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Alléluia, nous sommes sauvés! - Polllution apocalyptique

Posté : 12 avr.04, 13:05
par Nickie
:lol: Mon point, ici, n'est pas de promouvoir un compagnie par dessus une autre; loin de là! Je tenterais via le présent article de faire voir genre Chrétien la lumière au bout du tunel en ce qui a trait à l'apocalyptique fin du monde via le moyen de la polution de l'automobile. Cet monstre satanique contribuant de par ces émanations polu-puantes (de l'humour à la Sol :lol: ) au trou dans la couche d'ozone et à la fonte des caps ante-artique et artique.Plus dangereux encore que le freezone du frigo,
à leurs seuls, le carbon et son diable oxyde sont entrain de litéralement étouffé la population à bas de bio-carbonne du globe terrestre.

À savoir, malgré toutes nos bonnes intentions Chrétiennes ou non, sommes nous personnellement prêts, en encore mieux que ça même, sommes-nous "capables" d'endosser et de supporter la cause fort noble de l'auto-non-poluant?!...

Lisez l'article suivante (une copie collée, je vous l'avouerais-je), et dite moi vraiment comme celà vous concernerait en ce moment présent, en ce vingt-quatre heures mêmes dans votre vie Chrétienne personnelle à voux? Pas hier, pas demain, mais dans votre aujourd'hui!


Le défi de la voiture «propre»

Éric Lefrançois

Collaboration spéciale, Le Soleil

Alléluia, nous sommes sauvés ! La terrible, l'apocalyptique pollution automobile est en passe d'être vaincue. Fini les yeux qui pleurent, les bébés qui toussent.

Aussi

La voiture propre, c'est pour demain?


Adieu effet de serre, réchauffement de la planète, menaces de fonte des glaces et d'inondations. Le danger est circonscrit. C'est du moins ce que prétend Toyota, constructeur le plus avancé (et le plus médiatisé) en matière de voitures propres.

Je résume. L'automobile, source de plaisirs, a aussi un défaut sournois : elle pollue. Notre quotidien, tout d'abord, en émettant des oxydes d'azote (Nox), du monoxyde de carbone (CO), du gaz carbonique (CO2) et des particules nuisibles à notre santé. Notre futur, ensuite, en aggravant l'effet de serre. Pour parer à ces dangers, il faut produire des voitures propres. Et elles existent. Elles ne sont pas très nombreuses, mais tout indique qu'elles se multiplieront à un rythme effarant au cours des années à venir. Il s'agit de véhicules hybrides fonctionnant sous les effets conjugués d'un moteur à combustion interne classique et d'un moteur électrique.

Il y a trois ans, qui était prêt à débourser près de 30 000 $ pour une Prius de première génération ? Très peu. En fait, le prétexte qu'elle soit propre ne vous a pas vraiment convaincu de débourser les quelque 10 000 $ de plus que pour une Corolla de gabarit semblable. Qu'en est-il de la seconde génération de cette voiture hybride ? Ses dimensions ont été rehaussées, mais son prix est demeuré le même, à savoir celui d'une berline classique bien équipée. C'est d'ailleurs pourquoi nous l'opposons à l'une des intermédiaires les plus prisées du public : la Camry.

La Prius est un cas à part et, tout comme la Insight, la biplace hybride développée par Honda, sert avant tout à promouvoir cette technologie. Honda propose aujourd'hui une Civic « verte » et, dans un avenir très rapproché, ce sera au tour de l'Accord, de la RX330 (Lexus), de l'Escape (Ford) et du Highlander d'inclure un pendant hybride dans leur gamme. Et je ne vous parle pas des miracles attendus de l'hydrogène censé alimenter des piles à combustible entraînant des moteurs électriques.

La perspective de rouler propre n'a jamais été aussi encourageante.

Les constructeurs pensent (parfois certains se le font imposer) à la voiture propre. Et nous, sommes-nous prêts ?