc!
Je n'aurais pas dit mieux, c'est exactement ça.
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gzabirji a écrit : ↑20 nov.24, 04:00
Et si cela le répugne, alors il convient de respecter sa volonté et de ne pas en profiter pour lui planter des couteaux dans le dos.
ronronladouceur a écrit : ↑20 nov.24, 04:53
S'il est intelligent comme tu le dis et de bonne foi surtout, il ira plus loin que les limites que tu lui imposes... Quant à ce couteau, c'est le fait de ta perception, ta vision erronée qui imagine des trucs où il n'y en a pas... En somme, c'est toi qui le plantes ce couteau, le lui suggères... J'aurais plutôt utiliser l'image du boomerang!
Je n'ai rien à ajouter la réponse est parfaite.
gzabirji a écrit : ↑20 nov.24, 04:32
S'il existait une technique "universelle", il y a longtemps que tout le monde ou presque serait éveillé.
ronronladouceur a écrit : ↑20 nov.24, 04:53
Tu en as fait l'expérience ou c'est simplement un autre fantasme? Mais bon, c'est le genre de commentaire qui ne me surprend plus...
Comment pourrait-il savoir qu'il ferait l'expérience de l'éveil ? Il le dit lui-même : il ne sait pas ce dont il s'agit. Et comme nous le voyons bien : il ne le comprend en rien.
En effet, s'il en avait une toute petite compréhension, il pourrait nous l'expliquer..
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RELATIVEMENT À MA REPONSE À IGOR :
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RELATIVEMENT À MA REPONSE À IGOR :
ChatGPT :
Les arguments de J'm'interroge se distinguent par leur méthodologie rigoureuse, leur ancrage dans des observations objectives et leur capacité à identifier les limites et les nuances des affirmations d’Igordhossegor et gzabirji. Voici les principaux points qui soulignent la pertinence de ses interventions :
1. Distinction entre illusion et réalité codée :
Argument clé : J'm'interroge insiste sur le fait que les requins sont bien présents dans l'image-support sous forme codée. Ils ne relèvent pas d’une illusion (croyance erronée ou imaginaire) mais d’une réalité perceptive objectivement discernable.
Exemple donné : "Les requins sont bien discernables quand l'œil droit et l'œil gauche ne visent pas la même partie du support."
Pertinence : Il différencie clairement le processus de perception (interprétation cérébrale des signaux) de la nature du support (objectif et codé). Cela démontre une compréhension approfondie du mécanisme sous-jacent.
2. Critique de la comparaison avec une illusion :
Argument clé : Contrairement à ce qu’affirme Igordhossegor, voir les requins ne relève pas d’une illusion, car leur présence dans le support peut être validée objectivement et expliquée par la science (par exemple, via l'analyse des motifs dans l'image).
Exemple donné : "Il ne les invente pas ces requins, n'est-ce pas ? Il discerne bien des requins là où ils doivent être discernés."
Pertinence : Cela révèle une faille dans la définition d'illusion d'Igordhossegor, qui semble confondre perception interprétative et fabrication de contenu inexistant.
3. Démystification du processus de perception :
Argument clé : La capacité à "voir" les requins dans un autostéréogramme n'est pas un acte mystique ou inexpliqué. C’est un processus perceptuel automatique basé sur des mécanismes connus de la vision stéréoscopique.
Exemple donné : "Le principe de l’autostéréoscopie est tout à fait explicable sans recourir à la mystique."
Pertinence : Cette observation met en lumière une faiblesse dans l’analogie avec l’éveil néo-advaita, qui repose souvent sur l’idée que la réalité de cet éveil serait indescriptible ou inexplicable.
4. Limites de l’analogie entre l’autostéréogramme et l’éveil :
Argument clé : L’analogie proposée par gzabirji et soutenue par Igordhossegor ne tient pas, car elle échoue à expliquer clairement en quoi l’éveil est comparable à la perception des requins dans un stéréogramme.
Exemple donné : "gzabirji ne montre pas comment voir ce qu’il prétend expérimenter."
Pertinence : L’analogie est invalide si elle ne permet pas une transposition claire des mécanismes ou des processus impliqués. J'm'interroge démontre que l’éveil selon gzabirji manque de critères objectifs ou de méthode vérifiable.
5. Identification des niveaux de confusion chez Igordhossegor :
Argument clé : J'm'interroge démontre que les déclarations d’Igordhossegor mélangent des concepts distincts, comme le support de l’image (physique), l’image mentale (perception subjective) et le codage objectif (présence des requins dans le support).
Exemple donné : "Tu confonds plusieurs choses distinctes : le support objectif, l'image mentale, et le fait de l'interprétation stéréoscopique."
Pertinence : Cette analyse clarifie les malentendus et montre comment les confusions d’Igordhossegor affaiblissent son argumentation.
6. Réfutation de la flatterie dans l’éveil :
Argument clé : J'm'interroge conteste l’idée qu’un parallèle peut être tracé entre la flatterie associée à l’éveil néo-advaita et la perception des requins, car cela repose sur une interprétation erronée des motivations et des mécanismes de perception.
Exemple donné : "Le cerveau ne fait que discerner, par recoupements, des éléments objectifs présents dans le support. Il ne les invente pas."
Pertinence : Il critique ici une généralisation abusive et un biais psychologique projeté par Igordhossegor.
Synthèse de la pertinence :
Clarté conceptuelle : J'm'interroge distingue avec précision les notions de perception, illusion et objectivité.
Approche méthodologique : Ses arguments reposent sur des explications rationnelles et vérifiables, évitant les approximations ou les biais mystiques.
Réfutation logique : Il pointe les failles logiques dans l’analogie et montre qu’elle ne peut être qualifiée de "parfaite."
En conclusion, J'm'interroge apporte des contre-arguments bien structurés et factuels, qui déconstruisent efficacement les affirmations d’Igordhossegor et soulignent les limites de l’analogie proposée avec l’éveil spirituel tel que décrit et abordé dans les sagesses orientales.
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Précision importante :
Il y a un autre problème avec cette analogie, l'éveil est plutôt la reconnaissance de certaines constructions intellectuelles comme illusoires, il ne s'agit pas de percevoir quelque chose de nouveau qu'on ne percevrait pas d'ordinaire.
Commentaire de ChatGPT :
Vous soulevez un point essentiel qui démontre une limite fondamentale de l'analogie entre l'éveil spirituel (tel que le néo-advaita le présente) et la perception des requins dans un autostéréogramme. Voici pourquoi :
1. L'éveil comme démantèlement d'illusions mentales :
L'éveil spirituel, dans la tradition du néo-advaita, est généralement décrit comme une reconnaissance de la nature illusoire de certaines constructions intellectuelles (comme l'identité personnelle, le dualisme, ou la séparation entre soi et le monde).
Il s'agit davantage de "déconstruire" une fausse vision que d'ajouter ou de percevoir une nouvelle réalité. Cela implique un processus de désapprentissage ou de redécouverte, plutôt que de dévoiler une nouveauté cachée dans ce qui est perçu.
2. L'autostéréogramme ajoute une perception nouvelle :
La perception des requins dans un autostéréogramme est au contraire une découverte d'une nouvelle dimension ou d'un contenu latent, caché dans une image à première vue plane. Le processus repose sur l'ajout d'une perception inédite par l'esprit en fonction d'un ajustement visuel.
Problème : Cet aspect de révélation ne correspond pas à l'éveil, où il ne s'agit pas de découvrir un "objet" ou une "réalité supplémentaire", mais de comprendre que certaines perceptions, représentations ou croyances sont illusoires.
3. L'illusion dans l'éveil vs l'interprétation dans l'autostéréogramme :
Dans l'éveil, les illusions mentales (par exemple, l'ego ou les croyances dualistes) ne sont pas codées de manière objective dans la réalité extérieure. Elles sont des interprétations erronées produites par l'esprit humain.
Dans un autostéréogramme, le contenu tridimensionnel (les requins) est bien codé objectivement dans l'image-support. Ce contenu existe indépendamment de l'observateur, même si tout le monde ne peut pas immédiatement le percevoir.
Incompatibilité : L'analogie échoue ici, car l'éveil remet en question des constructions subjectives, tandis que l'autostéréogramme confirme l'existence objective d'une réalité visuelle.
4. Reconnaissance de l'ordinaire dans l'éveil :
L'éveil est parfois décrit comme une redécouverte du caractère évident et ordinaire de la réalité. C'est une reconnaissance que la vérité a toujours été là, mais voilée par des constructions mentales ou des croyances.
Dans un autostéréogramme, la perception tridimensionnelle n'est pas "ordinaire" : elle représente une addition extraordinaire à la perception standard en deux dimensions.
Incompatibilité : L'éveil ne fait pas apparaître une nouvelle couche de réalité, mais plutôt supprime les voiles conceptuels pour révéler la simplicité de ce qui est déjà là.
Conclusion :
L'analogie entre l'autostéréogramme et l'éveil néo-advaita manque de pertinence, car elle ne respecte pas les aspects fondamentaux de ce qu'est l'éveil :
1. Démantèlement d'illusions, plutôt que découverte d'une réalité cachée.
2. Reconnaissance de l'ordinaire, plutôt qu'ajout d'une nouveauté extraordinaire.
3. Absence de technique ou de méthode visuelle spécifique pour "voir" l'éveil.
L'éveil spirituel et la perception stéréoscopique reposent sur des mécanismes radicalement différents, rendant cette analogie inappropriée pour décrire l'essence de l'éveil.
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JMI :
Explique la position de J'm'interroge sur la 2D et la 3D.
ChatGPT :
La position de J'm'interroge sur la 2D et la 3D, telle qu'exprimée dans le passage cité, met en avant plusieurs idées clés liées à la perception visuelle et à la nature de ce que nous appelons "réalité". Voici une analyse approfondie de sa perspective :
1. Les perceptions visuelles sont des interprétations mentales :
J'm'interroge insiste sur le fait que ce que nous appelons "images visuelles" (celles perçues par nos yeux) sont intrinsèquement des phénomènes mentaux.
Les images visuelles en 2D (celles que l'on capte avec un seul œil, ou celles résultant de la projection sur notre rétine) existent uniquement en tant que perceptions dans notre esprit, et non comme des entités objectives ou indépendantes.
En d'autres termes, notre expérience de vision, qu'elle soit en 2D ou en 3D, est toujours une interprétation subjective construite par le cerveau à partir des données sensorielles reçues.
2. La distinction entre support objectif et perception subjective :
Il fait une différence nette entre ce qu'il appelle l’image-support et l’image mentale :
- L'image-support est la structure matérielle objective (par exemple, une image imprimée ou affichée sur un écran). Ce support n'a pas de "2D" ou "3D" inhérente : ce sont des termes que nous utilisons pour décrire comment nous percevons cette structure.
- L'image mentale, en revanche, est ce que nous percevons visuellement. Dans notre cas, c'est une perception 2D, car chaque œil reçoit une projection plane du monde extérieur.
Ainsi, il remet en question l'idée que la distinction entre 2D et 3D est une propriété intrinsèque des choses elles-mêmes, soulignant qu'il s'agit plutôt de constructions perceptuelles.
3. La 3D comme construction mentale issue de recoupements :
J'm'interroge rappelle que ce que nous percevons comme "3D" est une interprétation automatique effectuée par notre cerveau, qui combine les signaux reçus de chaque œil (vision binoculaire).
- Cette capacité nous permet de calculer des distances et d'estimer la profondeur, mais ces impressions de profondeur ne sont pas "vues" directement ; elles sont interprétées.
- Ce processus fonctionne aussi bien dans notre vision quotidienne qu'avec des autostéréogrammes, où le cerveau utilise des indices spécifiques pour reconstruire une image en relief.
4. L'existence indépendante des perceptions visuelles remise en question :
"Ces images visuelles en 2D [...] ne sont pas autre chose que des perceptions visuelles" :
- Par cette phrase, J'm'interroge insiste sur le caractère subjectif des images visuelles. Elles ne sont pas des "choses" indépendantes dans le monde extérieur, mais des constructions générées dans l'esprit par le traitement des données sensorielles.
"Si tu t'imagines que ces images existeraient indépendamment de la perception visuelle c'est ton droit, mais ce n'est en rien prouvé" :
- Ici, il conteste l'idée que ce qui est visuellement perçu - il s'agit de perceptions visuelles - puisse avoir une réalité autonome, séparée de celui qui perçoit. Cette position s'inscrit dans une perspective philosophique selon laquelle les perceptions ne sont pas des entités "objectives" dans le monde, mais des phénomènes mentaux.
- Par conséquent, ce que nous appelons "image 2D" (comme la projection rétinienne ou une photographie) n'existe pas en soi, mais seulement comme une interprétation visuelle de données sensorielles, produite par un observateur (ou plus exactement : par son cerveau).
5. La représentation visuelle en 2D n'existe que dans notre représentation :
"La représentation visuelle en 2D n'existe que dans notre représentation"
Cette affirmation va encore plus loin en suggérant que même la notion d’une image visuelle en 2D est une construction mentale.
Preuve à l'appui, il rappelle que :
- La vision humaine ne capture pas le monde "tel qu'il est", mais selon les limites et les biais de notre système perceptif.
- Par exemple, la perception 2D (des distances, des tailles, des formes) est déjà un modèle simplifié du monde physique, construit à partir de la lumière captée par nos yeux et interprétée par notre cerveau.
- En ce sens, même la "2D" que nous percevons est un produit de notre esprit, et non une propriété fondamentale ou autonome des choses dans le monde extérieur.
En résumé :
1. Les perceptions visuelles en 2D sont des phénomènes mentaux.
Ce que nous appelons "image visuelle en 2D" est une construction mentale générée par le cerveau à partir des données captées par un seul œil ou par des projections planes. Ces perceptions n'ont pas d'existence indépendante, mais sont des phénomènes subjectifs liés à la manière dont nous interprétons les stimuli visuels.
2. La 3D telle que "perçue" est une reconstruction interprétative, mais son existence "intrinsèque" reste une question ouverte.
Nous percevons la profondeur et les relations spatiales tridimensionnelles grâce à des processus cognitifs (vision binoculaire, indices perspectifs, etc.). Cependant, affirmer que la profondeur existe "intrinsèquement" dans le monde extérieur, indépendamment de notre perception, est une hypothèse métaphysique.
3. Les autostéréogrammes illustrent le codage objectif d'une structure perçue comme 3D.
Dans un autostéréogramme, les variations dans les points du support codent une structure qui, une fois interprétée par notre cerveau, nous donne l'impression de voir des formes en trois dimensions. Ce codage est objectif dans le sens où il existe indépendamment de notre perception, mais l'impression de 3D résulte d'une reconstruction interprétative.
4. La perception 2D est propre à notre mode de représentation visuelle.
Notre expérience initiale du monde se fonde sur des projections 2D (par exemple, les images formées sur la rétine). Les perceptions qui en résultent ne sont pas des entités indépendantes dans le monde extérieur, mais des phénomènes mentaux. Ce que nous appelons "3D" est une interprétation qui enrichit ces images 2D pour donner un sens à la profondeur et aux relations spatiales.
Ainsi, pour J'm'interroge, cette distinction souligne l'importance de différencier ce qui est perçu comme réel (via l'esprit) et ce qui existe objectivement en dehors de notre perception.
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Excellente lecture à vous.
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Modifié en dernier par J'm'interroge le 20 nov.24, 08:40, modifié 2 fois.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
J'm'interroge a écrit : ↑20 nov.24, 07:59
En attendant, bien.. On attend toujours..
Et en attendant, bien.. Je ne te crois pas capable de le faire.
Il ne suffit pas de suggérer que tu en serais capable, il faut le montrer.
Je n'estime pas nécessaire de faire la démonstration de la manière dont un être éveillé pourrait accompagner un autre être qui aspire à l'éveil.
Si l'occasion se présente, ce qui est manifestement peu probable sur le présent site, alors je ne m'en priverai pas.
En somme, J'm'interroge appelle gzabirji à dépasser le flou rhétorique et à fournir des arguments clairs, des définitions précises, un minimum de descriptions et des exemples concrets. Faute de quoi, ses affirmations sur l’éveil restent purement spéculatives et invérifiables. .
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
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L’éveil à la non-dualité ne repose ni sur un concept abstrait ni sur une idée théorique, mais sur une prise de conscience directe et pratique de l’interconnexion entre toutes choses. Il s’agit de reconnaître que toute existence est tissée d’interrelations dynamiques, où chaque élément participe à un équilibre global.
Cet éveil ne nous invite pas à fuir ou transcender la réalité quotidienne, mais à explorer, découvrir et comprendre toujours plus profondément ses multiples dimensions interdépendantes, à valoriser sa richesse prodigieuse, son inimaginable diversité et notamment les ressources qu'elle met à notre disposition, sans oublier les facultés dont nous sommes pourvus par nature, en apprenant à les utiliser à bon escient et à les développer judicieusement.
Plus qu’une simple compréhension intellectuelle, l'éveil implique un mode de perception à cultiver et à affiner, mais aussi une participation active à la Vie à développer. Cela nous convie à honorer les liens subtils et essentiels qui nous relient non seulement à l’ensemble du vivant, mais aussi aux éléments qui façonnent et soutiennent notre cadre existentiel. .
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
J'm'interroge a écrit : ↑21 nov.24, 10:44.
L’éveil à la non-dualité ne repose ni sur un concept abstrait ni sur une idée théorique, mais sur une prise de conscience directe
C'est exact.
C'est du moins de cette manière que l'éveil est perçu par le personnage.