LES JOURS DE NOÉ et les "Fils de Dieu"
Posté : 06 juin04, 14:22
Un article fort intéressant pour ceux qui aiment débattre les points difficiles de la Bible. D'une part, la science nous propose des solutions multiples face aux apparitions angéliques vs les apparitions d'extraterrestres, et de l'autres les théologiens et les érudits éprouvent une grande difficulté à se mettre d'accord sur l'interprétations de ces points en questions. Je serai donc intéressé à une discussion se rapportant sur vos croyances, sur vos théories doctrinales, et sur votre interprétations des passages en questions!!!
LES JOURS DE NOÉ
et les "Fils de Dieu"
Traduit par: cocotte
L'un des sujets des plus facinants pouvant être trouver dans notre étude de la Bible est celui du compte-rendu concernant la jeune Terre, cette première grande ère dans l'histoire du monde, dont on y réfère parfois comme celle de l'âge antédiluvienne. Il est un âge enveloppée de mystère et de merveille, un âge se rapportant non-seulement à un monde perdu mais à un séparé de nous dans le temps par une grande époque divisible comprenant des évènements catostrophiques changeants le monde. C'est un compte-rendu de ce monde de gloire humaine et de faiblesses, et d'interventions démoniaques; un monde qui fut détruit totalement dans le grand jugement du Déluge plusieurs milliers d'années passées, un déluge qui laissa notre monde différent d'une manière vaste et permanente. Même que la preuve de ce grand évènement est abondant dans les traditions de plusieurs cultures de par le monde et confirmé dans plusieurs des disciplines, la seule information directe que nous avons de cette première période dans l'histoire de la Terre est trouvé dans les tout premiers chapitres du livre de la Genèse et quelques autres références relativement breves qui sont éparpillées au travers des Écritures.
Parce que des portions de ce sujet et des faits qui y sont relatés touchent à des questions de démonologie, il fut fait objection que "nous devrions concentrer notre attention sur Christ et non-pas sur le Diable." Pourtant, et entre autres, une telle objection tenderait à perpétuer quelque peu la compréhension obscure de ce passage important des Écritures. Deplus, si notre victoire en tant que croyants devrait être complète, il nous incombe d'étudier toutes les Écritures, car comme il est dans n'importe lequel engagement militaire d'avec cet ennemi est avec certitude indiquer de façon graphique par l'Apôtre paul dans Éphésiens 6:10-18. Finallement, Notre Seigneur Lui-même nous exhorte d'étudier les détails de cette première âge, dont les évènements se répèteront bientôt avant Sa seconde venu. Donc, s'il y en a qui demandent si ça vaut la peine de s'acharner sur cette question, nous ne pouvons que répondre que toutes les Écritures nous sont donnés par l'amour et la sagesse de Dieu et que ça doit être d'une valeur essentielle et d'une importance de les comprendre avec précision pour parvenir à connaître le plein conceil de Sa révélation.
Deux jours avant la crucification du Christ, Ses diciples lui ont demandé, "(...) quand celà arrivera-t-il et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du mond?" (Matthieu 24:3). Sa réponse indiqua un nombre de "signes," dont tous ensemble arrivera dans cette génération qui verra les signes, et qui sera le signe qu'ils ont demandé. Ces signes furent à un apogé avec un avertissement prophétique. "Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu'à ce que le déluge vienne et les emporte tous; il en sera de même à l'avènement du Fils de l'homme" (Matthieu 24:37-39). Ainsi Jésus a non-seulement vérifié l'historicité de la culture antédiluvienne et du grand Déluge, il nous rappela aussi de la relation entre la méchanceté et le jugement, mais il nous encouragea aussi d'étudier de près les caractéristiques des jous avant le Déluge, parce que ceux-ci caractériseront aussi les jours juste avant Son retour.
Le premier grand âge de'histoire humaine arriva à son apogé et à son point culminant du temps de Noé. La maladie-pécheresse, qui débuta si innoffensivement lorsque Éve fut tenté de mettre en doute la parole de Dieu, qui a commencer à montrer sa vraie laideur de caractère dans la vie de Cain, et qui arriva à maturité dans la civilisation sans-dieu qui fut développé par ces descendants, a finallement descendu dans un tel fatras de faiblesse et de corruption que même l'imagination la plus fertile est défiée dans sa tentative d'en capter la magnitude, et de quoi une entière divulgation n'aura comme résultat, et sans aucun doute, de choquer complètement les sensibilités des Chrétiens qui les regarderaient. Le régistre fait note que même notre propre Créateur Lui-même fut consterné et en deuil jusqu'au coeur de Sa personne qu'Il est jamais fait l'home sur cette Terre. Seulement un bain global d'eau extrêmement 'turbide' déchaînée des vitres des cieux et des entrailles de la Terre pourrait purger et purifier le monde fièvreux et suppuré. La parole de Dieu déclare de façon claire et uniquivocablement que les caractéristiques de ces jours affreux et tragiques, aussi étrange qu'ils peuvent paraître, sont néanmoins à être répétés aux derniers jours de cet âge présent. En tant que corrélation entre la Genèse 6:1-4 et Matthieu 24:37-39, et ainsi que des corrélations entre autres passages pertinents, nous démontrerons, qu'il est évidemment clair que du temps des deux cas en question la corruption et la violence existent côtes à côte avec du luxe, le rafinement et la culture haute. De tels combinaisons apparemment incongrus n'ont pas été infréquent dans les temps postes-déluviennes. Il est donc important de façon urgente, du point de vu des deux en y comprenant l'histoire passée et en recherchant la guidance pour le future, que nous comprennions les évènement qui eurent lieu lors des jours de Noé.
Comme nous pouvons le voir à partir des Écritures, et tel que décrit pas Notre Seigneur Lui-même, le sixième chapitre de la Genèse contien un message important pour nous en ce qui concerne les jours de Noé, une description d'intérêt capital et d'importance pour nous: "Car voici, l'Éternel arrive dans un feu, Et ses chars sont comme un tourbillon; Il convertit sa colère en un brasier, Et ses menaces en flammes de feu. C'est par le feu que l'Éternel exerce ses jugement, C'est par son glaive qu'il châtie toute chair;" (Ésaie 66:15-16). Ça devient, par conséquent, un devoir évident de considérer le progrès de la faiblesse et de la corruption parmis les antédiluviens, aussi loin que celà a plû à Dieu de nous informer à son sujet; de nous mettre au courant non-seulement avec la semence mais aussi avec l'arrosage, la pousse, et le mûrissage, de cette récolte odieuse contre qui la faucile scintillante du Tout Puissant s'étend comme une éclaire des cieux; de prendre note des différentes motivations à faire le mal au fur et à mesure qu'ils apparaîssent de façon succèssives, et d'observer l'influence particulière de chacune sur les masses de la sociéty qui sont décomposes rapidement. Car en faisant ainsi, nous allons nous armer contre les erreurs et le tentations qui se multiplient de façon quotidienne autour de nous, et nous serons capables de dicerner les signes menaçants de nos temps. (Matthieu 24:37-39); Romains 15:4; I Corienthiens 10:11; II Timothé 3:16-17; I Jean 5:13).
Lorsque les hommes se sont multipliés sur la surface de la Terre dans cet âge primitif, comme dans notre propre temps, et ainsi le fit la diffusion et l'intensification du péché. Pour chaque forme de mal qui existe dans des localités mincement populées va aussi être trouvé, mais à un plus haut degré, où l'homme s'est multiplié; où il y a d'inombrables vices qui sont particuliers à des districtes bondés. Par conséquent, s'il sont nombreux, les hommes se supportent l'un, l'autre dans la rebellion, et sont sujet à devenir beaucoup plus audacieux et défiants de Dieu. Parmis nous, les bastions du rationalisme et de l'athéisme sont toujours retrouver dans des larges cités. Tandis que les familles de la Terre augmentent en nombre, c'est ainsi pour la civilisation, l'apprentissage, et la technologie. Étant donné la loganimité des antediluviens, jumelés à leur immense accumulation de connaîssance, d'expérience, et d'habilité, leur civilisation a dû avancé à un degré prèsque inconcevable. Un spécimène d'industrie antediluvienne fut l'Arche bâtit signulièrement par le labeur, et sous l'intendance, d'un Séthite seul et remplit de Dieu, Noé, guidé par Dieu, et ainsi que sa modeste famille. Le long passé de l'amalgamation de Cainites (descendants de Cain, le meurtre du fils d'Adam et d'Éve qui tua son frère Abel) fut triste et instructif, dans une société de tout à loisir disposée à la méchanceté. L'indulgence misérable, la gratification de soi et la gloire humaine dépravée sembleraient être le résidue de la religion sans-dieu du temps. Une vie gaspillée et indulgente de vanité et de l'indifférence envers la famille dans les manières insouciantes de leurs enfants dans des mariages frivoles ont mis la scène pour l'épouvantable escalation dy mal qui suivera bientôt. Aucun vrai adorateur de Jéhovah pouvaient être trouvés, sauf dans la seule famille de Noé, un petit restant connecté avec la ligne de la Semence promise.
Alors, du temps de Noé, un évènement nouveau et surprenant éclata sur le monde, et a accéléré de façon épeurante le progrès déjà rapide du mal, menant à un tel raz-de-maré de violence et de méchanceté sur la Terre qu'il n'y avait plus aucun remède que celui de la destruction complète. Ainsi, notre texte dans la Genèse se lit ainsi:
"Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent. Alors l'Éternel dit: Mon Esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là. Il en fut de même après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité" (Genèse 6:1-4).
Ce passage contien un détail qui est souvent soi ignoré, ou bien disputé, ou rejeté carrément - celui qu'il y ait eu des géants, litéralement et physiquement, sur la Terre. Ici nous avons le rapport de ce qui constitue de façon évidente le premier grand déclanchement de "l'ingénieurie génétique" démoniaque par l'entremise d'enlèvement démoniaque de femmes, duquel le résultat fut le gigantisme humanoide. Le second déclanchement a eu lieu "aussi après celà" quelques temps avant qu'Israel arrive dans la terre de Canaan. Parceque là, ils ont fait la rencontre des Nephalim ou (ceux de la chute." Le déclanchement pré-Délugien a été, bien sûr, fini brutalement par le jugement global du Déluge. Du temps de David, qui a affronté Goliath, Dieu, au travers d'Israel, a appoté le déclanchement de l'après-Déluge à sa fin. Un millier d'années après le temps de David l'intervention démoniaque s'est produit encore, cette fois-là sous la forme de la possession corporel de l'humain qui crû en sévicant, du temps du Christ. Enfin, de notre propre temps, nous voyons encore des marques évidentes d'activité démoniaques, par les "fils déchus de Dieu," d'une légion différente, fort probablement dans les espèces d' "OVNI" et dans les phénomènes "d'enlèvements par les extraterrestres" des denières années.
Comme le rapport l'indique clairement, les rejetons des unions entre les "fils de Dieu" et le "filles des hommes" furent la progéniture du genre le plus grotèsque, étant les "géants de la terre," étant les mêmes que les "puissants hommes (...) fameux (...)," des monstres non-seulement en grandeur mais aussi des monstres dans la méchanceté, et toujours, et sans exception, furent-ils disposés à contrarier les objectifs de Dieu (Genèse 6:1, 2, 4). Dans la pensé de plusieurs lecteurs, la première réaction à ce passage est telle que, malgré l'intention évidente et clair, son incrédulité demande une interprétation alternative. L'interprétation standard des libérals est de penser des compte de fées de l'antiquité, les légendes des ocres et des dragons, et des mythes des dieux tenant compagnie aux hommes - et puis d'écarter l'histoire dans son entièreté comme étant une légende ou une superstition, mais un examen perspicace de ce passage va éliciter une signification bien plus profonde.
Souvent les biaisements et les présuppositions que nous apportons à la question empêchent notre compréhension et notre acceptation de sa valeur réelle et de la signification patiente. Les Chrétiens modernes ont souvent essayé de rendre ce passage de la Genèse plus intellectuellement acceptable en expliquant les "fils de Dieu" comme étant des Séthites et les "filles des hommes" en tant que Cananéites, avec leur union comme représentant la démolition du mur de la séparation entre les croyants et les mécroyants. Une autre interprétation qui évite les implications supernaturalistiques est que la phrase "fils de Dieu" ferait référence aux rois et aux nobles, dans un tel cas le "mêler-avec-le-commun" tel que décrit n'est tout simplement qu'un rapport de la royauté se mariant avec les gens du commun. Ce passage n'est pas le premier à être accueilli avec une attitude naturalistique comme telle. La séparation miraculeuse des eaux profondes de la Mer Rouge, dans lequel Dieu a fourni un chemin d'évasion pour les Israélites fuyant l'Égypte lors de l'Exode fut expliquée de façon libérale comme étant un évènement par lequel "qu'une plaine marécageuse inondée fut drainée durant un maré-basse inhabituelle et qui fut accompagnée d'un vent désertique particulièrement sec et chaud qui assècha la terre, permettant ainsi aux Israélites de marcher sur un sol sèche à l'extrimité peu profonde de l'Océan des Roseaux."
Encore, le rapport dans l'Exode décrit quelque chose d'étonnament différent; une division miraculeuse et dramatique des eaux où "(...) Les enfants d'Israel entrèrent au milieu de la mer à sec, et les eaux formaient comme une muraille à leur droite et à leur gauche," (Exode 14:21-22). De notre temps, le "scientifiquement impossible" est le plus souvent que d'autre carrément rejeté de tout de même. Dans un autre cas, des animaux exceptionnellement larges et puissants, qui sont référés comme étant le béhémoth et le léviathan, sont décrient dans Job 40:15-24 et 41:1-34. Dans le passé ils ont été considéré par les commentateurs Bibliques comme étant des descriptions de l'hippopotame et de la baleine, encore, aucunes de ces créatures ne correspondent avec la description soigneuse des bêtes donnée dans ce passage des Écritures.
Ce ne fut réalisé que tout récemment que le bénémoth et le léviathan furent de larges animaux terrestres, notament, des dinosaures. Puisque la science des dinosaures de notre temps est un développement paléontologique assez récent, datant seulement depuis le milieu de l'avant-dernier siècle, une grande partie des premiers auteurs, desquels nos commentaires actuels sont dérivés, n'avaient aucune connaissance de ces créatures préservés dans les cimetières de fossiles de la Terre. S'ils auraient prient la parole de Dieu pour ce qu'elle vaut et s'ils auraient étudié les descriptions de Job avec plus d'attention notre connaissance et notre science au sujet des dinosaures pourrait bien être nous être venu plutôt. Même l'interprétation litérale de la vaste longévité de antédiluviens, qui vécurent jusqu'à un tel grand âge de près de mille ans au lieu d'être coupé à trois vingtaine et dix, comme à notre temps, est le plus souvent remise en question si non-pas rejetée carrément par des théologiens et étudiants de la Bible.
En ce qui concerne la Genèse 6:1-4, parcontre, aucunes des interprétations naturalistiques expliquent le pourquoi que la progéniture de telles unions serait des "géants" ou bien le pourquoi qu'ils aboutiraient à la corruption universelle et à la violence. Bien que les Écritures enseignent effectivement que les croyants ne devraient pas épouser des mécroyants (II Corinthiens 6:14; I Corinthiens 7:39), il n'y a aucune intimation que ce péché en particulier est impardonnable ou bien nécessairement plus productif en matière d'une déterioration morale générale que d'autres péchés. Sans tenir compte des difficultés intellectuelles, il est pourtant clair que quelque chose de très remarquable qui est situé audelà du normal et du naturel, est décrit dans la
Genèse 6:1-4.
La première question à comprendre en ce qui a trait à cette merveilleuse portion d'Écriture, audelà de son intention contextuel simple, se tourne évidemment vers la signification hébraique de la phrase "fils de Dieu" (bene elohim). Dans le Nouveau Testament, bien sûr, le terme fils de Dieu est utilisé en référence à tous ceux qui sont nés de nouveau de par leur foi personnelle en Jésus-Christ (Jean 1:12; romains 8:14; etc.) et le concepte d'une relation spirituelle des croyants avec Dieu est analogue à celui des enfants à un père est aussi retrouvé dans l'Ancien Testament (Psaumes 73:15; Osé 1:10; Deutéronomie 32:5; Exode 4:22; Ésaie 43:6). Parcontre, aucun de ces exemples utilisent la même phrase que Genèse 6:2, 4; deplus, dans chaque cas, la signification est n'est pas vraiment parallele à la signification donnée dans la Genèse.
Ni les descendants de Seth, ni les vrais croyants d'aucunes sortes ont été référé auparavant comme dans la Genèse comme étant des fils de Dieu dans aucun genre de sens spiritul et, à l'exception d'Adam lui-même, ils ne purent pas avoir été des fils de Dieu dans un sens physique. En contexte, une telle signification serait forcée, pour le moindre, dans l'absence d'explication de quelque espèce. Lorsque nous nous laissons dire que les "hommes" ont commencé à se multiplier sur la surface de la Terre, et que les fils de Dieu ont vu les filles des "hommes," dans chacuns des cas la race humaine est signifiée de façon claire, autrement dit, les descendants de Cain et de Seth de la même façon. D'ici, les "fils de Dieu" sont carrément distingués des générations d'Adam. La seule signification évidente et naturelle, sans une telle clarification, est que ces êtres furent des fils de Dieu, au lieu de ceux des hommes, parce qu'il ont été créé, non-pas né. Une telle description, bien sûr, s'appliquerait seulement à Adam (Luc 3:38) et aux anges, lesquels Dieu a créé de façon directe (Psaumes 148:2, 5; Psaumes 104:4; Colossiens 1:16).
L'expression réelle les "fils de Dieu," bene elohim, se présente de façon explicite trois autres fois, toutes dans le livre très ancien de Job (1:6; 2:1; 38:7), et dans chacun des cas, les terme fait référence de façon indisoutable à des êtres angéliques. Ceux-ci sont les êtres qui, apparemment, furent créés quelque temps au cours de la première partie de la semaine de la création, tout probablement lors de la première journée (Genèse 2:1; Job 38:4-7; Luke 2:13). À deux reprise au début du livre de Job nous lisons que les fils de Dieu se présentant eux-mêmes devant Lui à des temps définis, et Satan y vient aussi avec eux étant lui-même un fils de dieu, quoique l'un qui est désobéissant, déchu et rebel. Dans Job 38:7, les étoiles du matin sont représentés comme étant entrain de chanter ensemble, et les fils de Dieu comme étant entrain de crier de joie, à propos de la création de la Terre. Il y a, aussi, des références implicites à ces fils de Dieu dans un nombre d'autres passages. Il n'y a aucun doute que, que dans ces passages, la signification s'appliquerait de façon exclusive aux anges. Une forme très similaire "bar elohim" est utilisée dans Daniel 3:25, et fait référance soit à un ange ou bien à une théophanie. Le terme "fils du puissant", et aussi se réfère aux anges.
Les fils d'Élohim le puissant Créateur sont confinés à ces créatures fait directement par la main Divine, et ne sont pas nés d'un autre êtres de leur propre ordre. Donc, dans la généalogie de Notre Seigneur, delle de Luc, Adam est appelé un fils de Dieu (Luc 3:38), et, ainsi il est dit que Christ donne à ceux qui Le reçoivent, le pouvoir de devenir les fils de Dieu (Jean 1:12). Car ceux-ci sont nés de nouveau de l'Esprit de Dieu quand à leur homme intérieur et ce, même dans la vie actuelle. Ceci n'est possible que seulement ave l'homme puisque qu'il est délivré de la peine de mort et emporté au renouveau de la vie par un atonement substitutionnaire, non-pas les ages qui, de l'autre main, ont été fixer à leur position en tant qu'anges de la grâce, ou de la damnation, le dernier perdu sans espoir dans leur état de perdition.
Lors de la résurrection, ceux de l'humanité qui sont sauvés par le sange de l'Agneau, qui est Christ, vont dans leurs corps physiques glorifiés, être revêtu d'un corp spirituel, un édifice de Dieu (II Corinthiens 5:1); pour qu'ils puissent alors être dans toutes les manières égals aux anges, étant tout autant une nouvelle création (Luc 20:36). Ainsi, tout doute raisonnable, dans la mesure du contexte, de la langue, et de la simple exégèse de la Genèse 6:1-4 sont concernés, est enlevé en ce qui concerne l'intention de l'auteur de communiquer le concept des anges, des anges déchus pour le moindre, agissant en opposition à la volonté de Dieu. Celà aussi fut la signification placée sur le passage par les traducteurs Grecs du Septuagin, par Josephus, par l'écrivain de l'ancient livre apocryphal d'Énoch, et par tous les autres anciens interprêtes Juifs et les premiers auteurs Chrétiens. Il est évident que les premiers auteurs Chrétiens pour s'éloigner de cette compréhension et à suggérer que l'interprétation Séthite furent Chrysostom et Augustin. Même faire appel à des "pères" de la fin de notre dernier milliénium qui ont abandonné la point de vu orthodoxe de Genèse 6:1-4 parce que c'est "refuté de par sa propre absurdité" doivent eux-même, dans ce cas, répondre à leur propre frivolité patiente de se battre contre l'idée que les "géants" ne furent que simples individus de la même race de ceux qui furent "légèrement plus large et plus fort, et plus méchant," que les reste des gens.
Pareillement, ils doivent aussi répondre au pourquoi le monde du temps de Noé fut "divisé" entre les Sethites et les Cananéites, dont, en réalité, nous savons que ce ne fut pas le cas. Deplus, ceux qui interpelleront l'Église Chrétienne dans l'économie du Vieux Testament afin de justifier les "fils de Dieu" comme étant de simples croyants, par conséquent des hommes mortels, nous distraient de la question de l'un des exégèse Biblique direct vers d'autres fondements qui sont beaucoup trop ombrageux, si pas tout carrément des faussetés. Ces hommes, malgré leur grandeur en doctrine et en théorie, furent encore humainement faillibles et capables d'y manquer des éléments importants de la vérité Biblique dans leur doctrines. De notre temps, ce point de vu en opposition a été propagé largement par C. I. Scotfield dans les notes de sa célèbre Bible de référence. Pour appliquer le terme "fils de Dieu" comme tel à des hommes seulement est d'étirer la question audelà une limite raisonnable, parce qu'il peut se référer seulement qu'à ces fils de Dieu impliqués dans une seconde et plus profonde apostasie de ceux qui qui sont déchus d'en-haut.
Seulement une portion des anges qui ont originellement tombé avec Lucifer ont commit cette atrocité. Ceux-ci ont choisi de quitter leur propre monde et, ayant brisé au travers des limites de Dieu et entré dans un autre, recherchant de l' "étrange chair" (Jude 6,7) et d'exercer une influence illégale sur la race humaine. Ces rebels qui ont plus un esprit tortueux, en particuliers, ne sont plus retrouver parmis les esprits de la noirceur qui hantent l'air. Ils ne retiennent plus leur position en tant que principalités et des pouvoirs du monde, ni même leur liberté; mais ils peuvent être identifiés avec les criminels emprisonnés desquels Pierre nous raconte qu', après qu'ils ont péché, Dieu les jeta avec violence immidiatement embas vers Ses plus bas dongons en tant que punition instantanée de leur outrage impieux, et pour leur priver, pour tourjours, de leur pouvoir de produire davantage de la confusion de ce genre en particulier. "Car, si Dieu n'a pas épargné les anges qui ont péché, mais s'il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement (...)" (II Pierre 2:4). Jude 6 mentionne aussi leur condition présente en des termes similaires, et le contexte de deux passage indique
avec une claireté suffisante la nature de leur péché. Les hommes possédés-démoniaques et leur progénéture, avec tout les autres habitants sans-dieu du monde antediluvien ont péri dans les eaux du Déluge. Ces eaux sont maintenant les eaux des vastes océans des temps présents. Il est évident que ces anciens habitants y sont référés en connection avec le jugement final lorsque "La mer rendit les morts qui étaient en elle (...)" (Révélation 20:13).
Puisque tous qui ont péché ainsi furent emprisonnés en enfer (II Pierre 2:4; Jude 6) et, comme celà est évident, sont probablement "(...)esprits en prison, qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Dieu se prolongeait, au jours de Noé (...)" (I Pierre 3:19-20), et à qui Christ s'est rendu en Esprit après Sa mort pour y proclâmer Son ultime victoire sur méchants motifs. Il y a, bien que, encore d'autres anges déchus qui ne furent pas retrouvés, qui demeurent encore au large (Éphésiens 6:12). Que les anges ont apparu aux hommes dans des corps d'une telle nature que non-seulement ils pouvaient être vu mais même touché comme le déclare l'Écriture identique, des rumeurs ont persisté au cours du millénaire qui, et aussi, certains démons continussent à essayer et effectuer l'ancien crime. Que ceci ait été affirmé de façon si générale, ce serait imprudent de le nier. Que Paul avait de tels pensées en tête lorsqu'il demanda à la femme d'adorer avec une tête recouverte "(...) à cause des anges (...)" (I Corienthiens 11:10) est, pour le moindre, audedans des limites de la possibilité. Nous nous-mêmes, étant distancés dans le temps des anciens, ou encore de Paul, qui furent encore plus près dans le temps aux origines de ces traditions et qui retiennent encore une mémoire historique fraîche de ces évènements, avons tendance de les considérer comme incrédibles dans leurs propres temps.
Peut être que la plus commune des objections à la signification évidente des "fils de Dieu" comme représentant des anges, apart de ces accents supernaturalistiques, est, pour ceux qui ne rejèttent pas l'idée des anges, que ce serait impossible pour les anges d'avoir des relations sexuelles avec des femmes humaines et de paterner des enfants par elles, parce qu'ils sont "strictements des êtres spirituels" qui, non-pas comme les humains, "n'ont pas de forme." Toutefois, cette objection présuppose plus au sujet des habilités angéliques que nous en connaissons. N'importequand que les anges apparaîssent de façon visible aux hommes, tel que rapporter à de nombreuses occasions dans la Bible, il ont apparu dans les corps physiques des hommes. Ceux qui ont rencontré Abraham, par example, ne pouvaient non-seulement être touchés mais ils ont réellement dîné avec lui (Genèse 18:8) et, plutard, ont apparu aux habitants de Sodom dans une telle forme masculine que les Sodomites ont tenté de saisir ces "hommes" pour de motifs homosexuels. L'auteur de Hébreux y fait aussi un commentaire mordant qui, lors d'occasions variés, "(...) ont lgé des anges, sans le savoir" (Hébreux 13:2). Le Seigneur Jésus a en effet dit que "(...) à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel" (Matthieu 22:30).
À suivre, à la page 2/...
LES JOURS DE NOÉ
et les "Fils de Dieu"
Traduit par: cocotte
L'un des sujets des plus facinants pouvant être trouver dans notre étude de la Bible est celui du compte-rendu concernant la jeune Terre, cette première grande ère dans l'histoire du monde, dont on y réfère parfois comme celle de l'âge antédiluvienne. Il est un âge enveloppée de mystère et de merveille, un âge se rapportant non-seulement à un monde perdu mais à un séparé de nous dans le temps par une grande époque divisible comprenant des évènements catostrophiques changeants le monde. C'est un compte-rendu de ce monde de gloire humaine et de faiblesses, et d'interventions démoniaques; un monde qui fut détruit totalement dans le grand jugement du Déluge plusieurs milliers d'années passées, un déluge qui laissa notre monde différent d'une manière vaste et permanente. Même que la preuve de ce grand évènement est abondant dans les traditions de plusieurs cultures de par le monde et confirmé dans plusieurs des disciplines, la seule information directe que nous avons de cette première période dans l'histoire de la Terre est trouvé dans les tout premiers chapitres du livre de la Genèse et quelques autres références relativement breves qui sont éparpillées au travers des Écritures.
Parce que des portions de ce sujet et des faits qui y sont relatés touchent à des questions de démonologie, il fut fait objection que "nous devrions concentrer notre attention sur Christ et non-pas sur le Diable." Pourtant, et entre autres, une telle objection tenderait à perpétuer quelque peu la compréhension obscure de ce passage important des Écritures. Deplus, si notre victoire en tant que croyants devrait être complète, il nous incombe d'étudier toutes les Écritures, car comme il est dans n'importe lequel engagement militaire d'avec cet ennemi est avec certitude indiquer de façon graphique par l'Apôtre paul dans Éphésiens 6:10-18. Finallement, Notre Seigneur Lui-même nous exhorte d'étudier les détails de cette première âge, dont les évènements se répèteront bientôt avant Sa seconde venu. Donc, s'il y en a qui demandent si ça vaut la peine de s'acharner sur cette question, nous ne pouvons que répondre que toutes les Écritures nous sont donnés par l'amour et la sagesse de Dieu et que ça doit être d'une valeur essentielle et d'une importance de les comprendre avec précision pour parvenir à connaître le plein conceil de Sa révélation.
Deux jours avant la crucification du Christ, Ses diciples lui ont demandé, "(...) quand celà arrivera-t-il et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du mond?" (Matthieu 24:3). Sa réponse indiqua un nombre de "signes," dont tous ensemble arrivera dans cette génération qui verra les signes, et qui sera le signe qu'ils ont demandé. Ces signes furent à un apogé avec un avertissement prophétique. "Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu'à ce que le déluge vienne et les emporte tous; il en sera de même à l'avènement du Fils de l'homme" (Matthieu 24:37-39). Ainsi Jésus a non-seulement vérifié l'historicité de la culture antédiluvienne et du grand Déluge, il nous rappela aussi de la relation entre la méchanceté et le jugement, mais il nous encouragea aussi d'étudier de près les caractéristiques des jous avant le Déluge, parce que ceux-ci caractériseront aussi les jours juste avant Son retour.
Le premier grand âge de'histoire humaine arriva à son apogé et à son point culminant du temps de Noé. La maladie-pécheresse, qui débuta si innoffensivement lorsque Éve fut tenté de mettre en doute la parole de Dieu, qui a commencer à montrer sa vraie laideur de caractère dans la vie de Cain, et qui arriva à maturité dans la civilisation sans-dieu qui fut développé par ces descendants, a finallement descendu dans un tel fatras de faiblesse et de corruption que même l'imagination la plus fertile est défiée dans sa tentative d'en capter la magnitude, et de quoi une entière divulgation n'aura comme résultat, et sans aucun doute, de choquer complètement les sensibilités des Chrétiens qui les regarderaient. Le régistre fait note que même notre propre Créateur Lui-même fut consterné et en deuil jusqu'au coeur de Sa personne qu'Il est jamais fait l'home sur cette Terre. Seulement un bain global d'eau extrêmement 'turbide' déchaînée des vitres des cieux et des entrailles de la Terre pourrait purger et purifier le monde fièvreux et suppuré. La parole de Dieu déclare de façon claire et uniquivocablement que les caractéristiques de ces jours affreux et tragiques, aussi étrange qu'ils peuvent paraître, sont néanmoins à être répétés aux derniers jours de cet âge présent. En tant que corrélation entre la Genèse 6:1-4 et Matthieu 24:37-39, et ainsi que des corrélations entre autres passages pertinents, nous démontrerons, qu'il est évidemment clair que du temps des deux cas en question la corruption et la violence existent côtes à côte avec du luxe, le rafinement et la culture haute. De tels combinaisons apparemment incongrus n'ont pas été infréquent dans les temps postes-déluviennes. Il est donc important de façon urgente, du point de vu des deux en y comprenant l'histoire passée et en recherchant la guidance pour le future, que nous comprennions les évènement qui eurent lieu lors des jours de Noé.
Comme nous pouvons le voir à partir des Écritures, et tel que décrit pas Notre Seigneur Lui-même, le sixième chapitre de la Genèse contien un message important pour nous en ce qui concerne les jours de Noé, une description d'intérêt capital et d'importance pour nous: "Car voici, l'Éternel arrive dans un feu, Et ses chars sont comme un tourbillon; Il convertit sa colère en un brasier, Et ses menaces en flammes de feu. C'est par le feu que l'Éternel exerce ses jugement, C'est par son glaive qu'il châtie toute chair;" (Ésaie 66:15-16). Ça devient, par conséquent, un devoir évident de considérer le progrès de la faiblesse et de la corruption parmis les antédiluviens, aussi loin que celà a plû à Dieu de nous informer à son sujet; de nous mettre au courant non-seulement avec la semence mais aussi avec l'arrosage, la pousse, et le mûrissage, de cette récolte odieuse contre qui la faucile scintillante du Tout Puissant s'étend comme une éclaire des cieux; de prendre note des différentes motivations à faire le mal au fur et à mesure qu'ils apparaîssent de façon succèssives, et d'observer l'influence particulière de chacune sur les masses de la sociéty qui sont décomposes rapidement. Car en faisant ainsi, nous allons nous armer contre les erreurs et le tentations qui se multiplient de façon quotidienne autour de nous, et nous serons capables de dicerner les signes menaçants de nos temps. (Matthieu 24:37-39); Romains 15:4; I Corienthiens 10:11; II Timothé 3:16-17; I Jean 5:13).
Lorsque les hommes se sont multipliés sur la surface de la Terre dans cet âge primitif, comme dans notre propre temps, et ainsi le fit la diffusion et l'intensification du péché. Pour chaque forme de mal qui existe dans des localités mincement populées va aussi être trouvé, mais à un plus haut degré, où l'homme s'est multiplié; où il y a d'inombrables vices qui sont particuliers à des districtes bondés. Par conséquent, s'il sont nombreux, les hommes se supportent l'un, l'autre dans la rebellion, et sont sujet à devenir beaucoup plus audacieux et défiants de Dieu. Parmis nous, les bastions du rationalisme et de l'athéisme sont toujours retrouver dans des larges cités. Tandis que les familles de la Terre augmentent en nombre, c'est ainsi pour la civilisation, l'apprentissage, et la technologie. Étant donné la loganimité des antediluviens, jumelés à leur immense accumulation de connaîssance, d'expérience, et d'habilité, leur civilisation a dû avancé à un degré prèsque inconcevable. Un spécimène d'industrie antediluvienne fut l'Arche bâtit signulièrement par le labeur, et sous l'intendance, d'un Séthite seul et remplit de Dieu, Noé, guidé par Dieu, et ainsi que sa modeste famille. Le long passé de l'amalgamation de Cainites (descendants de Cain, le meurtre du fils d'Adam et d'Éve qui tua son frère Abel) fut triste et instructif, dans une société de tout à loisir disposée à la méchanceté. L'indulgence misérable, la gratification de soi et la gloire humaine dépravée sembleraient être le résidue de la religion sans-dieu du temps. Une vie gaspillée et indulgente de vanité et de l'indifférence envers la famille dans les manières insouciantes de leurs enfants dans des mariages frivoles ont mis la scène pour l'épouvantable escalation dy mal qui suivera bientôt. Aucun vrai adorateur de Jéhovah pouvaient être trouvés, sauf dans la seule famille de Noé, un petit restant connecté avec la ligne de la Semence promise.
Alors, du temps de Noé, un évènement nouveau et surprenant éclata sur le monde, et a accéléré de façon épeurante le progrès déjà rapide du mal, menant à un tel raz-de-maré de violence et de méchanceté sur la Terre qu'il n'y avait plus aucun remède que celui de la destruction complète. Ainsi, notre texte dans la Genèse se lit ainsi:
"Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent. Alors l'Éternel dit: Mon Esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là. Il en fut de même après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité" (Genèse 6:1-4).
Ce passage contien un détail qui est souvent soi ignoré, ou bien disputé, ou rejeté carrément - celui qu'il y ait eu des géants, litéralement et physiquement, sur la Terre. Ici nous avons le rapport de ce qui constitue de façon évidente le premier grand déclanchement de "l'ingénieurie génétique" démoniaque par l'entremise d'enlèvement démoniaque de femmes, duquel le résultat fut le gigantisme humanoide. Le second déclanchement a eu lieu "aussi après celà" quelques temps avant qu'Israel arrive dans la terre de Canaan. Parceque là, ils ont fait la rencontre des Nephalim ou (ceux de la chute." Le déclanchement pré-Délugien a été, bien sûr, fini brutalement par le jugement global du Déluge. Du temps de David, qui a affronté Goliath, Dieu, au travers d'Israel, a appoté le déclanchement de l'après-Déluge à sa fin. Un millier d'années après le temps de David l'intervention démoniaque s'est produit encore, cette fois-là sous la forme de la possession corporel de l'humain qui crû en sévicant, du temps du Christ. Enfin, de notre propre temps, nous voyons encore des marques évidentes d'activité démoniaques, par les "fils déchus de Dieu," d'une légion différente, fort probablement dans les espèces d' "OVNI" et dans les phénomènes "d'enlèvements par les extraterrestres" des denières années.
Comme le rapport l'indique clairement, les rejetons des unions entre les "fils de Dieu" et le "filles des hommes" furent la progéniture du genre le plus grotèsque, étant les "géants de la terre," étant les mêmes que les "puissants hommes (...) fameux (...)," des monstres non-seulement en grandeur mais aussi des monstres dans la méchanceté, et toujours, et sans exception, furent-ils disposés à contrarier les objectifs de Dieu (Genèse 6:1, 2, 4). Dans la pensé de plusieurs lecteurs, la première réaction à ce passage est telle que, malgré l'intention évidente et clair, son incrédulité demande une interprétation alternative. L'interprétation standard des libérals est de penser des compte de fées de l'antiquité, les légendes des ocres et des dragons, et des mythes des dieux tenant compagnie aux hommes - et puis d'écarter l'histoire dans son entièreté comme étant une légende ou une superstition, mais un examen perspicace de ce passage va éliciter une signification bien plus profonde.
Souvent les biaisements et les présuppositions que nous apportons à la question empêchent notre compréhension et notre acceptation de sa valeur réelle et de la signification patiente. Les Chrétiens modernes ont souvent essayé de rendre ce passage de la Genèse plus intellectuellement acceptable en expliquant les "fils de Dieu" comme étant des Séthites et les "filles des hommes" en tant que Cananéites, avec leur union comme représentant la démolition du mur de la séparation entre les croyants et les mécroyants. Une autre interprétation qui évite les implications supernaturalistiques est que la phrase "fils de Dieu" ferait référence aux rois et aux nobles, dans un tel cas le "mêler-avec-le-commun" tel que décrit n'est tout simplement qu'un rapport de la royauté se mariant avec les gens du commun. Ce passage n'est pas le premier à être accueilli avec une attitude naturalistique comme telle. La séparation miraculeuse des eaux profondes de la Mer Rouge, dans lequel Dieu a fourni un chemin d'évasion pour les Israélites fuyant l'Égypte lors de l'Exode fut expliquée de façon libérale comme étant un évènement par lequel "qu'une plaine marécageuse inondée fut drainée durant un maré-basse inhabituelle et qui fut accompagnée d'un vent désertique particulièrement sec et chaud qui assècha la terre, permettant ainsi aux Israélites de marcher sur un sol sèche à l'extrimité peu profonde de l'Océan des Roseaux."
Encore, le rapport dans l'Exode décrit quelque chose d'étonnament différent; une division miraculeuse et dramatique des eaux où "(...) Les enfants d'Israel entrèrent au milieu de la mer à sec, et les eaux formaient comme une muraille à leur droite et à leur gauche," (Exode 14:21-22). De notre temps, le "scientifiquement impossible" est le plus souvent que d'autre carrément rejeté de tout de même. Dans un autre cas, des animaux exceptionnellement larges et puissants, qui sont référés comme étant le béhémoth et le léviathan, sont décrient dans Job 40:15-24 et 41:1-34. Dans le passé ils ont été considéré par les commentateurs Bibliques comme étant des descriptions de l'hippopotame et de la baleine, encore, aucunes de ces créatures ne correspondent avec la description soigneuse des bêtes donnée dans ce passage des Écritures.
Ce ne fut réalisé que tout récemment que le bénémoth et le léviathan furent de larges animaux terrestres, notament, des dinosaures. Puisque la science des dinosaures de notre temps est un développement paléontologique assez récent, datant seulement depuis le milieu de l'avant-dernier siècle, une grande partie des premiers auteurs, desquels nos commentaires actuels sont dérivés, n'avaient aucune connaissance de ces créatures préservés dans les cimetières de fossiles de la Terre. S'ils auraient prient la parole de Dieu pour ce qu'elle vaut et s'ils auraient étudié les descriptions de Job avec plus d'attention notre connaissance et notre science au sujet des dinosaures pourrait bien être nous être venu plutôt. Même l'interprétation litérale de la vaste longévité de antédiluviens, qui vécurent jusqu'à un tel grand âge de près de mille ans au lieu d'être coupé à trois vingtaine et dix, comme à notre temps, est le plus souvent remise en question si non-pas rejetée carrément par des théologiens et étudiants de la Bible.
En ce qui concerne la Genèse 6:1-4, parcontre, aucunes des interprétations naturalistiques expliquent le pourquoi que la progéniture de telles unions serait des "géants" ou bien le pourquoi qu'ils aboutiraient à la corruption universelle et à la violence. Bien que les Écritures enseignent effectivement que les croyants ne devraient pas épouser des mécroyants (II Corinthiens 6:14; I Corinthiens 7:39), il n'y a aucune intimation que ce péché en particulier est impardonnable ou bien nécessairement plus productif en matière d'une déterioration morale générale que d'autres péchés. Sans tenir compte des difficultés intellectuelles, il est pourtant clair que quelque chose de très remarquable qui est situé audelà du normal et du naturel, est décrit dans la
Genèse 6:1-4.
La première question à comprendre en ce qui a trait à cette merveilleuse portion d'Écriture, audelà de son intention contextuel simple, se tourne évidemment vers la signification hébraique de la phrase "fils de Dieu" (bene elohim). Dans le Nouveau Testament, bien sûr, le terme fils de Dieu est utilisé en référence à tous ceux qui sont nés de nouveau de par leur foi personnelle en Jésus-Christ (Jean 1:12; romains 8:14; etc.) et le concepte d'une relation spirituelle des croyants avec Dieu est analogue à celui des enfants à un père est aussi retrouvé dans l'Ancien Testament (Psaumes 73:15; Osé 1:10; Deutéronomie 32:5; Exode 4:22; Ésaie 43:6). Parcontre, aucun de ces exemples utilisent la même phrase que Genèse 6:2, 4; deplus, dans chaque cas, la signification est n'est pas vraiment parallele à la signification donnée dans la Genèse.
Ni les descendants de Seth, ni les vrais croyants d'aucunes sortes ont été référé auparavant comme dans la Genèse comme étant des fils de Dieu dans aucun genre de sens spiritul et, à l'exception d'Adam lui-même, ils ne purent pas avoir été des fils de Dieu dans un sens physique. En contexte, une telle signification serait forcée, pour le moindre, dans l'absence d'explication de quelque espèce. Lorsque nous nous laissons dire que les "hommes" ont commencé à se multiplier sur la surface de la Terre, et que les fils de Dieu ont vu les filles des "hommes," dans chacuns des cas la race humaine est signifiée de façon claire, autrement dit, les descendants de Cain et de Seth de la même façon. D'ici, les "fils de Dieu" sont carrément distingués des générations d'Adam. La seule signification évidente et naturelle, sans une telle clarification, est que ces êtres furent des fils de Dieu, au lieu de ceux des hommes, parce qu'il ont été créé, non-pas né. Une telle description, bien sûr, s'appliquerait seulement à Adam (Luc 3:38) et aux anges, lesquels Dieu a créé de façon directe (Psaumes 148:2, 5; Psaumes 104:4; Colossiens 1:16).
L'expression réelle les "fils de Dieu," bene elohim, se présente de façon explicite trois autres fois, toutes dans le livre très ancien de Job (1:6; 2:1; 38:7), et dans chacun des cas, les terme fait référence de façon indisoutable à des êtres angéliques. Ceux-ci sont les êtres qui, apparemment, furent créés quelque temps au cours de la première partie de la semaine de la création, tout probablement lors de la première journée (Genèse 2:1; Job 38:4-7; Luke 2:13). À deux reprise au début du livre de Job nous lisons que les fils de Dieu se présentant eux-mêmes devant Lui à des temps définis, et Satan y vient aussi avec eux étant lui-même un fils de dieu, quoique l'un qui est désobéissant, déchu et rebel. Dans Job 38:7, les étoiles du matin sont représentés comme étant entrain de chanter ensemble, et les fils de Dieu comme étant entrain de crier de joie, à propos de la création de la Terre. Il y a, aussi, des références implicites à ces fils de Dieu dans un nombre d'autres passages. Il n'y a aucun doute que, que dans ces passages, la signification s'appliquerait de façon exclusive aux anges. Une forme très similaire "bar elohim" est utilisée dans Daniel 3:25, et fait référance soit à un ange ou bien à une théophanie. Le terme "fils du puissant", et aussi se réfère aux anges.
Les fils d'Élohim le puissant Créateur sont confinés à ces créatures fait directement par la main Divine, et ne sont pas nés d'un autre êtres de leur propre ordre. Donc, dans la généalogie de Notre Seigneur, delle de Luc, Adam est appelé un fils de Dieu (Luc 3:38), et, ainsi il est dit que Christ donne à ceux qui Le reçoivent, le pouvoir de devenir les fils de Dieu (Jean 1:12). Car ceux-ci sont nés de nouveau de l'Esprit de Dieu quand à leur homme intérieur et ce, même dans la vie actuelle. Ceci n'est possible que seulement ave l'homme puisque qu'il est délivré de la peine de mort et emporté au renouveau de la vie par un atonement substitutionnaire, non-pas les ages qui, de l'autre main, ont été fixer à leur position en tant qu'anges de la grâce, ou de la damnation, le dernier perdu sans espoir dans leur état de perdition.
Lors de la résurrection, ceux de l'humanité qui sont sauvés par le sange de l'Agneau, qui est Christ, vont dans leurs corps physiques glorifiés, être revêtu d'un corp spirituel, un édifice de Dieu (II Corinthiens 5:1); pour qu'ils puissent alors être dans toutes les manières égals aux anges, étant tout autant une nouvelle création (Luc 20:36). Ainsi, tout doute raisonnable, dans la mesure du contexte, de la langue, et de la simple exégèse de la Genèse 6:1-4 sont concernés, est enlevé en ce qui concerne l'intention de l'auteur de communiquer le concept des anges, des anges déchus pour le moindre, agissant en opposition à la volonté de Dieu. Celà aussi fut la signification placée sur le passage par les traducteurs Grecs du Septuagin, par Josephus, par l'écrivain de l'ancient livre apocryphal d'Énoch, et par tous les autres anciens interprêtes Juifs et les premiers auteurs Chrétiens. Il est évident que les premiers auteurs Chrétiens pour s'éloigner de cette compréhension et à suggérer que l'interprétation Séthite furent Chrysostom et Augustin. Même faire appel à des "pères" de la fin de notre dernier milliénium qui ont abandonné la point de vu orthodoxe de Genèse 6:1-4 parce que c'est "refuté de par sa propre absurdité" doivent eux-même, dans ce cas, répondre à leur propre frivolité patiente de se battre contre l'idée que les "géants" ne furent que simples individus de la même race de ceux qui furent "légèrement plus large et plus fort, et plus méchant," que les reste des gens.
Pareillement, ils doivent aussi répondre au pourquoi le monde du temps de Noé fut "divisé" entre les Sethites et les Cananéites, dont, en réalité, nous savons que ce ne fut pas le cas. Deplus, ceux qui interpelleront l'Église Chrétienne dans l'économie du Vieux Testament afin de justifier les "fils de Dieu" comme étant de simples croyants, par conséquent des hommes mortels, nous distraient de la question de l'un des exégèse Biblique direct vers d'autres fondements qui sont beaucoup trop ombrageux, si pas tout carrément des faussetés. Ces hommes, malgré leur grandeur en doctrine et en théorie, furent encore humainement faillibles et capables d'y manquer des éléments importants de la vérité Biblique dans leur doctrines. De notre temps, ce point de vu en opposition a été propagé largement par C. I. Scotfield dans les notes de sa célèbre Bible de référence. Pour appliquer le terme "fils de Dieu" comme tel à des hommes seulement est d'étirer la question audelà une limite raisonnable, parce qu'il peut se référer seulement qu'à ces fils de Dieu impliqués dans une seconde et plus profonde apostasie de ceux qui qui sont déchus d'en-haut.
Seulement une portion des anges qui ont originellement tombé avec Lucifer ont commit cette atrocité. Ceux-ci ont choisi de quitter leur propre monde et, ayant brisé au travers des limites de Dieu et entré dans un autre, recherchant de l' "étrange chair" (Jude 6,7) et d'exercer une influence illégale sur la race humaine. Ces rebels qui ont plus un esprit tortueux, en particuliers, ne sont plus retrouver parmis les esprits de la noirceur qui hantent l'air. Ils ne retiennent plus leur position en tant que principalités et des pouvoirs du monde, ni même leur liberté; mais ils peuvent être identifiés avec les criminels emprisonnés desquels Pierre nous raconte qu', après qu'ils ont péché, Dieu les jeta avec violence immidiatement embas vers Ses plus bas dongons en tant que punition instantanée de leur outrage impieux, et pour leur priver, pour tourjours, de leur pouvoir de produire davantage de la confusion de ce genre en particulier. "Car, si Dieu n'a pas épargné les anges qui ont péché, mais s'il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement (...)" (II Pierre 2:4). Jude 6 mentionne aussi leur condition présente en des termes similaires, et le contexte de deux passage indique
avec une claireté suffisante la nature de leur péché. Les hommes possédés-démoniaques et leur progénéture, avec tout les autres habitants sans-dieu du monde antediluvien ont péri dans les eaux du Déluge. Ces eaux sont maintenant les eaux des vastes océans des temps présents. Il est évident que ces anciens habitants y sont référés en connection avec le jugement final lorsque "La mer rendit les morts qui étaient en elle (...)" (Révélation 20:13).
Puisque tous qui ont péché ainsi furent emprisonnés en enfer (II Pierre 2:4; Jude 6) et, comme celà est évident, sont probablement "(...)esprits en prison, qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Dieu se prolongeait, au jours de Noé (...)" (I Pierre 3:19-20), et à qui Christ s'est rendu en Esprit après Sa mort pour y proclâmer Son ultime victoire sur méchants motifs. Il y a, bien que, encore d'autres anges déchus qui ne furent pas retrouvés, qui demeurent encore au large (Éphésiens 6:12). Que les anges ont apparu aux hommes dans des corps d'une telle nature que non-seulement ils pouvaient être vu mais même touché comme le déclare l'Écriture identique, des rumeurs ont persisté au cours du millénaire qui, et aussi, certains démons continussent à essayer et effectuer l'ancien crime. Que ceci ait été affirmé de façon si générale, ce serait imprudent de le nier. Que Paul avait de tels pensées en tête lorsqu'il demanda à la femme d'adorer avec une tête recouverte "(...) à cause des anges (...)" (I Corienthiens 11:10) est, pour le moindre, audedans des limites de la possibilité. Nous nous-mêmes, étant distancés dans le temps des anciens, ou encore de Paul, qui furent encore plus près dans le temps aux origines de ces traditions et qui retiennent encore une mémoire historique fraîche de ces évènements, avons tendance de les considérer comme incrédibles dans leurs propres temps.
Peut être que la plus commune des objections à la signification évidente des "fils de Dieu" comme représentant des anges, apart de ces accents supernaturalistiques, est, pour ceux qui ne rejèttent pas l'idée des anges, que ce serait impossible pour les anges d'avoir des relations sexuelles avec des femmes humaines et de paterner des enfants par elles, parce qu'ils sont "strictements des êtres spirituels" qui, non-pas comme les humains, "n'ont pas de forme." Toutefois, cette objection présuppose plus au sujet des habilités angéliques que nous en connaissons. N'importequand que les anges apparaîssent de façon visible aux hommes, tel que rapporter à de nombreuses occasions dans la Bible, il ont apparu dans les corps physiques des hommes. Ceux qui ont rencontré Abraham, par example, ne pouvaient non-seulement être touchés mais ils ont réellement dîné avec lui (Genèse 18:8) et, plutard, ont apparu aux habitants de Sodom dans une telle forme masculine que les Sodomites ont tenté de saisir ces "hommes" pour de motifs homosexuels. L'auteur de Hébreux y fait aussi un commentaire mordant qui, lors d'occasions variés, "(...) ont lgé des anges, sans le savoir" (Hébreux 13:2). Le Seigneur Jésus a en effet dit que "(...) à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel" (Matthieu 22:30).
À suivre, à la page 2/...