le Dalaï Lama non grata en Belgique

[boanerges]

Lettre envoyé aux parlementaires et à la presse


Madame, Monsieur

Permettez-moi de vous écrire en tant que chrétien pratiquant, militant des Droits de l’Homme et grand ami du Tibet.
Par cette lettre, je veux vous faire part de ma plus grande indignation mais aussi de ma très grande colère suite à l’annulation forcée de la visite que le Dalaï Lama devait effectuer dans notre pays le 11 mai, dans le cadre de la 5e Conférence Internationale des groupes de soutien au Tibet.
En outre, les autorités avaient même poussé leur zèle jusqu’à vouloir faire interdire (vainement) la Conférence Internationale des groupes de soutien au Tibet, ce qui prouve bien que nos politiciens sont les larbins et les valets des chintoks, je suis écoeuré !!!
J’en ai plus que marre de la politique merdique et de censure que mène notre gouvernement envers le Tibet et son guide spirituel, c’est INDIGNE, d’un pays qui se dit et se veut démocratique et respectueux des Droits de l’Homme.
Combien de temps encore allons nous devoir supporter d’être une colonie bananière de la Chine, combien de temps allons nous devoir supporter que la Chine décide des personnalités qui sont autorisées ou non à venir chez nous.
À quand l’obligation de porter le costume Mao, et l’étoile Rouge, a quand l’obligation de lire le petit livre rouge sous peine d’être interné au goulag,
Veuillez m’excuser, mais personnellement, je n’ai rien à foutre de la visite princière en Chine,.
En grand catho, il n’a pas honte de serrer la main des racailles de ce pays qui ont du sang sur les mains et des milliers de morts sur la conscience, qu’il n’ose pas dire qu’il représente la Belgique, car il ne me représente absolument pas et il n’a pas à parler au nom des citoyens belges.
Pourquoi ne demanderait-il pas à visiter les goulags chinois, les prisons secrètes, les camps de rééducation, pourquoi ne demande-t-il pas à visiter le Tibet…LIBRE.
Évidemment il y aurait un froid glacial et puis froisserait la bonne conscience des dictateurs, et alors… Au revoir les contrats juteux, il est vrai que l’argent n’a pas d’odeur.
Je ne comprends pas comment les politiciens et les hommes d’affaires peuvent s’abaisser et ramper devant la plus grande dictature du monde, ils sont prêts à vendre leur âme et celles de leurs concitoyens pour pouvoir entrer sur marché chinois, cela me dégoûte et me donne envie de vomir !!!
Je continuerais à lutter jusqu’à mon dernier souffle de vie pour les Droits de l’Homme et donc aussi pour un TIBET LIBRE et INDÉPENDANT, je ne cesserais de dénoncer à temps et à contretemps chaque fois que je le pourrais les valets et les larbins (comprenez nos autorités) se mettant au service des chinois et de toutes les autres dictatures, ceci pour gagner du fric et des contrats.
Ceci dit cette lettre sera envoyée à la Presse et à différents partis et parlementaires.

VIVE LE TIBET LIBRE

[Salah Al Din]

Les politiciens se moquent des gens opprimés.
Tout ce qui compte c'est le pouvoir chez ces gens là.

[mickael__keul]

c'est inexact - le Dalaï Lama (qui n'est pas chef d'Etat) n'est nullement "personna non grata" mais, une mision belge étant prévue en Chine, on a préféré ne pas heurter les chinois et demander au Dalaï Lama de post poser son voyage

Il est hors de question de lui interdire l'acces a la Belgique

[vuth]

Bonjour,

Pekin outragée, le parti déjà en guerre "diplomatique (?)" contre les Etats-Unis, contre une rencontre entre son Président et le Dalai-lama.

Nous pouvons même imaginer une guerre un peu plus que diplomatique, la déception chinoise déjà entamée par les armes à Taiwan.
Mais bon, nous connaissons toute la malice chinoise, et nous supposons aussi toute son envergure, ses possibilités d'action, de représailles, quand le grain de riz viendra à étouffer le géant (l'ogre) dans son orgueil malsain.

Le malsain n'est pas dans sa "coopération" active avec le reste du monde, que la Chine voudrait bien montrer plus convainquante, mais dans ce qui est semblant et pas vraiment la preuve de sa bonne foi, parce que tout le monde sait qu'un pays "communiste" est sans croyance (?). Qu'elle organise méticuleusement la destruction des religions, les cantonnant à souffrir dans leur corporel.

La finesse est ailleurs,
bien plus loin que la torture raffinée de ses prisons pour les opposants politiques, ou religieux, les enfermements, dans ses prisons quatre étoiles leur nombre variant avec le dégré de perfectionnement idéologique de la connaissance très poussée en tortures psychologiques, et physiques, de tous contestataires, voir jusqu'à la mort convoquée pour délit d'opinion.
Le raffinement, du parti, est dans la double face, exactement comme pour son système préférée, le mélange des genres, "on" se déclare à la fois pour, et contre (Exp idéologie marxiste et économie libérale dans la limite du supportable pour les oreilles tout aussi raffinées de ses dirigeants élévés dans les universités complexes de la conscience maoiste.

Pas de pardon à tous ceux opposés au régime.), du moment que ça rapporte au parti, en or massif, Confucius et Bouddha, et les autres pensées, peuvent tous se présenter au service de marketing du parti, ils sont les bienvenus. Mais s'ils ne rapportent rien, juste quelques prières (du peuple) et larmes inutiles (dans le beau pays du milieu parfait où il n'y a aucune souffrance, sa propagande), ils deviennent de la chair à canon, au service du parti.

Toute la subtilité est de faire grandir son ego (la puissance) sans éveiller les soupçons, la réaction. La subtilité dans la distribution des cajoleries de beautés chinoises (Pas les femmes. Mais l'appat du yuan, les introductions à son marché, la corruption des dirigeants étrangers pour leurs soutirer accommodements diplomatiques et soumissions à sa politique de conquête, l'espionnage industriel à grande échelle dans la grandeur du monde, ... les échanges inégales, inéquitables parce que uniquement orientées pour son seul son omnipotence, à venir.)

Ce que nous voyons visiblement, ce sont les retombées de ses actions sur autrui.
Ce n'est pas de la coopération.
Ni diplomatique, car c'est de la persuasion active, des "caprices" d'obligation incitant les autres à se conformer à ses points de vue (exp du dalai-lama, et le Tibet).
Ni politique, parce que les autres doivent soumettre leur politique, réellement, à la sienne.
Ni économique, parce que l'état du monde "après" des échanges avec la Chine se résulte toujours par des Déficits pour les autres, des gains pour elle-seule.

Même des soi-disants coopérations ne sont suivi par des résultats aucuns.
A l'exemple du dossier nord coréen où visiblement la Chine tendrait plutôt la Nord Corée à découdre avec les autres états, occidentaux, sous des semblants de pourparlers sur son nucléaire.
A l'exemple de l'Iran où la Chine voit d'un très bon oeil l'Iran maintenir son programme nuclaire pour détourner l'attention de ses propres méfaits, comme un danger à contenir avec l'appui chinois alors que la Chine ne fait absolument rien pour inciter l'Iran à la modération, arreter son nucleaire.
Pire, le parti "aide" ces pays à développer leurs arsenaux, comme autant de satellites à ses bottes, pour contrer les réactions étrangères.

C'est ... de "bonne" guerre, mais déjà la guerre.

De haute stratégie, c'est très bien appliquée ...
Mais au vu des états envahis, depuis plus ou moins longtemps comme le Tibet et le Xinjiang, d'autres pays qu'elle a à ses pieds, il n'y en a aucun qui jouit de la prospérité, le peuple d'origine, sauf des dirigeants et associés avides du peu (de yuan) délaissé pour le besoin de corrompre les "amis" nécessaires, mais les populations ne se développent aucunement sauf pouvoir acheter la marchandise chinoise, faisant la richesse du parti, et sa classe d'obédience.

L'état du monde tourne en sa seule faveur, et nullement le développement autrui, comme s'aiment à paraitre certains responsables politiques, agents économiques et financiers, étrangers, qui croient pouvoir faire fortune au détriment de la Chine.
Certes les quelques uns flatés de pouvoir caresser la "tentation" chinoise (gagner quelques millions, mêmes milliards) encaissent bien dans leurs porte-monnaies personnels le revenu de leur investissement (soumission), mais Leurs pays et populations toujours détroussés sans cesse à acheter les biens chinois en quantités grandissantes.
Nous voyons bien le pervers de la chose, la stratégie aboutissante.
Endormir les étrangers, mêmes ses "amis" non chinois, dans des semblants de coopération et échange, leur faire croire au bénéfice, ... et toujours récupérer les dividentes.

Le problème,
est-ce que Ces Autres-là sont capables de voir la réalité, et agir en conséquence, ne pas succomber aux "flateries" chinoises, le semblant d'argent trop facile, en développant leurs propres capacités, en dehors de la sphère de domination chinoise,
ou
est-ce que le monde va rester éternellement aveugle, aveuglé par les actions de leur propre gouvernance, politique, économique, financier, industriel, ... leurs appétits du yuan, et finira par succomber, dans le court terme, comme une pomme trop vieille et trop mure, à la tentation chinoise ?

(Le poisson qui mord à l'appat, c'est déjà bon pour le palais connaisseur. Mais quand il s'agit d'un gros requin, ou une baleine capitaliste, c'est encore plus mielleux pour le parti. Ils

se feront tous croquer jusqu'à la substance moelleuse, de ne rien voir venir.)

...

* La Chine réclame un nouvel ordre économique ?
Sans doute, sans aucun doute, pour seulement refuser la flottaison de son yuan, ... refus de changer son propre modèle ?

... ...

[vuth]

Bonjour,

Chine "ouverte" ?

Refaire du social, croissance programmée à 8 %, laisser aller le yuan (quelques centimes), c'est déjà beaucoup, pour un pays à géométrie invariable.
Encore faut-il que la Chine sache vers quoi elle tend ?

Peut-être qu'une main un peu plus ouverte en direction du Dalai-lama serait la bienvenue, lui permettre d'aller "se reposer" au Tibet, et accompagner une région en voie de désèchement (pas seulement le Tibet) justifier le soulèvement populaire de façon plus utile que pour faire des révolutions infertiles, mortelles ?

Pourquoi du social alors qu'une doctrine communiste est supposée faire le bien du peuple, ses action et politique "basées" sur son humanité ?
Nous voyons bien l'utilité de la question, sa nécessité, mais relancer la machine en dehors de certains trop favorisés par la croissance importée n'est pas aussi facile que cela, même pour un empire "richissime".

8 % est un objectif plus humain en regard des autres nations, mais est-ce bien la visée ?
Nous en attendons la preuve.

Tout comme la flottaison superficielle de la monnaie est de principe idéal pour le reéquilibrage du monde, vers d'autres prospérités que celle propre.
Et si la Chine désire sincèrement participer au retour du bon sens, le sens de la vie, une marche économique mondiale en bon rapport avec tout le monde, elle peut faire mieux que proposer quelques centimes.
Peut-être diminuer un peu son effort militaire qui n'a de justification que dans une volonté de guerre, mais un objectif de vie et de bonheur n'en a pas vraiment besoin, encore plus si c'est pour assurer son à venir ?

Il y a des choses que le polibureau doit comprendre.
Ce que fait la Chine dernièrement, profiter "toute seule" de la mondialisation, même pour une cause d'intérêt populaire (?), sans vraiment tenir compte de la réatilé des autres nations, peuples, amenant ceux-ci vers leur irrémédiable paupérisation, n'est pas de bonne nature commerciale, ni politique.

Le jeu n'est pas de tirer tous les profits possibles pour son explosion économique, sa rentabilité, mais de développer la richesse propice à Tous les intérêts, chinois, et autres.
Pour cette fin commune, notre destinée humaine, en rapport avec les ressources diminuantes et les capacités d'adaptation de toutes les nations et forces vives, il faut du temps.
C'est-à-dire laisser à tout le monde le temps de développer sa richesse intérieure pour que les échanges au niveau international soient sains, réalisés de façon à satisfaire tous les besoins.

La Chine possède suffisamment de ressources financières et autres pour ralentir plus sa croissance, prendre son temps pour développer son économie interne, tout en continuant à profiter raisonnablement de l'extérieur.
C'est dans l'esprit de précipitation, de peur de manque, de vouloir sans cesse acquérir prioritairement la puissance invincible, ... qu'elle fausse la nature relationnelle avec autrui, celle bonne pour tous.

C'est cette politique là qui nous a mené à la crise.
Pas celle du subprime, mais celle plus profonde que nous vivons actuellement, et que quelques milliards injectés généreusement par les contribuables du monde ne suffiront pas à permettre le redressement durable.
Cela, tous les économistes et "experts" le voient bien. Même les politiques, du moins ceux un peu plus réveillés, que ceux rêvant leur ego (?).

La bonne politique n'est pas dans le rapport de force qui ne fera qu'appuyer la vitesse de détérioration du monde, ni la prétention à garder le Dalai-lama loin de sa terre, pour éloigner le mauvais sort. Ou encore trop "chérir" ses minorités, les controler dans un carcun arbitraire, pour une pureté idéologique qui n'a de raison que dans les rêves les plus obscurs de la conscience inconnue.
Mais quand "on" sait, il n'y a plus besoin de déclaration de grandeur, ni de propagande, ... le but devient clair, l'esprit puise sa force dans la justesse de la vérité, agit pour accomplir la vie ... le Social désiré.

Effectivement, une croissance en dessous de 10 % (à 8 % ?) est dans le raisonnable pour autoriser un bon développement en faveur de Tous les "chinois", mais voir que le taux doit être mesuré non pas dans la gourmandise politique plus surement en fonction des autres capacités, à suivre le rythme, profiter eux aussi de la richesse créée, l'accompagner, y participer, ... est dans le mouvement nécessaire pour que le monde dépasse convenablement la crise, et aille d'un même élan vers sa prospérité.
(Nous en sommes pas encore là. Ni de près, ni de loin. Mais cela pourrait devenir une motivation commune.)

En l'état actuel des milliards injectés pour sauver le monde, et redresser les économies, quelques uns se sont déjà volatisés dans des poches particulières, des spéculateurs spécialisés spécialement pour ce genre d'opérations dites financières, plutôt la pie voleuse, quelques autres évaporés dans la nature parce que les états ne parviennent pas (?) à controler les circuits distributeurs jusqu'aux besoins réels, sociaux, économiques, ... le reste nous le voyons se résulte dans certains mouvements de hausses, les bénéfices de certaines entreprises et sociétés, quelques unes seulement.
La victoire n'est ni acquise, ni stabilisée.
Le redressement attend, que les politiques et experts du monde travaillent de concert pour son aboutissement, et plus loin.

Alors, normalement, ce redressement, s'il veut bien devenir rigoureux, doit reposer non plus sur les milliards en support devant retourner vers leurs vrais propriétaires les peuples qui les ont "prêtés" généreusement (nous disons cela au cas où certains mauvais penchants voudraient déjà les voir dans leurs poches),
mais évidemment sur deux choses (plus que d'autres), l'exploitation et la mise en valeur des ressources, et la création des innovations à rentabiliser.

Les innovations, nous en avons tous vaguement une idée. Ce sont les vélos et les grille-pains.
Mais mieux vaut ne pas trop les laisser exploiter par les seuls banquiers, la faillite nouvelle va repointer son nez.

De même les ressources.
Le problème, c'est que les ressources, le monde est en train de les épuiser.
Alors à part inventer d'autres ressources sortant de l'esprit fertile, ... il faudra bien que notre humanité s'accorde pour "financer cet esprit", permettant de mettre en valeur la sécheresse en faire d'abondance.
Forcément que dans un proche avenir, ce ne seront plus les armes qui feront le monde mais les vélos et grille-pains rejoindre la capacité, l'innovation l'esprit pur pour transformer le sol aride en verdure et autres besoins premiers.
Nous parlons bien de la transformation du monde pour faire de la mer de l'eau douce, des déserts la nourriture, ... des autres complexités les énergies en grande quantité.

C'est un défi remarquable bien plus titanesque que des guerres inutiles, les armes rouillées dans leurs hangars qu'un doigt fou vienne presser le bouton atomique réduire toutes les idéologies en poussière impropre à la vie.
Les milliards correspondant bien mieux pensés s'ils étaient redirigés vers le développement commun, des projets de création projetés vers le lointain pour permettre à l'humanité de dépasser ses limites géographiques.

Nous disons donc qu'il vaut mieux savoir utiliser consciencieusement la richesse actuelle pour créer l'avenir, plutôt que de gaspiller les moyens, aussi bien dans des dépenses inutiles que des confiscations égoistes (par des trop riches qui enferment le travail autrui, au lieu de le faire fructifier, pour tous),
soigner les insuffisances et les souffrances, les plaies des calamités,
...
faire retourner la sueur à l'humain plutôt que de le déconsidérer de sa valeur réalité en l'estimant purement financière, la richesse facile à s'approprier, plus facile à mettre en coffre, mais tout-à-fait néfaste dans la bonne marche de la société.

...

De la nature l'essence de tout, le propre humain son égoisme et le nécessaire créé,
de l'impact sur la condition allant même en l'alentour, du bien et du mauvais devant être considérés toujours plus dans la profondeur de la signification vivante,
la pensée perspicace fait voir dans le vrai que le tout est lié en aucun cas les hommes dans leurs diversités ne pourront s'approprier pour leur ego ce qui ne tient pas d'eux, à eux.
L'environnement n'est pas de leur maitrise, aucun ne pourra la soumettre seulement savoir l'accompagner dans son mouvement pour justifier son existentiel.

Ce qui nous fait dire qu'il faut ouvrir le regard, ainsi que l'intelligence, pour percevoir enfin la signification des événements, que ce qui est impactant dépasse le point de vue restreint de l'insuffisance d'esprit, seule la hauteur englobante permet de saisir toute la portée, pousser l'humanité à agir dans le vrai, plutôt que se cantonner dans ses obsessions infantiles à jouer du sabre-laser au lieu de découvrir le monde, jouir de la prospérité de son vivant, établir le futur jamais sous ses pieds.

Les questions environnementales doivent montrer où sont les intérêts généraux, élargir les pensées et les capacités vers les horizons inaccessibles, pour l'instant. De même les restrictions en ressources menant à la valorisation des capacités intelligentes devant mettre en mouvement les réalités dormantes, pour autoriser la vie.
Tout cela est conditionné pour projeter l'humanité vers sa destinée, faire de l'ignorance la porte vers la vie, être capable de créer la bonne condition, être capable d'établir la vie, ici pour ailleurs.

C'est dans le rôle du pensant.
S'adapter aux (mauvaises) situations pour créer de plus propices. Le nécessaire au dépassement de la faiblesse, faire coincider les réalités pour changer la restriction établir d'autres environnements favorables à notre implantation.
Cela ne doit pas se réaliser contre d'autres hommes, que ce soit de point de vue idéologique ni simplement son seul bien-être.
La condition de la survie doit être prise sur des lieux isolés, là où le vivant n'a pas encore ouvert le chemin.
L'abondance doit être de création, pas dans l'opportunité de s'approprier le bien voisin.
...

C'est cela la grandeur de l'esprit, sa force.
Là où tout se rejoint faisant l'ouverture à tout.
Là est la capacité de la pensée permettant la vie, même là où rien ne semble pousser.

... ...