André Dufour passe en revue certaines conséquences de l’islamisation
Posté : 01 sept.06, 22:35
Pressions sur les médias libres, désintégration de nos sociétés, démographie, André Dufour passe en revue certaines conséquences de l’islamisation.
Contre nous, de la tyrannie
Le coran sanglant est levé.
Hebdomadaire anarchisant, Charlie Hebdo, dont je ne partage pas toutes les options, a commis un crime inexpiable, non pas au regard du droit de la République pourtant de moins en moins française, mais de la charia qui a de plus en plus tendance à s’y substituer. De quoi s’agit-il? Ce rare organe de presse à ne pas plier l’échine devant le totalitarisme politique ou religieux, a fortiori lorsque ce totalitarisme cumule ces deux «qualités», a bravé la fureur des Führers mahométans en reproduisant avec insolence les dessins «blasphématoires» parus dans un quotidien danois. Dans ce petit pays qui donne le «mauvais exemple», il est encore permis de manifester l’irrespect envers les connards et les abrutis intolérants intoxiqués par une prétendue religion qui nous ramène quatorze siècles en arrière en Arabie et en perpétue la mentalité des clans razzieurs. Une telle conception religieuse et idéologique est fondamentalement incompatible avec les valeurs, l’esprit de tolérance et le sens de l’hospitalité du peuple danois dont les islamistes abusent sans vergogne et où ils se comportent comme en pays conquis. Il convient donc d’empêcher que le reste de l’Europe soit contaminé par ce petit Royaume Scandinave (ces majuscules sont, hélas, plus méritées que ceux de notre république «française»)
Ce procès intenté contre Charlie Hebdo par tout ce que la France compte de minarets, y compris le minaret du «modéré» et républicain Recteur de la mosquée de Paris, et par tout ce que notre pays compte de LVFs de l’islamisme, n’est pas un scoop. Aussi ai-je attendu que les défenseurs patentés de la liberté de penser et d’expression manifestent bruyamment leur solidarité avec Philippe Val devant la grave menace qui pèse sur nos libertés. Mais l’attente se révéla vaine, puisque notre piteux président d’une République qu’il a rendue ramollo avait déjà donné le «la» en réprouvant publiquement les écrits et dessins que les islamistes jugent provocateurs. Ne comptons donc pas sur la presse subventionnée et servile pour protester contre cette tentative d’introduire le délit de blasphème dans les lois de la République laïque, ni trop sur l’esprit de Résistance d’un corps de magistrats qui, naguère, à une seule et unique exception près, avait prêté serment d’allégeance au «Maréchal», pour rappeler aux plaignants sans vergogne qu’en France, l’anticléricalisme et la critique de telle ou telle religion ou idéologie est un droit lié à la liberté absolue de conscience et d’expression, et qu’il est donc malhonnête de présenter l’exercice de ce droit comme un racisme, d’autant moins que maints musulmans et musulmanes de naissance redoutent autant que nous les méfaits du totalitarisme islamique et sa capacité de nuisance qu’ils connaissent et ont fui en espérant en être protégés dans notre pays.
C’est alors le moment de manifester sans violence notre esprit de résistance par tous les moyens légaux dont nous disposons encore; par exemple en achetant chaque semaine Charlie Hebdo pour marquer notre solidarité avec cet hebdomadaire politiquement incorrect. Une augmentation de son tirage serait un signe encourageant pour les rares journalistes indociles et une marque de solidarité envers des journalistes qui, demain, risqueraient de se retrouver au cachot. Et alors que dans aucune des kermesses électoralistes socialistes, UMP ou autres, le cas Charlie Hebdo n’est évoqué, submergeons tous les quotidiens, tous les parlementaires, tous les partis, tous les candidats à la présidence de lettres, de courriels, d’appels téléphoniques ou de demandes de rencontre pour dire que le seul fait pour nos magistrats d’avoir jugé la plainte islamiste recevable est un pas de plus vers la soumission de notre pays aux normes obscurantistes de l’islam et une trahison envers ceux qui, journalistes ou simples citoyens des pays musulmans, luttent non sans risques pour la liberté de conscience. Alors, «Aux armes, citoyens!».
Aux larmes, citoyens
Les larmes de crocodile de Siniora, dûment et massivement médiatisées, ont permis à ce Quisling libanais, marionnette de la Syrie, de retourner l’opinion internationale, faisant passer son pays, repaire de l’agression du Hezbollah, en victime agressée par Israël. «Ça eut payé» disait jadis un sympathique humoriste français. La recette n’est pas nouvelle puisque nos médias s’en servent depuis des décennies en braquant les caméras sur les femmes éplorées d’un côté et d’un autre côté, sur les soldats dominateurs et sûrs d’eux-mêmes. Le public sans lequel nos reporters et plumitifs pointeraient à l’ANPE, adore ça. Alors on leur en verse à pleines louchées. Ça fait monter le tirage et l’audimat. Ça permet du même coup de dissimuler les tueurs qui se planquent derrière les éplorées mises au premier plan. Ça permet enfin de mentir par omission en nous faisant oublier que dans le camp des «dominateurs» il y a des victimes causées par le camp des éplorées, des corps déchiquetés et des femmes également éplorées mais ignorées de nos caméras. Ce procédé hérité de l’agitprop soviétique et de la Propagandastaffel de Goebbels fait partie de ce que l’on nomme tout simplement la «désinformation». Dans son ouvrage intitulé «Les martyrocrates», William Goldnadel a magistralement décrit ce phénomène. Ce titre est en lui-même une explication. Alors voilà qu’un peu mis sur la touche dans la grotesque bousculade des chers camarades vers la présidence de la République, mais en bête politique connaissant bien les ficelles du métier, Lionel Jospin nous fait à son tour le coup des larmes à La Rochelle. Gageons que s’il est élu, à moins que ce ne soit une fois de plus et de trop le candidat surprise Jacques Chirac, la garde présidentielle recevra l’ordre de présenter… larmes!
Double peine
Il se prénomme Mohamed; ce n’est pas un délit, même si son éponyme n’est pas le meilleur exemple des valeurs morales et humaines, tout juste une marque de mauvais goût de ses parents qui l’auraient aussi bien baptisé Al Capone s’ils étaient siciliens; il a 45 ans, c'est-à-dire un âge où l’on est censé avoir rompu avec les errements de l’adolescence. Arrêté un jour du caniculaire mois de juillet en flagrant délit lors d’un cambriolage, ses empreintes génétiques permettent de l’identifier comme auteur d’une série de viols suivis de vols sur des femmes dont l’âge s’échelonne entre 16 et 75 ans, ce qui dénote de sa part un grand éclectisme sexuel.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Cet immigré maghrébin avait déjà purgé une peine de 10 ans pour meurtre dans une histoire entre trafiquants de drogue. Si, une fois sa peine accomplie il avait été expulsé vers son pays d’origine dont il a la nationalité, la Justice, censée protéger les honnêtes gens et les faibles, aurait évité à quelques femmes d’avoir la vie brisée. Mais voilà, les militants braillards et tapageurs du «Droit à», du «Droit au» ou du «Droit de», éternels compatissants et irresponsables adversaires de la discrimination qui s’en servent comme d’une arme pour désagréger notre société, ont naguère réussi à faire abolir la «double peine». En effet, puisqu’un autochtone sorti de prison peut tranquillement regagner son foyer, pourquoi n’en irait-il pas de même pour un immigré, fut-il intrus? Je ne jugerais pas utile de parler de ce Mohamed là s’il était un cas isolé. Mais la France, comme ses voisines qui connaissent le même problème, en compte des milliers au point que si l’islam est devenue la deuxième religion de France, elle en est la première quant au nombre de délinquants et de criminels dont cette douce Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix nous gratifie. Ce qui multiplie autant le nombre de leurs victimes effectives ou potentielles laissées sans protection et sans droits. C’est ainsi que les idiots utiles qui croient agir pour une cause humanitaire en nous imposant la présence d’une crapule dans notre voisinage, condamnent des innocents à subir vols, viols et assassinat. Mais qu’importent les victimes, pourvu que les grands principes, même pervertis, prônés par des nantis bien à l’abri des réalités, soient saufs.
Contre nous, de la tyrannie
Le coran sanglant est levé.
Hebdomadaire anarchisant, Charlie Hebdo, dont je ne partage pas toutes les options, a commis un crime inexpiable, non pas au regard du droit de la République pourtant de moins en moins française, mais de la charia qui a de plus en plus tendance à s’y substituer. De quoi s’agit-il? Ce rare organe de presse à ne pas plier l’échine devant le totalitarisme politique ou religieux, a fortiori lorsque ce totalitarisme cumule ces deux «qualités», a bravé la fureur des Führers mahométans en reproduisant avec insolence les dessins «blasphématoires» parus dans un quotidien danois. Dans ce petit pays qui donne le «mauvais exemple», il est encore permis de manifester l’irrespect envers les connards et les abrutis intolérants intoxiqués par une prétendue religion qui nous ramène quatorze siècles en arrière en Arabie et en perpétue la mentalité des clans razzieurs. Une telle conception religieuse et idéologique est fondamentalement incompatible avec les valeurs, l’esprit de tolérance et le sens de l’hospitalité du peuple danois dont les islamistes abusent sans vergogne et où ils se comportent comme en pays conquis. Il convient donc d’empêcher que le reste de l’Europe soit contaminé par ce petit Royaume Scandinave (ces majuscules sont, hélas, plus méritées que ceux de notre république «française»)
Ce procès intenté contre Charlie Hebdo par tout ce que la France compte de minarets, y compris le minaret du «modéré» et républicain Recteur de la mosquée de Paris, et par tout ce que notre pays compte de LVFs de l’islamisme, n’est pas un scoop. Aussi ai-je attendu que les défenseurs patentés de la liberté de penser et d’expression manifestent bruyamment leur solidarité avec Philippe Val devant la grave menace qui pèse sur nos libertés. Mais l’attente se révéla vaine, puisque notre piteux président d’une République qu’il a rendue ramollo avait déjà donné le «la» en réprouvant publiquement les écrits et dessins que les islamistes jugent provocateurs. Ne comptons donc pas sur la presse subventionnée et servile pour protester contre cette tentative d’introduire le délit de blasphème dans les lois de la République laïque, ni trop sur l’esprit de Résistance d’un corps de magistrats qui, naguère, à une seule et unique exception près, avait prêté serment d’allégeance au «Maréchal», pour rappeler aux plaignants sans vergogne qu’en France, l’anticléricalisme et la critique de telle ou telle religion ou idéologie est un droit lié à la liberté absolue de conscience et d’expression, et qu’il est donc malhonnête de présenter l’exercice de ce droit comme un racisme, d’autant moins que maints musulmans et musulmanes de naissance redoutent autant que nous les méfaits du totalitarisme islamique et sa capacité de nuisance qu’ils connaissent et ont fui en espérant en être protégés dans notre pays.
C’est alors le moment de manifester sans violence notre esprit de résistance par tous les moyens légaux dont nous disposons encore; par exemple en achetant chaque semaine Charlie Hebdo pour marquer notre solidarité avec cet hebdomadaire politiquement incorrect. Une augmentation de son tirage serait un signe encourageant pour les rares journalistes indociles et une marque de solidarité envers des journalistes qui, demain, risqueraient de se retrouver au cachot. Et alors que dans aucune des kermesses électoralistes socialistes, UMP ou autres, le cas Charlie Hebdo n’est évoqué, submergeons tous les quotidiens, tous les parlementaires, tous les partis, tous les candidats à la présidence de lettres, de courriels, d’appels téléphoniques ou de demandes de rencontre pour dire que le seul fait pour nos magistrats d’avoir jugé la plainte islamiste recevable est un pas de plus vers la soumission de notre pays aux normes obscurantistes de l’islam et une trahison envers ceux qui, journalistes ou simples citoyens des pays musulmans, luttent non sans risques pour la liberté de conscience. Alors, «Aux armes, citoyens!».
Aux larmes, citoyens
Les larmes de crocodile de Siniora, dûment et massivement médiatisées, ont permis à ce Quisling libanais, marionnette de la Syrie, de retourner l’opinion internationale, faisant passer son pays, repaire de l’agression du Hezbollah, en victime agressée par Israël. «Ça eut payé» disait jadis un sympathique humoriste français. La recette n’est pas nouvelle puisque nos médias s’en servent depuis des décennies en braquant les caméras sur les femmes éplorées d’un côté et d’un autre côté, sur les soldats dominateurs et sûrs d’eux-mêmes. Le public sans lequel nos reporters et plumitifs pointeraient à l’ANPE, adore ça. Alors on leur en verse à pleines louchées. Ça fait monter le tirage et l’audimat. Ça permet du même coup de dissimuler les tueurs qui se planquent derrière les éplorées mises au premier plan. Ça permet enfin de mentir par omission en nous faisant oublier que dans le camp des «dominateurs» il y a des victimes causées par le camp des éplorées, des corps déchiquetés et des femmes également éplorées mais ignorées de nos caméras. Ce procédé hérité de l’agitprop soviétique et de la Propagandastaffel de Goebbels fait partie de ce que l’on nomme tout simplement la «désinformation». Dans son ouvrage intitulé «Les martyrocrates», William Goldnadel a magistralement décrit ce phénomène. Ce titre est en lui-même une explication. Alors voilà qu’un peu mis sur la touche dans la grotesque bousculade des chers camarades vers la présidence de la République, mais en bête politique connaissant bien les ficelles du métier, Lionel Jospin nous fait à son tour le coup des larmes à La Rochelle. Gageons que s’il est élu, à moins que ce ne soit une fois de plus et de trop le candidat surprise Jacques Chirac, la garde présidentielle recevra l’ordre de présenter… larmes!
Double peine
Il se prénomme Mohamed; ce n’est pas un délit, même si son éponyme n’est pas le meilleur exemple des valeurs morales et humaines, tout juste une marque de mauvais goût de ses parents qui l’auraient aussi bien baptisé Al Capone s’ils étaient siciliens; il a 45 ans, c'est-à-dire un âge où l’on est censé avoir rompu avec les errements de l’adolescence. Arrêté un jour du caniculaire mois de juillet en flagrant délit lors d’un cambriolage, ses empreintes génétiques permettent de l’identifier comme auteur d’une série de viols suivis de vols sur des femmes dont l’âge s’échelonne entre 16 et 75 ans, ce qui dénote de sa part un grand éclectisme sexuel.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Cet immigré maghrébin avait déjà purgé une peine de 10 ans pour meurtre dans une histoire entre trafiquants de drogue. Si, une fois sa peine accomplie il avait été expulsé vers son pays d’origine dont il a la nationalité, la Justice, censée protéger les honnêtes gens et les faibles, aurait évité à quelques femmes d’avoir la vie brisée. Mais voilà, les militants braillards et tapageurs du «Droit à», du «Droit au» ou du «Droit de», éternels compatissants et irresponsables adversaires de la discrimination qui s’en servent comme d’une arme pour désagréger notre société, ont naguère réussi à faire abolir la «double peine». En effet, puisqu’un autochtone sorti de prison peut tranquillement regagner son foyer, pourquoi n’en irait-il pas de même pour un immigré, fut-il intrus? Je ne jugerais pas utile de parler de ce Mohamed là s’il était un cas isolé. Mais la France, comme ses voisines qui connaissent le même problème, en compte des milliers au point que si l’islam est devenue la deuxième religion de France, elle en est la première quant au nombre de délinquants et de criminels dont cette douce Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix nous gratifie. Ce qui multiplie autant le nombre de leurs victimes effectives ou potentielles laissées sans protection et sans droits. C’est ainsi que les idiots utiles qui croient agir pour une cause humanitaire en nous imposant la présence d’une crapule dans notre voisinage, condamnent des innocents à subir vols, viols et assassinat. Mais qu’importent les victimes, pourvu que les grands principes, même pervertis, prônés par des nantis bien à l’abri des réalités, soient saufs.