Une limite à notre pensée ?
Posté : 17 mars08, 04:09
IDÉE 6 de ACTE 2 Impossible de penser hors de sa mémoire
6A- Impossible, car penser, c’est d’abord mettre en résonance une mémoire (certains éléments de sa mémoire). «Résonance» parce que c’est le phénomène qui rend une mémoire consciente. La résonance porte sur l’influx nerveux.
6B- «Penser» est précédé par le phénomène de la reconnaissance. Les mémoires en cours d’activation sont reconnues, identifiées, avant de servir la pensée. Cette reconnaissance se fait presque toujours subconsciemment.
6C- La reconnaissance s’effectue par différentes formes de résonances : images mentales, ressentis présentement actifs, invocations latentes, prise de conscience de mots précis, etc. Toutes ces résonances concernent des mémoires. Donc la reconnaissance s’effectue bien sur un fond de mémorisation.
6D- D’autre part, l’homme est le résumé de l’univers (IDÉE 1). Ce qui signifie que sa mémoire actualisée repose sur un substratum inconscient relié à tout l’univers.
6E- Une mémoire consciente repose sur des mémoires inconscientes. En fait sur des milliers de couches de mémoires, reposant les unes sur les autres jusqu’aux confins de l’univers.
6Fa- Donc penser depuis sa mémoire immédiate, c’est en réalité penser, inconsciemment et involontairement, avec tout l’univers.
6Fb- Penser, c’est impliquer l’univers. Mieux, c’est l’univers qui s’exprime à travers soi.
6G- Si ce n’était pas le cas, on serait toujours plus ou moins dans l’erreur (par incomplétude). C’est ce qui se passe en effet lorsqu’on invente une idée sans vraiment la ressentir.
6Ha- En ce sens, une pensée, uniquement intellectuelle et abstraite, est toujours plus ou moins incomplète et donc plus ou moins erronée.
6Hb- On peut affirmer que personne, en pensant, ne croit penser faux (par incomplétude). Il en est ainsi du fait qu’on n’est conscient que des mémoires activées. L’homme est aveugle sur la réalité globale. Seul un niveau de conscience supérieur peut le tirer de ce piège.
6Hc- La pensée de l’humanité reste, encore aujourd’hui, un danger pour sa survie. Ce danger, manifesté au cours de l’Histoire par une kyrielle de stupidités, comme la pollution, maintiendra son action néfaste aussi longtemps que le niveau de conscience collectif reste bas.
6I- Ainsi la science rationnelle est localement juste, globalement incertaine ! La mécanique quantique est localement assez efficace, mais ne répond pas globalement. L’OGM peut être localement efficace, mais aussi globalement incertain.
6J- La rétiscence autrefois des religions vis-à-vis du progrès venait de là. Mais ce freinage au progrès, sans s’initier à la science, rendait les religions également suspectes et fautives.
6K- La solution: la surrationalité, par la mise en conscience des cinq plexus.
6L- La mise en conscience des plexus fait toujours connaître, au-delà du ressenti et du psychologique, ce qui est juste, ce qui est faux et toutes les appréciations intermédiaires.
6A- Impossible, car penser, c’est d’abord mettre en résonance une mémoire (certains éléments de sa mémoire). «Résonance» parce que c’est le phénomène qui rend une mémoire consciente. La résonance porte sur l’influx nerveux.
6B- «Penser» est précédé par le phénomène de la reconnaissance. Les mémoires en cours d’activation sont reconnues, identifiées, avant de servir la pensée. Cette reconnaissance se fait presque toujours subconsciemment.
6C- La reconnaissance s’effectue par différentes formes de résonances : images mentales, ressentis présentement actifs, invocations latentes, prise de conscience de mots précis, etc. Toutes ces résonances concernent des mémoires. Donc la reconnaissance s’effectue bien sur un fond de mémorisation.
6D- D’autre part, l’homme est le résumé de l’univers (IDÉE 1). Ce qui signifie que sa mémoire actualisée repose sur un substratum inconscient relié à tout l’univers.
6E- Une mémoire consciente repose sur des mémoires inconscientes. En fait sur des milliers de couches de mémoires, reposant les unes sur les autres jusqu’aux confins de l’univers.
6Fa- Donc penser depuis sa mémoire immédiate, c’est en réalité penser, inconsciemment et involontairement, avec tout l’univers.
6Fb- Penser, c’est impliquer l’univers. Mieux, c’est l’univers qui s’exprime à travers soi.
6G- Si ce n’était pas le cas, on serait toujours plus ou moins dans l’erreur (par incomplétude). C’est ce qui se passe en effet lorsqu’on invente une idée sans vraiment la ressentir.
6Ha- En ce sens, une pensée, uniquement intellectuelle et abstraite, est toujours plus ou moins incomplète et donc plus ou moins erronée.
6Hb- On peut affirmer que personne, en pensant, ne croit penser faux (par incomplétude). Il en est ainsi du fait qu’on n’est conscient que des mémoires activées. L’homme est aveugle sur la réalité globale. Seul un niveau de conscience supérieur peut le tirer de ce piège.
6Hc- La pensée de l’humanité reste, encore aujourd’hui, un danger pour sa survie. Ce danger, manifesté au cours de l’Histoire par une kyrielle de stupidités, comme la pollution, maintiendra son action néfaste aussi longtemps que le niveau de conscience collectif reste bas.
6I- Ainsi la science rationnelle est localement juste, globalement incertaine ! La mécanique quantique est localement assez efficace, mais ne répond pas globalement. L’OGM peut être localement efficace, mais aussi globalement incertain.
6J- La rétiscence autrefois des religions vis-à-vis du progrès venait de là. Mais ce freinage au progrès, sans s’initier à la science, rendait les religions également suspectes et fautives.
6K- La solution: la surrationalité, par la mise en conscience des cinq plexus.
6L- La mise en conscience des plexus fait toujours connaître, au-delà du ressenti et du psychologique, ce qui est juste, ce qui est faux et toutes les appréciations intermédiaires.