Les musulmans dans tous leurs états
Posté : 21 oct.06, 07:30
Ce qui se passe actuellement est absolument unique. On voit même Zapatero soutenir publiquement le Pape :
"J'appelle tous les représentants des sociétés musulmanes, où les habitants préoccupés [qui] sont parfois passés à l'action, à la sérénité. Je suis pleinement convaincu que le pape n'a, à aucun moment, voulu créer de polémique, confrontation ou critique face à la religion musulmane et aux personnes qui pratiquent cette religion".
De son côté, le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, musulman pratiquant, a appelé les musulmans à "montrer que l'Islam n'est pas une religion de violence" :
"Nous qui sommes musulmans, nous devons montrer que nous sommes des hommes de foi et de raison et non pas des hommes de violence. Il est inacceptable que des gens brûlent des églises ou assassinent des religieuses. A ce moment-là on va dans le sens de ce que dit cet empereur de Byzance. Il faut montrer que l'Islam ne sécrète pas la violence" (...) même s'il y a des extrémistes qui pratiquent la violence".
Il n'empêche, le ministre britannique de l'Intérieur anglais, John Reid, a été chahuté par un manifestant qui l'a traité d'"ennemi de l'islam" lors d'un discours prononcé dans un quartier musulman de Londres. Reid a été interrompu pendant plusieurs minutes par le manifestant, avant que ce dernier soit expulsé de la salle. Le ministre était venu lancer un appel aux parents musulmans pour qu'ils agissent s'ils observaient des signes de "lavage de cerveau" islamiste chez leurs enfants. Après son expulsion, le musulman a rejoint sur le trottoir d'autres manifestants arborant des affichettes, dont l'une portait l'inscription "John Reid, tu vas payer !".
En Italie, le parquet de Rome a ouvert une enquête contre X "pour instigation à commettre un attentat" après les menaces proférées par des extrémistes islamistes contre le pape Benoît XVI. Le magistrat a chargé la police de surveiller les sites internet sur lesquels étaient apparues des menaces contre le pape pour tenter d'en identifier les auteurs. Le niveau d'alerte et de sécurité autour du Vatican et de Castel Gandolfo, la résidence d'été des papes dans les environs de Rome, a été relevé à la suite de ces menaces.
Que les musulmans s'expliquent donc entre eux et qu'ils fassent leurs preuves.
"J'appelle tous les représentants des sociétés musulmanes, où les habitants préoccupés [qui] sont parfois passés à l'action, à la sérénité. Je suis pleinement convaincu que le pape n'a, à aucun moment, voulu créer de polémique, confrontation ou critique face à la religion musulmane et aux personnes qui pratiquent cette religion".
De son côté, le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, musulman pratiquant, a appelé les musulmans à "montrer que l'Islam n'est pas une religion de violence" :
"Nous qui sommes musulmans, nous devons montrer que nous sommes des hommes de foi et de raison et non pas des hommes de violence. Il est inacceptable que des gens brûlent des églises ou assassinent des religieuses. A ce moment-là on va dans le sens de ce que dit cet empereur de Byzance. Il faut montrer que l'Islam ne sécrète pas la violence" (...) même s'il y a des extrémistes qui pratiquent la violence".
Il n'empêche, le ministre britannique de l'Intérieur anglais, John Reid, a été chahuté par un manifestant qui l'a traité d'"ennemi de l'islam" lors d'un discours prononcé dans un quartier musulman de Londres. Reid a été interrompu pendant plusieurs minutes par le manifestant, avant que ce dernier soit expulsé de la salle. Le ministre était venu lancer un appel aux parents musulmans pour qu'ils agissent s'ils observaient des signes de "lavage de cerveau" islamiste chez leurs enfants. Après son expulsion, le musulman a rejoint sur le trottoir d'autres manifestants arborant des affichettes, dont l'une portait l'inscription "John Reid, tu vas payer !".
En Italie, le parquet de Rome a ouvert une enquête contre X "pour instigation à commettre un attentat" après les menaces proférées par des extrémistes islamistes contre le pape Benoît XVI. Le magistrat a chargé la police de surveiller les sites internet sur lesquels étaient apparues des menaces contre le pape pour tenter d'en identifier les auteurs. Le niveau d'alerte et de sécurité autour du Vatican et de Castel Gandolfo, la résidence d'été des papes dans les environs de Rome, a été relevé à la suite de ces menaces.
Que les musulmans s'expliquent donc entre eux et qu'ils fassent leurs preuves.