Discrimination religieuse dans un salon de coiffure .....
Posté : 11 nov.07, 20:58
Sarah Desrosiers, styliste coiffeuse et propriétaire d’un salon est accusée de discrimination religieuse
Sarah Desrosiers pourrait devoir fermer boutique à cause de cette petite injustice...
En effet, le Evening Standard rapporte que cette propriétaire d’un salon de coiffure alternatif londonien est accusée de discrimination religieuse parce qu’elle a refusé un poste à une femme qui voulait porter le voile durant son travail.
Le Wedge Salon de Sarah Desrosiers, spécialisé dans les coupes de cheveux "Funky urbain", dit avoir refusé la demande d’emploi de Bushra Noah parce son salon « vend de l’image » et que son équipe porte ce style de coiffure en public.
Noah, une jeune femme de 19 ans, dit subir une forme de discrimination pour des raisons religieuses et elle accuse madame Desrosier d’avoir heurté ses sentiments. Elle exige en plus des dédommagements non spécifié pour perte de revenus.
Desrosiers rejette ces accusations de discrimination et dit avoir rejeté la candidature de Madame Noah parce qu’elle ne voulait pas montrer ses cheveux durant son travail.
« Je vend de l’image – c’est important – et je m’attends à ce qu’une coiffeuse styliste expose ses cheveux pour inciter les passants à venir dans mon salon après avoir aperçu mes stylistes ». C’est la nature et le style de mon salon qui attire les gens.
Couvrir ses cheveux est en contradiction avec cette réalité. Si quelqu’un portait un casque de baseball ou un chapeau de cowboy j’exigerais de le retirer pour le travail. Pour moi, c’est absolument essentiel que les gens puissent voir les cheveux du styliste.
Dans sa lettre de mise en demeure, madame Noah affirme avoir été l’objet de discrimination et d’avoir été rudoyée lors de son entrevue en mars dernier. Elle aurait été injustement rejetée pour un travail qu’elle aurait été capable d’assumer avec son foulard.
Madame Noah déclare que dans sa recherche d’emplois pour un poste de coiffeuse elle avait passé non moins de 25 entrevues sans succès.
Elle avait donc décidé d’intenter une poursuite en justice car les commentaires de Madame Desrosier l’avaient particulièrement blessée.
"J’ai décidé de poursuivre cette coiffeuse parce c’est elle qui m’a le plus blessé. Je me sentais tellement démoralisée et déprimée, que je me suis dit que si je ne me défendais pas, alors qui le ferait ?
"Quand j’ai parlé à Mme Desrosier au téléphone, avant la première entrevue, elle m’a offert une journée d’essai.
Mais lorsque je me suis présentée, elle m’a regardée avec grand étonnement. Elle m’a demandé si je portais le foulard en tout temps et elle a continuée de répéter," j’aurais souhaiter que vous me l’aviez dit lords de notre conversation téléphonique ".
"Depuis mes études secondaires, la coiffure était tout ce que je voulais faire. C’est triste qu’ils ne me donnent pas l’occasion de le faire. Cette situation mine mes ambitions. Le port du foulard est fondamental à mes croyances."
Mme Desrosiers affirme avoir de la difficulté à trouver l’argent pour contester la cause en justice prévue pour janvier 2008. "On me traîne dans la boue et on m’accuse d’être raciste. C’est totalement injuste et faux ! "
Sarah Desrosiers pourrait devoir fermer boutique à cause de cette petite injustice...
En effet, le Evening Standard rapporte que cette propriétaire d’un salon de coiffure alternatif londonien est accusée de discrimination religieuse parce qu’elle a refusé un poste à une femme qui voulait porter le voile durant son travail.
Le Wedge Salon de Sarah Desrosiers, spécialisé dans les coupes de cheveux "Funky urbain", dit avoir refusé la demande d’emploi de Bushra Noah parce son salon « vend de l’image » et que son équipe porte ce style de coiffure en public.
Noah, une jeune femme de 19 ans, dit subir une forme de discrimination pour des raisons religieuses et elle accuse madame Desrosier d’avoir heurté ses sentiments. Elle exige en plus des dédommagements non spécifié pour perte de revenus.
Desrosiers rejette ces accusations de discrimination et dit avoir rejeté la candidature de Madame Noah parce qu’elle ne voulait pas montrer ses cheveux durant son travail.
« Je vend de l’image – c’est important – et je m’attends à ce qu’une coiffeuse styliste expose ses cheveux pour inciter les passants à venir dans mon salon après avoir aperçu mes stylistes ». C’est la nature et le style de mon salon qui attire les gens.
Couvrir ses cheveux est en contradiction avec cette réalité. Si quelqu’un portait un casque de baseball ou un chapeau de cowboy j’exigerais de le retirer pour le travail. Pour moi, c’est absolument essentiel que les gens puissent voir les cheveux du styliste.
Dans sa lettre de mise en demeure, madame Noah affirme avoir été l’objet de discrimination et d’avoir été rudoyée lors de son entrevue en mars dernier. Elle aurait été injustement rejetée pour un travail qu’elle aurait été capable d’assumer avec son foulard.
Madame Noah déclare que dans sa recherche d’emplois pour un poste de coiffeuse elle avait passé non moins de 25 entrevues sans succès.
Elle avait donc décidé d’intenter une poursuite en justice car les commentaires de Madame Desrosier l’avaient particulièrement blessée.
"J’ai décidé de poursuivre cette coiffeuse parce c’est elle qui m’a le plus blessé. Je me sentais tellement démoralisée et déprimée, que je me suis dit que si je ne me défendais pas, alors qui le ferait ?
"Quand j’ai parlé à Mme Desrosier au téléphone, avant la première entrevue, elle m’a offert une journée d’essai.
Mais lorsque je me suis présentée, elle m’a regardée avec grand étonnement. Elle m’a demandé si je portais le foulard en tout temps et elle a continuée de répéter," j’aurais souhaiter que vous me l’aviez dit lords de notre conversation téléphonique ".
"Depuis mes études secondaires, la coiffure était tout ce que je voulais faire. C’est triste qu’ils ne me donnent pas l’occasion de le faire. Cette situation mine mes ambitions. Le port du foulard est fondamental à mes croyances."
Mme Desrosiers affirme avoir de la difficulté à trouver l’argent pour contester la cause en justice prévue pour janvier 2008. "On me traîne dans la boue et on m’accuse d’être raciste. C’est totalement injuste et faux ! "