La preuve du déluge et de l'arche de Noé
Posté : 30 mars04, 17:20
Archéologie : Le déluge et l'arche de Noé ne sont pas des mythes, la preuve... (Bibliorama)
info transmise par marie
NDLR: Voici quelques extraits d'un article paru sur Bibliorama.com concernant le déluge et l'arche de Noé. L'article entier est sur http://www.bibliorama.com/atlas/deluge.htm
1 - le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel
Quel rapport peut-il y avoir entre un événement de la Bible survenu il y a si longtemps (à savoir un déluge ayant inondé notre planète) il y a de cela plus de 4350 ans, et les jours actuels ? Nous avons de cet événement deux enseignements bien utiles à tirer. Tout d'abord, le fait que le monde de ce temps-là ait été détruit par un déluge universel, à cause de la méchanceté et de la violence des hommes, nous fait réfléchir sérieusement sur le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel.
Deuxièmement, s'il nous est possible d'être pleinement assurés qu'un événement de la Bible aussi extraordinaire que le déluge est vrai, ceci va nous pousser à prendre très au sérieux les mises en garde du Nouveau Testament, et à croire enfin que la Bible est vraie et que rien de ce qui y est écrit ne l'a été à la légère.
En nous laissant instruire par cet exemple du passé, essayons de voir dans quelle mesure tout ce que la Bible nous raconte de cet événement, est réellement arrivé. Les faits : la Terre parle. La Bible nous dit qu'à l'époque de Noé, les hommes avaient "rempli la terre de violence", tout comme ils l'ont fait de nos jours. Quelle en fut la conséquence, toujours selon la Bible : " Parce que toute chair avait corrompu sa voie sur la terre, Dieu annonça à Noé qu'au moyen d'un déluge, il allait détruire ce monde d'hommes violents. Noé devait bâtir une arche immense, pour sauver sa famille et toutes les espèces d'oiseaux et d'animaux terrestres. Puis, Dieu fit tomber les eaux du déluge, qui couvrirent les montagnes les plus élevées. De tous les hommes, seuls survécurent ceux qui avaient pris place dans l'arche, c'est-à-dire Noé et sa famille. " (voir Genèse 6.12-13;7.1-24).
2 - S'agit-il là de faits authentiques ?
Des preuves solides nous permettent d'en être convaincus. Le déluge en effet, a laissé, en plus des preuves d'un changement de climat, les traces d'une brusque dévastation sur toute la surface du globe.
Écoutons à ce sujet un scientifique, monsieur Hapgoog : "L'une des grandes destructions de vie se produisit à la fin de la dernière période glaciaire. D'après la datation des carottes prélevées au fond de la mer de Ross, la dernière période glaciaire ne commença qu'il y a 6000 ans. Des bouleversements gigantesques ont enfoui des fossiles bien au-dessous de matériaux terrestres énormément plus vieux qu'eux. Il y a des signes indiquant que de grandes étendues de la Terre furent inondées en quelques temps." (Revue Newsweek, 23 décembre 1963).
Les restes d'animaux.
Le caractère instantané de cette catastrophe universelle, nous est révélé par l'état des restes des animaux retrouvés dans la région arctique, où des millions de bêtes ont été, à une époque géologique assez récente, tuées subitement et instantanément congelées dans la boue et la glace du sous-sol arctique.
On dirait que des troupes d'animaux qui paissaient ou chassaient ont été subitement soulevées par un énorme ras-de-marée et déposées sur des bandes de terre le long du nord du Canada, de l'Alaska et de la Sibérie. Elles sont toujours là par millions, sous forme de tas d'ossements de chair et de fourrure. Souvent il s'agit d'espèces qui normalement ne vivaient pas ensemble.
La façon dont ils ont été ensevelis, laisse supposer qu'ils sont tous morts en même temps, et qu'ensuite ils ont été transportés pêle-mêle par des forces très grandes. Le docteur Frank Hibbon, professeur d'archéologie au Nouveau-Mexique, a visité cette région au cours d'une expédition ayant pour but l'étude des mammouths de l'Alaska. Il a observé à propos de la confusion des restes gelés de chevaux, de bisons, de tigres dents-de-sabre, de lions, de cerfs, d'ours et de mammouths :
"Nous trouvons aussi parmi la boue d'Alaska, des preuves de bouleversements atmosphériques d'une violence extraordinaire ! Les mammouths et les bisons étaient également déchiquetés et tordus, comme par une main cosmique, sous l'effet d'une colère céleste. On dirait que, sous l'effet de quelque catastrophe, tout l'univers animal et végétal de l'Alaska a été soudainement congelé sur place, dans toutes les attitudes de la mort. Des pattes, des corps, des têtes, des fragments, ont été trouvés entassés ou dispersés, des animaux déchiquetés ont été projetés à travers la campagne, bien qu'ils eussent peut-être pesé plusieurs tonnes."
(...)
Manuel Vélikovsky, nous décrit dans l'un de ses ouvrages ("MONDES EN COLLISION"), les effets de cette catastrophe dans le monde entier : "En de nombreux points de la terre, sur tous les continents, on a trouvé entremêlés les ossements d'animaux marins, d'animaux polaires et d'animaux tropicaux... Sur les hautes montagnes et dans les mers profondes, nous trouvons d'innombrables signes d'un grand bouleversement ancien."
Le caractère universel d'un désastre préhistorique et la disparition apparemment inexplicable d'espèces entières, a été commenté par Charles Darwin, à la suite des recherches zoologiques qu'il a effectuées pour "L'ORIGINE DES ESPECES". Il écrivait :
"L'esprit, ne peut s'empêcher de croire à quelque grande catastrophe. Mais pour détruire ainsi des animaux grands et petits, en Patagonie du Sud, au Brésil, sur la Cordillère du Pérou, en Amérique du Nord jusqu'au détroit de Béring, il a fallu que toute la base du globe terrestre soit secouée."
Ces indices sont exactement ceux qu'on s'attendrait à trouver, après la chute d'une immense voûte de vapeur d'eau. Les régions polaires furent brusquement plongées dans un état de gel intense les animaux qui se trouvaient dans cette région ou tout près périrent gelés sur place. Ceux qui se trouvaient ailleurs furent ensevelis en très grand nombre, sous des amas de terre et des débris.
Ces faits ne peuvent s'expliquer ni par une mort naturelle, ni par noyade normale, ni par la mort à la suite d'une maladie. Ils ne deviennent compréhensibles que dans la perspective d'un déluge universel, accompagné d'un changement de climat quasi instantané.
3 - Traditions d'un déluge universel
S'il y a eu un déluge universel, on peut s'attendre à ce que le souvenir d'une telle catastrophe se soit longtemps conservé parmi les hommes. Les histoires ayant trait au Déluge qui nous sont parvenues de l'antiquité, prouvent que dans toutes les parties du monde la race humaine s'est souvenue d'une époque de grande inondation et destruction.
Dans presque toutes les traditions, Dieu ou une divinité particulière, voulait détruire la race humaine toute entière à l'exception de quelques individus et tout recommencer. Les péchés varient très peu d'une légende à l'autre. Les raisons données sont généralement que l'homme était devenu trop orgueilleux et n'obéissaient plus à la volonté divine, trop corrompus et trop violents, et que, selon les termes de la Bible, "son coeur ne formait que des mauvais desseins à longueur de journée".
(...)
En 1872, un archéologue amateur du nom de Georges Smith, réussit à reconstituer des tablettes brisées que l'on avait retrouvées dans le sol à l'emplacement de l'ancienne Ninive (lieu où Noé construisit l'arche). Ces tablettes remontant à plusieurs milliers d'années, racontaient l'histoire du déluge et confirmaient le récit de l'Ancien Testament jusqu'au plus petit détail. Ces tablettes ont dû être écrites alors qu'on se souvenait encore de façon très nette du déluge.
Plusieurs peuples dans le monde entier possèdent des traditions d'un grand déluge, auquel seuls quelques élus survécurent. Le livre "Cible : La Terre", déclare à ce propos : "Dans le cours normal des événements, les inondations ne sont pas générales et étendues au point de donner naissance à un déluge universel qui aurait tout exterminé.
Pourquoi presque toutes les races ont-elles dans leur folklore, cette histoire d'un grand déluge ?
Pourquoi des peuples vivant loin de la mer dans une région sèche et montagneuse comme le Mexique ou l'Asie Centrale, possèdent-ils la légende d'un déluge ? Le caractère universel de l'histoire du déluge, est un des meilleurs arguments en faveur de son authenticité." (1953, pages 239 à 253)
4 - le navire dans la glace
Qu'est-il arrivé avec cette arche dont la Bible nous raconte qu'elle fut construite par Noé sous les instructions de Dieu pour échapper à la destruction ? Eh bien, elle existe toujours et elle repose dans une région presque inaccessible connue de l'homme depuis des millénaires.
(...)
Témoignages modernes concernant l'arche de Noé :
Au mois de mai 1883, un séisme a ouvert une partie de la montagne et a dégagé l'arche. Des fonctionnaires de la Turquie venus dans cette région pour évaluer les dégâts commis par le séisme, ont pu très bien voir une partie du bateau. Ceux-ci racontèrent avoir découvert une immense masse de bois foncé sortant d'un glacier, d'une hauteur de 12 à 15 mètres environ (la hauteur de l'arche construite par Noé était de 30 coudées, c'est-à-dire 15 mètres environ) :
"Il était impossible d'en mesurer la longueur, tout simplement parce qu'une partie du bateau était enfoncée sous la glace. Un membre anglais de la commission inspecta l'intérieur de l'arche, et découvrit qu'elle était divisée en une série de compartiments de 5 mètres de haut. L'exactitude de cette observation est frappante, lorsque l'on sait que Noé fit 3 étages à l'intérieur de son arche (trois fois 5 mètres nous amène à 15 mètres ou 30 coudées). Finalement, après avoir regardé sous tous les angles ce vaisseau congelé sur la montagne, cette commission publia la nouvelle qu'elle avait retrouvé l'arche de Noé. "
Une revue de Los Angeles, le "New Eden", publia en 1940 le récit étonnant de deux aviateurs russes, Lesin, et le premier lieutenant Zabolotsky, tous deux du troisième détachement de l'air des forces aériennes impériales, affectés à la fin de l'été 1916 à une base située à 40 km au nord-ouest du mont Arrarat. Voici un extrait de leur récit :
" Après 2 ou 3 km autour du sommet enneigé, puis un vol plané rapide et prolongé le long de la face sud, nous découvrîmes soudain un lac gelé, un vrai joyau bleu comme un saphir. Nous tournâmes en rond, puis revînmes pour jeter encore un coup d'oeil. Soudain, mon compagnon se retourna brusquement et hurla quelque chose, surexcité, en me montrant la décharge du lac. ... Quelle curieuse embarcation, conçue comme si le constructeur se fut attendu à ce que les vagues la recouvre constamment, et l'eut fabriquée pour qu'elle roule dans la mer comme un tronc d'arbre ! me dis-je. ... Nous sommes descendus aussi bas que le permettaient les règles de sécurité. En nous approchant, nous fûmes surpris par ses dimensions colossales, car elle était longue comme un pâté de maison et d'une taille comparable aux navires de guerre d'aujourd'hui. Sur l'un de ses côtés près de l'avant, il y avait un grand encadrement de porte de près de 6 mètres carrés."
Ceci est tout à fait conforme au récit de la Genèse qui nous précise cette instruction de Dieu à Noé : "Et tu placera la porte de l'arche sur son côté." (Genèse 6:16). " ... A notre retour, le capitaine nous posa quelques questions et finit par dire : "Emmenez-moi là-bas, je veux voir." Nous fîmes le voyage sans incident, puis retournâmes à l'aéroport. "Cette étrange embarcation, expliqua le capitaine, est l'arche de Noé. Cela fait presque 5 000 ans qu'elle se trouve là. Étant gelée pendant 9 ou 10 mois de l'année, elle ne pouvait pas pourrir."
Lorsque le capitaine envoya son rapport au gouvernement russe, il éveilla un intérêt considérable, et le tsar envoya deux compagnies spéciales pour escalader la montagne. On prit les mesures complètes, on fit des plans ainsi que beaucoup de photographies, et le tout fut envoyé au tsar. On découvrit que l'arche contenait des centaines de petites chambres, certaines pièces étant très vastes et très hautes de plafond. " La Parole de Dieu elle aussi, nous révèle comment l'intérieur de l'arche fut aménagé : "Tu feras l'arche avec des loges." (Genèse 6:14). " ...
Ces pièces étonnamment grandes étaient séparées en deux par une clôture faite de grands morceaux de bois, comme si elles avaient été destinées à contenir des réserves d'aliments d'animaux (fourrage, foin). D'autres pièces avaient tous les murs garnis de plusieurs rangées de cages, du genre que l'on voit aux expositions de volailles, avec cette différence qu'au lieu de grillage, elles avaient sur le devant des rangées de minuscules barreaux de fer. Tout était recouvert d'un épais revêtement ressemblant à de la gomme résineuse, et la construction du vaisseau portait la marque d'une civilisation très avancée.
(J.Paquerette/P.Cusson/Bibliorama.com)
(Bibliorama) ajouté le 2003-02-04
info transmise par marie
NDLR: Voici quelques extraits d'un article paru sur Bibliorama.com concernant le déluge et l'arche de Noé. L'article entier est sur http://www.bibliorama.com/atlas/deluge.htm
1 - le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel
Quel rapport peut-il y avoir entre un événement de la Bible survenu il y a si longtemps (à savoir un déluge ayant inondé notre planète) il y a de cela plus de 4350 ans, et les jours actuels ? Nous avons de cet événement deux enseignements bien utiles à tirer. Tout d'abord, le fait que le monde de ce temps-là ait été détruit par un déluge universel, à cause de la méchanceté et de la violence des hommes, nous fait réfléchir sérieusement sur le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel.
Deuxièmement, s'il nous est possible d'être pleinement assurés qu'un événement de la Bible aussi extraordinaire que le déluge est vrai, ceci va nous pousser à prendre très au sérieux les mises en garde du Nouveau Testament, et à croire enfin que la Bible est vraie et que rien de ce qui y est écrit ne l'a été à la légère.
En nous laissant instruire par cet exemple du passé, essayons de voir dans quelle mesure tout ce que la Bible nous raconte de cet événement, est réellement arrivé. Les faits : la Terre parle. La Bible nous dit qu'à l'époque de Noé, les hommes avaient "rempli la terre de violence", tout comme ils l'ont fait de nos jours. Quelle en fut la conséquence, toujours selon la Bible : " Parce que toute chair avait corrompu sa voie sur la terre, Dieu annonça à Noé qu'au moyen d'un déluge, il allait détruire ce monde d'hommes violents. Noé devait bâtir une arche immense, pour sauver sa famille et toutes les espèces d'oiseaux et d'animaux terrestres. Puis, Dieu fit tomber les eaux du déluge, qui couvrirent les montagnes les plus élevées. De tous les hommes, seuls survécurent ceux qui avaient pris place dans l'arche, c'est-à-dire Noé et sa famille. " (voir Genèse 6.12-13;7.1-24).
2 - S'agit-il là de faits authentiques ?
Des preuves solides nous permettent d'en être convaincus. Le déluge en effet, a laissé, en plus des preuves d'un changement de climat, les traces d'une brusque dévastation sur toute la surface du globe.
Écoutons à ce sujet un scientifique, monsieur Hapgoog : "L'une des grandes destructions de vie se produisit à la fin de la dernière période glaciaire. D'après la datation des carottes prélevées au fond de la mer de Ross, la dernière période glaciaire ne commença qu'il y a 6000 ans. Des bouleversements gigantesques ont enfoui des fossiles bien au-dessous de matériaux terrestres énormément plus vieux qu'eux. Il y a des signes indiquant que de grandes étendues de la Terre furent inondées en quelques temps." (Revue Newsweek, 23 décembre 1963).
Les restes d'animaux.
Le caractère instantané de cette catastrophe universelle, nous est révélé par l'état des restes des animaux retrouvés dans la région arctique, où des millions de bêtes ont été, à une époque géologique assez récente, tuées subitement et instantanément congelées dans la boue et la glace du sous-sol arctique.
On dirait que des troupes d'animaux qui paissaient ou chassaient ont été subitement soulevées par un énorme ras-de-marée et déposées sur des bandes de terre le long du nord du Canada, de l'Alaska et de la Sibérie. Elles sont toujours là par millions, sous forme de tas d'ossements de chair et de fourrure. Souvent il s'agit d'espèces qui normalement ne vivaient pas ensemble.
La façon dont ils ont été ensevelis, laisse supposer qu'ils sont tous morts en même temps, et qu'ensuite ils ont été transportés pêle-mêle par des forces très grandes. Le docteur Frank Hibbon, professeur d'archéologie au Nouveau-Mexique, a visité cette région au cours d'une expédition ayant pour but l'étude des mammouths de l'Alaska. Il a observé à propos de la confusion des restes gelés de chevaux, de bisons, de tigres dents-de-sabre, de lions, de cerfs, d'ours et de mammouths :
"Nous trouvons aussi parmi la boue d'Alaska, des preuves de bouleversements atmosphériques d'une violence extraordinaire ! Les mammouths et les bisons étaient également déchiquetés et tordus, comme par une main cosmique, sous l'effet d'une colère céleste. On dirait que, sous l'effet de quelque catastrophe, tout l'univers animal et végétal de l'Alaska a été soudainement congelé sur place, dans toutes les attitudes de la mort. Des pattes, des corps, des têtes, des fragments, ont été trouvés entassés ou dispersés, des animaux déchiquetés ont été projetés à travers la campagne, bien qu'ils eussent peut-être pesé plusieurs tonnes."
(...)
Manuel Vélikovsky, nous décrit dans l'un de ses ouvrages ("MONDES EN COLLISION"), les effets de cette catastrophe dans le monde entier : "En de nombreux points de la terre, sur tous les continents, on a trouvé entremêlés les ossements d'animaux marins, d'animaux polaires et d'animaux tropicaux... Sur les hautes montagnes et dans les mers profondes, nous trouvons d'innombrables signes d'un grand bouleversement ancien."
Le caractère universel d'un désastre préhistorique et la disparition apparemment inexplicable d'espèces entières, a été commenté par Charles Darwin, à la suite des recherches zoologiques qu'il a effectuées pour "L'ORIGINE DES ESPECES". Il écrivait :
"L'esprit, ne peut s'empêcher de croire à quelque grande catastrophe. Mais pour détruire ainsi des animaux grands et petits, en Patagonie du Sud, au Brésil, sur la Cordillère du Pérou, en Amérique du Nord jusqu'au détroit de Béring, il a fallu que toute la base du globe terrestre soit secouée."
Ces indices sont exactement ceux qu'on s'attendrait à trouver, après la chute d'une immense voûte de vapeur d'eau. Les régions polaires furent brusquement plongées dans un état de gel intense les animaux qui se trouvaient dans cette région ou tout près périrent gelés sur place. Ceux qui se trouvaient ailleurs furent ensevelis en très grand nombre, sous des amas de terre et des débris.
Ces faits ne peuvent s'expliquer ni par une mort naturelle, ni par noyade normale, ni par la mort à la suite d'une maladie. Ils ne deviennent compréhensibles que dans la perspective d'un déluge universel, accompagné d'un changement de climat quasi instantané.
3 - Traditions d'un déluge universel
S'il y a eu un déluge universel, on peut s'attendre à ce que le souvenir d'une telle catastrophe se soit longtemps conservé parmi les hommes. Les histoires ayant trait au Déluge qui nous sont parvenues de l'antiquité, prouvent que dans toutes les parties du monde la race humaine s'est souvenue d'une époque de grande inondation et destruction.
Dans presque toutes les traditions, Dieu ou une divinité particulière, voulait détruire la race humaine toute entière à l'exception de quelques individus et tout recommencer. Les péchés varient très peu d'une légende à l'autre. Les raisons données sont généralement que l'homme était devenu trop orgueilleux et n'obéissaient plus à la volonté divine, trop corrompus et trop violents, et que, selon les termes de la Bible, "son coeur ne formait que des mauvais desseins à longueur de journée".
(...)
En 1872, un archéologue amateur du nom de Georges Smith, réussit à reconstituer des tablettes brisées que l'on avait retrouvées dans le sol à l'emplacement de l'ancienne Ninive (lieu où Noé construisit l'arche). Ces tablettes remontant à plusieurs milliers d'années, racontaient l'histoire du déluge et confirmaient le récit de l'Ancien Testament jusqu'au plus petit détail. Ces tablettes ont dû être écrites alors qu'on se souvenait encore de façon très nette du déluge.
Plusieurs peuples dans le monde entier possèdent des traditions d'un grand déluge, auquel seuls quelques élus survécurent. Le livre "Cible : La Terre", déclare à ce propos : "Dans le cours normal des événements, les inondations ne sont pas générales et étendues au point de donner naissance à un déluge universel qui aurait tout exterminé.
Pourquoi presque toutes les races ont-elles dans leur folklore, cette histoire d'un grand déluge ?
Pourquoi des peuples vivant loin de la mer dans une région sèche et montagneuse comme le Mexique ou l'Asie Centrale, possèdent-ils la légende d'un déluge ? Le caractère universel de l'histoire du déluge, est un des meilleurs arguments en faveur de son authenticité." (1953, pages 239 à 253)
4 - le navire dans la glace
Qu'est-il arrivé avec cette arche dont la Bible nous raconte qu'elle fut construite par Noé sous les instructions de Dieu pour échapper à la destruction ? Eh bien, elle existe toujours et elle repose dans une région presque inaccessible connue de l'homme depuis des millénaires.
(...)
Témoignages modernes concernant l'arche de Noé :
Au mois de mai 1883, un séisme a ouvert une partie de la montagne et a dégagé l'arche. Des fonctionnaires de la Turquie venus dans cette région pour évaluer les dégâts commis par le séisme, ont pu très bien voir une partie du bateau. Ceux-ci racontèrent avoir découvert une immense masse de bois foncé sortant d'un glacier, d'une hauteur de 12 à 15 mètres environ (la hauteur de l'arche construite par Noé était de 30 coudées, c'est-à-dire 15 mètres environ) :
"Il était impossible d'en mesurer la longueur, tout simplement parce qu'une partie du bateau était enfoncée sous la glace. Un membre anglais de la commission inspecta l'intérieur de l'arche, et découvrit qu'elle était divisée en une série de compartiments de 5 mètres de haut. L'exactitude de cette observation est frappante, lorsque l'on sait que Noé fit 3 étages à l'intérieur de son arche (trois fois 5 mètres nous amène à 15 mètres ou 30 coudées). Finalement, après avoir regardé sous tous les angles ce vaisseau congelé sur la montagne, cette commission publia la nouvelle qu'elle avait retrouvé l'arche de Noé. "
Une revue de Los Angeles, le "New Eden", publia en 1940 le récit étonnant de deux aviateurs russes, Lesin, et le premier lieutenant Zabolotsky, tous deux du troisième détachement de l'air des forces aériennes impériales, affectés à la fin de l'été 1916 à une base située à 40 km au nord-ouest du mont Arrarat. Voici un extrait de leur récit :
" Après 2 ou 3 km autour du sommet enneigé, puis un vol plané rapide et prolongé le long de la face sud, nous découvrîmes soudain un lac gelé, un vrai joyau bleu comme un saphir. Nous tournâmes en rond, puis revînmes pour jeter encore un coup d'oeil. Soudain, mon compagnon se retourna brusquement et hurla quelque chose, surexcité, en me montrant la décharge du lac. ... Quelle curieuse embarcation, conçue comme si le constructeur se fut attendu à ce que les vagues la recouvre constamment, et l'eut fabriquée pour qu'elle roule dans la mer comme un tronc d'arbre ! me dis-je. ... Nous sommes descendus aussi bas que le permettaient les règles de sécurité. En nous approchant, nous fûmes surpris par ses dimensions colossales, car elle était longue comme un pâté de maison et d'une taille comparable aux navires de guerre d'aujourd'hui. Sur l'un de ses côtés près de l'avant, il y avait un grand encadrement de porte de près de 6 mètres carrés."
Ceci est tout à fait conforme au récit de la Genèse qui nous précise cette instruction de Dieu à Noé : "Et tu placera la porte de l'arche sur son côté." (Genèse 6:16). " ... A notre retour, le capitaine nous posa quelques questions et finit par dire : "Emmenez-moi là-bas, je veux voir." Nous fîmes le voyage sans incident, puis retournâmes à l'aéroport. "Cette étrange embarcation, expliqua le capitaine, est l'arche de Noé. Cela fait presque 5 000 ans qu'elle se trouve là. Étant gelée pendant 9 ou 10 mois de l'année, elle ne pouvait pas pourrir."
Lorsque le capitaine envoya son rapport au gouvernement russe, il éveilla un intérêt considérable, et le tsar envoya deux compagnies spéciales pour escalader la montagne. On prit les mesures complètes, on fit des plans ainsi que beaucoup de photographies, et le tout fut envoyé au tsar. On découvrit que l'arche contenait des centaines de petites chambres, certaines pièces étant très vastes et très hautes de plafond. " La Parole de Dieu elle aussi, nous révèle comment l'intérieur de l'arche fut aménagé : "Tu feras l'arche avec des loges." (Genèse 6:14). " ...
Ces pièces étonnamment grandes étaient séparées en deux par une clôture faite de grands morceaux de bois, comme si elles avaient été destinées à contenir des réserves d'aliments d'animaux (fourrage, foin). D'autres pièces avaient tous les murs garnis de plusieurs rangées de cages, du genre que l'on voit aux expositions de volailles, avec cette différence qu'au lieu de grillage, elles avaient sur le devant des rangées de minuscules barreaux de fer. Tout était recouvert d'un épais revêtement ressemblant à de la gomme résineuse, et la construction du vaisseau portait la marque d'une civilisation très avancée.
(J.Paquerette/P.Cusson/Bibliorama.com)
(Bibliorama) ajouté le 2003-02-04