Hitler Adolf, Fürher, croyant et... catholique !
Posté : 03 oct.06, 15:07
Hitler Adolf, Führer croyant et... Catholique !
L'Église Catholique embrasse le Nazisme
- Hitler athée ?!? « Aujourd'hui s'éveille une foi nouvelle: le mythe du sang, la croyance selon laquelle on peut, avec le sang, défendre aussi l'essence divine de l'homme (...). Le sang nordique représente ce mystère qui a remplacé et surmonté les anciens sacrements (...). Le peuple allemand n'est pas atteint par le péché originel, il possède au contraire une noblesse originelle. » (Extraits de Mein Kampf, d'Adolf Hitler).
Si Hitler était athée, il ne parlait pas comme un athée, n'a rien écrit qui ressemblât, même de loin, à des pensées niant Dieu. N'a rien commis qui s'éloignât des méthodes historiques de la grande église dominante...
Hitler athée ?!? « Je suis catholique. La Providence l'a voulu. En effet, seul un catholique connaît les points faibles de l'Eglise. Je sais de quelle manière on peut attaquer ces gens-là . » dixit A. Hitler, (Eric Lebec, Histoire secrète de la diplomatie Vaticane, Albin Michel, Paris, 1997) ... Si ce monstre d'Hitler était athée, moi je m'appelle Atchoum, je suis le nain qui prépare le p'tit-déj à Blanche-neige. Et si l'Église catholique a désavoué le nazisme, alors moi je m'appelle Mme Pou-Yi, impératrice de 10'000 ans.
Janvier 1933, le Zentrum, parti catholique, dont le leader est un prélat catholique (Prälat Kaas), vote les pleins pouvoirs à Hitler: Ce dernier peut ainsi atteindre la majorité des 2/3 au Reichstag pour suspendre les droits garantis par la constitution. Avec une charité toute chrétienne, le bon prélat et ses ouailles du Zentrum accepte aussi de fermer un oeil sur les détails procéduriers discutables des nazis, comme l'arrestation des députés communistes avant le vote. Puis l'église commence à négocier un nouveau concordat avec l'Allemagne: dans ce cadre, elle "sacrifie" le Zentrum, alors seul parti significatif que les nazis n'ont pas interdit : en effet, il les a aidés à arriver au pouvoir. Le 5 juillet 1933, le Zentrum s'autodissoud sur demande de la hiérarchie catholique, laissant le champ libre au NSDAP de Hitler, désormais parti unique. Le prélat Kaas laisse les compatriotes se débrouiller avec la dictature qu'il a aidé à installer, et déménage au Vatican, où il entame une nouvelle carrière: alors que le monde s'embrase, Monseigneur Kaas, désormais évêque, dirigera des fouilles sous la Basilique de Saint Pierre qui aboutiront à la découverte du 2è crâne de Saint Pierre.
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
Hitler se proclame catholique dans Mein Kampf, l'ouvrage où il annonce son programme politique. Il y affirme aussi qu'il est convaincu qu'il est un "instrument de Dieu". L'Eglise catholique ne mettra jamais "Mein Kampf" à l'Index, même avant l'accession de Hitler au pouvoir. Il faut croire que le programme antisémite du futur chancelier ne déplaisait pas à l'église. Hitler montrera sa reconnaissance en rendant obligatoire la prière à Jésus dans l'école publique allemande, et en réintroduisant la phrase "Gott mit uns" (Dieu est avec Nous) sur les uniformes de l'armée allemande.
<< Aujourd'hui s'éveille une foi nouvelle: le mythe du sang, la croyance selon laquelle on peut, avec le sang, défendre aussi l'essence divine de l'homme (...). Le sang nordique représente ce mystère qui a remplacé et surmonté les anciens sacrements (...). Le peuple allemand n'est pas atteint par le péché originel, il possède au contraire une noblesse originelle.>>
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
1938, les SS et SA organisent la Nuit de Cristal : déguisés en civils, les miliciens nazis attaquent synagogues et magasins appartenant à des juifs. La population allemande est à la fois horrifiée et terrifiée. L'évêque de Freiburg, Monseigneur Gröber, déclare alors, en réponse à des questions sur les lois raciales et les pogroms de la nuit de cristal: " On ne peut refuser à quiconque le droit de sauvegarder la pureté de sa race et d'élaborer les mesures nécessaires à cette fin."
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
« Hitler n'a jamais quitté l'Église catholique » rappelle d'ailleurs le Dr Otto Dietrich qui vécut dans l'entourage immédiat du Führer. Et ce précieux témoin ajoute :
« Il avait interdit d'appeler Charlemagne le « boucher des Saxons », dans la presse ou ailleurs ; Charlemagne avait christianisé les Allemands par la force de l'épée et on lui donnait ce surnom à cause des luttes sanglantes qu'il avait menées contre le duc de Saxe.
« Hitler considérait Charlemagne comme l'un des plus grands hommes de l'histoire d'Allemagne, car il voyait d'abord en lui l'unificateur des Allemands et le créateur de l'Empire ; il l'approuvait d'avoir, en vue de ce « but national suprême », aussi bien introduit la religion chrétienne dans les pays germaniques que d'avoir agi avec une rigueur impitoyable contre tous ceux qui ne voulaient pas coopérer à l'unification sous l'égide du christianisme. C'était pour cela qu'il ne tolérait pas que l'on pût critiquer les massacres du grand empereur Charles… »
(Dr Otto Dietrich, Hitler démasqué - Grasset, Paris 1955)
« Après que le ministre des Affaires étrangères du Reich lui eut transmis les hommages du Führer, le pape ouvrit l'entretien en rappelant ses dix-sept années d'activité en Allemagne. Il dit que ces années passées dans l'orbite de la culture allemande correspondaient certainement à la période la plus agréable de sa vie, et que le gouvernement du Reich pouvait être assuré que son cœur battait, et battrait toujours, pour l'Allemagne ».
(11 mars 1940, extrait du rapport sur la conversation entre von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères du Reich nazi, et Pie XII. - Archives secrètes de la Wilhelmstrasse, RAM. 10 A).
Le « Basler Nachrichten » de Bâle (27 mars 1942) n'a pas hésité à écrire : « Une des questions que pose l'action allemande en Russie et qui intéresse au suprême degré le Vatican, c'est celle de l'évangélisation de la Russie ».
Le R.P. Duclos, lui-même, confirme la chose dans un ouvrage revêtu de l'imprimatur : « Au cours de l'été 1941, Hitler fait appel à toutes les forces chrétiennes… (il) autorise les missionnaires catholiques à se rendre dans les nouveaux territoires de l'Est… Selon C. Cianfarra, l'ambassadeur Attolico, au nom de Mussolini, aurait suggéré au cardinal Maglione, que le pape écrivît à tous les évêques de la chrétienté, pour leur recommander d'exhorter à la levée de volontaires contre les Soviets… » - (R.P. Duclos : Le Vatican et la seconde guerre mondiale) Imprimatur, 4 octobre 1955. Éditions A. Padone, Paris 1955.).
On n'a pas oublié, non plus, que le cardinal Baudrillart et Mgr Mayol de Luppé se firent en France les recruteurs des L.V.F. pour la croisade contre la Russie.
Et il faut encore citer Hans Kerll, ministre des Affaires ecclésiastiques du IIIe Reich, s'écriant dans une belle envolée mystique : « De même que le Christ a rassemblé ses douze disciples en une cohorte fidèle jusqu'au martyre, de même sommes-nous témoins d'un spectacle identique, Adolf Hitler est, en vérité, le Saint-Esprit ».
(André Guerber, Himmler et ses crimes - Les documents Nuit et Jour, Paris 1946)
Au cours de la deuxième guerre mondiale le Vatican est au courant des exterminations de juifs par les nazis. On saura après la guerre que le pape a hésité à lancer un appel public, à plusieurs reprises, mais s'est finalement abstenu de le faire, essentiellement car il est communistophobe, et pense qu'une victoire russe serait "pire". En 1942, il pleure par contre parmi les ruines de Rome bombardée et condamne les bombardements alliés. Hélas, il oublie de mentionner que son allié politique Mussolini avait sollicité auprès d'Hitler « l'honneur de participer aux bombardements sur Londres » - il est vrai que le pape n'habite pas à Londres ...
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
L'Église Catholique embrasse le Nazisme
- Hitler athée ?!? « Aujourd'hui s'éveille une foi nouvelle: le mythe du sang, la croyance selon laquelle on peut, avec le sang, défendre aussi l'essence divine de l'homme (...). Le sang nordique représente ce mystère qui a remplacé et surmonté les anciens sacrements (...). Le peuple allemand n'est pas atteint par le péché originel, il possède au contraire une noblesse originelle. » (Extraits de Mein Kampf, d'Adolf Hitler).
Si Hitler était athée, il ne parlait pas comme un athée, n'a rien écrit qui ressemblât, même de loin, à des pensées niant Dieu. N'a rien commis qui s'éloignât des méthodes historiques de la grande église dominante...
Hitler athée ?!? « Je suis catholique. La Providence l'a voulu. En effet, seul un catholique connaît les points faibles de l'Eglise. Je sais de quelle manière on peut attaquer ces gens-là . » dixit A. Hitler, (Eric Lebec, Histoire secrète de la diplomatie Vaticane, Albin Michel, Paris, 1997) ... Si ce monstre d'Hitler était athée, moi je m'appelle Atchoum, je suis le nain qui prépare le p'tit-déj à Blanche-neige. Et si l'Église catholique a désavoué le nazisme, alors moi je m'appelle Mme Pou-Yi, impératrice de 10'000 ans.
Janvier 1933, le Zentrum, parti catholique, dont le leader est un prélat catholique (Prälat Kaas), vote les pleins pouvoirs à Hitler: Ce dernier peut ainsi atteindre la majorité des 2/3 au Reichstag pour suspendre les droits garantis par la constitution. Avec une charité toute chrétienne, le bon prélat et ses ouailles du Zentrum accepte aussi de fermer un oeil sur les détails procéduriers discutables des nazis, comme l'arrestation des députés communistes avant le vote. Puis l'église commence à négocier un nouveau concordat avec l'Allemagne: dans ce cadre, elle "sacrifie" le Zentrum, alors seul parti significatif que les nazis n'ont pas interdit : en effet, il les a aidés à arriver au pouvoir. Le 5 juillet 1933, le Zentrum s'autodissoud sur demande de la hiérarchie catholique, laissant le champ libre au NSDAP de Hitler, désormais parti unique. Le prélat Kaas laisse les compatriotes se débrouiller avec la dictature qu'il a aidé à installer, et déménage au Vatican, où il entame une nouvelle carrière: alors que le monde s'embrase, Monseigneur Kaas, désormais évêque, dirigera des fouilles sous la Basilique de Saint Pierre qui aboutiront à la découverte du 2è crâne de Saint Pierre.
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
Hitler se proclame catholique dans Mein Kampf, l'ouvrage où il annonce son programme politique. Il y affirme aussi qu'il est convaincu qu'il est un "instrument de Dieu". L'Eglise catholique ne mettra jamais "Mein Kampf" à l'Index, même avant l'accession de Hitler au pouvoir. Il faut croire que le programme antisémite du futur chancelier ne déplaisait pas à l'église. Hitler montrera sa reconnaissance en rendant obligatoire la prière à Jésus dans l'école publique allemande, et en réintroduisant la phrase "Gott mit uns" (Dieu est avec Nous) sur les uniformes de l'armée allemande.
<< Aujourd'hui s'éveille une foi nouvelle: le mythe du sang, la croyance selon laquelle on peut, avec le sang, défendre aussi l'essence divine de l'homme (...). Le sang nordique représente ce mystère qui a remplacé et surmonté les anciens sacrements (...). Le peuple allemand n'est pas atteint par le péché originel, il possède au contraire une noblesse originelle.>>
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
1938, les SS et SA organisent la Nuit de Cristal : déguisés en civils, les miliciens nazis attaquent synagogues et magasins appartenant à des juifs. La population allemande est à la fois horrifiée et terrifiée. L'évêque de Freiburg, Monseigneur Gröber, déclare alors, en réponse à des questions sur les lois raciales et les pogroms de la nuit de cristal: " On ne peut refuser à quiconque le droit de sauvegarder la pureté de sa race et d'élaborer les mesures nécessaires à cette fin."
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )
« Hitler n'a jamais quitté l'Église catholique » rappelle d'ailleurs le Dr Otto Dietrich qui vécut dans l'entourage immédiat du Führer. Et ce précieux témoin ajoute :
« Il avait interdit d'appeler Charlemagne le « boucher des Saxons », dans la presse ou ailleurs ; Charlemagne avait christianisé les Allemands par la force de l'épée et on lui donnait ce surnom à cause des luttes sanglantes qu'il avait menées contre le duc de Saxe.
« Hitler considérait Charlemagne comme l'un des plus grands hommes de l'histoire d'Allemagne, car il voyait d'abord en lui l'unificateur des Allemands et le créateur de l'Empire ; il l'approuvait d'avoir, en vue de ce « but national suprême », aussi bien introduit la religion chrétienne dans les pays germaniques que d'avoir agi avec une rigueur impitoyable contre tous ceux qui ne voulaient pas coopérer à l'unification sous l'égide du christianisme. C'était pour cela qu'il ne tolérait pas que l'on pût critiquer les massacres du grand empereur Charles… »
(Dr Otto Dietrich, Hitler démasqué - Grasset, Paris 1955)
« Après que le ministre des Affaires étrangères du Reich lui eut transmis les hommages du Führer, le pape ouvrit l'entretien en rappelant ses dix-sept années d'activité en Allemagne. Il dit que ces années passées dans l'orbite de la culture allemande correspondaient certainement à la période la plus agréable de sa vie, et que le gouvernement du Reich pouvait être assuré que son cœur battait, et battrait toujours, pour l'Allemagne ».
(11 mars 1940, extrait du rapport sur la conversation entre von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères du Reich nazi, et Pie XII. - Archives secrètes de la Wilhelmstrasse, RAM. 10 A).
Le « Basler Nachrichten » de Bâle (27 mars 1942) n'a pas hésité à écrire : « Une des questions que pose l'action allemande en Russie et qui intéresse au suprême degré le Vatican, c'est celle de l'évangélisation de la Russie ».
Le R.P. Duclos, lui-même, confirme la chose dans un ouvrage revêtu de l'imprimatur : « Au cours de l'été 1941, Hitler fait appel à toutes les forces chrétiennes… (il) autorise les missionnaires catholiques à se rendre dans les nouveaux territoires de l'Est… Selon C. Cianfarra, l'ambassadeur Attolico, au nom de Mussolini, aurait suggéré au cardinal Maglione, que le pape écrivît à tous les évêques de la chrétienté, pour leur recommander d'exhorter à la levée de volontaires contre les Soviets… » - (R.P. Duclos : Le Vatican et la seconde guerre mondiale) Imprimatur, 4 octobre 1955. Éditions A. Padone, Paris 1955.).
On n'a pas oublié, non plus, que le cardinal Baudrillart et Mgr Mayol de Luppé se firent en France les recruteurs des L.V.F. pour la croisade contre la Russie.
Et il faut encore citer Hans Kerll, ministre des Affaires ecclésiastiques du IIIe Reich, s'écriant dans une belle envolée mystique : « De même que le Christ a rassemblé ses douze disciples en une cohorte fidèle jusqu'au martyre, de même sommes-nous témoins d'un spectacle identique, Adolf Hitler est, en vérité, le Saint-Esprit ».
(André Guerber, Himmler et ses crimes - Les documents Nuit et Jour, Paris 1946)
Au cours de la deuxième guerre mondiale le Vatican est au courant des exterminations de juifs par les nazis. On saura après la guerre que le pape a hésité à lancer un appel public, à plusieurs reprises, mais s'est finalement abstenu de le faire, essentiellement car il est communistophobe, et pense qu'une victoire russe serait "pire". En 1942, il pleure par contre parmi les ruines de Rome bombardée et condamne les bombardements alliés. Hélas, il oublie de mentionner que son allié politique Mussolini avait sollicité auprès d'Hitler « l'honneur de participer aux bombardements sur Londres » - il est vrai que le pape n'habite pas à Londres ...
(Enrico Riboni - Les pages Noires du Christianisme, 2000 ans de crime, terreur, répression )