le président iranien menace la France
Posté : 24 août06, 08:45
Après avoir tout fait pour retrouver une légitimité diplomatique dans la crise du Liban opposant Israël au Hezbollah, la France a l’air bien penaud avec ses 200 soldats envoyés dans la force de la FINUL, les portant à 400 au total, au lieu des 5000 promis.
Le Quai d’Orsay d’abord si prompt à voler au secours de son protégé (le Liban), a révisé ses ambitions à la baisse, prétextant que les prérogatives des soldats de la Force Internationale au Sud Liban n’étaient pas assez clairement définies. La France ne voulait pas assumer seule la charge de désarmer le groupe terroriste chiite.
Alors que les premiers soldats français débarquent dans la région, les raisons du changement d’attitude de l’Hexagone ne semblaient pas très claires jusqu’à ce que des sources autorisées israéliennes nous révèlent le dessous des cartes.
Selon un ancien haut responsable de la sécurité israélienne, la France aurait fait l’objet d’un chantage économique de la part de l’Iran. D’après ces informations, le gouvernement de Téhéran aurait menacé Paris de rompre ses contrats avec le constructeur automobile Renault si les forces armées de la France se déployaient au Sud Liban.
Si ces révélations s’avéraient exactes, cela confirmerait une fois de plus que le véritable décideur dans la région est bien l’Iran qui dicte sa volonté aux différents acteurs du conflit.
De quoi se montrer encore plus inquiet concernant le dossier de l’armement nucléaire iranien. Des voix en Israël commencent même à envisager de se préparer militairement et sécuritairement au conflit imminent avec l’Iran qui semble se rapprocher dangereusement.
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Le Quai d’Orsay d’abord si prompt à voler au secours de son protégé (le Liban), a révisé ses ambitions à la baisse, prétextant que les prérogatives des soldats de la Force Internationale au Sud Liban n’étaient pas assez clairement définies. La France ne voulait pas assumer seule la charge de désarmer le groupe terroriste chiite.
Alors que les premiers soldats français débarquent dans la région, les raisons du changement d’attitude de l’Hexagone ne semblaient pas très claires jusqu’à ce que des sources autorisées israéliennes nous révèlent le dessous des cartes.
Selon un ancien haut responsable de la sécurité israélienne, la France aurait fait l’objet d’un chantage économique de la part de l’Iran. D’après ces informations, le gouvernement de Téhéran aurait menacé Paris de rompre ses contrats avec le constructeur automobile Renault si les forces armées de la France se déployaient au Sud Liban.
Si ces révélations s’avéraient exactes, cela confirmerait une fois de plus que le véritable décideur dans la région est bien l’Iran qui dicte sa volonté aux différents acteurs du conflit.
De quoi se montrer encore plus inquiet concernant le dossier de l’armement nucléaire iranien. Des voix en Israël commencent même à envisager de se préparer militairement et sécuritairement au conflit imminent avec l’Iran qui semble se rapprocher dangereusement.
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