NON crucifiction de Jésus prouvé par une nouvelle découverte
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
NON crucifiction de Jésus prouvé par une nouvelle découverte
Ecrit le 08 févr.07, 05:07Voici un dialogue de Ahmad Simozrag(avocat), que vous trouver sur le site:
http://membres.lycos.fr/forumbismillah/SPIP/
Ahmad Simozrag : Lumière sur un mystère autour de Jésus Fils de Marie
Mise en ligne le dimanche 9 mai 2004.
AU NOM DE DIEU LE CLEMENT LE MISERICORDIEUX
Gloire à Toi ! Nous n’avons de science que ce que Tu nous as appris. C’est Toi le Savant, le Sage.
Introduction :
Jésus Christ dont la naissance et la vie furent des faits très extraordinaires, est en réalité un Messager de Dieu, Son verbe, Sa parole qu’il plaça en Marie (Jésus est né sans père et a disparu célibataire sans enfants). Au sujet de sa naissance et de sa disparition, de nombreuses thèses se sont répandues : thèses parfois contradictoires, souvent ambiguës mais toujours conflictuelles. Mais au fond, Jésus est-il le fils de Dieu comme le soutiennent fermement les chrétiens ? Est-il « Dieu » ? Est-il mort crucifié ? Son retour est-il une certitude ?
I- JESUS CHRIST, SA VIE ET SA MORT
Tout comme Adam (qui est né sans père ni mère), la naissance de Jésus demeure jusqu’à nos jours un événement mystérieux : sa mère Marie prit une grossesse sans pourtant être jamais « approchée » par un homme. Enfant au berceau, il parlera aux gens et leur révélera sa mission : il est le messager de Dieu aux fils d’Israël ; et dès l’âge adulte, il entreprend sa mission dans de pénibles conditions. Dieu dit à Jésus (et c’est le Saint Coran qui nous le révèle) : « Je vais mettre fin à ta vie terrestre, t’élever vers Moi, te débarrasser de ceux qui n’ont pas cru et mettre jusqu’au jour de la résurrection, ceux qui te suivent au-dessus de ceux qui ne croient pas. » Mais en définitive, qui a cru et a suivi le Christ, fils de Marie ? Ce ne sont pas les chrétiens. C’est plutôt les apôtresde son temps et les musulmans qui ont réellement suivi Jésus. Les chrétiens l’ont, non seulement divinisé mais également, ont répandu l’idée de sa crucifixion. Or de nombreux passages du Coran montrent que Jésus n’a pas été crucifié. D’autre part, les juifs ont refusé le message de Jésus et l’ont traité de bâtard et qualifié sa mère de prostituée. Malgré l’innocence de Marie, prouvée par la parole de Jésus au berceau et confirmée plus tard par les faits, ils ont maintenu à jamais l’accusation contre l’enfant et sa mère. Judas est le nom de celui qui a trahi Jésus, qui l’a « vendu » au gouverneur Ponce Pilate. Dès que Judas eut dévoilé le lieu où se trouvait Jésus, alors les soldats, les policiers allèrent encercler la cour où il s’était réfugié ; c’était au cours de la nuit, il faisait donc sombre. C’est juste à ce moment que se produit un miracle : Des Anges sauvèrent Jésus par une ouverture du toit et l’emmenèrent au ciel ; et Dieu jeta la ressemblance de Jésus sur un de ses apôtresdu nom de Serges. On captura donc Serges, croyant que c’est le Messie. Certains disent que c’est Judas qui fut capturé et crucifié. (Allah sait mieux). Curieusement, le doute envahit les soldats et le gouverneur au sujet de l’identité du personnage arrêté. C’est alors que le gouverneur déclara personnellement : « je ne suis pas responsable de la mort de cet innocent. Je décline toute responsabilité et je m’en lave les mains ». Mais les juifs dans leur folie et leur fureur protestent et soutiennent fermement qu’il s’agissait de Jésus. Ils complotèrent si bien que la victime fut clouée, crucifiée sur une planche. Les juifs pensaient donc que la mission était accomplie, que Jésus est mort. Ils se frottaient alors les mains. Les ignorants et les naïfs crurent aveuglément à la mort du Messie. Toutefois, des gens bien avertis, des curieux voulurent lever le doute, l’équivoque sur l’identité de la victime. C’est ainsi que les juifs, pour barrer la route à cette curiosité et pour effacer toutes formes de traces ou d’indices, déplacèrent le corps du crucifié et l’emmenèrent ailleurs vers un lieu tenu caché. Puis, Ils firent croire aux curieux et aux visiteurs telles Marie de Magdala, Salomé, Marie, « mère de Jacques » que Jésus était ressuscité des morts : « Elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur ; la pierre était roulée et le sépulcre vide. » Matthieu 28.1-7, Luc 24.1-7, Jean 20.1-10, Marc 16.1-8
Cependant, comme nous l’avons déjà souligné, non seulement Jésus n’est pas le fils de Dieu mais aussi, il n’a pas été tué, car Dieu l’a élevé au ciel et son retour se fera certainement. A ce sujet, Dieu dit : « Ils ne l’ont pas tué ; ils ne l’ont pas crucifié, cela leur est seulement apparu ainsi... Mais Allah l’a élevé vers Lui » Coran : S 4 V 158.
Dans le premier cas, « Jésus fils de Dieu » selon les chrétiens, eh bien le Coran nous révèle cet événement futur, certes, mais combien surprenant : au jour du jugement dernier, Dieu fera venir Jésus devant les chrétiens et devant tout le monde. Il lui demandera : « As-tu vraiment dit aux hommes de t’adorer, toi et ta mère comme des divinités, plutôt que Moi ? » Alors Jésus s’écriera : Gloire et Pureté à Toi Seigneur ! Je ne leur ai point dit cela ! Je ne leur ai dit que ce que tu m’as ordonné de dire, à savoir : Adorez Allah mon Seigneur et votre Seigneur. Quand j’étais parmi eux, j’étais moi-même témoin, mais lorsque tu m’as appelé à Toi, tu étais donc témoin de ce qu’ils disaient après moi. Mon Dieu, les voilà à présent devant Toi ; « si tu les châties, ils sont tes serviteurs ; et si tu leur pardonnes, tu es le Puissant, le Sage ! » S.5 V 118 Jésus à travers ces dernières paroles demande subtilement pardon pour les chrétiens ; c’est-à-dire qu’il veut par là demander à Dieu d’être Indulgent envers eux. Jésus termine son plaidoyer par cette formule hypothétique : « ...et si tu leur pardonnes... ». Mais compte tenu de la gravité de la faute, Jésus ne dit pas : Tu es « le Pardonneur, le Miséricordieux. » II dit : « et si Tu leur pardonnes, c’est Toi le Puissant, le Sage. » Jésus est conscient du fait qu’il ne s’agit pas d’une faute d’ignorance dont le pardon pourrait être obtenu plus facilement. Ce sont plutôt des fautes de folie et de faiblesse humaines pour lesquelles Jésus fait appel à la Puissance et à la Sagesse divines. Il insinue que la Puissance et la Sagesse du Créateur peuvent servir d’antidote en quelque sorte ou de contrepoids à la folie et à la faiblesse des créatures. Ce grand événement aura donc lieu au jour du jugement dernier devant tout le monde. Les chrétiens seront interrogés sur ces questions de divinisation et de crucifixion de Jésus et ils devront y répondre. Si la divinisation de Jésus et de sa mère n’est pas à reprocher à tous les chrétiens, il en va autrement, en revanche, de la crucifixion qui constitue un dogme bien établi. En effet, Tous les chrétiens croient que Jésus a été crucifié. Il est vrai que l’erreur est humaine et que tout le monde peut se tromper, mais l’erreur n’est plus permise dès lors que Dieu a rétabli la vérité dans une révélation postérieure (le Coran). Depuis ce temps-là, il n’y a plus aucune excuse et on ne peut Lui opposer aucun argument. Cela est d’autant plus déplorable que de nos jours, des faits et des événements contredisent l’idée de la crucifixion du Messie. A ce sujet, interrogeons la science :
II - LE SQUELETTE ET L’IDENTITE DU CRUCIFIE :
Tout récemment, en 1995, lors des fouilles archéologiques sous la grande mosquée de Jérusalem, on découvrit une caisse (coffre) en pierre contenant le squelette d’un homme crucifié au front et aux membres : des inscriptions sur son identité (nom, prénom, lieu et date de crucifixion) étaient gravées sur la paroi du coffre. Voilà, le mystère venait ainsi d’éclater au grand jour. Mais comme il fallait s’y attendre, les juifs s’acharnent à la destruction et au refus de cette découverte. Ils cherchent, ce faisant, à étouffer ce secret pour empêcher la vérité de surgir. Mais peut-on empêcher la vérité de surgir ? Peut-on aller à contre-courant des décrets du Seigneur ? Bien entendu, la réponse est : Non ! En tout cas, Dieu nous affirme dans le Saint Coran : « Nous leur montrerons nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’ils comprennent et qu’il leur soit évident que le Coran est la vérité même. » Coran : S 41 V 53. Cette découverte a fait l’objet d’une émission à la télévision française, au cours de laquelle, il a été bel et bien démontré que le crucifié était celui qu’on a pris faussement pour Jésus. Parmi les invités au débat télévisé, un seul s’est opposé pour dire que « la crucifixion de Jésus est une parole d’Evangile qu’on ne doit pas démentir. » Mais il n’a pas donné d’explication sur la découverte qui contredit ses allégations. Compte tenu de l’importance de cet événement, il est du devoir des intellectuels chrétiens et musulmans et en particulier les écrivains, les enseignants, les chercheurs et les journalistes, de s’y intéresser sérieusement et d’agir afin de donner une large diffusion à cette découverte et d’empêcher toute tentative de désinformation. Mais pourquoi au juste, ces fouilles en dessous de la mosquée de Jérusalem ? Pourquoi cette curieuse ferveur des Juifs ?
III - DES SIGNES ANNONCIATEURS :
Les fouilles entreprises sous la mosquée n’ont qu’un seul objectif : Détruire les fondements de l’édifice, et construire sur ses ruines le temple de Salomon. C’est véritablement un projet purement sioniste. Ils préparent ainsi le terrain à l’avènement de l’Antéchrist (l’imposteur). Cela est inquiétant surtout que nous sommes en train de vivre les signes mêmes de la fin des temps :
Dieu a dit que les chrétiens connaîtront le statut réel de Jésus avant la fin du monde.
Son retour sera un signe de l’apocalypse et coïncidera avec beaucoup de signes.
De nos jours, nous assistons à l’émergence d’une multitude de sectes manipulées par Satan et oeuvrant dans la perspective de l’Antéchrist, le messie attendu des Juifs. De nombreuses sectes s’emploient actuellement à préparer la venue de ce personnage, qui aura lieu peu de temps avant le retour du Christ. Il existe de nombreuses prophéties sur cet événement. D’après un hadith (dire) du prophète Mohammed (psl) : Jésus viendra tuer l’Antéchrist, le porc, briser la croix, abolir le tribut (une somme que les sociétés non converties à l’Islam versent comme impôt équivalent à l’aumône légale payée par les musulmans). Jésus détruira toutes formes de religions et de sectes, excepté l’Islam, c’est-à-dire la soumission à Dieu. Il y aura à ce moment-là de l’argent en abondance mais sans valeur ; « une seule prosternation équivaudra à toute la richesse de ce monde réunie » ; mais que pensent les incrédules et leurs suppôts au sujet de ces signes ? Dieu le Très-Haut nous répond : Les incrédules ne croient jamais à nos signes quand bien même nous leur ouvrirons les portes du ciel pour qu’ils y pénètrent ; ils diront plutôt : qu’est-ce qui se passe ? « Sommes-nous sous l’effet d’un enchantement ou nos esprits se sont-ils obscurcis, ou est-ce une hallucination ? » S15.V15 C’est dans ce sens que doit s’entendre le mot sauveur attribué à Jésus. Il va sans doute sauver des multitudes d’hommes et de femmes, mais sous la bannière de l’Islam, parce que lui-même reviendra en qualité de musulman.
On a découvert, il y a quelques années, le squelette d’un crucifié datant de l’époque de Jésus. Les inscriptions gravées sur la paroi du coffre indiquent que le corps du crucifié n’était pas celui de Jésus. Cette découverte, dont plusieurs magazines et journaux se sont fait l’écho, a inspiré la réalisation d’un film par Antonio Banderas et Olivia Williams, titré "The Body". Il semble que la découverte, dont on n’a commencé à parler qu’en 1985, remonte à 1968. L’auteur de la découverte est un archéologue grec Vasilius Tzaferis. Le squelette est celui d’un homme qui s’appelait Yehohanân fils de Shaggol. M.Tzaferis a écrit un article dans le numéro janvier/février 1985 de la revue "Biblical Archéologie Review" (BAR) où il fait un commentaire sur la crucifixion à l’époque de Jésus. Pour de plus amples informations, consulter ce site :http://cristou06.free.fr/commentaires4
http://membres.lycos.fr/forumbismillah/SPIP/
Ahmad Simozrag : Lumière sur un mystère autour de Jésus Fils de Marie
Mise en ligne le dimanche 9 mai 2004.
AU NOM DE DIEU LE CLEMENT LE MISERICORDIEUX
Gloire à Toi ! Nous n’avons de science que ce que Tu nous as appris. C’est Toi le Savant, le Sage.
Introduction :
Jésus Christ dont la naissance et la vie furent des faits très extraordinaires, est en réalité un Messager de Dieu, Son verbe, Sa parole qu’il plaça en Marie (Jésus est né sans père et a disparu célibataire sans enfants). Au sujet de sa naissance et de sa disparition, de nombreuses thèses se sont répandues : thèses parfois contradictoires, souvent ambiguës mais toujours conflictuelles. Mais au fond, Jésus est-il le fils de Dieu comme le soutiennent fermement les chrétiens ? Est-il « Dieu » ? Est-il mort crucifié ? Son retour est-il une certitude ?
I- JESUS CHRIST, SA VIE ET SA MORT
Tout comme Adam (qui est né sans père ni mère), la naissance de Jésus demeure jusqu’à nos jours un événement mystérieux : sa mère Marie prit une grossesse sans pourtant être jamais « approchée » par un homme. Enfant au berceau, il parlera aux gens et leur révélera sa mission : il est le messager de Dieu aux fils d’Israël ; et dès l’âge adulte, il entreprend sa mission dans de pénibles conditions. Dieu dit à Jésus (et c’est le Saint Coran qui nous le révèle) : « Je vais mettre fin à ta vie terrestre, t’élever vers Moi, te débarrasser de ceux qui n’ont pas cru et mettre jusqu’au jour de la résurrection, ceux qui te suivent au-dessus de ceux qui ne croient pas. » Mais en définitive, qui a cru et a suivi le Christ, fils de Marie ? Ce ne sont pas les chrétiens. C’est plutôt les apôtresde son temps et les musulmans qui ont réellement suivi Jésus. Les chrétiens l’ont, non seulement divinisé mais également, ont répandu l’idée de sa crucifixion. Or de nombreux passages du Coran montrent que Jésus n’a pas été crucifié. D’autre part, les juifs ont refusé le message de Jésus et l’ont traité de bâtard et qualifié sa mère de prostituée. Malgré l’innocence de Marie, prouvée par la parole de Jésus au berceau et confirmée plus tard par les faits, ils ont maintenu à jamais l’accusation contre l’enfant et sa mère. Judas est le nom de celui qui a trahi Jésus, qui l’a « vendu » au gouverneur Ponce Pilate. Dès que Judas eut dévoilé le lieu où se trouvait Jésus, alors les soldats, les policiers allèrent encercler la cour où il s’était réfugié ; c’était au cours de la nuit, il faisait donc sombre. C’est juste à ce moment que se produit un miracle : Des Anges sauvèrent Jésus par une ouverture du toit et l’emmenèrent au ciel ; et Dieu jeta la ressemblance de Jésus sur un de ses apôtresdu nom de Serges. On captura donc Serges, croyant que c’est le Messie. Certains disent que c’est Judas qui fut capturé et crucifié. (Allah sait mieux). Curieusement, le doute envahit les soldats et le gouverneur au sujet de l’identité du personnage arrêté. C’est alors que le gouverneur déclara personnellement : « je ne suis pas responsable de la mort de cet innocent. Je décline toute responsabilité et je m’en lave les mains ». Mais les juifs dans leur folie et leur fureur protestent et soutiennent fermement qu’il s’agissait de Jésus. Ils complotèrent si bien que la victime fut clouée, crucifiée sur une planche. Les juifs pensaient donc que la mission était accomplie, que Jésus est mort. Ils se frottaient alors les mains. Les ignorants et les naïfs crurent aveuglément à la mort du Messie. Toutefois, des gens bien avertis, des curieux voulurent lever le doute, l’équivoque sur l’identité de la victime. C’est ainsi que les juifs, pour barrer la route à cette curiosité et pour effacer toutes formes de traces ou d’indices, déplacèrent le corps du crucifié et l’emmenèrent ailleurs vers un lieu tenu caché. Puis, Ils firent croire aux curieux et aux visiteurs telles Marie de Magdala, Salomé, Marie, « mère de Jacques » que Jésus était ressuscité des morts : « Elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur ; la pierre était roulée et le sépulcre vide. » Matthieu 28.1-7, Luc 24.1-7, Jean 20.1-10, Marc 16.1-8
Cependant, comme nous l’avons déjà souligné, non seulement Jésus n’est pas le fils de Dieu mais aussi, il n’a pas été tué, car Dieu l’a élevé au ciel et son retour se fera certainement. A ce sujet, Dieu dit : « Ils ne l’ont pas tué ; ils ne l’ont pas crucifié, cela leur est seulement apparu ainsi... Mais Allah l’a élevé vers Lui » Coran : S 4 V 158.
Dans le premier cas, « Jésus fils de Dieu » selon les chrétiens, eh bien le Coran nous révèle cet événement futur, certes, mais combien surprenant : au jour du jugement dernier, Dieu fera venir Jésus devant les chrétiens et devant tout le monde. Il lui demandera : « As-tu vraiment dit aux hommes de t’adorer, toi et ta mère comme des divinités, plutôt que Moi ? » Alors Jésus s’écriera : Gloire et Pureté à Toi Seigneur ! Je ne leur ai point dit cela ! Je ne leur ai dit que ce que tu m’as ordonné de dire, à savoir : Adorez Allah mon Seigneur et votre Seigneur. Quand j’étais parmi eux, j’étais moi-même témoin, mais lorsque tu m’as appelé à Toi, tu étais donc témoin de ce qu’ils disaient après moi. Mon Dieu, les voilà à présent devant Toi ; « si tu les châties, ils sont tes serviteurs ; et si tu leur pardonnes, tu es le Puissant, le Sage ! » S.5 V 118 Jésus à travers ces dernières paroles demande subtilement pardon pour les chrétiens ; c’est-à-dire qu’il veut par là demander à Dieu d’être Indulgent envers eux. Jésus termine son plaidoyer par cette formule hypothétique : « ...et si tu leur pardonnes... ». Mais compte tenu de la gravité de la faute, Jésus ne dit pas : Tu es « le Pardonneur, le Miséricordieux. » II dit : « et si Tu leur pardonnes, c’est Toi le Puissant, le Sage. » Jésus est conscient du fait qu’il ne s’agit pas d’une faute d’ignorance dont le pardon pourrait être obtenu plus facilement. Ce sont plutôt des fautes de folie et de faiblesse humaines pour lesquelles Jésus fait appel à la Puissance et à la Sagesse divines. Il insinue que la Puissance et la Sagesse du Créateur peuvent servir d’antidote en quelque sorte ou de contrepoids à la folie et à la faiblesse des créatures. Ce grand événement aura donc lieu au jour du jugement dernier devant tout le monde. Les chrétiens seront interrogés sur ces questions de divinisation et de crucifixion de Jésus et ils devront y répondre. Si la divinisation de Jésus et de sa mère n’est pas à reprocher à tous les chrétiens, il en va autrement, en revanche, de la crucifixion qui constitue un dogme bien établi. En effet, Tous les chrétiens croient que Jésus a été crucifié. Il est vrai que l’erreur est humaine et que tout le monde peut se tromper, mais l’erreur n’est plus permise dès lors que Dieu a rétabli la vérité dans une révélation postérieure (le Coran). Depuis ce temps-là, il n’y a plus aucune excuse et on ne peut Lui opposer aucun argument. Cela est d’autant plus déplorable que de nos jours, des faits et des événements contredisent l’idée de la crucifixion du Messie. A ce sujet, interrogeons la science :
II - LE SQUELETTE ET L’IDENTITE DU CRUCIFIE :
Tout récemment, en 1995, lors des fouilles archéologiques sous la grande mosquée de Jérusalem, on découvrit une caisse (coffre) en pierre contenant le squelette d’un homme crucifié au front et aux membres : des inscriptions sur son identité (nom, prénom, lieu et date de crucifixion) étaient gravées sur la paroi du coffre. Voilà, le mystère venait ainsi d’éclater au grand jour. Mais comme il fallait s’y attendre, les juifs s’acharnent à la destruction et au refus de cette découverte. Ils cherchent, ce faisant, à étouffer ce secret pour empêcher la vérité de surgir. Mais peut-on empêcher la vérité de surgir ? Peut-on aller à contre-courant des décrets du Seigneur ? Bien entendu, la réponse est : Non ! En tout cas, Dieu nous affirme dans le Saint Coran : « Nous leur montrerons nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’ils comprennent et qu’il leur soit évident que le Coran est la vérité même. » Coran : S 41 V 53. Cette découverte a fait l’objet d’une émission à la télévision française, au cours de laquelle, il a été bel et bien démontré que le crucifié était celui qu’on a pris faussement pour Jésus. Parmi les invités au débat télévisé, un seul s’est opposé pour dire que « la crucifixion de Jésus est une parole d’Evangile qu’on ne doit pas démentir. » Mais il n’a pas donné d’explication sur la découverte qui contredit ses allégations. Compte tenu de l’importance de cet événement, il est du devoir des intellectuels chrétiens et musulmans et en particulier les écrivains, les enseignants, les chercheurs et les journalistes, de s’y intéresser sérieusement et d’agir afin de donner une large diffusion à cette découverte et d’empêcher toute tentative de désinformation. Mais pourquoi au juste, ces fouilles en dessous de la mosquée de Jérusalem ? Pourquoi cette curieuse ferveur des Juifs ?
III - DES SIGNES ANNONCIATEURS :
Les fouilles entreprises sous la mosquée n’ont qu’un seul objectif : Détruire les fondements de l’édifice, et construire sur ses ruines le temple de Salomon. C’est véritablement un projet purement sioniste. Ils préparent ainsi le terrain à l’avènement de l’Antéchrist (l’imposteur). Cela est inquiétant surtout que nous sommes en train de vivre les signes mêmes de la fin des temps :
Dieu a dit que les chrétiens connaîtront le statut réel de Jésus avant la fin du monde.
Son retour sera un signe de l’apocalypse et coïncidera avec beaucoup de signes.
De nos jours, nous assistons à l’émergence d’une multitude de sectes manipulées par Satan et oeuvrant dans la perspective de l’Antéchrist, le messie attendu des Juifs. De nombreuses sectes s’emploient actuellement à préparer la venue de ce personnage, qui aura lieu peu de temps avant le retour du Christ. Il existe de nombreuses prophéties sur cet événement. D’après un hadith (dire) du prophète Mohammed (psl) : Jésus viendra tuer l’Antéchrist, le porc, briser la croix, abolir le tribut (une somme que les sociétés non converties à l’Islam versent comme impôt équivalent à l’aumône légale payée par les musulmans). Jésus détruira toutes formes de religions et de sectes, excepté l’Islam, c’est-à-dire la soumission à Dieu. Il y aura à ce moment-là de l’argent en abondance mais sans valeur ; « une seule prosternation équivaudra à toute la richesse de ce monde réunie » ; mais que pensent les incrédules et leurs suppôts au sujet de ces signes ? Dieu le Très-Haut nous répond : Les incrédules ne croient jamais à nos signes quand bien même nous leur ouvrirons les portes du ciel pour qu’ils y pénètrent ; ils diront plutôt : qu’est-ce qui se passe ? « Sommes-nous sous l’effet d’un enchantement ou nos esprits se sont-ils obscurcis, ou est-ce une hallucination ? » S15.V15 C’est dans ce sens que doit s’entendre le mot sauveur attribué à Jésus. Il va sans doute sauver des multitudes d’hommes et de femmes, mais sous la bannière de l’Islam, parce que lui-même reviendra en qualité de musulman.
On a découvert, il y a quelques années, le squelette d’un crucifié datant de l’époque de Jésus. Les inscriptions gravées sur la paroi du coffre indiquent que le corps du crucifié n’était pas celui de Jésus. Cette découverte, dont plusieurs magazines et journaux se sont fait l’écho, a inspiré la réalisation d’un film par Antonio Banderas et Olivia Williams, titré "The Body". Il semble que la découverte, dont on n’a commencé à parler qu’en 1985, remonte à 1968. L’auteur de la découverte est un archéologue grec Vasilius Tzaferis. Le squelette est celui d’un homme qui s’appelait Yehohanân fils de Shaggol. M.Tzaferis a écrit un article dans le numéro janvier/février 1985 de la revue "Biblical Archéologie Review" (BAR) où il fait un commentaire sur la crucifixion à l’époque de Jésus. Pour de plus amples informations, consulter ce site :http://cristou06.free.fr/commentaires4
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Ecrit le 08 févr.07, 05:43
Est-ce que l'histoire a déjà dit que seul Jésus Christ a été crucifié du temps des romains? est-ce que la crucifixion de Jésus est la première et l'unique à cette époque?!
Eh bien NON ?!
Les romains crucifiaient, comme aujourd'hui on pend ou on met sur la chaise électrique....c'était classique comme sanction....destinée aux criminels.....
S'ils arrivent à prouver qu'une seule et unique personne a été crucifiée à l'époque des romains et du vivant de J.C, et qu'on a retrouvé le corps , on s'interrogera sur notre foi!!!!
Aujourd'hui, ce n'est pas le cas.
Alors du calme et de la sagesse en se taisant!!
Eh bien NON ?!
Les romains crucifiaient, comme aujourd'hui on pend ou on met sur la chaise électrique....c'était classique comme sanction....destinée aux criminels.....
S'ils arrivent à prouver qu'une seule et unique personne a été crucifiée à l'époque des romains et du vivant de J.C, et qu'on a retrouvé le corps , on s'interrogera sur notre foi!!!!
Aujourd'hui, ce n'est pas le cas.
Alors du calme et de la sagesse en se taisant!!
- mickael__keul
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Ecrit le 08 févr.07, 05:48
de plus - considérant la première phrase "au nom etc.;" on peut douter du site en question, ensuite le christ a été crucifié sur le golgotha ou étaient exécutés tous les condamnés a mort !!F_Five a écrit :Enfaite, Jésus est pas le seul homme à avoir été crucifié à l'époque..................................................................................
C'est pour le concour du post le plus stupide? Ou t'es vraiment serieux? J'espere pour toi que c'était une blague.
Ecrit le 08 févr.07, 06:04
http://membres.lycos.fr/forumbismillah/SPIP/
Reponse du maître à la lettre 1
Mise en ligne le dimanche 9 mai 2004.
Le 2 février 1997
Cher père ,
J’ai bien reçu votre lettre et vous en remercie. J’ai voulu vous écrire plus tôt mais j’ai été empêché par une panne d’ordinateur. Veuillez m’excuser ce petit retard. En ce qui concerne le titre de Maître, j’avoue que je ne m’en réjouis pas beaucoup car de tels titres sont loin d’être des critères de piété. En tout cas, je considère que ce titre n’est pas lié à mon humble personne mais à la profession d’avocat .
Pour ce qui est de la crucifixion de Jésus, le Coran contient plusieurs passages sur cet événement. Il est normal que vous y voyez un seul passage si vous vous en tenez au seul mot ‘‘crucifixion’’ ; ce terme ne figure que dans un seul verset, c’est vrai, le verset N° 157 de la Sourate 4.
Par contre l’événement concernant la fin et l’élévation de Jésus, les machinations des Juifs, figurent dans de nombreux versets ou passages du Coran, notamment : S 3 V 53-54 ; S 4 V 157-159. C’est ce que j’entendais dire dans l’exposé, je faisais allusion à toutes les tragédies vécues par Jésus Christ. Mais selon vous, est-ce qu’il faut plus d’un verset pour se convaincre de la non-crucifixion de Jésus ?
Quant à la deuxième question sur la découverte du corps du crucifié, ayant fait l’exposé oralement, je n’ai pas dit des squelettes, j’ai dit le squelette d’un crucifié, mais un étudiant a pris des notes et distribué des copies à mon insu.
Il s’agit peut-être d’une faute d’inattention, comme il peut s’agir d’une faute de frappe. Dans mon exposé complet : « Islam et Christianisme » , il est bien précisé qu’il s’agit d’un squelette et non des squelettes d’un homme crucifié. Le coffre porte des inscriptions sur l’identité du crucifié et la date de la crucifixion. Cela a été annoncé et débattu dans l’émission : "Droit de savoir" en janvier 1995.
J’ai pris soin de mettre entre parenthèses la mention : nom et prénoms. Dans l’émission, il a été précisé qu’il y avait dans la paroi du coffre des indications sur l’identité du crucifié. Or, vous pouvez vous en moquer ou ajouter tout ce que vous voudriez, une chose est sûre, c’est qu’il s’agit bel et bien d’une découverte et non d’une "fantaisie". Le corps qui a été découvert n’est pas celui de Jésus, mais le corps d’un autre homme, ce qui contredit justement les allégations des Juifs sur la crucifixion de Jésus et explique, par conséquent, leur acharnement à étouffer la découverte.
Le verset N° 157 de la sourate 4 qui dit :"Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié ; mais ce n’était qu’un faux-semblant" comporte une affirmation claire et sans équivoque. Selon ce verset du Coran, Jésus Christ (paix et salut sur lui) n’a pas été tué et il n’a pas été crucifié non plus. On a arrêté, tué et crucifié une autre personne ressemblant à Jésus. Cette personne était d’accord pour prendre la ressemblance de Jésus et se sacrifier pour lui. Dans la compréhension et l’interprétation de ce verset, il n’y a aucune divergence entre les savants musulmans. En revanche, la divergence concerne le mot "Moutawaffiqa" cité dans le verset 55 de la Sourate 3. L’opinion majoritaire est celle qui explique ce terme par : "mettre fin à ton existence" soit par la mort, soit par l’endormissement ou par tout autre moyen de perte de connaissance. En tout état de cause, cela n’enlève rien à la réalité que Jésus n’a été ni arrêté, ni tué, ni crucifié.
Dieu l’a élevé vers lui avant qu’il ne subisse quoi que ce soit. Il n’y a pas de doute que la parole de Dieu est plus véridique et plus crédible que celle des hommes. Nous sommes en face de deux informations contradictoires : Celle de Dieu qui dit : "Jésus n’a pas été tué et il n’a pas été crucifié." et celle des hommes qui disent : "Jésus a été tué et crucifié".
Cette dernière n’a pas été transmise par Jésus, censé être mort et crucifié, auquel cas, nous aurions cru qu’il s’agit d’une parole divine prononcée par Jésus. L’événement de la prétendue mort comme celui de la crucifixion de Jésus a été rapporté par des hommes non habilités à recevoir la révélation divine ; Jésus lui-même n’ayant pas prédit cet événement de son vivant, et après son élévation auprès de Dieu, la révélation a cessé et ce fut la fin du message de l’Evangile. Or, qui a donc rapporté les épisodes de la mort et de la crucifixion ? Vous conviendrez que c’était des hommes. Alors Dieu nous dit la vérité sur cet événement ; qui faut-il croire ? Dieu ou les hommes ?
Reponse du maître à la lettre 1
Mise en ligne le dimanche 9 mai 2004.
Le 2 février 1997
Cher père ,
J’ai bien reçu votre lettre et vous en remercie. J’ai voulu vous écrire plus tôt mais j’ai été empêché par une panne d’ordinateur. Veuillez m’excuser ce petit retard. En ce qui concerne le titre de Maître, j’avoue que je ne m’en réjouis pas beaucoup car de tels titres sont loin d’être des critères de piété. En tout cas, je considère que ce titre n’est pas lié à mon humble personne mais à la profession d’avocat .
Pour ce qui est de la crucifixion de Jésus, le Coran contient plusieurs passages sur cet événement. Il est normal que vous y voyez un seul passage si vous vous en tenez au seul mot ‘‘crucifixion’’ ; ce terme ne figure que dans un seul verset, c’est vrai, le verset N° 157 de la Sourate 4.
Par contre l’événement concernant la fin et l’élévation de Jésus, les machinations des Juifs, figurent dans de nombreux versets ou passages du Coran, notamment : S 3 V 53-54 ; S 4 V 157-159. C’est ce que j’entendais dire dans l’exposé, je faisais allusion à toutes les tragédies vécues par Jésus Christ. Mais selon vous, est-ce qu’il faut plus d’un verset pour se convaincre de la non-crucifixion de Jésus ?
Quant à la deuxième question sur la découverte du corps du crucifié, ayant fait l’exposé oralement, je n’ai pas dit des squelettes, j’ai dit le squelette d’un crucifié, mais un étudiant a pris des notes et distribué des copies à mon insu.
Il s’agit peut-être d’une faute d’inattention, comme il peut s’agir d’une faute de frappe. Dans mon exposé complet : « Islam et Christianisme » , il est bien précisé qu’il s’agit d’un squelette et non des squelettes d’un homme crucifié. Le coffre porte des inscriptions sur l’identité du crucifié et la date de la crucifixion. Cela a été annoncé et débattu dans l’émission : "Droit de savoir" en janvier 1995.
J’ai pris soin de mettre entre parenthèses la mention : nom et prénoms. Dans l’émission, il a été précisé qu’il y avait dans la paroi du coffre des indications sur l’identité du crucifié. Or, vous pouvez vous en moquer ou ajouter tout ce que vous voudriez, une chose est sûre, c’est qu’il s’agit bel et bien d’une découverte et non d’une "fantaisie". Le corps qui a été découvert n’est pas celui de Jésus, mais le corps d’un autre homme, ce qui contredit justement les allégations des Juifs sur la crucifixion de Jésus et explique, par conséquent, leur acharnement à étouffer la découverte.
Le verset N° 157 de la sourate 4 qui dit :"Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié ; mais ce n’était qu’un faux-semblant" comporte une affirmation claire et sans équivoque. Selon ce verset du Coran, Jésus Christ (paix et salut sur lui) n’a pas été tué et il n’a pas été crucifié non plus. On a arrêté, tué et crucifié une autre personne ressemblant à Jésus. Cette personne était d’accord pour prendre la ressemblance de Jésus et se sacrifier pour lui. Dans la compréhension et l’interprétation de ce verset, il n’y a aucune divergence entre les savants musulmans. En revanche, la divergence concerne le mot "Moutawaffiqa" cité dans le verset 55 de la Sourate 3. L’opinion majoritaire est celle qui explique ce terme par : "mettre fin à ton existence" soit par la mort, soit par l’endormissement ou par tout autre moyen de perte de connaissance. En tout état de cause, cela n’enlève rien à la réalité que Jésus n’a été ni arrêté, ni tué, ni crucifié.
Dieu l’a élevé vers lui avant qu’il ne subisse quoi que ce soit. Il n’y a pas de doute que la parole de Dieu est plus véridique et plus crédible que celle des hommes. Nous sommes en face de deux informations contradictoires : Celle de Dieu qui dit : "Jésus n’a pas été tué et il n’a pas été crucifié." et celle des hommes qui disent : "Jésus a été tué et crucifié".
Cette dernière n’a pas été transmise par Jésus, censé être mort et crucifié, auquel cas, nous aurions cru qu’il s’agit d’une parole divine prononcée par Jésus. L’événement de la prétendue mort comme celui de la crucifixion de Jésus a été rapporté par des hommes non habilités à recevoir la révélation divine ; Jésus lui-même n’ayant pas prédit cet événement de son vivant, et après son élévation auprès de Dieu, la révélation a cessé et ce fut la fin du message de l’Evangile. Or, qui a donc rapporté les épisodes de la mort et de la crucifixion ? Vous conviendrez que c’était des hommes. Alors Dieu nous dit la vérité sur cet événement ; qui faut-il croire ? Dieu ou les hommes ?
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Ecrit le 08 févr.07, 11:20
Sachant que les musulmans sont des antichrists, tout ça n'a pas grand intérêt.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Ecrit le 08 févr.07, 22:51
http://membres.lycos.fr/forumbismillah/SPIP/ :
Vous soutenez que « la mort du Messie a été prédite à de nombreuses reprises, en particulier, de façon très précise, par David (Psaume 22), par Esaïe (chapitre 53), et bien sûr par Jésus lui-même (Marc 8.31,9.31, 10.33...). J’ajoute pour compléter la liste : Matthieu 20.18,19 ; Luc 18.32,33 ; 24.7.
II - Non-crucifixion et délivrance de Jésus :
Aucun Prophète, et encore moins Jésus, n’avait prédit la crucifixion. Ce qui a été prédit, en revanche, c’est la conspiration et la délivrance. C’est ce qui ressort des invocations de détresse élevées par Jésus dans le psaume 22 que vous citez et dans d’autres endroits et tout indique que Dieu l’a exaucé et délivré. Une délivrance qui serait, selon vous, intervenue après la crucifixion et la mort n’est pas une délivrance. On peut appeler délivrance celle qui fait échapper la victime au supplice et qui empêche l’ennemi d’atteindre son objectif. « Qu’ils ne disent pas dans leur coeur : Ah ! Voilà ce que nous voulions » Psaume 35.25. Les prédictions de la prétendue crucifixion font partie des interpolations ultérieures tendant à corroborer certaines idées, à mettre en harmonie certains passages de la Bible avec les deux points fondamentaux du dogme de la chrétienté : la crucifixion et la résurrection, sans lesquelles elle perdrait sa raison d’être. 1Corinthiens 15.13-19. C’est ce que j’appelle un sacré montage doctrinal. Ce sont ces mensonges qui ont fait du tort à Jésus et dont il s’est plaint en disant à Paul (Actes 22.7,8) : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? »
Pour ma part, je n’accorde aucun crédit à des assertions en pleine contradiction non seulement avec le Coran mais avec certains passages de la Bible elle-même. La vérité est qu’on a comploté contre Jésus et Allah a déjoué leur complot. Il l’a sauvé. Je tiens à vous rappeler quelques passages de la Bible concernant la conspiration et la délivrance :
« Les rois de la terre s’insurgent, et les grands conspirent entre eux, contre Le Seigneur et contre son Messie : Brisons leurs liens, rejetons leurs entraves. » Psaume 2.2-3
« Ils se sont mis d’accord contre moi, ils conspirent pour m’ôter la vie. » Psaume 31.14
« Tu me feras sortir du filet qu’ils m’ont tendu ; car Tu es mon Protecteur. » Psaume 31.5
« Tu me délivreras, Eternel, Dieu de vérité ! » Psaume 31.6
« et Tu ne me livreras pas aux mains de l’ennemi, Tu mettras mes pieds au large. » 31.9
« Puisqu’il s’attache à moi, je le libère, Je le protégerai car il connaît mon nom. S’il m’appelle, je lui répondrai, Je serai avec lui dans la détresse ; Je le délivrerai et le glorifierai ; Je le comblerai de longs jours et je lui manifesterai mon salut ». Psaume 91.14-16
« Seigneur, j’ai fait appel à toi ; j’ai supplié le Seigneur : Que gagnes-tu à mon sang et à ma descente dans la fosse ? La poussière peut-elle te rendre grâce ? Proclame-t-elle ta fidélité ? Ecoute, Seigneur ! Par pitié ? Seigneur, sois mon aide ! » Psaume 30.9-11
« Au jour du malheur, le SEIGNEUR le délivre, le SEIGNEUR le garde vivant et heureux sur la terre. Ne le livre pas à la voracité de ses ennemis. » Psaume 41.2,3
« Le SEIGNEUR a brisé le plan des nations, Il a anéanti les desseins des peuples. Le plan du SEIGNEUR subsiste toujours. » Psaume 33.10,11
« Mes ennemis, qui battent en retraite, trébuchent et périssent devant toi, car tu as défendu mon droit et ma cause ; tu t’es assis sur ton Trône. Tu as menacé des nations, fait périr l’infidèle. » Psaume 9.4-6
« Dieu, je suis tenu par mes voeux : j’accomplis pour toi les sacrifices de louange. Car tu m’as délivré de la mort. » Psaume 56.10-14
« Maintenant je le sais : le SEIGNEUR donne la victoire à son messie : Il lui répond de son sanctuaire céleste, par les prouesses victorieuses de sa droite... Eux, ils plient, ils tombent, et nous, debout, nous résistons » 20.7-9
« Ils ont projeté du mal contre toi, ils ont conçu de mauvais desseins, mais ils seront impuissants. » Psaume 21.9-12
« Quand j’étais assiégé, j’ai appelé le SEIGNEUR ; LE SEIGNEUR m’a répondu en me mettant au large. Le SEIGNEUR est pour moi, il me vient en renfort, et je toise mes ennemis... Non, je ne mourrai pas, je vivrai pour raconter les oeuvres du SEIGNEUR...C’est lui qui m’a sauvé...il ne m’a pas livré à la mort. Je te loue parce que tu m’as exaucé, parce que tu m’as sauvé. » Psaume 118.5-21
« Il chargera ses anges de te garder en tous tes chemins. Ils te porteront dans leurs bras.... Puisqu’il s’attache à moi, je le libère. » Psaume 91.11-14
« Je fais appel à Dieu, le Très haut, au Dieu qui fera tout pour moi, Que des cieux, il m’envoie le salut ! » Psaume 57.3,4
« Car il me dissimule dans son abri au jour du malheur ; il me cache au secret de sa tente, il m’élève sur un roche. » Psaume 27.5
« Tu ne m’as pas livré aux mains d’un ennemi, tu m’as remis sur pied, tu m’as donné du large... Béni soit le SEIGNEUR, car sa fidélité a fait pour moi un miracle dans une ville retranchée. Et moi, désemparé, je disais : ‘je suis exclu de ta vue’. Mais tu as entendu ma voix suppliante quand j’ai crié vers toi. » Psaume 31.9, 22-23.
« C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété... » Hébreux 5.7
Ces prophéties sont en parfaite concordance avec la réalité et avec les énoncés du Coran. Jésus invoque Dieu et Dieu répond à son appel ; Il fit échouer le plan des comploteurs et mit sa vie hors de tout danger.
Maintenant, je vous demande de bien vouloir méditer les observations suivantes :
1° « Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi- En parlant ainsi, il indiquait de quelle mort il devait mourir. La foule lui répondit : Nous avons appris par la Loi que le Christ demeure éternellement ; comment donc dis-tu : il faut que le fils de l’homme soit élevé ? Qui est ce fils de l’homme ? » Jean 12.32-34
Il est bien évident que Jésus leur a annoncé l’approche de son élévation, mais la foule n’a pas compris ; elle n’a pas pu imaginer le déroulement de cet événement sans passer par la mort, d’où leur étonnement : Comment se fait-il que le fils de l’homme soit élevé, alors que nous avons appris par la loi que le Christ demeure éternellement ? Cela prouve également que le passage « il indiquait de quelle mort il devait mourir » relève d’une addition ou d’une incompréhension de la parole de Jésus, parce que cela ne cadre pas avec le texte.
Jésus leur parlait de son élévation ; eux, lui parlaient de la mort, alors qu’il n’était pas question de mort et c’est pourquoi la prétendue façon de mourir n’est pas précisée.
2° « Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le fils de l’homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le père m’a enseigné. Celui qui m’a envoyé est avec moi ; le père ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » Jean 8.28 ;29
Au cours de mes recherches dont les résultats se trouvent au Centre Abaad à Paris, j’ai eu l’occasion de compulser des textes d’Evangile où le verset ci-dessus est formulé ainsi qu’il suit : « Quand vous aurez vu élevé le fils de l’homme... » On voit bien que l’absence du mot Vu, omis ou sciemment supprimé, a sensiblement modifié le sens de la phrase ; Elle devient quasiment incompréhensible. Voire un non-sens. Que signifie en fait : « Quand vous aurez élevé le fils de l’homme ? ? »
Si on analyse la phrase dans sa formulation exacte, on comprendra que Jésus allait être élevé au vu et en présence des apôtres. Jésus voulait annoncer à ses disciples, même s’il semblait s’adresser aux pharisiens, l’imminence de son élévation au ciel. Il leur a bien dit que Dieu ne l’a pas laissé seul et qu’Il allait l’élever vers Lui et que les Apôtresallaient voir, donc assister à ce miracle.
Il est certain que ce n’était pas la seule fois que Jésus leur annonce qu’ils allaient le voir monter au ciel. Sans aucun doute, il voulait les prévenir et les préparer à un événement qui allait se produire en leur présence :
« Et si vous voyez le fils de l’homme monter où il était auparavant. » Jean 6.62
Il est incontestable que certains disciples l’ont vu monter au ciel. Naturellement, ceux qui dormaient comme Thomas (Didyme) n’ont rien vu. A ce sujet, je vous renvoie à mon exposé : Islam et Christianisme.
3° Jésus Christ se présenta sain et sauf à Marie de Magdala. A première vue, elle pensait que c’était le jardinier ; il était donc déguisé puisqu’elle n’a pu le reconnaître qu’à sa voix. S’il était déguisé c’est qu’il avait peur des juifs, et sa crainte s’explique par le fait qu’il n’était pas mort. Car s’il était mort et ressuscité, il n’aurait pas eu peur, sachant d’une part qu’on ne meurt qu’une seule fois et d’autre part -Et Jésus lui-même l’a dit-, les corps ressuscités seront des esprits. Ensuite, Jésus dit à Marie de Magdala : « Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon père... ». Jean 20.14-17
Cela signifie qu’il n’avait pas subi la mort.
4° Quand Jésus entra dans le cénacle où se trouvaient les disciples, les portes étant fermées à cause de la crainte qu’ils avaient des juifs. Pourquoi cette crainte ? Parce qu’ils savaient que les juifs étaient toujours à la recherche de Jésus et que les disciples étaient accusés de l’avoir caché. Les juifs continuaient à le rechercher parce qu’ils savaient qu’ils avaient crucifié une autre personne et non Jésus. Si Jésus était mort, et même ressuscité, il n’y aurait ni poursuite contre lui ni crainte de qui que ce soit. Après que Jésus s’est présenté au milieu d’eux et leur dit : « La Paix soit avec vous ! Et quand il leur dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur. » Jean 20.19,20.
Ils furent dans la joie du fait qu’ils savaient n’avoir affaire ni à un esprit ni à un revenant, mais à Jésus qui a été sauvé et élevé en leur présence.
Pour ceux d’entre eux qui étaient dans la confusion, n’ayant pas assisté à son élévation, « il leur montra ses mains et son côté » Jean 20.20
Pourquoi leur montra-t-il ses mains si ce n’est pour leur prouver qu’il n’a pas été crucifié. S’il était mort et ressuscité, il n’avait pas à leur montrer ses mains, puisque les traces de la crucifixion sont censées disparaître après la résurrection. Il ne pouvait pas être ressuscité avec des mains et des pieds perforés, c’est inconcevable.
Le fait d’avoir tenu à leur montrer ses mains, c’est pour contrer la rumeur de la crucifixion qui fut largement répandue à cette occasion.
Thomas qui était convaincu que Jésus a été crucifié, persistait dans l’incrédulité affirmant :
« si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point. » Jean 20.25
Huit jours après, Jésus se présenta une deuxième fois à ses disciples quand Thomas se trouvait avec eux. Il s’adressa directement à Thomas, lui disant : Toi qui ne veux pas croire, avance ici ton doigt et regarde mes mains ; « avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois... » Jean 20.27 Jésus disait à Thomas : viens, regarde mes mains, touche. Cela sous-entend et implique qu’il n’a pas subi la mort, qu’il n’a pas été crucifié, qu’il n’y avait aucune trace dans son corps. C’est bien cela que Jésus voulait démontrer et expliquer à Thomas.
J’attire votre attention sur le fait que cette formule « Je n’étais pas mort, je n’ai pas été crucifié » a été réellement prononcée par Jésus lors de ses nombreuses apparitions aux disciples, mais elle a mystérieusement disparu des Evangiles canoniques.
Le fait que Jésus ait mangé avec eux est une autre manière de démontrer aux sceptiques qu’il n’avait rien subi d’extraordinaire, ni crucifixion ni résurrection, qu’il était le même Jésus qui mangeait et qui buvait. Revenons au thème central de notre débat : la découverte du crucifié !
Vous dites qu’il y a eu « des multitudes de crucifixions des siècles durant, le Coran les fait remonter même jusqu’à l’époque de Moïse. »
Il est vrai que ce châtiment a sévi pendant des siècles. Il est vrai aussi que les grecs, les romains et avant eux les Pharaons d’Egypte ont inventé ce type d’exécution pour terroriser les esclaves.
Cependant, il ne faut pas confondre une exécution à Rome, à Athènes ou au Caire et une exécution au Mont Golgotha près de Jérusalem.
Aussi, les romains avaient coutume de nourrir les fauves avec les dépouilles des suppliciés. Or, s’agissant d’un personnage censé être Jésus, on ne pouvait lui faire subir le même sort.
Effectivement, il y a des auteurs musulmans qui pensent que le sosie de Jésus serait Judas le traître, crucifié malgré lui. Cela ne change rien au problème ; que le sosie crucifié soit Serges ou Judas ou un autre, l’important est que Jésus n’a pas été crucifié. On a arrêté, tué et crucifié un autre à sa place, qu’on a confondu avec Jésus. Ce n’est pas une simple opinion, c’est la vérité même.
Quant à la découverte du crucifié, il s’agit bel et bien de la personne que l’on croyait être Jésus. J’ai engagé des recherches dans ce sens et je ne manquerai pas de vous tenir informé des résultats.
Vous soutenez que « la mort du Messie a été prédite à de nombreuses reprises, en particulier, de façon très précise, par David (Psaume 22), par Esaïe (chapitre 53), et bien sûr par Jésus lui-même (Marc 8.31,9.31, 10.33...). J’ajoute pour compléter la liste : Matthieu 20.18,19 ; Luc 18.32,33 ; 24.7.
II - Non-crucifixion et délivrance de Jésus :
Aucun Prophète, et encore moins Jésus, n’avait prédit la crucifixion. Ce qui a été prédit, en revanche, c’est la conspiration et la délivrance. C’est ce qui ressort des invocations de détresse élevées par Jésus dans le psaume 22 que vous citez et dans d’autres endroits et tout indique que Dieu l’a exaucé et délivré. Une délivrance qui serait, selon vous, intervenue après la crucifixion et la mort n’est pas une délivrance. On peut appeler délivrance celle qui fait échapper la victime au supplice et qui empêche l’ennemi d’atteindre son objectif. « Qu’ils ne disent pas dans leur coeur : Ah ! Voilà ce que nous voulions » Psaume 35.25. Les prédictions de la prétendue crucifixion font partie des interpolations ultérieures tendant à corroborer certaines idées, à mettre en harmonie certains passages de la Bible avec les deux points fondamentaux du dogme de la chrétienté : la crucifixion et la résurrection, sans lesquelles elle perdrait sa raison d’être. 1Corinthiens 15.13-19. C’est ce que j’appelle un sacré montage doctrinal. Ce sont ces mensonges qui ont fait du tort à Jésus et dont il s’est plaint en disant à Paul (Actes 22.7,8) : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? »
Pour ma part, je n’accorde aucun crédit à des assertions en pleine contradiction non seulement avec le Coran mais avec certains passages de la Bible elle-même. La vérité est qu’on a comploté contre Jésus et Allah a déjoué leur complot. Il l’a sauvé. Je tiens à vous rappeler quelques passages de la Bible concernant la conspiration et la délivrance :
« Les rois de la terre s’insurgent, et les grands conspirent entre eux, contre Le Seigneur et contre son Messie : Brisons leurs liens, rejetons leurs entraves. » Psaume 2.2-3
« Ils se sont mis d’accord contre moi, ils conspirent pour m’ôter la vie. » Psaume 31.14
« Tu me feras sortir du filet qu’ils m’ont tendu ; car Tu es mon Protecteur. » Psaume 31.5
« Tu me délivreras, Eternel, Dieu de vérité ! » Psaume 31.6
« et Tu ne me livreras pas aux mains de l’ennemi, Tu mettras mes pieds au large. » 31.9
« Puisqu’il s’attache à moi, je le libère, Je le protégerai car il connaît mon nom. S’il m’appelle, je lui répondrai, Je serai avec lui dans la détresse ; Je le délivrerai et le glorifierai ; Je le comblerai de longs jours et je lui manifesterai mon salut ». Psaume 91.14-16
« Seigneur, j’ai fait appel à toi ; j’ai supplié le Seigneur : Que gagnes-tu à mon sang et à ma descente dans la fosse ? La poussière peut-elle te rendre grâce ? Proclame-t-elle ta fidélité ? Ecoute, Seigneur ! Par pitié ? Seigneur, sois mon aide ! » Psaume 30.9-11
« Au jour du malheur, le SEIGNEUR le délivre, le SEIGNEUR le garde vivant et heureux sur la terre. Ne le livre pas à la voracité de ses ennemis. » Psaume 41.2,3
« Le SEIGNEUR a brisé le plan des nations, Il a anéanti les desseins des peuples. Le plan du SEIGNEUR subsiste toujours. » Psaume 33.10,11
« Mes ennemis, qui battent en retraite, trébuchent et périssent devant toi, car tu as défendu mon droit et ma cause ; tu t’es assis sur ton Trône. Tu as menacé des nations, fait périr l’infidèle. » Psaume 9.4-6
« Dieu, je suis tenu par mes voeux : j’accomplis pour toi les sacrifices de louange. Car tu m’as délivré de la mort. » Psaume 56.10-14
« Maintenant je le sais : le SEIGNEUR donne la victoire à son messie : Il lui répond de son sanctuaire céleste, par les prouesses victorieuses de sa droite... Eux, ils plient, ils tombent, et nous, debout, nous résistons » 20.7-9
« Ils ont projeté du mal contre toi, ils ont conçu de mauvais desseins, mais ils seront impuissants. » Psaume 21.9-12
« Quand j’étais assiégé, j’ai appelé le SEIGNEUR ; LE SEIGNEUR m’a répondu en me mettant au large. Le SEIGNEUR est pour moi, il me vient en renfort, et je toise mes ennemis... Non, je ne mourrai pas, je vivrai pour raconter les oeuvres du SEIGNEUR...C’est lui qui m’a sauvé...il ne m’a pas livré à la mort. Je te loue parce que tu m’as exaucé, parce que tu m’as sauvé. » Psaume 118.5-21
« Il chargera ses anges de te garder en tous tes chemins. Ils te porteront dans leurs bras.... Puisqu’il s’attache à moi, je le libère. » Psaume 91.11-14
« Je fais appel à Dieu, le Très haut, au Dieu qui fera tout pour moi, Que des cieux, il m’envoie le salut ! » Psaume 57.3,4
« Car il me dissimule dans son abri au jour du malheur ; il me cache au secret de sa tente, il m’élève sur un roche. » Psaume 27.5
« Tu ne m’as pas livré aux mains d’un ennemi, tu m’as remis sur pied, tu m’as donné du large... Béni soit le SEIGNEUR, car sa fidélité a fait pour moi un miracle dans une ville retranchée. Et moi, désemparé, je disais : ‘je suis exclu de ta vue’. Mais tu as entendu ma voix suppliante quand j’ai crié vers toi. » Psaume 31.9, 22-23.
« C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété... » Hébreux 5.7
Ces prophéties sont en parfaite concordance avec la réalité et avec les énoncés du Coran. Jésus invoque Dieu et Dieu répond à son appel ; Il fit échouer le plan des comploteurs et mit sa vie hors de tout danger.
Maintenant, je vous demande de bien vouloir méditer les observations suivantes :
1° « Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi- En parlant ainsi, il indiquait de quelle mort il devait mourir. La foule lui répondit : Nous avons appris par la Loi que le Christ demeure éternellement ; comment donc dis-tu : il faut que le fils de l’homme soit élevé ? Qui est ce fils de l’homme ? » Jean 12.32-34
Il est bien évident que Jésus leur a annoncé l’approche de son élévation, mais la foule n’a pas compris ; elle n’a pas pu imaginer le déroulement de cet événement sans passer par la mort, d’où leur étonnement : Comment se fait-il que le fils de l’homme soit élevé, alors que nous avons appris par la loi que le Christ demeure éternellement ? Cela prouve également que le passage « il indiquait de quelle mort il devait mourir » relève d’une addition ou d’une incompréhension de la parole de Jésus, parce que cela ne cadre pas avec le texte.
Jésus leur parlait de son élévation ; eux, lui parlaient de la mort, alors qu’il n’était pas question de mort et c’est pourquoi la prétendue façon de mourir n’est pas précisée.
2° « Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le fils de l’homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le père m’a enseigné. Celui qui m’a envoyé est avec moi ; le père ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » Jean 8.28 ;29
Au cours de mes recherches dont les résultats se trouvent au Centre Abaad à Paris, j’ai eu l’occasion de compulser des textes d’Evangile où le verset ci-dessus est formulé ainsi qu’il suit : « Quand vous aurez vu élevé le fils de l’homme... » On voit bien que l’absence du mot Vu, omis ou sciemment supprimé, a sensiblement modifié le sens de la phrase ; Elle devient quasiment incompréhensible. Voire un non-sens. Que signifie en fait : « Quand vous aurez élevé le fils de l’homme ? ? »
Si on analyse la phrase dans sa formulation exacte, on comprendra que Jésus allait être élevé au vu et en présence des apôtres. Jésus voulait annoncer à ses disciples, même s’il semblait s’adresser aux pharisiens, l’imminence de son élévation au ciel. Il leur a bien dit que Dieu ne l’a pas laissé seul et qu’Il allait l’élever vers Lui et que les Apôtresallaient voir, donc assister à ce miracle.
Il est certain que ce n’était pas la seule fois que Jésus leur annonce qu’ils allaient le voir monter au ciel. Sans aucun doute, il voulait les prévenir et les préparer à un événement qui allait se produire en leur présence :
« Et si vous voyez le fils de l’homme monter où il était auparavant. » Jean 6.62
Il est incontestable que certains disciples l’ont vu monter au ciel. Naturellement, ceux qui dormaient comme Thomas (Didyme) n’ont rien vu. A ce sujet, je vous renvoie à mon exposé : Islam et Christianisme.
3° Jésus Christ se présenta sain et sauf à Marie de Magdala. A première vue, elle pensait que c’était le jardinier ; il était donc déguisé puisqu’elle n’a pu le reconnaître qu’à sa voix. S’il était déguisé c’est qu’il avait peur des juifs, et sa crainte s’explique par le fait qu’il n’était pas mort. Car s’il était mort et ressuscité, il n’aurait pas eu peur, sachant d’une part qu’on ne meurt qu’une seule fois et d’autre part -Et Jésus lui-même l’a dit-, les corps ressuscités seront des esprits. Ensuite, Jésus dit à Marie de Magdala : « Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon père... ». Jean 20.14-17
Cela signifie qu’il n’avait pas subi la mort.
4° Quand Jésus entra dans le cénacle où se trouvaient les disciples, les portes étant fermées à cause de la crainte qu’ils avaient des juifs. Pourquoi cette crainte ? Parce qu’ils savaient que les juifs étaient toujours à la recherche de Jésus et que les disciples étaient accusés de l’avoir caché. Les juifs continuaient à le rechercher parce qu’ils savaient qu’ils avaient crucifié une autre personne et non Jésus. Si Jésus était mort, et même ressuscité, il n’y aurait ni poursuite contre lui ni crainte de qui que ce soit. Après que Jésus s’est présenté au milieu d’eux et leur dit : « La Paix soit avec vous ! Et quand il leur dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur. » Jean 20.19,20.
Ils furent dans la joie du fait qu’ils savaient n’avoir affaire ni à un esprit ni à un revenant, mais à Jésus qui a été sauvé et élevé en leur présence.
Pour ceux d’entre eux qui étaient dans la confusion, n’ayant pas assisté à son élévation, « il leur montra ses mains et son côté » Jean 20.20
Pourquoi leur montra-t-il ses mains si ce n’est pour leur prouver qu’il n’a pas été crucifié. S’il était mort et ressuscité, il n’avait pas à leur montrer ses mains, puisque les traces de la crucifixion sont censées disparaître après la résurrection. Il ne pouvait pas être ressuscité avec des mains et des pieds perforés, c’est inconcevable.
Le fait d’avoir tenu à leur montrer ses mains, c’est pour contrer la rumeur de la crucifixion qui fut largement répandue à cette occasion.
Thomas qui était convaincu que Jésus a été crucifié, persistait dans l’incrédulité affirmant :
« si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point. » Jean 20.25
Huit jours après, Jésus se présenta une deuxième fois à ses disciples quand Thomas se trouvait avec eux. Il s’adressa directement à Thomas, lui disant : Toi qui ne veux pas croire, avance ici ton doigt et regarde mes mains ; « avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois... » Jean 20.27 Jésus disait à Thomas : viens, regarde mes mains, touche. Cela sous-entend et implique qu’il n’a pas subi la mort, qu’il n’a pas été crucifié, qu’il n’y avait aucune trace dans son corps. C’est bien cela que Jésus voulait démontrer et expliquer à Thomas.
J’attire votre attention sur le fait que cette formule « Je n’étais pas mort, je n’ai pas été crucifié » a été réellement prononcée par Jésus lors de ses nombreuses apparitions aux disciples, mais elle a mystérieusement disparu des Evangiles canoniques.
Le fait que Jésus ait mangé avec eux est une autre manière de démontrer aux sceptiques qu’il n’avait rien subi d’extraordinaire, ni crucifixion ni résurrection, qu’il était le même Jésus qui mangeait et qui buvait. Revenons au thème central de notre débat : la découverte du crucifié !
Vous dites qu’il y a eu « des multitudes de crucifixions des siècles durant, le Coran les fait remonter même jusqu’à l’époque de Moïse. »
Il est vrai que ce châtiment a sévi pendant des siècles. Il est vrai aussi que les grecs, les romains et avant eux les Pharaons d’Egypte ont inventé ce type d’exécution pour terroriser les esclaves.
Cependant, il ne faut pas confondre une exécution à Rome, à Athènes ou au Caire et une exécution au Mont Golgotha près de Jérusalem.
Aussi, les romains avaient coutume de nourrir les fauves avec les dépouilles des suppliciés. Or, s’agissant d’un personnage censé être Jésus, on ne pouvait lui faire subir le même sort.
Effectivement, il y a des auteurs musulmans qui pensent que le sosie de Jésus serait Judas le traître, crucifié malgré lui. Cela ne change rien au problème ; que le sosie crucifié soit Serges ou Judas ou un autre, l’important est que Jésus n’a pas été crucifié. On a arrêté, tué et crucifié un autre à sa place, qu’on a confondu avec Jésus. Ce n’est pas une simple opinion, c’est la vérité même.
Quant à la découverte du crucifié, il s’agit bel et bien de la personne que l’on croyait être Jésus. J’ai engagé des recherches dans ce sens et je ne manquerai pas de vous tenir informé des résultats.
- mickael__keul
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Ecrit le 09 févr.07, 00:12
Il faut arréter de ne lire que les parties de la Bible qui vous arrangent. Jésus est mort, enterré, ressuscité. Essayer de prouver le contraire par la Bible est totalement absurde et inutile.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Ecrit le 09 févr.07, 01:57
l'apôtre Jean était présent, et Jean est évangéliste. Donc selon toi, jean est un menteur. et Jean nous dit que Ste Marie était aussi présente et c'est elle qui s'est chargée de l'ensevelir...donc Jean fait d'elle aussi menteuse et faux témoin,alors le coran fait d'elle la préférée de toutes les femmes ==> contradiction
mais la folie n'a pas de limites.........
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Ecrit le 09 févr.07, 02:57
http://membres.lycos.fr/forumbismillah/SPIP/ :
Dans ce contexte, une question se pose : Après l’événement de la croix, pourquoi s’est-il manifesté seulement à ses disciples au lieu de se manifester au monde entier ? La réponse est simple : Les juifs continuaient à rechercher Jésus, sachant que ce n’était pas lui qui fut crucifié et c’est pourquoi Jésus tenait à ne pas apparaître en public. Ma profession de foi, et c’est la vérité, Si j’étais chrétien Jésus n’est pas passé par le mort, il est monté vivant au ciel. Et si j’étais chrétien aussi imprégné que vous êtes des enseignements de la Bible sur la mort et la crucifixion du Christ et tout ce qui pourrait en découler comme « bienfaits pour l’humanité » et ayant appris plus tard la révélation ou l’existence du Coran, j’aurais sans aucun doute abdiqué mes anciennes croyances et adhérer au Coran. Avant d’expliquer mon raisonnement, j’aimerais vous rassurer que je n’ai aucunement l’intention de faire du prosélytisme étant donné que la conversion dépend, comme vous l’avez affirmé, de la volonté de Dieu. A mon avis, la foi ne saurait être un don immérité. Elle est fonction de certains critères, entre autres les pensées, les œuvres, les prières, bref des bonnes intentions vis-à-vis de Dieu et de ses créatures. Dans mon cas, outre la volonté de Dieu, ma connaissance du Coran en langue arabe a très certainement contribué à raffermir ma foi et ma confiance en ce Livre. Partant de là, et compte tenu du fait que le Coran est supérieur en matière d’authenticité et de force probante -les chrétiens rejettent cette donnée pourtant vérifiable- j’ai la conviction que la pure vérité du Coran est là pour corriger la vérité altérée de la Bible. Permettez-moi de ne pas entrer dans les détails de cette vérité altérée qui va des simples erreurs des traducteurs et des copistes jusqu’aux pertes des manuscrits originaux en passant par les additions et les suppressions volontaires de textes de manière à étayer certains dogmes quitte à dénaturer certaines vérités. Les faits sont là, le Coran les confirme et c’est l’une des principales raisons de sa révélation aux hommes. Cependant, ma croyance au Coran ne m’empêche guère de continuer à croire à la Bible, sachant que le Coran n’a pas mentionné tous les Prophètes et tous les livres. Selon moi, les différences entre la Bible et le Coran proviennent soit d’une mauvaise interprétation, soit de l’inauthenticité de la Bible.
Vous citez Luc 23.46 pour rappeler les dernières paroles de Jésus, mais les évangiles se contredisent sur de nombreux points, notamment : le porteur de la croix, l’inscription sur la croix, le temps de la crucifixion, les témoins de la crucifixion, les dernières paroles de Jésus sur la croix, etc. Ces divergences prouvent, si besoin en est, que la crucifixion s’est déroulée dans des circonstances pour le moins douteuses.
La mort n’est pas synonyme de disparition définitive, un aller sans retour pour dire que la résurrection est une délivrance ; la résurrection n’est pas un fait particulier, tout le monde sera ressuscité. Des gens ordinaires ont été ressuscités ;
Vous affirmez : « La logique est d’ailleurs la même chez Matthieu (XXVII, 46) et Marc (XV, 34), qui présentent Jésus citant le début du verset suivant : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Jésus ne prononcerait jamais cette formule, lui qui déclare donner de lui-même sa vie (Jean 10.18). Si la mort de Jésus était connu de lui comme un destin inévitable, il n’aurait pas reproché aux juifs leur conspiration contre lui « maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi qui vous ai dit la vérité » (Jean 8.37). Il n’aurait pas éprouvé autant de chagrin et de tristesse qu’il implore Dieu d’éloigner de lui cette coupe (Matthieu 26.39 ; Luc 22.42).
La coupe, c’est la mort. Pourquoi craindrait-il la mort, s’il savait qu’il devait obligatoirement l’affronter ? Et surtout si cette mort avait pour finalité le rachat du genre humain. La vérité est que Jésus n’a pas été crucifié. Comme preuve, je me borne à citer sa déclaration aux pharisiens : « Je suis encore avec vous pour un peu de temps, puis je m’en vais vers celui qui m’a envoyé. Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai » Jean 7.34
Il est clair qu’à travers ces propos, Jésus a averti ses ennemis qu’ils ne pourront pas mettre la main sur lui le jour où ils le chercheront pour l’arrêter.
« Cette formule « Je n’étais pas mort, je n’ai pas été crucifié »(…)n’est pas sans me rappeler ce passage d’un autre manuscrit trouvé en ces lieux : "Moi j’ai souffert à leurs yeux et dans leur esprit afin qu’ils ne trouvent jamais nulle parole à dire à ce sujet. Cette mort qui est mienne et qu’ils pensent être arrivée, s’est produite pour eux dans leur erreur et dans leur aveuglement. Ils ont cloué leur homme pour leur propre mort, mais leurs pensées, en effet, ne me virent pas, car ils étaient sourds, aveugles et en faisant cela ils se condamnaient eux-mêmes. Ils m’ont vu. Ils m’ont vu infliger un châtiment mais c’était un autre. Celui qui buvait le fiel et le vinaigre, ce n’était pas moi. Ils me flagellaient avec un roseau : c’était un autre. Celui qui portait la croix sur son épaule, c’était Simon" (Deuxième Traité du Grand Seth. »
Il n’est pas exclu que ce récit soit véridique. D’où l’intérêt de pousser les recherches dans ce sens, car ce qui paraît être une illusion est souvent une vérité. La comparaison que vous faites entre le verset (5.33) et « l’ignominie ici-bas » de la croix n’est pas pertinente. Ce n’est pas parce que la croix serait une ignominie ici-bas que les musulmans refusent de l’appliquer à Jésus. La croix est tout simplement une fausse rumeur accréditée comme une vérité. Le fait que la majorité des chrétiens y croient n’enlève rien à la fiction. La quantité n’a jamais été une preuve de vérité :
« Si tu te fies à la majeure partie des habitants de la terre, ils te feront dévier de la voie de Dieu, car ils ne feront que suivre des conjectures et se bornent à forger des mensonges » s6 v116
J’ai évoqué le verset (1P 3.18) pour le besoin de l’argumentation et uniquement pour réfuter la résurrection de Jésus, soulignant l’expression : « Mais rendu à la vie par l’Esprit »
Concernant le veau d’or, la Bible accuse Haroun d’avoir fabriqué cette idole ; le Coran rétablit la vérité en imputant la responsabilité de sa fabrication à un des habitants de Samarie qui existait bel et bien à cette époque contrairement aux dires de certains historiens. Il est important de rappeler ces versets de la Bible qui indiquent que Samarie a toujours été le lieu de fabrication des idoles :
« Quel est le crime de Jacob ? N’est-ce pas Samarie ? » Michée 1.5 « Ils ont fait des idoles avec leur argent et leur or ; c’est pourquoi ils seront anéantis. L’Eternel a rejeté ton veau, Samarie ! Ma colère s’est enflammée contre eux. Jusques à quand refuseront-ils de se purifier ? Il vient d’Israël, un ouvrier l’a fabriqué, et ce n’est pas un Dieu ; c’est pourquoi le veau de Samarie sera mis en pièces »Osée 8.4-6
Vous écrivez : « C’est par un choix délibéré que ce juste, le seul qui aurait pu crier à l’injustice, a accepté la mort ; par amour pour tous les hommes, et donc par amour, aussi, pour ses persécuteurs »
Cette affirmation est incompatible avec les cris de désespoir du crucifié. Ce qui prouve, encore une fois, que le crucifié était une autre personne que Jésus.
L’amour est à la fois un don et une épreuve. Ce don n’est sans doute pas l’apanage des chrétiens et il n’a pas grand-chose à voir avec la croix. D’autant plus que ces derniers ont fait preuve de comportements peu conformes au verset que vous citez, à savoir : « Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent" (Matthieu V, 44) PS Jésus va revenir et son retour ne contredit pas le fait que Mohammed (Paix et salut sur lui) est le dernier prophète. Jésus (Paix et Salut sur lui) n’est pas un nouveau Prophète. Il avait ce titre bien avant Mohammed.
Dans ce contexte, une question se pose : Après l’événement de la croix, pourquoi s’est-il manifesté seulement à ses disciples au lieu de se manifester au monde entier ? La réponse est simple : Les juifs continuaient à rechercher Jésus, sachant que ce n’était pas lui qui fut crucifié et c’est pourquoi Jésus tenait à ne pas apparaître en public. Ma profession de foi, et c’est la vérité, Si j’étais chrétien Jésus n’est pas passé par le mort, il est monté vivant au ciel. Et si j’étais chrétien aussi imprégné que vous êtes des enseignements de la Bible sur la mort et la crucifixion du Christ et tout ce qui pourrait en découler comme « bienfaits pour l’humanité » et ayant appris plus tard la révélation ou l’existence du Coran, j’aurais sans aucun doute abdiqué mes anciennes croyances et adhérer au Coran. Avant d’expliquer mon raisonnement, j’aimerais vous rassurer que je n’ai aucunement l’intention de faire du prosélytisme étant donné que la conversion dépend, comme vous l’avez affirmé, de la volonté de Dieu. A mon avis, la foi ne saurait être un don immérité. Elle est fonction de certains critères, entre autres les pensées, les œuvres, les prières, bref des bonnes intentions vis-à-vis de Dieu et de ses créatures. Dans mon cas, outre la volonté de Dieu, ma connaissance du Coran en langue arabe a très certainement contribué à raffermir ma foi et ma confiance en ce Livre. Partant de là, et compte tenu du fait que le Coran est supérieur en matière d’authenticité et de force probante -les chrétiens rejettent cette donnée pourtant vérifiable- j’ai la conviction que la pure vérité du Coran est là pour corriger la vérité altérée de la Bible. Permettez-moi de ne pas entrer dans les détails de cette vérité altérée qui va des simples erreurs des traducteurs et des copistes jusqu’aux pertes des manuscrits originaux en passant par les additions et les suppressions volontaires de textes de manière à étayer certains dogmes quitte à dénaturer certaines vérités. Les faits sont là, le Coran les confirme et c’est l’une des principales raisons de sa révélation aux hommes. Cependant, ma croyance au Coran ne m’empêche guère de continuer à croire à la Bible, sachant que le Coran n’a pas mentionné tous les Prophètes et tous les livres. Selon moi, les différences entre la Bible et le Coran proviennent soit d’une mauvaise interprétation, soit de l’inauthenticité de la Bible.
Vous citez Luc 23.46 pour rappeler les dernières paroles de Jésus, mais les évangiles se contredisent sur de nombreux points, notamment : le porteur de la croix, l’inscription sur la croix, le temps de la crucifixion, les témoins de la crucifixion, les dernières paroles de Jésus sur la croix, etc. Ces divergences prouvent, si besoin en est, que la crucifixion s’est déroulée dans des circonstances pour le moins douteuses.
La mort n’est pas synonyme de disparition définitive, un aller sans retour pour dire que la résurrection est une délivrance ; la résurrection n’est pas un fait particulier, tout le monde sera ressuscité. Des gens ordinaires ont été ressuscités ;
Vous affirmez : « La logique est d’ailleurs la même chez Matthieu (XXVII, 46) et Marc (XV, 34), qui présentent Jésus citant le début du verset suivant : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Jésus ne prononcerait jamais cette formule, lui qui déclare donner de lui-même sa vie (Jean 10.18). Si la mort de Jésus était connu de lui comme un destin inévitable, il n’aurait pas reproché aux juifs leur conspiration contre lui « maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi qui vous ai dit la vérité » (Jean 8.37). Il n’aurait pas éprouvé autant de chagrin et de tristesse qu’il implore Dieu d’éloigner de lui cette coupe (Matthieu 26.39 ; Luc 22.42).
La coupe, c’est la mort. Pourquoi craindrait-il la mort, s’il savait qu’il devait obligatoirement l’affronter ? Et surtout si cette mort avait pour finalité le rachat du genre humain. La vérité est que Jésus n’a pas été crucifié. Comme preuve, je me borne à citer sa déclaration aux pharisiens : « Je suis encore avec vous pour un peu de temps, puis je m’en vais vers celui qui m’a envoyé. Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai » Jean 7.34
Il est clair qu’à travers ces propos, Jésus a averti ses ennemis qu’ils ne pourront pas mettre la main sur lui le jour où ils le chercheront pour l’arrêter.
« Cette formule « Je n’étais pas mort, je n’ai pas été crucifié »(…)n’est pas sans me rappeler ce passage d’un autre manuscrit trouvé en ces lieux : "Moi j’ai souffert à leurs yeux et dans leur esprit afin qu’ils ne trouvent jamais nulle parole à dire à ce sujet. Cette mort qui est mienne et qu’ils pensent être arrivée, s’est produite pour eux dans leur erreur et dans leur aveuglement. Ils ont cloué leur homme pour leur propre mort, mais leurs pensées, en effet, ne me virent pas, car ils étaient sourds, aveugles et en faisant cela ils se condamnaient eux-mêmes. Ils m’ont vu. Ils m’ont vu infliger un châtiment mais c’était un autre. Celui qui buvait le fiel et le vinaigre, ce n’était pas moi. Ils me flagellaient avec un roseau : c’était un autre. Celui qui portait la croix sur son épaule, c’était Simon" (Deuxième Traité du Grand Seth. »
Il n’est pas exclu que ce récit soit véridique. D’où l’intérêt de pousser les recherches dans ce sens, car ce qui paraît être une illusion est souvent une vérité. La comparaison que vous faites entre le verset (5.33) et « l’ignominie ici-bas » de la croix n’est pas pertinente. Ce n’est pas parce que la croix serait une ignominie ici-bas que les musulmans refusent de l’appliquer à Jésus. La croix est tout simplement une fausse rumeur accréditée comme une vérité. Le fait que la majorité des chrétiens y croient n’enlève rien à la fiction. La quantité n’a jamais été une preuve de vérité :
« Si tu te fies à la majeure partie des habitants de la terre, ils te feront dévier de la voie de Dieu, car ils ne feront que suivre des conjectures et se bornent à forger des mensonges » s6 v116
J’ai évoqué le verset (1P 3.18) pour le besoin de l’argumentation et uniquement pour réfuter la résurrection de Jésus, soulignant l’expression : « Mais rendu à la vie par l’Esprit »
Concernant le veau d’or, la Bible accuse Haroun d’avoir fabriqué cette idole ; le Coran rétablit la vérité en imputant la responsabilité de sa fabrication à un des habitants de Samarie qui existait bel et bien à cette époque contrairement aux dires de certains historiens. Il est important de rappeler ces versets de la Bible qui indiquent que Samarie a toujours été le lieu de fabrication des idoles :
« Quel est le crime de Jacob ? N’est-ce pas Samarie ? » Michée 1.5 « Ils ont fait des idoles avec leur argent et leur or ; c’est pourquoi ils seront anéantis. L’Eternel a rejeté ton veau, Samarie ! Ma colère s’est enflammée contre eux. Jusques à quand refuseront-ils de se purifier ? Il vient d’Israël, un ouvrier l’a fabriqué, et ce n’est pas un Dieu ; c’est pourquoi le veau de Samarie sera mis en pièces »Osée 8.4-6
Vous écrivez : « C’est par un choix délibéré que ce juste, le seul qui aurait pu crier à l’injustice, a accepté la mort ; par amour pour tous les hommes, et donc par amour, aussi, pour ses persécuteurs »
Cette affirmation est incompatible avec les cris de désespoir du crucifié. Ce qui prouve, encore une fois, que le crucifié était une autre personne que Jésus.
L’amour est à la fois un don et une épreuve. Ce don n’est sans doute pas l’apanage des chrétiens et il n’a pas grand-chose à voir avec la croix. D’autant plus que ces derniers ont fait preuve de comportements peu conformes au verset que vous citez, à savoir : « Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent" (Matthieu V, 44) PS Jésus va revenir et son retour ne contredit pas le fait que Mohammed (Paix et salut sur lui) est le dernier prophète. Jésus (Paix et Salut sur lui) n’est pas un nouveau Prophète. Il avait ce titre bien avant Mohammed.
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Ecrit le 09 févr.07, 04:47
c'est un beau copié collé mais qui répondd a rien .
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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