D’où vient la charité ?
Posté : 16 juin04, 21:52
Charité : Principe de lien spirituel, moral qui pousse à aimer de manière désintéressée. Souci du prochain , qui peut être indépendant de toute foi religieuse.
Quelques mots clés dans cette définition
désintéressée : Qui n'est inspiré par la recherche d'aucune compensation personnelle; qui se manifeste ou s'accomplit sans demande de réciprocité.
Prochain : . Tout homme considéré comme un semblable et particulièrement celui ou ceux qui ont besoin d'aide et de miséricorde. il se dit de Chaque homme en particulier et de Tous les hommes ensemble.
Indépendant : Qui jouit d'une entière autonomie vis-à-vis de quelqu'un ou de quelque chose.
Note. Les définitions proviennent du dictionnaire de l’académie française
Autrement dit, la charité doit être universelle, c’est a dire n’avoir aucune distinction de race, de religion, de sexe, nationalité.
La charité ne doit pas être confondue avec l’entre aide qu’on pourrait trouver a l’intérieur d’un groupe, qu’il soit de définition religieuse ou nationaliste parce cela violerait le caractère universel.
La charité doit être aussi libre de toute forme de prosélytisme actif car cela violerait le principe de désintéressement.
La charité doit aussi être libre de toute récompense personnelle, qu’elle soit matérielle dans cette vie ou philosophique dans une autre vie. Cela violerait aussi le principe de désintéressement.
La charité n’exclus pas le concept d’émulation car ca ne viole aucune des définition.
Pour terminer la définition, la charité du cote de celui qui en est l’origine, peut se présenter sous la forme d’un spectre d’empathie:
Tout en bas de l’échelle : La simple prise de conscience de l’autre et de son problème.
Tout en haut de l’échelle : le don total de soi pouvant aller jusqu’au sacrifice total.
Base sur ces définitions, on peut maintenant se poser quelques questions
Première question a se poser : L’humanité a-t-elle besoin de la charité ?
Cette question pourrait se répondre en analysant quelques uns de ses effets.
Médecins sans frontière, Care, Caritas Catholica, Médecins du monde, la Croix Rouge Internationale sont des organisations qui sans la charité n’existerait pas.
Tremblement de terre, inondations, glissements de terrain, conflits amènent leur lot de blesses, orphelins, sans abris. Sans l’aide internationale, qui trouve son origine dans la charité, ils resteraient à la merci des éléments.
Hôpitaux, hospices, écoles gratuites et orphelinats sont des organisations qui doivent leur existence à la charité.
Dire que la Charité n’est pas indispensable à l’humanité c’est tout simplement faire preuve d’égocentrisme et d’égoïsme.
Seconde question a se poser : qui est en charge de la charité ?
Aujourd’hui, la charité est en grande partie affaire d’état. Les hôpitaux, les organisations de secours internationale, etc. sont organise au niveau de gouvernements avec des fonds publics. Il reste cependant un grand nombre d’organisations qui dépendent essentiellement de support bénévole.
Mais avant que l’état ne s’y mette, il a fallu des siècles de bénévolat ou la charité était exclusivement entre les mains de gens de bonne volonté mais en majorite de societe d'origine Chretiennes.
Troisième question a se poser : d’où vient la charité ?
Bien qu’il n’ay aie aucune preuve directe, il y a un faisceau de preuves circonstancielles :
Preuve de temps : l’homo sapiens sapiens ancêtre de l’homme moderne date de 50 a 100,000 ans. Les première traces de la charité sont âgées de maximum 2000 ans. On ne trouve aucune traces de la charité telle que définie ci haut dans aucune civilisation de l’antiquité. Ni aux Indes, ni au Japon, ni en Chine, ni en Egypte, ni dans le monde Greco Romain.
Preuves scripturale : Seule la Bible et spécialement le nouveau testament ont la charité non seulement codifiée, mais sous la forme d’obligation morale. Aucun autre écrit antérieur au nouveau testament ne contient ce type de codification. Bien que le Coran contienne certaines indications, le fait qu’il soit postérieur à la Bible lui enlève toute forme de pérennité. Les philosophes Chinois comme Lao Tsu ou Confucius donne à l’homme des devoirs mais c’est toujours dans le contexte familial ou national, autrement dit a l'encontre du principe d'universalite. Bouddha lui aussi donne de l’importance à l’homme mais dans la recherche personnelle de la sérénité, ce qui va a l’encontre du désintéressement.
Preuve de société : Bien que dans les sociétés Bouddhiques, Hindouistes, zoroastrismes, Taoïste on trouve un soucis de l’importance de l’homme. Seule la société Chrétienne a apporte la charité, telle que définie ci haut, mise en œuvre. On retrouve sa trace dans l’existence d’hospice pour indigent dans la civilisation Byzantine. On retrouve aussi des traces dans les débuts de l’empire Franc, spécialement sous la conduite de Clotilde, la femme de Clovis (466-511). La charité Chrétienne active trouvera ses lettre de noblesses avec entre autre St Vincent de Paul (1580-1660), et plus récemment Le père Damien aussi appelle l’apôtre des lépreux (1840-1889).
On peut donc, sans trop d’erreur affirmer qu’à moins d’une coïncidence extraordinaire, la charité est bien d’origine Chrétienne.
Si on admet que la charité est d’origine Chrétienne, à moins de supposer une conspiration dont les preuves seraient remontées jusqu'à nous, L’inventeur de la charité n’est autre que Jésus lui même.
Quelques mots clés dans cette définition
désintéressée : Qui n'est inspiré par la recherche d'aucune compensation personnelle; qui se manifeste ou s'accomplit sans demande de réciprocité.
Prochain : . Tout homme considéré comme un semblable et particulièrement celui ou ceux qui ont besoin d'aide et de miséricorde. il se dit de Chaque homme en particulier et de Tous les hommes ensemble.
Indépendant : Qui jouit d'une entière autonomie vis-à-vis de quelqu'un ou de quelque chose.
Note. Les définitions proviennent du dictionnaire de l’académie française
Autrement dit, la charité doit être universelle, c’est a dire n’avoir aucune distinction de race, de religion, de sexe, nationalité.
La charité ne doit pas être confondue avec l’entre aide qu’on pourrait trouver a l’intérieur d’un groupe, qu’il soit de définition religieuse ou nationaliste parce cela violerait le caractère universel.
La charité doit être aussi libre de toute forme de prosélytisme actif car cela violerait le principe de désintéressement.
La charité doit aussi être libre de toute récompense personnelle, qu’elle soit matérielle dans cette vie ou philosophique dans une autre vie. Cela violerait aussi le principe de désintéressement.
La charité n’exclus pas le concept d’émulation car ca ne viole aucune des définition.
Pour terminer la définition, la charité du cote de celui qui en est l’origine, peut se présenter sous la forme d’un spectre d’empathie:
Tout en bas de l’échelle : La simple prise de conscience de l’autre et de son problème.
Tout en haut de l’échelle : le don total de soi pouvant aller jusqu’au sacrifice total.
Base sur ces définitions, on peut maintenant se poser quelques questions
Première question a se poser : L’humanité a-t-elle besoin de la charité ?
Cette question pourrait se répondre en analysant quelques uns de ses effets.
Médecins sans frontière, Care, Caritas Catholica, Médecins du monde, la Croix Rouge Internationale sont des organisations qui sans la charité n’existerait pas.
Tremblement de terre, inondations, glissements de terrain, conflits amènent leur lot de blesses, orphelins, sans abris. Sans l’aide internationale, qui trouve son origine dans la charité, ils resteraient à la merci des éléments.
Hôpitaux, hospices, écoles gratuites et orphelinats sont des organisations qui doivent leur existence à la charité.
Dire que la Charité n’est pas indispensable à l’humanité c’est tout simplement faire preuve d’égocentrisme et d’égoïsme.
Seconde question a se poser : qui est en charge de la charité ?
Aujourd’hui, la charité est en grande partie affaire d’état. Les hôpitaux, les organisations de secours internationale, etc. sont organise au niveau de gouvernements avec des fonds publics. Il reste cependant un grand nombre d’organisations qui dépendent essentiellement de support bénévole.
Mais avant que l’état ne s’y mette, il a fallu des siècles de bénévolat ou la charité était exclusivement entre les mains de gens de bonne volonté mais en majorite de societe d'origine Chretiennes.
Troisième question a se poser : d’où vient la charité ?
Bien qu’il n’ay aie aucune preuve directe, il y a un faisceau de preuves circonstancielles :
Preuve de temps : l’homo sapiens sapiens ancêtre de l’homme moderne date de 50 a 100,000 ans. Les première traces de la charité sont âgées de maximum 2000 ans. On ne trouve aucune traces de la charité telle que définie ci haut dans aucune civilisation de l’antiquité. Ni aux Indes, ni au Japon, ni en Chine, ni en Egypte, ni dans le monde Greco Romain.
Preuves scripturale : Seule la Bible et spécialement le nouveau testament ont la charité non seulement codifiée, mais sous la forme d’obligation morale. Aucun autre écrit antérieur au nouveau testament ne contient ce type de codification. Bien que le Coran contienne certaines indications, le fait qu’il soit postérieur à la Bible lui enlève toute forme de pérennité. Les philosophes Chinois comme Lao Tsu ou Confucius donne à l’homme des devoirs mais c’est toujours dans le contexte familial ou national, autrement dit a l'encontre du principe d'universalite. Bouddha lui aussi donne de l’importance à l’homme mais dans la recherche personnelle de la sérénité, ce qui va a l’encontre du désintéressement.
Preuve de société : Bien que dans les sociétés Bouddhiques, Hindouistes, zoroastrismes, Taoïste on trouve un soucis de l’importance de l’homme. Seule la société Chrétienne a apporte la charité, telle que définie ci haut, mise en œuvre. On retrouve sa trace dans l’existence d’hospice pour indigent dans la civilisation Byzantine. On retrouve aussi des traces dans les débuts de l’empire Franc, spécialement sous la conduite de Clotilde, la femme de Clovis (466-511). La charité Chrétienne active trouvera ses lettre de noblesses avec entre autre St Vincent de Paul (1580-1660), et plus récemment Le père Damien aussi appelle l’apôtre des lépreux (1840-1889).
On peut donc, sans trop d’erreur affirmer qu’à moins d’une coïncidence extraordinaire, la charité est bien d’origine Chrétienne.
Si on admet que la charité est d’origine Chrétienne, à moins de supposer une conspiration dont les preuves seraient remontées jusqu'à nous, L’inventeur de la charité n’est autre que Jésus lui même.