Mic a écrit : ↑01 déc.24, 06:36
Un etre conscient doté d'intelligence et de volonté
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 06:40
Tout comme moi, et j'ajoute qu'il s'agit d'un être individuel.
Une personne = un être intelligent et conscient individuel.
Autrement dit : être une personne implique d'être un esprit.
J'avais oublié de préciser : "doté d'une intentionnalité propre", mais ça va avec le coté individuel.
Une personne = un être intelligent et conscient individuel, doté d'une intentionnalité propre.
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Gérard C. Endrifel a écrit : ↑01 déc.24, 06:59
Pourquoi je dis ça ? Parce que devant l'incapacité de gzabirji de verbaliser ce qu'il vit, on l'accuse de ne pas le vivre. C'est peut-être aller un peu vite en besogne non ?
Non, tu n'y es pas, il ne s'agit pas de ça. Je ne nie pas que gzabirji vivrait ce qu'il vit, je nie que gzabirji vivrait certaines choses qu'il dit vivre, car certaines de ces choses dont il parle sont de toute évidence des interprétations qui se réduisent à des constructions verbales abstraites, comme quand il dit être Tout. Or, on ne vit pas des interprétations ou des abstractions de ce genre, lesquelles n'existent justement que dans et par le langage qui les exprime.
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Mic a écrit : ↑01 déc.24, 07:08
Gza ne parle pas d'incapacité mais d'impossibilité pour cause d'indescriptibilité absolue. Selon lui, traduire en mots ce qu'il appelle CQNSR est universellement impossible.
Mystification.
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Gérard C. Endrifel a écrit : ↑01 déc.24, 07:34
J'ai toutes les peines du monde à tenir un argumentaire aussi construit qu'un J'm'interroge parce que je vis les choses, je ne les intellectualise pas. Si vous me demandiez de vous décrire ce que je vis à l'heure actuelle, j'en serais incapable. Pourtant, je le vis. Chaque minute, chaque seconde.
T'inquiète, je suis serais moi-même bien en peine de verbaliser certains de mes vécus. Mais je ne dis pas que ce soit impossible.
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑01 déc.24, 07:34
Tout ne peut pas se verbaliser, on ne peut pas tout intellectualiser ni rationaliser, il y a des choses qui nous échappent.
Là il y a deux idées différentes :
- Tout ne peut pas se verbaliser, on ne peut pas tout intellectualiser ni rationaliser. ------> Ce n'est pas le problème. Gzabirji lui, verbalise. Or, ce qui dit n'est pas toujours cohérent, ni vrai.
- Il y a des choses qui nous échappent -----> Il y a en effet des choses qui échappent à notre compréhension. Et c'est le cas notamment parce qu'on n'est pas en capacité de les formaliser.
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑01 déc.24, 07:34
L'amour par exemple, ça ne s'intellectualise pas, ça se vit au quotidien.
Ce n'est pas un bon exemple car s'il est vrai que c'est avant un vécu, l'on peut néanmoins en dire des choses cohérentes.
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑01 déc.24, 07:34
On ne peut pas les expliquer, on ne peut pas les décrire, mais ce qui est bien réel, c'est qu'on les vit.
Ça, ça se discute. (Ça reste à démontrer.)
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑01 déc.24, 07:34
Alors se baser sur l'incapacité de gzabirji de rationnaliser ce qu'il vit pour dire que c'est la preuve qu'il ne le vit pas, je trouve que c'est prendre un grand raccourci. C'est même assez sophistique (ou paralogique ?) Personnellement, je préfère lui laisser le bénéfice du doute.
Ce n'est pas du tout le problème que je soulève, ni ce que je fais.
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