les nazis ou la haine anti chrétienne
Posté : 17 juin04, 06:57
Et cocotier, il faut te secouer! Retourne en classe primaire apprendre les bases de l'Histoire de la 2e GM. On dirait que pour toi les 60 ans du D-Day n'ont pas été profitables malgré les dizaines d'heures de documentaires.
Les Nazis n'étaient pas Catholique pauvre cocotier. D'ailleurs les Chrétiens ont été en première ligne parmi les victimes du nazisme. 60 millions d'Européens ont payé de leur vie le nazisme, soit en victimes soit en résistants soit en libérateurs. Combien de musulmans ont subi les affres du nazisme? Bien peu, ils ont même offerts avec joie leur service vu les bonnes dispositions des nazis à leur égard (n'est-ce pas Amine El Husseini et divisions SS islamiques?). Hitler haissait les Juifs, mais tout autant les Chrétiens. Par contre il n'avait jamais de mots assez doux pour l'Islam. En effet, il n'a pas touché le cheveux d'un seul Imam, en revanche il n'a fait aucun cadeau aux rabbins et aux prètres qu'il a fait exécuter par dizaines de milliers.
Voici ce qu'Hitler pensait des Chrétiens :
"On peut être pleinement Allemand, et on peut être pleinement Chrétien, mais on ne peut être pleinement Allemand et Chrétien."
En tous cas, nous apprendrons à connaître les lois qui régissent la vie, et la connaissance des lois naturelles nous guidera dans la voie du progrès. Quant au pourquoi de ces lois, nous n'en saurons jamais rien. C'est ainsi, et notre entendement ne peut concevoir d'autres plans.
Au fond de chaque être il y a le sentiment de cette toute-puissance, que nous appelons Dieu (c'est-à-dire, la domination des lois naturelles dans tout l'univers). Les prêtres, qui ont toujours su exploiter ce sentiment, menacent de châtiments celui qui refuse d'accepter le credo qu'ils imposent.
On dit que tout homme a besoin d'un refuge où il puisse trouver consolation et aide dans le malheur. Je n'en crois rien! Si l'humanité suit cette voie, c'est uniquement une question de traditions et d'habitudes. C'est d'ailleurs là une leçon que l'on peut tirer du front bolchevique. Les Russes n'ont pas de Dieu, et cela ne les empêche pas de savoir mourir!
Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut l'avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C'est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu'en réalité il ne veut faire d'eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C'était un monde éclairé par l'idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l'amour. Sa marque est l'intolérance.
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l'échec humain.
Pour rendre aux hommes la mort plus facile, l'Eglise leur tend l'appât d'un monde meilleur. Nous nous bornons, pour notre part, à leur demander de façonner dignement leur vie. Il leur suffit pour cela de se conformer aux lois naturelles. Inspirons-nous de ces principes, et à la longue nous triompherons de la religion.
Mais il n'est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu'un hommage à la raison.
C'est pourquoi j'ai toujours tenu le Parti à l'écart des questions religieuses. J'ai ainsi évité que mes partisans catholiques et protestants se dressent les uns contre les autres et que par mégarde ils s'assomment mutuellement à coups de bible et de goupillon. Ainsi ne nous sommes-nous jamais mêlés du culte de ces Eglises. Et si cela a momentanément rendu ma tâche un peu plus difficile, du moins n'ai-je ainsi jamais couru le risque d'apporter de l'eau au moulin de mes adversaires. L'aide que nous aurions provisoirement retirée d'un concordat serait rapidement devenue une charge pour nous. De toute façon, le principal est d'être habile dans cette matière et de ne pas rechercher un conflit là où il peut être évité.
Il n'est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Eglises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d'apaisant. Le dogme du christianisme s'effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu'à prouver que dans la nature il n'existe aucune frontière entre l'organique et l'inorganique. Quand la connaissance de l'univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d'absurdité.
Le christianisme, bien sûr, a atteint le sommet de l'absurdité à cet égard. Et c'est pour cela qu'un jour sa structure s'effondrera. La science a déjà imprégné l'humanité. Ainsi, plus le christianisme s'accrochera à ses dogmes, plus vite il déclinera.
Personne n'a le droit de priver les gens simples de leurs certitudes enfantines avant qu'ils n'en aient acquis d'autres plus raisonnables. En fait, il est très important que la croyance supérieure soit bien installée en eux avant que la croyance inférieure soit effacée. Nous devrons finalement parvenir à cela. Mais cela ne servirait à rien de remplacer une vieille croyance par une nouvelle qui ne ferait que prendre la place laissée vide par la précédente.
Il me semble que rien ne serait plus insensé que de rétablir le culte de Wotan. Notre vieille mythologie avait cessé d'être viable lorsque le christianisme s'est implanté. Ne meurt que ce qui est prêt à mourir. A cette époque le monde antique était partagé entre les systèmes philosophiques et le culte des idoles. Or il n'est pas souhaitable que l'humanité entière s'abêtisse -- et le seul moyen de se débarrasser du christianisme est de le laisser mourir petit à petit.
On peut se demander si la disparition du christianisme entraînerait la disparition de la foi en Dieu. Cela n'est pas souhaitable. La notion de divinité donne à la plupart des hommes l'occasion de concrétiser le sentiment qu'ils ont des réalités surnaturelles. Pourquoi détruirions-nous ce merveilleux pouvoir qu'ils ont d'incarner le sentiment du divin qui est en eux?
L'homme qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en conflit avec les Eglises. Et c'est pourquoi elles vont à leur perte -- car la science est destinée à remporter la victoire.
Je ne voudrais surtout pas que notre mouvement prenne un caractère religieux et institue un culte. Ce serait épouvantable pour moi, et je souhaiterais n'avoir jamais vécu, si je devais finir dans la peau d'un bouddha!
Si en ce moment nous éliminions les religions par la force, le peuple nous implorerait unanimement d'établir un nouveau culte. Vous pouvez imaginer nos gauleiters renoncer à leurs frasques pour jouer aux saints! Quant à notre Ministre des Cultes, d'après ses propres coreligionnaires, Dieu lui-même se détournerait de sa famille!
La superstition ne perdra pas ses droits. Le Parti est à l'abri du danger de concurrencer les religions. Ces dernières doivent simplement être empêchées d'interférer avec les questions temporelles à l'avenir. Depuis l'âge le plus tendre, l'éducation sera donnée de telle sorte que chaque enfant connaîtra tout ce qui est important pour le maintien de l'Etat. Quant aux hommes de mon entourage, qui comme moi ont échappé à l'emprise du dogme, je n'ai pas de raison de craindre que l'Eglise leur mette le grappin dessus.
Nous veillerons à ce que les Eglises ne puissent plus répandre des enseignements en contradiction avec les intérêts de l'Etat. Nous continuerons à prêcher la doctrine du national-socialisme, et la jeunesse ne recevra plus d'autre enseignement hormis la vérité.
Toutes ces manifestations sont cycliques. La religion est en perpétuel conflit avec l'esprit de libre recherche. L'opposition de l'Eglise à la science fut parfois si violente que cela fit des étincelles. L'Eglise, avec une conscience lucide de ses intérêts, a effectué une retraite stratégique, de sorte que la science a perdu un peu de son agressivité.
Le présent système d'enseignement scolaire permet cette absurdité: à 10 heures du matin les élèves assistent à un cours de catéchisme où la création du monde leur est présentée selon les enseignements de la Bible; et à 11 heures, ils assistent à un cours de sciences naturelles où on leur enseigne la théorie de l'évolution. Pourtant les deux doctrines sont en complète contradiction! Enfant, j'ai souffert de cette contradiction et j'ai tapé ma tête contre un mur. Souvent je me suis plaint à l'un ou l'autre de mes maîtres de ce qu'on m'avait enseigné l'heure d'avant -- et je me rappelle que je les mettais au désespoir.
La religion chrétienne essaye de s'en tirer en expliquant qu'il faut donner une valeur symbolique aux images des Saintes Ecritures. Tout homme qui aurait prétendu cela il y a quatre cent ans aurait terminé sa carrière sur le bûcher, avec accompagnements d'hosannas. En entrant dans le jeu de la tolérance, la religion a regagné du terrain par rapport aux siècles passés.
La religion tire tout le profit qu'elle peut du fait que la science postule la recherche et non la connaissance certaine de la vérité. Comparons la science à une échelle. A chaque échelon que l'on monte, on contemple un paysage plus vaste. Mais la science ne prétend pas connaître l'essence des choses. Quand la science découvre qu'elle doit réviser telle ou telle notion qu'elle avait cru être définitive, aussitôt la religion triomphe et déclare: «Nous vous l'avions bien dit!». C'est oublier qu'il est dans la nature de la science de se comporter ainsi. Car si elle s'avisait de prendre une allure dogmatique, elle deviendrait elle-même une Eglise.
Quand on dit que Dieu provoque l'éclair, c'est vrai en un sens; mais ce qui est certain c'est que Dieu ne dirige pas la foudre, comme le prétend l'Eglise. L'explication par l'Eglise des phénomènes naturels constitue un abus, car l'Eglise n'a en vue que des fins intéressées. La vraie piété se trouve chez l'être qui prend conscience de sa faiblesse et de son ignorance. Celui qui ne voit Dieu que dans un chêne ou dans un tabernacle, au lieu de le voir partout, n'est pas vraiment pieux. Il reste attaché aux apparences -- et quand le ciel tonne et que la foudre frappe, il tremble de la seule peur d'être frappé en punition du péché qu'il vient de commettre.
uand j'étais plus jeune, je pensais qu'il fallait tout traiter à la dynamite. J'ai compris depuis lors qu'un peu plus de subtilité est possible. La branche pourrie tombe d'elle-même. Il faut en arriver à ceci : dans la chaire de Saint Pierre, un officiant gâteux; en face de lui quelques sinistres vieilles femmes, radoteuses et pauvres d'esprit à souhait. La jeunesse saine est avec nous. Contre une Eglise qui s'identifie à l'Etat, comme en Angleterre, je n'ai rien à dire. Mais, même ainsi, il est impossible d'asservir éternellement l'humanité avec des mensonges. Après tout, ce n'est qu'entre les sixième et huitième siècles que le christianisme fut imposé à nos peuples par des princes qui avaient une alliance d'intérêts avec la prêtraille. Nos peuples jusqu'ici avaient bien réussi à vivre sans cette religion. J'ai six divisions de SS composées d'hommes absolument indifférents en matière de religion. Cela ne les empêche pas d'aller à la mort avec une âme sereine.
Quel est ce Dieu qui ne prend plaisir qu'à voir les hommes s'humilier devant lui? Essayez de vous représenter ce que signifie cette histoire toute simple: Dieu crée les conditions du péché. Il réussit ensuite, avec l'aide du Diable, à faire pécher l'homme. Ensuite il se sert d'une vierge pour mettre au monde un fils qui, en mourant, rachètera l'humanité!
Je commence à perdre tout respect pour l'humanité quand je pense que certains des nôtres, ministres ou généraux, sont capables de croire que nous ne pouvons pas triompher sans la bénédiction de l'Eglise. Une telle conception est excusable chez de petites gens qui n'ont rien appris d'autre.
Par quoi voudriez-vous que je remplace l'image que les chrétiens se font de l'Au-delà? Ce qui est naturel à l'humanité, c'est le sentiment de l'éternité, et ce sentiment est au fond de chaque homme. L'âme et l'esprit migrent, de même que le corps retourne à la nature. Ainsi la vie renaît éternellement de la vie. Quant au pourquoi de tout cela, je n'éprouve pas le besoin de me casser la tête à ce propos. L'âme est insondable.
Quelle heureuse inspiration d'avoir tenu le clergé en-dehors du Parti! Le 21 mars 1933, à Potsdam, la question s'est posée: avec l'Eglise, ou sans l'Eglise? J'ai conquis l'Etat en dépit de la malédiction jetée sur nous par les deux confessions. Ce jour-là, nous sommes allés directement aux tombeaux des rois alors que les autres se rendaient aux services religieux. Si à cette époque j'avais fait un pacte avec les Eglises, je partagerais aujourd'hui le sort du Duce. Par nature, le Duce est un libre penseur, mais il a cru bon de choisir la voie des concessions. Pour ma part, à sa place j'aurais pris la voie de la révolution. Je serais entré au Vatican et j'aurais mis tout le monde à la porte -- quitte à m'excuser ensuite: «Excusez-moi, c'était une erreur!». Mais le résultat, c'est qu'ils auraient été foutus dehors!
Tout bien considéré, nous n'avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.
Kerrl [Ministre des Cultes], avec les plus nobles intentions, voulait tenter une synthèse entre le national-socialisme et le christianisme. Je ne crois pas que la chose soit possible, et je vois l'empêchement dans le christianisme lui-même.
Le christianisme pur -- le christianisme des catacombes -- se préoccupe de faire passer dans les faits la doctrine chrétienne. Cela conduit tout simplement à l'anéantissement de l'humanité. Ce n'est que du bolchevisme intégral, sous des oripeaux métaphysiques.
L'homme saisit par-ci par-là quelques bribes de vérité, mais il ne saurait dominer la nature. Il doit savoir, au contraire, qu'il est dépendant de la Création. Et cette attitude conduit plus loin que les superstitions entretenues par l'Eglise. Le christianisme est la pire des régressions que l'humanité ait jamais subie, et c'est le Juif qui, grâce à cette invention diabolique, l'a rejetée quinze siècles en arrière. La seule chose qui serait encore pire serait la victoire du Juif à travers le bolchevisme. Si le bolchevisme triomphait, l'humanité perdrait le don du rire et de la joie. Elle deviendrait une simple masse informe, vouée à la grisaille et au désespoir.
Les prêtres de l'antiquité étaient plus proches de la nature, et ils cherchaient modestement la signification des choses. Au lieu de cela, le christianisme promulgue ses dogmes incohérents et les impose par la force. Une telle religion porte en elle l'intolérance et la persécution. Il n'en est pas de plus sanglante.
Dans leur lutte contre l'Eglise, les Russes sont purement négatifs. Nous, au contraire, nous devons pratiquer le culte des héros qui ont permis à l'humanité de se sortir de l'ornière de l'erreur. Kepler a vécu à Linz, et c'est pourquoi j'ai choisi Linz pour installer notre observatoire. Sa mère fut accusée de sorcellerie et torturée plusieurs fois par l'Inquisition.
Il est très dommage que cette tendance à la pensée religieuse ne puisse trouver une meilleure _expression que la mesquinerie juive de l'Ancien Testament, car des gens religieux qui, dans la solitude de l'hiver, cherchent continuellement la lumière ultime concernant leurs problèmes religieux avec l'assistance de la Bible, doivent finalement devenir spirituellement déformés. Les malheureux cherchent à extraire des vérités à partir de ces chicaneries juives, où en fait aucune vérité n'existe. En conséquence ils s'enfoncent dans une ornière de la pensée ou une autre, et à moins qu'ils ne possèdent un sens commun exceptionnel, ils dégénèrent en maniaques religieux.
Il est déplorable que la Bible ait été traduite en allemand, et que le peuple allemand tout entier ait ainsi été livré à ce charabia juif. Tant que l'enseignement, particulièrement de l'Ancien Testament, restait exclusivement dans le latin de l'Eglise, il y avait peu de danger que les gens sensibles deviennent les victimes d'illusions en lisant la Bible. Mais quand la Bible devint une propriété commune, toute une masse de gens se virent ouvrir les lignes de la pensée religieuse qui -- particulièrement en conjonction avec la caractéristique allemande de la méditation obstinée et quelque peu mélancolique - trop souvent les transforma en maniaques religieux. Quand on se rappelle que l'Eglise catholique a élevé au statut de Saints toute une quantité de déments, on réalise pourquoi des mouvements comme celui des Flagellants apparurent inévitablement en Allemagne durant le Moyen-Age.
Y a-t-il une seule religion qui puisse exister sans un dogme? Non, car dans ce cas elle appartiendrait à l'ordre de la science. La science ne peut pas expliquer pourquoi les choses de la nature sont ce qu'elles sont. Et c'est là qu'intervient la religion, avec ses certitudes réconfortantes. Quand elle est incarnée dans les Eglises, la religion se met toujours en opposition avec la vie. (…) Ainsi les Eglises iraient à leur perte, et elles le savent, si elles ne s'accrochaient pas à une vérité rigide.
Et apothéose, cerise sur le gateau, feu d'artifice :
Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens ! De votre vivant vous écoutiez la musique de Richard Wagner. Après votre mort, ce ne seront plus qu'alléluias, palmes agitées, enfants à l'âge du biberon et vieillards chenus. L'homme des îles rend hommage aux forces de la nature. Mais le christianisme est une invention de cerveaux malades: on ne saurait rien imaginer de plus insensé, ni une façon plus indécente de tourner en dérision l'idée de Divinité. Un nègre, avec ses tabous, écrase de sa supériorité l'être humain qui croit sérieusement à la transsubstantiation.
Les prescriptions d'ordre hygiénique que donnaient la plupart des religions ont contribué à la fondation des communautés organisées. Les préceptes ordonnant aux gens de se laver, d'éviter certaines boissons, de jeûner à certaines dates, de faire de l'exercice, de se lever avec le soleil, de monter au sommet du minaret -- tout cela était des obligations conçues par des gens intelligents. L'exhortation de lutter avec courage s'explique aussi d'elle-même. Remarquons à ce propos qu'en contrepartie on promettait au musulman un paradis peuplé de filles sensuelles, où le vin coulerait à flots, un véritable paradis terrestre. Les chrétiens, en revanche, se déclarent satisfaits si on leur permet de chanter des alléluias après leur mort! Tous ces éléments ont contribué à former les communautés humaines. C'est à ces particularités que les peuples doivent leur caractère actuel.
Pas très "catholique" n'est-ce pas l'image des musulmans" auprès des nazisn dont Himmler disait :
Je n'ai rien contre l'Islam, parce que cette religion se charge elle-même d'instruire les hommes, en leur promettant le ciel s'ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c'est une religion très pratique et séduisante pour un soldat.
Par contre les victimes de la Shoah, des Juifs habituellement détestés par les musulmans, mais hypocritement défendus par cocotier qui oublie volontairement les épisodes sanglants où Mahomet en a fait égorger par centaines durant la Bataille du Fossé, et qui sont les mieux placés pour parler de l'Holocauste ont une autre vision de la situation et du rôle de l'Eglise Catholique par le biais du Pape Pie XII:
ALBERT EINSTEIN déclara peu après la guerre : " l'Eglise catholique a été la seule à élever la voix contre l'assaut mené par Hitler contre la liberté ".
Mme GOLDA MEIR, au décès de Pie XII, le 9 octore 1958, déclare " pendant la décennie de terreur nazie, quand notre peuple a subi un martyre terrible, la voix du pape s'est élevée pour condamner les persécuteurs et pour invoquer la pitié envers leurs victimes ".
Israël ZOLLI (1881-1956), Grand Rabbin de Rome, se convertit au catholicisme et, le 13 février 1945, prit pour nom de baptême Eugène, en hommage à Eugène Pacelli : Pie XII.
M. Pinchas LAPIDE, consul d'Israël à Milan du vivant de Pie XII, a déclaré au journal Le Monde le 13.12.1963 " Je peux affirmer que le pape personnellement, le Saint-Siège, les nonces et toute l'Eglise catholique ont sauvé de 150.000 à 400.00 juifs d'une mort certaine… L'église catholique sauva davantage de vies juives pendant la guerre que toutes les autres églises, institutions religieuses et organisations de sauvetage réunis ". Et Judith Cabaud dans son livre " Eugenio Zolli " écrit : " En examinant les statistiques, il (Lapide) met en lumière l'écart considérable entre le nombre de juifs sauvés par l'Eglise et l'ensemble des réalisations de la Croix Rouge internationale ainsi que les démocraties occidentales "
Le Dr. Elie TOAFF, Grand Rabbin de Rome, a déclaré : " Les juifs se souviendront toujours de ce que l'Eglise catholique a fait pour eux sur l'ordre du Pape au moment des persécutions raciales. Quand la guerre mondiale faisait rage, Pie XII s'est prononcé souvent pour condamner la fausse théorie des races ". Il ajouta : " de nombreux prêtres ont été emprisonnés et ont sacrifié leur vie pour aider les juifs ". (Le Monde 10.10.1958).
M. Maurice EDELMAN, Président de l'Association anglo-juive, député travailliste, a déclaré : " L'intervention du pape Pie XII a permis de sauver des dizaines de milliers de juifs pendant la guerre ". (La Gazette de Liège, 3.1.64).
Le Dr SAFRAN, Grand Rabbin de Roumanie, a estimé à 400.000, les juifs de Roumanie sauvés de la déportation par l'œuvre de St Raphaël organisée par Pie XII et il dit : " La médiation du Pape sauva les juifs du désastre, à l'heure où la déportation des Roumains était décidée " (" Pie XII face aux nazis " par Charles Klein - S.O.S. 1975).
La UNITED JEWISH APPEAL, le 29 novembre 1944, envoya une délégation de 70 rescapés des camps nazis au Vatican pour exprimer à Pie XII la reconnaissance des juifs pour son action en leur faveur.
94 musiciens juifs sous la direction de Paul KLETZKI, le 26 mai 1955, ont joué, sous les fenêtres du Vatican, la IXème symphonie de Beethoven " en reconnaissance de l'œuvre humanitaire grandiose accomplie par sa Sainteté pour sauver un grand nombre de juifs pendant la seconde guerre mondiale ".
Plus récemment, un témoignage de marque dans " The Weekly Standard " du 16 Février 2001,
David DALIN, rabbin de New-York, déclare " Pie XII a été un authentique " juste ". et il rend hommage à l'écrivain Antonio GASPARI pour son ouvrage " Les juifs sauvés par Pie XII ". : «Il fut un grand ami des Juifs et mérite d'être proclamé «Juste parmi les Nations» parce qu'il a sauvé beaucoup de mes corréligionnaires, ... Selon certaines statistiques, au moins 800 000.»
D. DALIN rappelle qu'" au cours des mois où Rome a été occupée par les nazis, Pie XII a donné pour instruction au clergé de sauver des juifs par tous les moyens. Le cardinal BOETTO de Gênes en sauva à lui seul au moins 800, l'évêque d'Assise 300. Lorsqu'on a remis au cardinal Palazzini la médaille des " justes " pour avoir sauvé des juifs, il affirmait : " le mérite en revient entièrement à Pie XII ".
L'aide apportée par le Pape Pacelli était si connue qu'en 1955, à l'occasion des célébrations du 10è anniversaire de la Libération, l'Union des Communautés Israélites proclamait le 17 avril " jour de gratitude " pour l'assistance fournie par le pape durant la guerre ".
Les grandes déclarations étaient dangereuses : Pie XII choisit d'être efficace.
Et Hitler affirma que le Vatican était " le pire foyer de résistance " à ses plans.
En juillet 1942, effectivement, les évêques de Hollande avaient protesté haut et fort contre les persécutions antisémites. Conséquence : dès la semaine suivante, intensification des rafles qui furent étendues aux juifs catholiques ; parmi eux, Edith Stein, qui mourut peu après à Birkenau. (les juifs protestants, eux, furent moins inquiétés, leurs pasteurs ayant été plus prudents).
Dans le bulletin de l'Athénée Israélite de Bruxelles, " Maïmonide " (n° du 2 Juin 1963), Edith Mutz résume ainsi l'attitude de Pie XII " la véritable raison du silence de Pie XII n'était certes pas la crainte d'aller dans un camp de concentration, mais celle d'aggraver le cas de ceux qui s'y trouvaient ".
Malgré tout Ribbentrop et Steengracht (ministre et sous-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères du 3ème Reich) déclarèrent à Nuremberg : " nous avions des tiroirs pleins de protestations du Vatican ".
l'homélie de Pie XII de Noël 1942 évoqua "les milliers de personnes vouées à la mort ou à une extermination progressive " du seul fait de leur nationalité " ou de leur race ". Tout le monde avait compris ! Le silence de Pie XII fut, en réalité, assez bruyant ! Au lendemain de cette déclaration, le Service de sécurité du Reich notait : " Il (Pie XII) se fait le porte-parole des juifs criminels de guerre " !. le Pape était sans arrêt sur la brèche. En 1943, le commandant des S.S. de Rome ordonna au chef de la communauté israélite de fournir 50 kg d'or dans les 24 h. sous peine de déportation immédiate de 200 autres juifs. La collecte n'ayant réuni que 35 kg d'or, le Grand Rabbin de Rome reçoit de Pie XII les 15 kg manquants : les vases sacrés des églises avaient été fondus ! Quand les juifs furent déportés malgré les promesses, le pape cacha des centaines d'entre eux dans ses églises et monastères et obtint la libération des 7.000 sur les 8.000 arrêtés.
Pie XII fut un des premiers a subodorer les dangers du national-socialisme. Déjà, entre 1917 et 1929, sur 44 discours qu'il prononça en Allemagne, 40 dénonçaient les dangers imminents de l'idéologie nazie. Le film Amen se garde bien de rappeler que Pie XII fut l'inspirateur de l'encyclique Mit Brennender Sorge contre le nazisme parue dès 1937 sous le pontificat de Pie XI. Les journaux allemands, cette même année, disent : " Pie XI était à moitié juif ; le cardinal Pacelli (Pie XII) l'est complètement ! ". En 1939, la première encyclique de Pie XII, Summi Pontificatus, rappelle l'égalité de tous les hommes et de toutes les races devant Dieu.
Pie XII multiplia les initiatives discrètes auprès des gouvernements vassaux de l'Allemagne. Il pressa les pays extérieurs au conflit d'ouvrir plus grandes leurs portes aux réfugiés. Il soutint ou initia d'innombrables réseaux locaux de soutien. "Le Dictionnaire de la papaut" (Fayard) évalue à un million le nombre de juifs sauvés par l'Eglise catholique.
Mais, pourquoi s'en prendre l'Eglise Catholique et dire que les Nazis étaient Catholiques? Qu'ont fait les chefs musulmans les plus influents pour protéger le monde du danger hitlérien ? Ils ont recruté pour le compte du Nazisme des divisions SS mahométanes. Car un grand point commun entre Islam et Nazisme, c'est la haine des Juifs et des Chrétiens, le suprémacisme absolu, le terrorisme doctrinal et comme le soulève Mehdi el dar el kufr, la promesse des vierges (Houries et Walkiries) et des trésors en nature, aux guerriers/moujahidines morts pour l'idéologie. Que cela soit dit.
Les Nazis n'étaient pas Catholique pauvre cocotier. D'ailleurs les Chrétiens ont été en première ligne parmi les victimes du nazisme. 60 millions d'Européens ont payé de leur vie le nazisme, soit en victimes soit en résistants soit en libérateurs. Combien de musulmans ont subi les affres du nazisme? Bien peu, ils ont même offerts avec joie leur service vu les bonnes dispositions des nazis à leur égard (n'est-ce pas Amine El Husseini et divisions SS islamiques?). Hitler haissait les Juifs, mais tout autant les Chrétiens. Par contre il n'avait jamais de mots assez doux pour l'Islam. En effet, il n'a pas touché le cheveux d'un seul Imam, en revanche il n'a fait aucun cadeau aux rabbins et aux prètres qu'il a fait exécuter par dizaines de milliers.
Voici ce qu'Hitler pensait des Chrétiens :
"On peut être pleinement Allemand, et on peut être pleinement Chrétien, mais on ne peut être pleinement Allemand et Chrétien."
En tous cas, nous apprendrons à connaître les lois qui régissent la vie, et la connaissance des lois naturelles nous guidera dans la voie du progrès. Quant au pourquoi de ces lois, nous n'en saurons jamais rien. C'est ainsi, et notre entendement ne peut concevoir d'autres plans.
Au fond de chaque être il y a le sentiment de cette toute-puissance, que nous appelons Dieu (c'est-à-dire, la domination des lois naturelles dans tout l'univers). Les prêtres, qui ont toujours su exploiter ce sentiment, menacent de châtiments celui qui refuse d'accepter le credo qu'ils imposent.
On dit que tout homme a besoin d'un refuge où il puisse trouver consolation et aide dans le malheur. Je n'en crois rien! Si l'humanité suit cette voie, c'est uniquement une question de traditions et d'habitudes. C'est d'ailleurs là une leçon que l'on peut tirer du front bolchevique. Les Russes n'ont pas de Dieu, et cela ne les empêche pas de savoir mourir!
Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut l'avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C'est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu'en réalité il ne veut faire d'eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C'était un monde éclairé par l'idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l'amour. Sa marque est l'intolérance.
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l'échec humain.
Pour rendre aux hommes la mort plus facile, l'Eglise leur tend l'appât d'un monde meilleur. Nous nous bornons, pour notre part, à leur demander de façonner dignement leur vie. Il leur suffit pour cela de se conformer aux lois naturelles. Inspirons-nous de ces principes, et à la longue nous triompherons de la religion.
Mais il n'est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu'un hommage à la raison.
C'est pourquoi j'ai toujours tenu le Parti à l'écart des questions religieuses. J'ai ainsi évité que mes partisans catholiques et protestants se dressent les uns contre les autres et que par mégarde ils s'assomment mutuellement à coups de bible et de goupillon. Ainsi ne nous sommes-nous jamais mêlés du culte de ces Eglises. Et si cela a momentanément rendu ma tâche un peu plus difficile, du moins n'ai-je ainsi jamais couru le risque d'apporter de l'eau au moulin de mes adversaires. L'aide que nous aurions provisoirement retirée d'un concordat serait rapidement devenue une charge pour nous. De toute façon, le principal est d'être habile dans cette matière et de ne pas rechercher un conflit là où il peut être évité.
Il n'est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Eglises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d'apaisant. Le dogme du christianisme s'effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu'à prouver que dans la nature il n'existe aucune frontière entre l'organique et l'inorganique. Quand la connaissance de l'univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d'absurdité.
Le christianisme, bien sûr, a atteint le sommet de l'absurdité à cet égard. Et c'est pour cela qu'un jour sa structure s'effondrera. La science a déjà imprégné l'humanité. Ainsi, plus le christianisme s'accrochera à ses dogmes, plus vite il déclinera.
Personne n'a le droit de priver les gens simples de leurs certitudes enfantines avant qu'ils n'en aient acquis d'autres plus raisonnables. En fait, il est très important que la croyance supérieure soit bien installée en eux avant que la croyance inférieure soit effacée. Nous devrons finalement parvenir à cela. Mais cela ne servirait à rien de remplacer une vieille croyance par une nouvelle qui ne ferait que prendre la place laissée vide par la précédente.
Il me semble que rien ne serait plus insensé que de rétablir le culte de Wotan. Notre vieille mythologie avait cessé d'être viable lorsque le christianisme s'est implanté. Ne meurt que ce qui est prêt à mourir. A cette époque le monde antique était partagé entre les systèmes philosophiques et le culte des idoles. Or il n'est pas souhaitable que l'humanité entière s'abêtisse -- et le seul moyen de se débarrasser du christianisme est de le laisser mourir petit à petit.
On peut se demander si la disparition du christianisme entraînerait la disparition de la foi en Dieu. Cela n'est pas souhaitable. La notion de divinité donne à la plupart des hommes l'occasion de concrétiser le sentiment qu'ils ont des réalités surnaturelles. Pourquoi détruirions-nous ce merveilleux pouvoir qu'ils ont d'incarner le sentiment du divin qui est en eux?
L'homme qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en conflit avec les Eglises. Et c'est pourquoi elles vont à leur perte -- car la science est destinée à remporter la victoire.
Je ne voudrais surtout pas que notre mouvement prenne un caractère religieux et institue un culte. Ce serait épouvantable pour moi, et je souhaiterais n'avoir jamais vécu, si je devais finir dans la peau d'un bouddha!
Si en ce moment nous éliminions les religions par la force, le peuple nous implorerait unanimement d'établir un nouveau culte. Vous pouvez imaginer nos gauleiters renoncer à leurs frasques pour jouer aux saints! Quant à notre Ministre des Cultes, d'après ses propres coreligionnaires, Dieu lui-même se détournerait de sa famille!
La superstition ne perdra pas ses droits. Le Parti est à l'abri du danger de concurrencer les religions. Ces dernières doivent simplement être empêchées d'interférer avec les questions temporelles à l'avenir. Depuis l'âge le plus tendre, l'éducation sera donnée de telle sorte que chaque enfant connaîtra tout ce qui est important pour le maintien de l'Etat. Quant aux hommes de mon entourage, qui comme moi ont échappé à l'emprise du dogme, je n'ai pas de raison de craindre que l'Eglise leur mette le grappin dessus.
Nous veillerons à ce que les Eglises ne puissent plus répandre des enseignements en contradiction avec les intérêts de l'Etat. Nous continuerons à prêcher la doctrine du national-socialisme, et la jeunesse ne recevra plus d'autre enseignement hormis la vérité.
Toutes ces manifestations sont cycliques. La religion est en perpétuel conflit avec l'esprit de libre recherche. L'opposition de l'Eglise à la science fut parfois si violente que cela fit des étincelles. L'Eglise, avec une conscience lucide de ses intérêts, a effectué une retraite stratégique, de sorte que la science a perdu un peu de son agressivité.
Le présent système d'enseignement scolaire permet cette absurdité: à 10 heures du matin les élèves assistent à un cours de catéchisme où la création du monde leur est présentée selon les enseignements de la Bible; et à 11 heures, ils assistent à un cours de sciences naturelles où on leur enseigne la théorie de l'évolution. Pourtant les deux doctrines sont en complète contradiction! Enfant, j'ai souffert de cette contradiction et j'ai tapé ma tête contre un mur. Souvent je me suis plaint à l'un ou l'autre de mes maîtres de ce qu'on m'avait enseigné l'heure d'avant -- et je me rappelle que je les mettais au désespoir.
La religion chrétienne essaye de s'en tirer en expliquant qu'il faut donner une valeur symbolique aux images des Saintes Ecritures. Tout homme qui aurait prétendu cela il y a quatre cent ans aurait terminé sa carrière sur le bûcher, avec accompagnements d'hosannas. En entrant dans le jeu de la tolérance, la religion a regagné du terrain par rapport aux siècles passés.
La religion tire tout le profit qu'elle peut du fait que la science postule la recherche et non la connaissance certaine de la vérité. Comparons la science à une échelle. A chaque échelon que l'on monte, on contemple un paysage plus vaste. Mais la science ne prétend pas connaître l'essence des choses. Quand la science découvre qu'elle doit réviser telle ou telle notion qu'elle avait cru être définitive, aussitôt la religion triomphe et déclare: «Nous vous l'avions bien dit!». C'est oublier qu'il est dans la nature de la science de se comporter ainsi. Car si elle s'avisait de prendre une allure dogmatique, elle deviendrait elle-même une Eglise.
Quand on dit que Dieu provoque l'éclair, c'est vrai en un sens; mais ce qui est certain c'est que Dieu ne dirige pas la foudre, comme le prétend l'Eglise. L'explication par l'Eglise des phénomènes naturels constitue un abus, car l'Eglise n'a en vue que des fins intéressées. La vraie piété se trouve chez l'être qui prend conscience de sa faiblesse et de son ignorance. Celui qui ne voit Dieu que dans un chêne ou dans un tabernacle, au lieu de le voir partout, n'est pas vraiment pieux. Il reste attaché aux apparences -- et quand le ciel tonne et que la foudre frappe, il tremble de la seule peur d'être frappé en punition du péché qu'il vient de commettre.
uand j'étais plus jeune, je pensais qu'il fallait tout traiter à la dynamite. J'ai compris depuis lors qu'un peu plus de subtilité est possible. La branche pourrie tombe d'elle-même. Il faut en arriver à ceci : dans la chaire de Saint Pierre, un officiant gâteux; en face de lui quelques sinistres vieilles femmes, radoteuses et pauvres d'esprit à souhait. La jeunesse saine est avec nous. Contre une Eglise qui s'identifie à l'Etat, comme en Angleterre, je n'ai rien à dire. Mais, même ainsi, il est impossible d'asservir éternellement l'humanité avec des mensonges. Après tout, ce n'est qu'entre les sixième et huitième siècles que le christianisme fut imposé à nos peuples par des princes qui avaient une alliance d'intérêts avec la prêtraille. Nos peuples jusqu'ici avaient bien réussi à vivre sans cette religion. J'ai six divisions de SS composées d'hommes absolument indifférents en matière de religion. Cela ne les empêche pas d'aller à la mort avec une âme sereine.
Quel est ce Dieu qui ne prend plaisir qu'à voir les hommes s'humilier devant lui? Essayez de vous représenter ce que signifie cette histoire toute simple: Dieu crée les conditions du péché. Il réussit ensuite, avec l'aide du Diable, à faire pécher l'homme. Ensuite il se sert d'une vierge pour mettre au monde un fils qui, en mourant, rachètera l'humanité!
Je commence à perdre tout respect pour l'humanité quand je pense que certains des nôtres, ministres ou généraux, sont capables de croire que nous ne pouvons pas triompher sans la bénédiction de l'Eglise. Une telle conception est excusable chez de petites gens qui n'ont rien appris d'autre.
Par quoi voudriez-vous que je remplace l'image que les chrétiens se font de l'Au-delà? Ce qui est naturel à l'humanité, c'est le sentiment de l'éternité, et ce sentiment est au fond de chaque homme. L'âme et l'esprit migrent, de même que le corps retourne à la nature. Ainsi la vie renaît éternellement de la vie. Quant au pourquoi de tout cela, je n'éprouve pas le besoin de me casser la tête à ce propos. L'âme est insondable.
Quelle heureuse inspiration d'avoir tenu le clergé en-dehors du Parti! Le 21 mars 1933, à Potsdam, la question s'est posée: avec l'Eglise, ou sans l'Eglise? J'ai conquis l'Etat en dépit de la malédiction jetée sur nous par les deux confessions. Ce jour-là, nous sommes allés directement aux tombeaux des rois alors que les autres se rendaient aux services religieux. Si à cette époque j'avais fait un pacte avec les Eglises, je partagerais aujourd'hui le sort du Duce. Par nature, le Duce est un libre penseur, mais il a cru bon de choisir la voie des concessions. Pour ma part, à sa place j'aurais pris la voie de la révolution. Je serais entré au Vatican et j'aurais mis tout le monde à la porte -- quitte à m'excuser ensuite: «Excusez-moi, c'était une erreur!». Mais le résultat, c'est qu'ils auraient été foutus dehors!
Tout bien considéré, nous n'avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.
Kerrl [Ministre des Cultes], avec les plus nobles intentions, voulait tenter une synthèse entre le national-socialisme et le christianisme. Je ne crois pas que la chose soit possible, et je vois l'empêchement dans le christianisme lui-même.
Le christianisme pur -- le christianisme des catacombes -- se préoccupe de faire passer dans les faits la doctrine chrétienne. Cela conduit tout simplement à l'anéantissement de l'humanité. Ce n'est que du bolchevisme intégral, sous des oripeaux métaphysiques.
L'homme saisit par-ci par-là quelques bribes de vérité, mais il ne saurait dominer la nature. Il doit savoir, au contraire, qu'il est dépendant de la Création. Et cette attitude conduit plus loin que les superstitions entretenues par l'Eglise. Le christianisme est la pire des régressions que l'humanité ait jamais subie, et c'est le Juif qui, grâce à cette invention diabolique, l'a rejetée quinze siècles en arrière. La seule chose qui serait encore pire serait la victoire du Juif à travers le bolchevisme. Si le bolchevisme triomphait, l'humanité perdrait le don du rire et de la joie. Elle deviendrait une simple masse informe, vouée à la grisaille et au désespoir.
Les prêtres de l'antiquité étaient plus proches de la nature, et ils cherchaient modestement la signification des choses. Au lieu de cela, le christianisme promulgue ses dogmes incohérents et les impose par la force. Une telle religion porte en elle l'intolérance et la persécution. Il n'en est pas de plus sanglante.
Dans leur lutte contre l'Eglise, les Russes sont purement négatifs. Nous, au contraire, nous devons pratiquer le culte des héros qui ont permis à l'humanité de se sortir de l'ornière de l'erreur. Kepler a vécu à Linz, et c'est pourquoi j'ai choisi Linz pour installer notre observatoire. Sa mère fut accusée de sorcellerie et torturée plusieurs fois par l'Inquisition.
Il est très dommage que cette tendance à la pensée religieuse ne puisse trouver une meilleure _expression que la mesquinerie juive de l'Ancien Testament, car des gens religieux qui, dans la solitude de l'hiver, cherchent continuellement la lumière ultime concernant leurs problèmes religieux avec l'assistance de la Bible, doivent finalement devenir spirituellement déformés. Les malheureux cherchent à extraire des vérités à partir de ces chicaneries juives, où en fait aucune vérité n'existe. En conséquence ils s'enfoncent dans une ornière de la pensée ou une autre, et à moins qu'ils ne possèdent un sens commun exceptionnel, ils dégénèrent en maniaques religieux.
Il est déplorable que la Bible ait été traduite en allemand, et que le peuple allemand tout entier ait ainsi été livré à ce charabia juif. Tant que l'enseignement, particulièrement de l'Ancien Testament, restait exclusivement dans le latin de l'Eglise, il y avait peu de danger que les gens sensibles deviennent les victimes d'illusions en lisant la Bible. Mais quand la Bible devint une propriété commune, toute une masse de gens se virent ouvrir les lignes de la pensée religieuse qui -- particulièrement en conjonction avec la caractéristique allemande de la méditation obstinée et quelque peu mélancolique - trop souvent les transforma en maniaques religieux. Quand on se rappelle que l'Eglise catholique a élevé au statut de Saints toute une quantité de déments, on réalise pourquoi des mouvements comme celui des Flagellants apparurent inévitablement en Allemagne durant le Moyen-Age.
Y a-t-il une seule religion qui puisse exister sans un dogme? Non, car dans ce cas elle appartiendrait à l'ordre de la science. La science ne peut pas expliquer pourquoi les choses de la nature sont ce qu'elles sont. Et c'est là qu'intervient la religion, avec ses certitudes réconfortantes. Quand elle est incarnée dans les Eglises, la religion se met toujours en opposition avec la vie. (…) Ainsi les Eglises iraient à leur perte, et elles le savent, si elles ne s'accrochaient pas à une vérité rigide.
Et apothéose, cerise sur le gateau, feu d'artifice :
Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens ! De votre vivant vous écoutiez la musique de Richard Wagner. Après votre mort, ce ne seront plus qu'alléluias, palmes agitées, enfants à l'âge du biberon et vieillards chenus. L'homme des îles rend hommage aux forces de la nature. Mais le christianisme est une invention de cerveaux malades: on ne saurait rien imaginer de plus insensé, ni une façon plus indécente de tourner en dérision l'idée de Divinité. Un nègre, avec ses tabous, écrase de sa supériorité l'être humain qui croit sérieusement à la transsubstantiation.
Les prescriptions d'ordre hygiénique que donnaient la plupart des religions ont contribué à la fondation des communautés organisées. Les préceptes ordonnant aux gens de se laver, d'éviter certaines boissons, de jeûner à certaines dates, de faire de l'exercice, de se lever avec le soleil, de monter au sommet du minaret -- tout cela était des obligations conçues par des gens intelligents. L'exhortation de lutter avec courage s'explique aussi d'elle-même. Remarquons à ce propos qu'en contrepartie on promettait au musulman un paradis peuplé de filles sensuelles, où le vin coulerait à flots, un véritable paradis terrestre. Les chrétiens, en revanche, se déclarent satisfaits si on leur permet de chanter des alléluias après leur mort! Tous ces éléments ont contribué à former les communautés humaines. C'est à ces particularités que les peuples doivent leur caractère actuel.
Pas très "catholique" n'est-ce pas l'image des musulmans" auprès des nazisn dont Himmler disait :
Je n'ai rien contre l'Islam, parce que cette religion se charge elle-même d'instruire les hommes, en leur promettant le ciel s'ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c'est une religion très pratique et séduisante pour un soldat.
Par contre les victimes de la Shoah, des Juifs habituellement détestés par les musulmans, mais hypocritement défendus par cocotier qui oublie volontairement les épisodes sanglants où Mahomet en a fait égorger par centaines durant la Bataille du Fossé, et qui sont les mieux placés pour parler de l'Holocauste ont une autre vision de la situation et du rôle de l'Eglise Catholique par le biais du Pape Pie XII:
ALBERT EINSTEIN déclara peu après la guerre : " l'Eglise catholique a été la seule à élever la voix contre l'assaut mené par Hitler contre la liberté ".
Mme GOLDA MEIR, au décès de Pie XII, le 9 octore 1958, déclare " pendant la décennie de terreur nazie, quand notre peuple a subi un martyre terrible, la voix du pape s'est élevée pour condamner les persécuteurs et pour invoquer la pitié envers leurs victimes ".
Israël ZOLLI (1881-1956), Grand Rabbin de Rome, se convertit au catholicisme et, le 13 février 1945, prit pour nom de baptême Eugène, en hommage à Eugène Pacelli : Pie XII.
M. Pinchas LAPIDE, consul d'Israël à Milan du vivant de Pie XII, a déclaré au journal Le Monde le 13.12.1963 " Je peux affirmer que le pape personnellement, le Saint-Siège, les nonces et toute l'Eglise catholique ont sauvé de 150.000 à 400.00 juifs d'une mort certaine… L'église catholique sauva davantage de vies juives pendant la guerre que toutes les autres églises, institutions religieuses et organisations de sauvetage réunis ". Et Judith Cabaud dans son livre " Eugenio Zolli " écrit : " En examinant les statistiques, il (Lapide) met en lumière l'écart considérable entre le nombre de juifs sauvés par l'Eglise et l'ensemble des réalisations de la Croix Rouge internationale ainsi que les démocraties occidentales "
Le Dr. Elie TOAFF, Grand Rabbin de Rome, a déclaré : " Les juifs se souviendront toujours de ce que l'Eglise catholique a fait pour eux sur l'ordre du Pape au moment des persécutions raciales. Quand la guerre mondiale faisait rage, Pie XII s'est prononcé souvent pour condamner la fausse théorie des races ". Il ajouta : " de nombreux prêtres ont été emprisonnés et ont sacrifié leur vie pour aider les juifs ". (Le Monde 10.10.1958).
M. Maurice EDELMAN, Président de l'Association anglo-juive, député travailliste, a déclaré : " L'intervention du pape Pie XII a permis de sauver des dizaines de milliers de juifs pendant la guerre ". (La Gazette de Liège, 3.1.64).
Le Dr SAFRAN, Grand Rabbin de Roumanie, a estimé à 400.000, les juifs de Roumanie sauvés de la déportation par l'œuvre de St Raphaël organisée par Pie XII et il dit : " La médiation du Pape sauva les juifs du désastre, à l'heure où la déportation des Roumains était décidée " (" Pie XII face aux nazis " par Charles Klein - S.O.S. 1975).
La UNITED JEWISH APPEAL, le 29 novembre 1944, envoya une délégation de 70 rescapés des camps nazis au Vatican pour exprimer à Pie XII la reconnaissance des juifs pour son action en leur faveur.
94 musiciens juifs sous la direction de Paul KLETZKI, le 26 mai 1955, ont joué, sous les fenêtres du Vatican, la IXème symphonie de Beethoven " en reconnaissance de l'œuvre humanitaire grandiose accomplie par sa Sainteté pour sauver un grand nombre de juifs pendant la seconde guerre mondiale ".
Plus récemment, un témoignage de marque dans " The Weekly Standard " du 16 Février 2001,
David DALIN, rabbin de New-York, déclare " Pie XII a été un authentique " juste ". et il rend hommage à l'écrivain Antonio GASPARI pour son ouvrage " Les juifs sauvés par Pie XII ". : «Il fut un grand ami des Juifs et mérite d'être proclamé «Juste parmi les Nations» parce qu'il a sauvé beaucoup de mes corréligionnaires, ... Selon certaines statistiques, au moins 800 000.»
D. DALIN rappelle qu'" au cours des mois où Rome a été occupée par les nazis, Pie XII a donné pour instruction au clergé de sauver des juifs par tous les moyens. Le cardinal BOETTO de Gênes en sauva à lui seul au moins 800, l'évêque d'Assise 300. Lorsqu'on a remis au cardinal Palazzini la médaille des " justes " pour avoir sauvé des juifs, il affirmait : " le mérite en revient entièrement à Pie XII ".
L'aide apportée par le Pape Pacelli était si connue qu'en 1955, à l'occasion des célébrations du 10è anniversaire de la Libération, l'Union des Communautés Israélites proclamait le 17 avril " jour de gratitude " pour l'assistance fournie par le pape durant la guerre ".
Les grandes déclarations étaient dangereuses : Pie XII choisit d'être efficace.
Et Hitler affirma que le Vatican était " le pire foyer de résistance " à ses plans.
En juillet 1942, effectivement, les évêques de Hollande avaient protesté haut et fort contre les persécutions antisémites. Conséquence : dès la semaine suivante, intensification des rafles qui furent étendues aux juifs catholiques ; parmi eux, Edith Stein, qui mourut peu après à Birkenau. (les juifs protestants, eux, furent moins inquiétés, leurs pasteurs ayant été plus prudents).
Dans le bulletin de l'Athénée Israélite de Bruxelles, " Maïmonide " (n° du 2 Juin 1963), Edith Mutz résume ainsi l'attitude de Pie XII " la véritable raison du silence de Pie XII n'était certes pas la crainte d'aller dans un camp de concentration, mais celle d'aggraver le cas de ceux qui s'y trouvaient ".
Malgré tout Ribbentrop et Steengracht (ministre et sous-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères du 3ème Reich) déclarèrent à Nuremberg : " nous avions des tiroirs pleins de protestations du Vatican ".
l'homélie de Pie XII de Noël 1942 évoqua "les milliers de personnes vouées à la mort ou à une extermination progressive " du seul fait de leur nationalité " ou de leur race ". Tout le monde avait compris ! Le silence de Pie XII fut, en réalité, assez bruyant ! Au lendemain de cette déclaration, le Service de sécurité du Reich notait : " Il (Pie XII) se fait le porte-parole des juifs criminels de guerre " !. le Pape était sans arrêt sur la brèche. En 1943, le commandant des S.S. de Rome ordonna au chef de la communauté israélite de fournir 50 kg d'or dans les 24 h. sous peine de déportation immédiate de 200 autres juifs. La collecte n'ayant réuni que 35 kg d'or, le Grand Rabbin de Rome reçoit de Pie XII les 15 kg manquants : les vases sacrés des églises avaient été fondus ! Quand les juifs furent déportés malgré les promesses, le pape cacha des centaines d'entre eux dans ses églises et monastères et obtint la libération des 7.000 sur les 8.000 arrêtés.
Pie XII fut un des premiers a subodorer les dangers du national-socialisme. Déjà, entre 1917 et 1929, sur 44 discours qu'il prononça en Allemagne, 40 dénonçaient les dangers imminents de l'idéologie nazie. Le film Amen se garde bien de rappeler que Pie XII fut l'inspirateur de l'encyclique Mit Brennender Sorge contre le nazisme parue dès 1937 sous le pontificat de Pie XI. Les journaux allemands, cette même année, disent : " Pie XI était à moitié juif ; le cardinal Pacelli (Pie XII) l'est complètement ! ". En 1939, la première encyclique de Pie XII, Summi Pontificatus, rappelle l'égalité de tous les hommes et de toutes les races devant Dieu.
Pie XII multiplia les initiatives discrètes auprès des gouvernements vassaux de l'Allemagne. Il pressa les pays extérieurs au conflit d'ouvrir plus grandes leurs portes aux réfugiés. Il soutint ou initia d'innombrables réseaux locaux de soutien. "Le Dictionnaire de la papaut" (Fayard) évalue à un million le nombre de juifs sauvés par l'Eglise catholique.
Mais, pourquoi s'en prendre l'Eglise Catholique et dire que les Nazis étaient Catholiques? Qu'ont fait les chefs musulmans les plus influents pour protéger le monde du danger hitlérien ? Ils ont recruté pour le compte du Nazisme des divisions SS mahométanes. Car un grand point commun entre Islam et Nazisme, c'est la haine des Juifs et des Chrétiens, le suprémacisme absolu, le terrorisme doctrinal et comme le soulève Mehdi el dar el kufr, la promesse des vierges (Houries et Walkiries) et des trésors en nature, aux guerriers/moujahidines morts pour l'idéologie. Que cela soit dit.