L'Observatoire des sectes: une institution aussi inutile que
Posté : 25 juin08, 02:54
L'Observatoire des sectes (Ciaosn) a tenu le 6 juin un colloque au sujet « de l’état actuel du paysage sectaire en Belgique » au parlement fédéral. En voici quelques échos.
Het Laatste Nieuws du 6 juin 2008 rapportait dans un article concis: "Le Ciaosn s’inquiète du mouvement Pentecôtiste"
"Le Ciaosn se fait beaucoup de soucis au sujet des églises Pentecôtistes de Belgique et surtout des dommages qu’elles occasionnent parmi les émigrés africains, écrit le Standaard. Des croyants ne poursuivent pas leurs traitements médicaux pour des raisons religieuses.
Les églises Pentecôtistes de notre pays sont très concernées par l’opposition Satan et Dieu. Le mal peut être combattu par l’intermédiaire d’exorcismes et de longues prières. Une approche identique est également valable pour les maladies. Ainsi le virus du Sida est un signe de Satan pour les croyants africains, qui ne peut être repoussé par la science médicale.
« Lorsque des croyants, même pour des raisons religieuses, ne poursuivent pas leurs traitements, alors il se pose un problème de société important », dit Eric Brasseur, directeur du Ciaosn. En réaction, John van der Dussen, secrétaire du synode fédéral des églises protestantes et évangéliques de Belgique, dit qu’il y va surtout de « leaders enthousiastes d’églises privées ». « Les représentants de nos églises reconnues ne font pas d’opposition entre foi et soins médicaux. A ce sujet, nous avons d’ailleurs signé une résolution il y a 2 ans...
(belga/vsv)"
Il est curieux de noter que pendant ce colloque, Anne-Françoise Gennotte et Marcela Ares, médecin consultant et psychologue au Service des Maladies infectieuses du CHU St Pierre ont signalé qu’il s’agit tout au plus d’une dizaine de cas par an… et que rien n’indiquait que ces patients ont arrêté leurs traitements pour raisons religieuses!
Alors, où est-il ce "grand problème de société" si cher a monsieur Brasseur?
Le vrais problème c'est d'avoir un organsime archaique et dépassé (le Ciaosn) qui s'accroche de toutes ses forces à essayer de justifier la validité de son existence en utilisant n'importe quel non-sens pseudo juridique pour arriver à ses fins.
Het Laatste Nieuws du 6 juin 2008 rapportait dans un article concis: "Le Ciaosn s’inquiète du mouvement Pentecôtiste"
"Le Ciaosn se fait beaucoup de soucis au sujet des églises Pentecôtistes de Belgique et surtout des dommages qu’elles occasionnent parmi les émigrés africains, écrit le Standaard. Des croyants ne poursuivent pas leurs traitements médicaux pour des raisons religieuses.
Les églises Pentecôtistes de notre pays sont très concernées par l’opposition Satan et Dieu. Le mal peut être combattu par l’intermédiaire d’exorcismes et de longues prières. Une approche identique est également valable pour les maladies. Ainsi le virus du Sida est un signe de Satan pour les croyants africains, qui ne peut être repoussé par la science médicale.
« Lorsque des croyants, même pour des raisons religieuses, ne poursuivent pas leurs traitements, alors il se pose un problème de société important », dit Eric Brasseur, directeur du Ciaosn. En réaction, John van der Dussen, secrétaire du synode fédéral des églises protestantes et évangéliques de Belgique, dit qu’il y va surtout de « leaders enthousiastes d’églises privées ». « Les représentants de nos églises reconnues ne font pas d’opposition entre foi et soins médicaux. A ce sujet, nous avons d’ailleurs signé une résolution il y a 2 ans...
(belga/vsv)"
Il est curieux de noter que pendant ce colloque, Anne-Françoise Gennotte et Marcela Ares, médecin consultant et psychologue au Service des Maladies infectieuses du CHU St Pierre ont signalé qu’il s’agit tout au plus d’une dizaine de cas par an… et que rien n’indiquait que ces patients ont arrêté leurs traitements pour raisons religieuses!
Alors, où est-il ce "grand problème de société" si cher a monsieur Brasseur?
Le vrais problème c'est d'avoir un organsime archaique et dépassé (le Ciaosn) qui s'accroche de toutes ses forces à essayer de justifier la validité de son existence en utilisant n'importe quel non-sens pseudo juridique pour arriver à ses fins.