nasser a écrit :luc ch 13:
en ce même temps survinrent des gens qui lui rapportèrent ce qui etait arrivé aux galiléens, dont pilate avait mêlé le sang a celui de leurs victimes.
prenant ainsi la parole il leur dit: croyez vous que pour avoir subi pareil sort, ces galiléens fussent de plus grand pêcheursque tous les autres galiléens? non je vous le dis, mais si vous ne faites pas pénitence vous perirez tous de même
ou ces dix huits personnes que la tour de siloé a fait périr dans sa chute, croyez vous que leur dettes fût plus grande que celle de tous les hautres habitants de jérusalem, non je vous le dis, mais si vous ne vous mettez pas a faire pénitence, vous périrez pareillement
donc si vous ne vous repentez pas de vos mauvais agissements, jésus vous déclare que vous périrez, tous dans le même sac!!!
a suivre
Rien a faire, tu dois crever de faim a rester au fond des poubelle. Alors voici un petit cours de francais, suivi d’un petit cours de theologie
PÉNITENCE . Regret intérieur et effectif de ses fautes, accompagné de la ferme volonté de les réparer et de ne plus y retomber
Les multiples formes de la pénitence dans la vie chrétienne
1434 La pénitence intérieure du chrétien peut avoir des expressions très variées. L’Écriture et les Pères insistent surtout sur trois formes : le jeûne, la prière, l’aumône (cf. Tb 12, 8 ; Mt 6, 1-18), qui expriment la conversion par rapport à soi-même, par rapport à Dieu et par rapport aux autres. A côté de la purification radicale opérée par le Baptême ou par le martyre, ils citent, comme moyen d’obtenir le pardon des péchés, les efforts accomplis pour se réconcilier avec son prochain, les larmes de pénitence, le souci du salut du prochain (cf. Jc 5, 20) l’intercession des saints et la pratique de la charité " qui couvre une multitude de péchés
Catéchisme de l'Église Catholique
http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P46.HTM
Le Christ a institué le sacrement de Pénitence pour tous les membres pécheurs de son Église, avant tout pour ceux qui, après le baptême, sont tombés dans le péché grave et qui ont ainsi perdu la grâce baptismale et blessé la communion ecclésiale. C’est à eux que le sacrement de Pénitence offre une nouvelle possibilité de se convertir et de retrouver la grâce de la justification. Les Pères de l’Église présentent ce sacrement comme " la seconde planche [de salut] après le naufrage qu’est la perte de la grâce " (Tertullien, pæn. 4, 2 ; cf. Cc. Trente : DS 1542).
1447 Au cours des siècles la forme concrète, selon laquelle l’Église a exercé ce pouvoir reçu du Seigneur, a beaucoup varié. Durant les premiers siècles, la réconciliation des chrétiens qui avaient commis des péchés particulièrement graves après leur Baptême (par exemple l’idolâtrie, l’homicide ou l’adultère), était liée à une discipline très rigoureuse, selon laquelle les pénitents devaient faire pénitence publique pour leurs péchés, souvent durant de longues années, avant de recevoir la réconciliation. A cet " ordre des pénitents " (qui ne concernait que certains péchés graves) on n’était admis que rarement et, dans certaines régions, une seule fois dans sa vie. Pendant le septième siècle, inspirés par la tradition monastique d’Orient, les missionnaires irlandais apportèrent en Europe continentale la pratique " privée " de la pénitence qui n’exige pas la réalisation publique et prolongée d’œuvres de pénitence avant de recevoir la réconciliation avec l’Église. Le sacrement se réalise désormais d’une manière plus secrète entre le pénitent et le prêtre. Cette nouvelle pratique prévoyait la possibilité de la réitération et ouvrait ainsi le chemin à une fréquentation régulière de ce sacrement. Elle permettait d’intégrer dans une seule célébration sacramentelle le pardon des péchés graves et des péchés véniels. C’est, dans les grandes lignes, cette forme de la pénitence que l’Église pratique jusqu’à nos jours.
1448 A travers les changements que la discipline et la célébration de ce sacrement ont connu au cours des siècles, on discerne la même structure fondamentale. Elle comporte deux éléments également essentiels ; d’une part, les actes de l’homme qui se convertit sous l’action de l’Esprit Saint : à savoir la contrition, l’aveu et la satisfaction ; d’autre part, l’action de Dieu par l’intervention de l’Église. L’Église qui, par l’évêque et ses prêtres, donne au nom de Jésus-Christ le pardon des péchés et fixe la modalité de la satisfaction, prie aussi pour le pécheur et fait pénitence avec lui. Ainsi le pécheur est guéri et rétabli dans la communion ecclésiale.
Le catéchisme Catholique - Le sacrement du pardon
http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P47.HTM
Tu vois pour les Chretiens, trois petits tours autour de la Kabaa, c’est pas suffisant. Il faut aussi avoir la contrition
Et puis pour un Chretien manquer au devoirs de charite, c’est une faute grave qui demande reparation.
Pour les Musulamans, du moment que vous faites vos 5 piliers, les autres peuvent crever.