Profession de foi (Al Ghazali)
Posté : 08 déc.07, 08:40
Le livre du dogme et de la croyance.
La profession de foi des adeptes de la Sunna.
C’est de croire qu’Allah est Un, sans associé, singulier sans semblable, incommensurable sans contraire, unique sans égal, éternel sans début, infini sans commencement, existant pour toujours sans finitude, perpétuel sans fin, subsistant par Lui-même sans rupture, impérissable sans discontinuité, Il ne cesse et Il n’a cessé d’être qualifié par les Attributs de la Majesté. Il n’est pas soumis à la discontinuité des durées et à la disparition des temps car Il est le Premier et le Dernier, le Manifeste et le Latent.
Il n’est ni un corps circonscrit, ni une substance finie et déterminée. Il ne ressemble pas au corps ni en matière de détermination ni en matière de soumission à la division. Il n’est pas une substance et les substances ne s’incarnent pas en Lui. Il n’est pas un accident et les accidents ne s’incarnent pas en Lui. Car Il ne ressemble à aucun existant et aucun existant ne lui ressemble, rien ne Lui est semblable et Il n’est semblable à rien. Il n’est pas délimité par la mesure. Il n’est pas contenu dans l’étendue, Il n’est pas délimité par les directions. Il n’est pas cerné par la terre et les cieux. Il est établie (istawa) sur le trône (al 3arch) selon la modalité qu’Il à indiquée et selon le sens qu’Il a voulu, d’un établisement transcendant le contact, la stabilité, l’effectivité, l’incarnation et le déplacement. Le trône ne le porte pas, ce sont plutôt le Trône et les Anges qui le porte et qui sont maintenus par la Bienveillance de Sa Toute Puissance et soumis à Son Pouvoir. Il est au-dessus du Trône et au-dessus de tout jusqu’à l’infini d’une transcendance qui ne le rapproche ni du Trône ni du ciel et qui ne l’éloigne ni de la terre ni de ses profondeurs. Il est celui qui possède les degrés sublimes par rapport au Trône et à la terre, et malgré tout cela Il est proche de tout existant, Il est plus proche des serviteurs que leurs veines jugulaires et Il est témoin sur toute chose car Sa proximité ne ressemble pas à l’essence des corps. Il ne s’incarne en aucune chose et aucune chose ne s’incarne en Lui, son Exaltation interdit qu’Il soit contenu dans un espace et Sa transcendance interdit qu’Il soit délimité par un temps car Il était avant qu’il crée l’espace et le temps et Il est maintenant comme Il était ; Il est Manifeste par rapport à Ses créatures par Ses Attributs, il n’y a rien d’autre que Lui dans Son Essence et Son Essence n’est pas dans autrui, Sa transcendance interdit qu’Il s’expose aux accidentes du changement et de la génération, Il n’est pas soumis aux contingences et aux accidentes car Il ne cesse par les Attributs de la Perfection de se passer de tout parachèvement de la perfection. De par Son Essence, Son Existence est connue par les entendements et appréhendée par le discernement, par bienfait de Sa part en faveur des justes dans la Demeure du séjour éternel et par parachèvement de Sa part des béatitudes qui procure la vision de Sa face Auguste.
Les Attributs de la vue et de la puissance
Il est vivant, Puissant, Dominateur, Contraignant, non soumis à la déficience et à l’impuissance, à l’assoupissement et au sommeil, à l’extérieur et à la mort. Il est le Maitre du royaume, de la Gloire et de la Toute-Puissancce. Le pouvoir et la Domination, la Création et l’Ordre Lui appartiennent en propre et les cieux sont pliés dans Sa droite. Il est le seul Créateur et Concepteur, l’Unique Existenciateur et Façonneur. Il a crée les créatures ainsi que leurs œuvres. Il a déterminé leurs subsistances et les termes de leurs vies. Déterminations sont innombrables et Ses connaissances sont infinies.
La science
Il sait toutes les connaissances. Sa science embrasse tout ce qui se passe depuis les profondeurs de la terre jusqu’aux cieux les plus élevés et rien n’échappe à Sa science, même pas le poids d’un grain de moutarde dans la terre et dans le ciel. Il connaît même le déplacement de la fourmi noire sur la pierre lisse au cours de la nuit sombre. Il perçoit le mouvement des corpuscules de poussière dans l’atmosphère, Il connaît le secret et ce qui est plus subtil encore, Il connaît les soucis des consciences, les mouvements des idées qui traversent les esprits et les contours des secrets intimes par une science éternelle par laquelle Il ne cesse d’être qualifié depuis l’éternité des éternités, non par une science qui se renouvelle et qui se réalise dans Son Essence par acquisition.
La volonté
Il a voulu les êtres créés et il régit tout ce qui existe. Ainsi rien ne se passe dans le monde de la manifestation et dans le monde des anges, qu’il soit important ou insignifiant, grand ou petit, bon ou mauvis, utile ou nuisible, fidélité ou impiété, connaissance ou ignorance, réussite ou échec, accroissement ou diminution, obéissance ou désobéissance, sans qu’il soit par Sa volonté, Son Décret, Son Arrêt, Sa Sagesse et Son Bon vouloir. Rien n’échappe à Son Bon vouloir, nie le regard furtif, ni l’éclair d’une pensée traversant l’esprit. Ce qu’Il veut sera et ce qu’Il ne veut pas ne sera pas. Il est Celui qui Commence la création et qui le recommence, Il fait ce qu’Il veut, rien ne peut récuser Son jugement et rien ne peut s’opposer à Son décret. Le serviteur ne peut échapper à Sa désobéissance que s’il bénéfice de Sa Grâce et de Sa Miséricorde et il n’a pas la force de lui obéir que par la grâce de Son amour et de Sa volonté et Son bon vouloir, ils en seraient incapables. Sa volonté subsiste dans Son Essence avec l’ensemble de Ses Attributs. Il ne cesse d’être qualifié, voulant dans sont éternité l’existence des choses au moment qu’Il a déterminé et elles sont existé comme Il les a déterminées et voulues dans Son éternité, sans avancement i retardement. Il a déterminé toutes les choses sans ordonner les idées et épier les temps favorables, voilà pourquoi aucune affaire ne le retient par rapport à une autre.
L’ouïe et la vue
Il est Audiant et Voyant. Aucune chose étendue n’échappe à Son Ouïe même si elle est subtile ; aucune choses visible n’échappe à Sa vue même si elle est extrêmement fine. Aucune étendue ne voile Son Ouïe et aucunes ténèbres n’empêche Sa vue. Il voit sans pupille ni paupières et entend sans lobes ni oreilles, comme Il sait sans cœur, empoigne sans membre et crée sans organe car Ses qualités ne ressemblent pas à celles des créatures, au même titre que Son essence n’est pas semblable à celles des créatures.
La Parole
Il parle, ordonne, interdit, promet et menace par une parole éternelle qui subsiste dans Son Essence. Sa Parole ne ressemble pas à celle des créatures. Elle n’est pas un son provoqué par l’infiltration de l’air ou le choc entre corps matériels, ni une lettre articulée par le mouvement des lèvres et de la langue. Le Coran, la Torah, l’Evangile et les Psaumes sont Sa Parole et Ses livres révélés à Ses Messagers. Le Coran est lu par les langues, reproduit dans des textes et gardé dans les cœurs et il est pourtant éternel, subsistant par l’Essence d’Allah sans subir la séparation et la discontinuité en passant dans les cœurs et les feuillets. Moïse a entendu la Parole de d’Allah, sans son ni lettre, au même titre que les justes voient l’Essence de d’Allah sans voir une substance ni un accident. Comme Il possède ces qualités il est vivant, Savant, Puissant, Voulant, Audiant, Voyant, Parlant par la vie, la Science, la Puissance, la Volonté, l’Ouïe, la Vue et le Langage et non par le simple Essence.
Les Actes Divins
Tout autre existant à part Lui est instauré par Son Agir et il déborde de Sa justice sous le meilleur des rapports, le plus parfait, le plus équitable et le plus impeccable. C’est qu’Il est Sage dans Ses actes et juste dans Ses jugements. Sa justice ne peut pas être comparée à celle des créatures car on imagine que l’injustice puisse émaner du serviteur du fait qu’il gère les possessions d’autrui mais il est inconcevable que l’injustice puisse provenir d’Allah car Il ne rencontre pas des possessions appartenant à autrui pour qu’Il puisse être injuste en les gérant. En effet tout ce qui est autre que Lui, commet les djinns, les humains, les démons, les anges, le ciel, la terre, les animaux, les végétaux, les minéraux, les substances, les accidents le sensible, le perceptible et le contingent, Il l’a conçu par Sa Puissance à partir du néant et l’a produit alors qu’il n’était rien car il existait Seul depuis l’éternité et rien n’était avec Lui. Il a instauré les créatures pour manifester Sa Puissance, pour réaliser ce qui a été décrété d’avance par Sa volonté et pour rendre effective Sa Parole dans l’éternité non parce qu’Il en a besoin ou parce qu’Il en dépend. Il est le Bienfaiteur par la création, la conception et l’obligation de l’adorer, sans que la moindre nécessité ne s’impose à Lui. Il accorde les faveurs et l’amélioration sans obligation. Et s’Il versait le châtiment comme un liquide sur les créatures, ce serait une justice de Sa part. Il rétribue Ses serviteurs pour leur obéissance par générosité non par obligation et par mérite. Son droit à l’obéissance s’impose par le fait qu’Il l’a rendu obligatoire par la bouche de Ses prophètes, non par la simple raison. Mais Il a envoyé les Messagers et confirmé leur véracité par les miracles éclatants, et ils sont transmit Son Ordre et Ses interdits ainsi que Sa Promesse et sa Menace, et il incombe aux créatures de croire en ce qu’Ils ont apporté.
La profession de foi des adeptes de la Sunna.
C’est de croire qu’Allah est Un, sans associé, singulier sans semblable, incommensurable sans contraire, unique sans égal, éternel sans début, infini sans commencement, existant pour toujours sans finitude, perpétuel sans fin, subsistant par Lui-même sans rupture, impérissable sans discontinuité, Il ne cesse et Il n’a cessé d’être qualifié par les Attributs de la Majesté. Il n’est pas soumis à la discontinuité des durées et à la disparition des temps car Il est le Premier et le Dernier, le Manifeste et le Latent.
Il n’est ni un corps circonscrit, ni une substance finie et déterminée. Il ne ressemble pas au corps ni en matière de détermination ni en matière de soumission à la division. Il n’est pas une substance et les substances ne s’incarnent pas en Lui. Il n’est pas un accident et les accidents ne s’incarnent pas en Lui. Car Il ne ressemble à aucun existant et aucun existant ne lui ressemble, rien ne Lui est semblable et Il n’est semblable à rien. Il n’est pas délimité par la mesure. Il n’est pas contenu dans l’étendue, Il n’est pas délimité par les directions. Il n’est pas cerné par la terre et les cieux. Il est établie (istawa) sur le trône (al 3arch) selon la modalité qu’Il à indiquée et selon le sens qu’Il a voulu, d’un établisement transcendant le contact, la stabilité, l’effectivité, l’incarnation et le déplacement. Le trône ne le porte pas, ce sont plutôt le Trône et les Anges qui le porte et qui sont maintenus par la Bienveillance de Sa Toute Puissance et soumis à Son Pouvoir. Il est au-dessus du Trône et au-dessus de tout jusqu’à l’infini d’une transcendance qui ne le rapproche ni du Trône ni du ciel et qui ne l’éloigne ni de la terre ni de ses profondeurs. Il est celui qui possède les degrés sublimes par rapport au Trône et à la terre, et malgré tout cela Il est proche de tout existant, Il est plus proche des serviteurs que leurs veines jugulaires et Il est témoin sur toute chose car Sa proximité ne ressemble pas à l’essence des corps. Il ne s’incarne en aucune chose et aucune chose ne s’incarne en Lui, son Exaltation interdit qu’Il soit contenu dans un espace et Sa transcendance interdit qu’Il soit délimité par un temps car Il était avant qu’il crée l’espace et le temps et Il est maintenant comme Il était ; Il est Manifeste par rapport à Ses créatures par Ses Attributs, il n’y a rien d’autre que Lui dans Son Essence et Son Essence n’est pas dans autrui, Sa transcendance interdit qu’Il s’expose aux accidentes du changement et de la génération, Il n’est pas soumis aux contingences et aux accidentes car Il ne cesse par les Attributs de la Perfection de se passer de tout parachèvement de la perfection. De par Son Essence, Son Existence est connue par les entendements et appréhendée par le discernement, par bienfait de Sa part en faveur des justes dans la Demeure du séjour éternel et par parachèvement de Sa part des béatitudes qui procure la vision de Sa face Auguste.
Les Attributs de la vue et de la puissance
Il est vivant, Puissant, Dominateur, Contraignant, non soumis à la déficience et à l’impuissance, à l’assoupissement et au sommeil, à l’extérieur et à la mort. Il est le Maitre du royaume, de la Gloire et de la Toute-Puissancce. Le pouvoir et la Domination, la Création et l’Ordre Lui appartiennent en propre et les cieux sont pliés dans Sa droite. Il est le seul Créateur et Concepteur, l’Unique Existenciateur et Façonneur. Il a crée les créatures ainsi que leurs œuvres. Il a déterminé leurs subsistances et les termes de leurs vies. Déterminations sont innombrables et Ses connaissances sont infinies.
La science
Il sait toutes les connaissances. Sa science embrasse tout ce qui se passe depuis les profondeurs de la terre jusqu’aux cieux les plus élevés et rien n’échappe à Sa science, même pas le poids d’un grain de moutarde dans la terre et dans le ciel. Il connaît même le déplacement de la fourmi noire sur la pierre lisse au cours de la nuit sombre. Il perçoit le mouvement des corpuscules de poussière dans l’atmosphère, Il connaît le secret et ce qui est plus subtil encore, Il connaît les soucis des consciences, les mouvements des idées qui traversent les esprits et les contours des secrets intimes par une science éternelle par laquelle Il ne cesse d’être qualifié depuis l’éternité des éternités, non par une science qui se renouvelle et qui se réalise dans Son Essence par acquisition.
La volonté
Il a voulu les êtres créés et il régit tout ce qui existe. Ainsi rien ne se passe dans le monde de la manifestation et dans le monde des anges, qu’il soit important ou insignifiant, grand ou petit, bon ou mauvis, utile ou nuisible, fidélité ou impiété, connaissance ou ignorance, réussite ou échec, accroissement ou diminution, obéissance ou désobéissance, sans qu’il soit par Sa volonté, Son Décret, Son Arrêt, Sa Sagesse et Son Bon vouloir. Rien n’échappe à Son Bon vouloir, nie le regard furtif, ni l’éclair d’une pensée traversant l’esprit. Ce qu’Il veut sera et ce qu’Il ne veut pas ne sera pas. Il est Celui qui Commence la création et qui le recommence, Il fait ce qu’Il veut, rien ne peut récuser Son jugement et rien ne peut s’opposer à Son décret. Le serviteur ne peut échapper à Sa désobéissance que s’il bénéfice de Sa Grâce et de Sa Miséricorde et il n’a pas la force de lui obéir que par la grâce de Son amour et de Sa volonté et Son bon vouloir, ils en seraient incapables. Sa volonté subsiste dans Son Essence avec l’ensemble de Ses Attributs. Il ne cesse d’être qualifié, voulant dans sont éternité l’existence des choses au moment qu’Il a déterminé et elles sont existé comme Il les a déterminées et voulues dans Son éternité, sans avancement i retardement. Il a déterminé toutes les choses sans ordonner les idées et épier les temps favorables, voilà pourquoi aucune affaire ne le retient par rapport à une autre.
L’ouïe et la vue
Il est Audiant et Voyant. Aucune chose étendue n’échappe à Son Ouïe même si elle est subtile ; aucune choses visible n’échappe à Sa vue même si elle est extrêmement fine. Aucune étendue ne voile Son Ouïe et aucunes ténèbres n’empêche Sa vue. Il voit sans pupille ni paupières et entend sans lobes ni oreilles, comme Il sait sans cœur, empoigne sans membre et crée sans organe car Ses qualités ne ressemblent pas à celles des créatures, au même titre que Son essence n’est pas semblable à celles des créatures.
La Parole
Il parle, ordonne, interdit, promet et menace par une parole éternelle qui subsiste dans Son Essence. Sa Parole ne ressemble pas à celle des créatures. Elle n’est pas un son provoqué par l’infiltration de l’air ou le choc entre corps matériels, ni une lettre articulée par le mouvement des lèvres et de la langue. Le Coran, la Torah, l’Evangile et les Psaumes sont Sa Parole et Ses livres révélés à Ses Messagers. Le Coran est lu par les langues, reproduit dans des textes et gardé dans les cœurs et il est pourtant éternel, subsistant par l’Essence d’Allah sans subir la séparation et la discontinuité en passant dans les cœurs et les feuillets. Moïse a entendu la Parole de d’Allah, sans son ni lettre, au même titre que les justes voient l’Essence de d’Allah sans voir une substance ni un accident. Comme Il possède ces qualités il est vivant, Savant, Puissant, Voulant, Audiant, Voyant, Parlant par la vie, la Science, la Puissance, la Volonté, l’Ouïe, la Vue et le Langage et non par le simple Essence.
Les Actes Divins
Tout autre existant à part Lui est instauré par Son Agir et il déborde de Sa justice sous le meilleur des rapports, le plus parfait, le plus équitable et le plus impeccable. C’est qu’Il est Sage dans Ses actes et juste dans Ses jugements. Sa justice ne peut pas être comparée à celle des créatures car on imagine que l’injustice puisse émaner du serviteur du fait qu’il gère les possessions d’autrui mais il est inconcevable que l’injustice puisse provenir d’Allah car Il ne rencontre pas des possessions appartenant à autrui pour qu’Il puisse être injuste en les gérant. En effet tout ce qui est autre que Lui, commet les djinns, les humains, les démons, les anges, le ciel, la terre, les animaux, les végétaux, les minéraux, les substances, les accidents le sensible, le perceptible et le contingent, Il l’a conçu par Sa Puissance à partir du néant et l’a produit alors qu’il n’était rien car il existait Seul depuis l’éternité et rien n’était avec Lui. Il a instauré les créatures pour manifester Sa Puissance, pour réaliser ce qui a été décrété d’avance par Sa volonté et pour rendre effective Sa Parole dans l’éternité non parce qu’Il en a besoin ou parce qu’Il en dépend. Il est le Bienfaiteur par la création, la conception et l’obligation de l’adorer, sans que la moindre nécessité ne s’impose à Lui. Il accorde les faveurs et l’amélioration sans obligation. Et s’Il versait le châtiment comme un liquide sur les créatures, ce serait une justice de Sa part. Il rétribue Ses serviteurs pour leur obéissance par générosité non par obligation et par mérite. Son droit à l’obéissance s’impose par le fait qu’Il l’a rendu obligatoire par la bouche de Ses prophètes, non par la simple raison. Mais Il a envoyé les Messagers et confirmé leur véracité par les miracles éclatants, et ils sont transmit Son Ordre et Ses interdits ainsi que Sa Promesse et sa Menace, et il incombe aux créatures de croire en ce qu’Ils ont apporté.