Histoire du voile vécue
Posté : 06 août07, 04:19
Mon histoire du voile .
Les premières générations d'immigrés d'avant le cessez le feu de 1962 ont su s'intégrer au plus vite pour pouvoir vivre dignement en France . Ces Musulmans pour la plupart étaient respectables pour leur modération et leur courage .
La deuxième génération était déjà "intégrée" et leur pratiques religieuses avaient suivi le déclin des " agenouillistes" Français , sans poser de problème à la génération de leur parents , ce qui n'est et ne fut pas le cas pour la troisième , qui s'est mise à dos les deux précédentes .
En 1950 on tolérait encore, voir, respectait les " bonnes sœurs" en habits et cornette ,et les curés habillés dans le même tissus , se baladant à l'occasion dans les rues . C'était des professionnels de la foi ,et rien que pour leur célibat ils avaient droit à notre respect . Le terme d'alors " prendre le voile" avait une toute autre signification que celle des "minettes" façon 2001 .
Brassens et Ferrat écorniflaient avec tant de poésie , les curés et les militaires qu'on ne leur en voulait pas et ils ne risquaient ni censures ni fatwa .; rien à voir avec l'islam " de la bouche pleine " de ces nouveaux croyants sortis à peine de leur berceau , et voulant donner des leçons à leurs parents et grands parents !
C'est donc peu avant le 11 sept que ces jeunes filles à qui incombait de "faire la différence" ont décidé de lancer la mode du voile .qui apparaît des lors comme
Os( tentatrice) , provocatrice , politique, et désintégratrice .
Mais il semblerait toutefois, que comme l'avait déjà dit V Hugo , sur une musique de Brassens :
" comme si quand on n'est pas laide on avait droit d'épouser dieu" Que les yeux de biches se fassent rare sous ce qu'il reste de visible de ces jeunes filles talentueuses qui pour le coup ne passent pas inaperçues ! ! !
Les premières générations d'immigrés d'avant le cessez le feu de 1962 ont su s'intégrer au plus vite pour pouvoir vivre dignement en France . Ces Musulmans pour la plupart étaient respectables pour leur modération et leur courage .
La deuxième génération était déjà "intégrée" et leur pratiques religieuses avaient suivi le déclin des " agenouillistes" Français , sans poser de problème à la génération de leur parents , ce qui n'est et ne fut pas le cas pour la troisième , qui s'est mise à dos les deux précédentes .
En 1950 on tolérait encore, voir, respectait les " bonnes sœurs" en habits et cornette ,et les curés habillés dans le même tissus , se baladant à l'occasion dans les rues . C'était des professionnels de la foi ,et rien que pour leur célibat ils avaient droit à notre respect . Le terme d'alors " prendre le voile" avait une toute autre signification que celle des "minettes" façon 2001 .
Brassens et Ferrat écorniflaient avec tant de poésie , les curés et les militaires qu'on ne leur en voulait pas et ils ne risquaient ni censures ni fatwa .; rien à voir avec l'islam " de la bouche pleine " de ces nouveaux croyants sortis à peine de leur berceau , et voulant donner des leçons à leurs parents et grands parents !
C'est donc peu avant le 11 sept que ces jeunes filles à qui incombait de "faire la différence" ont décidé de lancer la mode du voile .qui apparaît des lors comme
Os( tentatrice) , provocatrice , politique, et désintégratrice .
Mais il semblerait toutefois, que comme l'avait déjà dit V Hugo , sur une musique de Brassens :
" comme si quand on n'est pas laide on avait droit d'épouser dieu" Que les yeux de biches se fassent rare sous ce qu'il reste de visible de ces jeunes filles talentueuses qui pour le coup ne passent pas inaperçues ! ! !