des juifs ont ajouté un livre sur la Shoah dans la Bible!

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des juifs ont ajouté un livre sur la Shoah dans la Bible!

Ecrit le 26 juin08, 04:27

Message par mit »

La Shoah devient une religion

Le 30 mars 2004, le quotidien national La Libre Belgique titra en première page : « Un livre sur la Shoah dans la Bible juive ? » . Deux semaines plus tard, Le Figaro reprit la nouvelle. Le lecteur apprenait qu’une nouvelle Megillat (en hébreu : rouleau qui contient un manuscrit, souvent un texte sacré), la « Melligat Hashoah », venait d’être confectionnée à la synagogue libérale de Brighton (Angleterre). Elle allait maintenant être proposée aux différentes communautés juives du monde entier, non seulement « pour être copié et intégré dans la liturgie du 27 nisan » (Jour de L’Holocauste), mais aussi pour « prendre place dans l’arche sainte des synagogues aux côtés des rouleaux de la Torah ». Il était donc question d’ajouter aux vingt-quatre livres qui composent la Bible juive un vingt-cinquième traitant de la Shoah. Rappelons que la dernière adjonction au livre sacré remonte à 1 500 ans environ, lorsque, entre 400 et 600, les rabbins avaient décidé d’y inclure le Livre d’Esther. C’est dire l’importance de l’événement.



La Shoah devient une religion

La presse annonce que des juifs ont ajouté un livre sur la Shoah dans la Bible



Le 30 mars 2004, le quotidien national La Libre Belgique titra en première page : « Un livre sur la Shoah dans la Bible juive ? » . Deux semaines plus tard, Le Figaro reprit la nouvelle. Le lecteur apprenait qu’une nouvelle Megillat (en hébreu : rouleau qui contient un manuscrit, souvent un texte sacré), la « Melligat Hashoah », venait d’être confectionnée à la synagogue libérale de Brighton (Angleterre). Elle allait maintenant être proposée aux différentes communautés juives du monde entier, non seulement « pour être copié et intégré dans la liturgie du 27 nisan » (Jour de L’Holocauste), mais aussi pour « prendre place dans l’arche sainte des synagogues aux côtés des rouleaux de la Torah ». Il était donc question d’ajouter aux vingt-quatre livres qui composent la Bible juive un vingt-cinquième traitant de la Shoah. Rappelons que la dernière adjonction au livre sacré remonte à 1 500 ans environ, lorsque, entre 400 et 600, les rabbins avaient décidé d’y inclure le Livre d’Esther. C’est dire l’importance de l’événement.

Un projet vieux de plusieurs années

Bien que présentée comme une sorte de scoop, cette affaire n’est pas nouvelle. La Melligat Hashoa a été présentée pour la première fois le 7 novembre 2002 (64ème anniversaire de la « Nuit de Cristal ») à la communauté juive de Toronto. Une première lecture a été faite dans des synagogues en 2003, le 29 avril, « Jour des Martyrs et des Héros de l’Holocauste ».

Tout commence en 1995

Tout a commencé en 1995. Inquiet notamment face à la montée du « négationnisme », un « survivant de l’Holocauste » habitant Toronto, Alex Eisen, estima qu’il fallait créer une liturgie pour le 29 avril « afin d’être sûr que la tragédie ne serait pas oubliée ». A cette date, il y avait déjà quatre ans qu’en France, une lecture publique de 24 heures des noms des déportés juifs était annuellement organisée à la date du 27 nisan. Cette initiative avait marqué un début de ritualisation de la Shoah. Mais l’objectif d’A. Eisen était plus grand : il s’agissait d’élever le prétendu « Holocauste » au rang de vérité révélée, une « vérité » rappelée solennellement chaque année.

Des juifs s’opposent au projet

Instruit du projet, le grand rabbin Israël, Meir Lau, le repoussa pour des motifs d’orthodoxie religieuse. Ajoutons que pour de nombreux juifs, la commémoration de la Shoah doit rester dans la sphère profane. En l’an 2000, ainsi, la présidente d’une branche locale des « Fils et Filles des Survivants de l’Holocauste », Ruth Littner Shaw, écrivit que le « Yom Hashoah » ne devait pas « avoir le caractère d’un jour de congé religieux » ; il devait rester une simple commémoration.

Des rabbins et des théologiens soutiennent le projet

Ce premier échec ne découragea pas A. Eisen. Car de leur côté, des rabbins et des théologiens estimaient que, pour perdurer (notamment après la mort des derniers survivants), le Yom Hashoah devait se doter d’un « ensemble de rituels mis en forme et moins séculiers ». D’après le rabbin David Golinkin, président actuel du Schecter Institute, une structure qui s’occupe de l’enseignement religieux :

Le judaïsme garde la mémoire des événements historiques seulement s’ils sont ancrés dans des rituels religieux […]. L’allumage de six torches par des survivants dans la cour de Yad Vashem est un rituel riche de sens, mais restera-t-il quand il n’y aura plus de survivants ?

Ces propos sont à rapprocher de ceux du rabbin Daniel Fahri qui déclare :

Dans le judaïsme, ce travail sur la restitution du passé est pratiquement institué par la liturgie, l’étude et le rituel. Or, en ce qui concerne la Shoah, presque rien n’a été fait jusqu’à ce jour pour développer cette mémoire ritualisée. Par-delà la célébration du Yon Hashoah, toute initiative sera la bienvenue pour autant qu’elle s’inspire de la longue tradition de nos rites, de notre liturgie, de ce qui est constitutif de notre identité millénaire.

De plus, il est indéniable que depuis la guerre, beaucoup de juifs ont sombré dans l’athéisme au motif que si dieu tout puissant existait, il n’aurait jamais laissé son peuple se faire massacrer. Mentionnons par exemple l’ancien rabbin libéral Richard Rubinstein, auteur en 1966 d’une étude intitulée : After Auschwitz (Après Auschwitz) et devenu athée. Le rabbin David Meyer confesse que pour les juifs, la Shoah reste « une raison de douter de Dieu et de sa justice ». Ailleurs, il précise :
[…] aujourd’hui, les questions liées à la Shoah entravent notre foi. Pourquoi pratiquer les commandements si Dieu ne nous a pas sauvés pendant la Shoah ?

Par conséquent, le projet d’élaboration d’un rituel religieux paraissait s’imposer, non seulement pour transmettre la Mémoire, mais aussi pour tenter de réconcilier certains athées avec la religion juive.
1999 : l’Assemblée rabbinique donne son aval au projet
En 1997, un petit livre de prières qui comportait un office spécial pour le 27 nisan fut publié. Mais A. Eisen n’était toujours pas satisfait. Deux ans plus tard, il rencontra le rabbin D. Golinkin et demanda également l’approbation de l’Assemblée rabbinique, qui comprend 1 600 rabbins conservateurs. Sans surprise, celle-ci donna son aval au projet. D. Golinkin mit alors en place un comité académique chargé de rédiger un projet de texte (Id.). Le professeur Avigdor Shinan (un fils de survivants) fut choisi pour composer la Megillat en hébreu moderne et le rabbin Jules Harlow pour réaliser une traduction en anglais. De son côté, A. Eisen récolta 280 000 dollars rien qu’à Toronto afin de soutenir le projet.
Le rouleau sur la Shoah est composé

Six mois plus tard, le rouleau était composé. Long de six chapitres, il accorde une large place aux « témoignages ». On y trouve celui d’un journaliste chrétien qui raconte ce qu’il a vu dans la ghetto de Varsovie, celui d’une femme déportée dans un camp et celui d’un jeune juif contraint d’arracher les dents en or des victimes destinées aux crématoires (parmi lesquelles son propre frère). Rien, donc, ni de nouveau, ni de solide (mais comment aurait-il pu en être autrement ?). Le cinquième chapitre est un panégyrique de ceux qui sont morts pendant l’ « Holocauste ». Le sixième (et dernier) évoque la reconstruction de la vie juive après la guerre ; il commémore notamment ceux qui émigrèrent en Israël.

2002 : le rouleau « inspiré » est présenté pour la première fois

Le 7 novembre 2002, lors de la première présentation de la Megillat (voir document), A. Shinan affirma que le texte avait été écrit « à travers lui, pas par lui » :

Je me suis assis devant mon ordinateur, et après six heures, le premier jet apparut […]. C’était comme si quelqu’un dirigeait ma main et ma tête.
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A. Shinan voulait sans doute faire croire que la Megillat était « inspirée » par Dieu et, donc, « révélée », un peu comme les autres livres de la Bible. Mais même pour les juifs fanatiques de la Mémoire, il y a des limites au ridicule. Interrogé en 2004 par La Libre Belgique, le rabbin britannique qui agit pour répandre ce nouveau texte, David Meyer, a clairement déclaré :

Quant à l’inspiration divine directe, le judaïsme considère qu’il n’y en a plus depuis la destruction du premier Temple et le dernier des prophètes.

Toutefois, les justifications qu’il donne pour l’introduction de cette Megillat dans la Bible sont intéressantes. Il déclare :
[…] un grand nombre de juifs sont « inspirés » par la Shoah dans leur façon de réfléchir sur leur foi et leur pratique religieuse. Ainsi, malgré la profondeur de la souffrance, la Shoah est un événement qui « inspire » le présent et le futur du judaïsme et, à ce titre, la « Megillat Hashoah » peut sans doute prétendre être un texte « inspiré » [Ibid., col. C].
Dieu seul ne suffit plus, il faut Lui allier la Shoah
Pour le rabbin Meyer, donc, Dieu n’est plus la seule source d’inspiration ; il en existe une autre : la Shoah. On en déduit que, depuis Auschwitz, Dieu seul ne suffit plus et qu’en conséquence, la religion juive doit être centrée non plus sur Lui uniquement, mais sur le couple Dieu/Shoah.
Certains m’accuseront d’exagérer. Ils se trompent. Interrogé, le rabbin Meyer a clairement déclaré que, depuis la Shoah « qui écrase le judaïsme » [Ibid., p. 19, col. E], la Bible était insuffisante pour nourrir la réflexion religieuse :
Il est difficile de se rapporter à des textes bibliques qui parlent de la souffrance pour appréhender la Shoah. […] dans la Bible, la souffrance n’est jamais injustifiée mais bien « parce qu’on a fait quelque chose ». Mais face à la Shoah, la grande majorité des penseurs juifs et des rabbins aujourd’hui n’envisagent pas de contempler les six millions de morts, le million et demi d’enfants, et de dire « à cause de leurs fautes » […]. Il nous faut donc un texte où les juifs puissent exprimer leurs doutes par rapport à cette souffrance. Mais un tel texte n’existe pas dans la Bible. Ne faut-il pas alors le créer ?[20]
Le rabbin a même été plus loin en affirmant que cette création était nécessaire pour « redonner vitalité à tous les autres textes bibliques » :

[…] à chaque fois que je lis un passage biblique — le sacrifice d’Abraham, les livres prophétiques ou le livre de Job… — je me demande comment l’appliquer avec cette Shoah omniprésente ! Mais l’ajout d’un livre spécifique permettrait d’y concentrer la réflexion sur l’Holocauste et de redonner vitalité à tous les autres textes bibliques [Ibid., p. 19, col. E.].
Bref, sans la liturgie de la Shoah, la Bible n’a pas de vitalité. Autrement dit : Dieu est désormais inséparable de l’ « Holocauste » qui Le complète. On comprend donc que pour David Golinkin, cette Megillat revêt une « importance historique ».
Le rouleau sera écrit par un scribe, sur un parchemin

Mais pour le rabbin Meyer, ce n’était pas encore suffisant :

Bien qu’apportant des innovations visant à intégrer le Yom Hashoah comme une commémoration majeure dans notre calendrier liturgique, et bien qu’offrant un contenu de remarquable profondeur, il semble que le format et le support actuel de cette Megillat Hashoah ne soient pas à la hauteur du rôle qu’un tel texte peut être amené à jouer dans l’avenir du judaïsme. La Megillat Hashoah — petit livret d’une soixantaine de pages — ne devrait-elle pas plutôt être un véritable manuscrit, écrit par un scribe, sur un parchemin, respectant ainsi les règles scribales et ancestrales de notre tradition ?

Si pour commémorer le passé, il semble nécessaire de l’intégrer à notre tradition, avec date et liturgie, il convient sans doute aussi d’utiliser les « instruments » de cette tradition pour que les événements de ce passé puissent être réellement ancrés dans notre vie religieuse.
Voilà donc pourquoi le rabbin Meyer a fait confectionner une vraie Megillat :
La « Megillat Hashoah », le rouleau de la Shoah, est un manuscrit sur parchemin comptant 12 colonnes en hébreu et qui se présente enroulé autour d’un axe en bois. Ce rouleau a été écrit par un scribe, Marc Michaels, suivant les règles traditionnelles auxquelles répondent la calligraphie, les outils utilisés ou encore l’éthique et la conduite du scribe.
Un rouleau qui devra être utilisé très largement
Non seulement dans les synagogues, mais aussi dans les centres communautaires et dans les écoles
Si cette Megillat est acceptée, non seulement les juifs croyants pourront espérer faire revenir à la foi certains athées, mais aussi, la croyance en la Shoah sera bétonnée à jamais, parce que devenue inséparable de Dieu. Notons d’ailleurs que le rabbin souhaite voir ce nouveau rouleau utilisé très largement :
Nous aimerions qu’il soit utilisé pas seulement dans les synagogues, mais à travers le monde, dans les centres communautaires et dans les écoles. Nous voulons aussi qu’il soit utilisé par les juifs de toutes les obédiences — qu’ils soient réformés, orthodoxes ou séculiers. Nous croyons que le Yom Hashoah devrait être observé partout par tous les juifs.
Les orthodoxes refusent le rouleau…
Maintenant, reste à savoir si cette Megillat sera effectivement acceptée comme le vingt-cinquième livre. Sans surprise, les juifs orthodoxes l’ont immédiatement refusée, tout comme certains juifs « libéraux ».
… mais nullement par propension au révisionnisme

Mais on aurait tort d’y voir une propension au révisionnisme. Daniel Farhi exprime la pensée de la quasi-totalité des juifs lorsqu’il déclare avec aplomb :
Grâce aux travaux des historiens et des témoins de la catastrophe, l’historicité de la Shoah est désormais incontestable.
Avec ou sans rouleau, la Mémoire est déjà ritualisée
Leur refus de la Megillat Hashoah a une autre cause : ils estiment que l’ « Holocauste » est déjà suffisamment commémoré et qu’on ne risque pas de l’oublier. Interrogé par La Libre Belgique, le grand rabbin de Bruxelles a déclaré :
Pour véhiculer et transmettre son souvenir, il n’est pas nécessaire, dans la tradition juive, d’ajouter un livre. Dans un premier temps, la date du 27 nisan est la date « officielle » de la commémoration de la Shoah. Ensuite, au gré du calendrier hébraïque, de nombreux moments clés existent dans la liturgie pour se souvenir de la Shoah. Lors de chaque grande fête, fête de pèlerinage à Pessah, à Shavouot et à Soukkoth, a lieu la cérémonie du « Yiskor », du souvenir. Là, avec la Torah en main, on rappelle la mémoire des six millions de morts dans les camps nazis. A Yom Kippour aussi, un des moments les plus forts de la liturgie est consacré à l’évocation du souvenir des victimes de la Shoah. Enfin, la date du 9 av commémore la destruction du temple de Jérusalem. Un jour de jeûne, de prières et de lamentations de Jérémie. Avec le temps, cette journée est devenue le paradigme de toutes les catastrophes qui se sont abattues sur le peuple juif : Inquisition, autodafés, croisades… et bien évidemment la Shoah. Constatons qu’elle ne risque pas de tomber dans l’oubli et fait partie intégrante de notre liturgie.
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Signalons d’ailleurs qu’il y a peu, un juif français, Pierre Haïat, a rédigé une haggadah de la Shoah :
Son souhait était de ritualiser encore davantage l’évocation de la Shoah à travers un récit qui se modèle sur celui de la haggadah de Pâque et s’accompagne d’un seder. Au cours de ce seder, des aliments symboliques sont consommés, et il est fait lecture du récit des terribles épreuves subies par [les] « ancêtres », le tout ponctué de textes de la littérature de la Shoah et de chants yiddish et judéo-espagnols inspirés par ce martyre.
Bref : avec ou sans Megillat Hashoah, l’ « Holocauste » est en phase de ritualisation définitive .

La mémoire de la Shoah est utilisée à des fins politiques

Outre les propos très nets de L. Aubrac, rappelons que depuis octobre 2002, dans l’Éducation nationale française, le 27 janvier est la « journée de la Mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité », dont l’objectif n’est pas :
de perpétuer la mémoire de l’horreur, mais d’apprendre aux élèves à être vigilants, à défendre les valeurs démocratiques et à combattre l’intolérance . http://www.mouvsaintmichel.org/ad-2.jpg
On ne saurait être plus clair. De nombreux exemples démontrent d’ailleurs que l’esprit de cette circulaire est bien respecté. Pour ne pas allonger démesurément mon propos, j’en citerai deux. En juin 2003, à l’occasion d’une visite à Auschwitz en compagnie de collégiens, le maire d’Halluin (à l’origine du projet) a déclaré :
c’est un devoir civique que de visiter Auschwitz en compagnie d’enfants. Nous avons la chance de vivre librement en démocratie alors que dans le monde d’autres peuple subissent encore le joug de régimes sanguinaires. Les enfants doivent comprendre que la liberté et la démocratie ne sont jamais acquises. Aujourd’hui nous visitons le camp dans des conditions confortables, sans crainte d’y être exterminés, mais il y a 50 ans, nous serions peut-être déjà morts. Et demain, qui sait ?
Il y a quelques jours, après qu’un ancien Résistant soit venu raconter son aventure à des collégiens de Rémalard, les professeurs ont rappelé aux élèves « que la résistance est toujours d’actualité »
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Modifié en dernier par mit le 02 juil.08, 00:08, modifié 3 fois.

Nicolianor

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Ecrit le 26 juin08, 04:46

Message par Nicolianor »

Cela ne date pas d'hier que les juifs falsifient la bible et qu'il façonne la bible selon leurs croyances.

C'est pour cela qu'il faut rejeter la bible massorétique et adopter la vulgate.

medico

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Ecrit le 26 juin08, 04:59

Message par medico »

BIEN SUR ET CEUX QUE L'EGLISE A RAJOUTER LES FAMEUX APOCRYPHES ON EN DIT QUOI ?
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

sceptique

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Message par sceptique »

medico a écrit :BIEN SUR ET CEUX QUE L'EGLISE A RAJOUTER LES FAMEUX APOCRYPHES ON EN DIT QUOI ?
"Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre." (2 Tim 3,16-17) :D

l'hirondelle

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Ecrit le 26 juin08, 07:07

Message par l'hirondelle »

Le même sujet a été posté sur le forum "l'arbre à palabres" par un clone d'un membre banni antérieurement.

Nicolianor

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Ecrit le 26 juin08, 07:53

Message par Nicolianor »

medico a écrit :BIEN SUR ET CEUX QUE L'EGLISE A RAJOUTER LES FAMEUX APOCRYPHES ON EN DIT QUOI ?
Tout ce que l'Église catholique a ratifié est vrai.

medico

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Message par medico »

bien sur tout comme l'histoire de SUZANE et les deux vieux lubrique dans le livre de DANIEL.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

ASSAD

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Ecrit le 26 juin08, 20:26

Message par ASSAD »

medico a écrit :BIEN SUR ET CEUX QUE L'EGLISE A RAJOUTER LES FAMEUX APOCRYPHES ON EN DIT QUOI ?

On en dit qu'ils contiennent des prophéties concernant le Christ qui se sont réalisées ! Donc on félicite l'Eglise de les avoir inclus dans leur canon de la Bible.

Exemple :

Sagesse de Salomon chp 2
12. Tendons des pièges au juste, puisqu'il nous gêne et qu'il s'oppose à notre conduite, nous reproche nos fautes contre la Loi et nous accuse de fautes contre notre éducation.
13. Il se flatte d'avoir la connaissance de Dieu et se nomme enfant du Seigneur.
14. Il est devenu un blâme pour nos pensées, sa vue même nous est à charge;
15. car son genre de vie ne ressemble pas aux autres, et ses sentiers sont tout différents.
16. Il nous tient pour chose frelatée et s'écarte de nos chemins comme d'impuretés. Il proclame heureux le sort final des justes et il se vante d'avoir Dieu pour père.
17. Voyons si ses dires sont vrais, expérimentons ce qu'il en sera de sa fin.
18. Car si le juste est fils de Dieu, Il l'assistera et le délivrera des mains de ses adversaires.
19. Eprouvons-le par l'outrage et la torture afin de connaître sa douceur et de mettre à l'épreuve sa résignation.
20. Condamnons-le à une mort honteuse, puisque, d'après ses dires, il sera visité.»

Alors Médico, ça te rappelle quelque chose cette prophétie d'un livre "apocryphe" ou ça ne te rappelle rien.

Question : peut-on prophétiser sur l'oeuvre du messie si la prophétie ne vient pas de Dieu ?

Deutéronome 18
21. Peut-être vas-tu dire en ton cœur : « Comment saurons-nous que cette parole, Yahvé ne l'a pas dite ? »
22. Si ce prophète a parlé au nom de Yahvé, et que sa parole reste sans effet et ne s'accomplit pas, alors Yahvé n'a pas dit cette parole-là. Le prophète a parlé avec présomption. Tu n'as pas à le craindre.


Comme la parole s'est réalisé, le livre "apocryphe" ( je préfère deutéro-canonique) est donc bien inspiré est digne de figurer dans la Bible.

CQFD

(chante)

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Ecrit le 26 juin08, 22:56

Message par mit »

Un livre sur la Shoah doit-il être ajouté à la Bible?



THIERRY BOUTTE

De nombreuses communautés juives conservatrices et libérales le désirent. Pas les orthodoxes. Historique. Ce serait un première depuis... 1500 ans. Une nécessité pour le judaïsme, selon le rabbin David Meyer, un des initiateurs du projet.

RENCONTRE

Au sein de votre communauté, Rabbin David Meyer, vous venez de terminer la rédaction d'un manuscrit - le rouleau de la Shoah, «Megillat Hashoah». Alors que la mémoire de l'Holocauste est déjà cultivée de multiples manières, pourquoi envisager l'ajout de ce livre à la Bible?

Tout est partit d'une constatation lorsque, en Belgique, j'étais professeur d'histoire juive dans un athénée juif. Les élèves de rétho devaient partir à Auschwitz pour leur voyage de fin d'année. Après 18 ans d'éducation juive, ces élèves ont réalisé une pétition pour aller à Ibiza plutôt qu'à Auschwitz! Effroi. Incompréhension. Questionnement. Oui, on commémore la Shoah. Oui, on en parle. Oui, il y a beaucoup de livres. Oui, on fait parler les rescapés. Mais visiblement quelque chose n'est pas transmis. Pourtant, ces jeunes, qui n'ont sans doute pas compris la Shoah âgée de 60 ans, appréhendent les désarrois et interrogations du peuple juif à l'époque de la reine Esther commémorés par la fête de Pourim. Il savent également ce que représente la sortie d'Egypte. Pourquoi cette différence? Parce que ces fêtes classiques du judaïsme ont été intégrées dans un calendrier liturgique construit autour d'un livre. Là, la transmission a fait ses preuves. C'est sans doute un échec dans celle de la Shoah. Pourquoi alors ne pas utiliser les outils de la tradition juive pour transmettre correctement quelque chose? Et ces outils, pour le peuple du Livre, c'est notamment un livre. Le 27 Nisan est la date hébraïque de commémoration de la Shoah, le «Yom Hashoah» (jour de l'Holocauste). Mais nous n'avons ni de liturgie fixe (les communautés ont une grande liberté en la matière) ni de livre de référence. Or, il existe aux Etats-Unis un petit ouvrage réunissant prières et méditations commémoratives, ainsi qu'une histoire en six chapitres relatant les événements et questions endurés par notre peuple durant la Shoah. Plusieurs années ont été nécessaires à de grandes autorités reconnues du Mouvement conservateur juif et de l'Institut Schechter (2) pour réfléchir et rédiger cet ouvrage. Le texte ne dit pas tout mais suggère beaucoup, pose simultanément de grandes questions et se place à un niveau individuel à l'instar du texte du rouleau d'Esther pour la fête du Pourim. Considérant que le support de ce texte n'était pas à la hauteur du rôle qu'il pourrait jouer, j'ai demandé à ces autorités de pouvoir transformer, dans les règles (voir infra), cet ouvrage en un véritable manuscrit. Ils ont répondu positivement, expliquant qu'ils y avaient pensé sans avoir osé passer à l'acte.

Vous avez décidé de «sacraliser» ce livre. Quelle forme prend-il aujourd'hui?

Le «Megillat Hashoah», le rouleau de la Shoah, est un manuscrit sur parchemin comptant 12 colonnes en hébreu et qui se présente enroulé autour d'un axe en bois. Ce rouleau a été écrit par un scribe, Marc Michaels, suivant des règles traditionnelles auxquelles répondent la calligraphie, les outils utilisés ou encore l'éthique et la conduite du scribe. Cet original - traditionnellement les scribes copient des livres de la Bible - a nécessité un vrai travail de réflexion et de création durant 6 mois.

Vous considérez donc la Bible comme insuffisante, du moins en ce qui concerne la réflexion à tenir autour de la Shoah?

Il est difficile de se rapporter à des textes bibliques qui parlent de la souffrance pour appréhender la Shoah. Le problème de la souffrance biblique - le plus clairement exprimée dans les textes prophétiques - est sa justification par une expression en hébreu, «Mipnei Hataeinau», «à cause de nos fautes». Ainsi, dans la Bible, la souffrance n'est jamais injustifiée mais bien «parce qu'on a fait quelque chose». Mais face à la Shoah, la grande majorité des penseurs juifs et des rabbins aujourd'hui n'envisagent pas de contempler les six millions de morts, le million et demi d'enfants, et de dire «à cause de leurs fautes». Si les juifs ont accepté à l'époque prophétique le concept «à cause de nos fautes» pour justifier les souffrances d'Israël, aujourd'hui ils ne l'acceptent plus. Il nous faut donc un texte où les juifs puissent exprimer leurs doutes par rapport à cette souffrance. Mais un tel texte n'existe pas dans la Bible. Ne faut-il pas alors le créer? Afin que la Bible continue d'être «d'utilité de réflexion» pour le peuple juif, ne doit-elle pas évoquer la Shoah, une des priorités de réflexion du judaïsme?

L'introduction d'un nouveau texte dans le canon de la Bible serait révolutionnaire, certains diront «hérétique». Comment pensez-vous ouvrir cette brêche?

Cet projet m'amènera sans doute des ennemis mais ne fera pas de moi un hérétique. Parce que je n'ai pas la prétention de venir imposer personnellement un texte biblique. Ma démarche est de proposer ce rouleau de la Shoah aux communautés juives. Et seul le temps dira si, dans un, deux ou trois siècles, les communautés juives auront encore envie de se souvenir de la Shoah - car peut-être ne le souhaiteront-elles pas! Et si oui, vont-elles considérer ce texte comme devant faire partie des pratiques acceptées du judaïsme? Une pratique reconnue dans le temps: dans ce cas seulement, le texte rentrera dans le canon biblique.

Maintenant, j'ai été frappé par la réaction de ma propre communauté. Après présentation de ce projet qui matériellement représente un certain coût, celui-ci a été couvert en dix minutes par des donations quelquefois conséquentes. L'engouement et le support général m'ont étonné. Il faut savoir que la communauté juive libérale dont je fais partie représente en Grande-Bretagne environ 30 pc du judaïsme. Aux Etats-Unis, elle constitue quelque 75 pc du judaïsme américain. Nous ne sommes donc pas minoritaires mais cette situation est à l'opposé de celle existant sur le continent européen, où les mouvements orthodoxes apparaissent nettement majoritaires. Mais si notre message peut passer et que, dans le monde juif non orthodoxe, certaines communautés adoptent ce principe, il paraîtra difficile de traiter d'«hérétiques» 75 pc du peuple juif. Ou alors «tous les autres» sont hérétiques et on peut envisager la disparition du judaïsme.

Les textes de la Bible sont considérés comme étant de révélation divine. Comment admettre votre texte sur la Shoah comme «révélé»?

Que doit-on entendre par «révélé»? Ce terme plutôt obscur sous-entend que soit les événements soit les auteurs du texte relatant ces événements ont bénéficié de l'inspiration divine. Mais pour beaucoup, Auschwitz est le lieu de la «non-révélation». Aussi pourrions-nous suggérer une autre interprétation: la notion d'inspiration ne se limite pas à l'expérience de ces terribles événements, mais aussi à l'impact qu'ils peuvent avoir sur notre vie religieuse actuelle. De ce point de vue, un grand nombre de Juifs sont «inspirés» par la Shoah dans leur façon de réfléchir sur leur foi et leur pratique religieuse. Ainsi, malgré la profondeur de la souffrance, la Shoah est un événement qui «inspire» le présent et le futur du judaïsme et, à ce titre, la «Megillat Hashoah» peut sans doute prétendre être un texte «inspiré».Ce texte sur la Shoah écrit par ces deux instituts n'en dit pas trop et sous-entend suffisamment pour inspirer une réelle réflexion sur le sens de la Shoah, ses enseignements et comment son souvenir transforme notre vision du judaïsme. Et face aux doutes générés par la Shoah sur notre foi, ce texte peut apparaître comme unificateur du judaïsme. Face aux laïcs juifs qui, en substance, interrogent - «comment est-il possible d'avoir une religion après l'existence de la Shoah puisque dans votre religion, il n'y a pas de place pour le doute?»- le texte peut répondre. Non, il y a une énorme place pour le doute. Il y a une place pour le questionnement. Il y a une place pour la révolte contre Dieu... L'intérêt de cette «Megillat Hashoah» est donc de légitimiser une réflexion sur le doute, le questionnement, la révolte, mais à l'intérieur d'un cadre religieux. C'est fondamental de pouvoir tenir cette discussion dans ce cadre traditionnel.Quant à l'inspiration divine directe, le judaïsme considère qu'il n'y en a plus depuis la destruction du premier Temple et le dernier des prophètes. Mais cela n'a jamais empêché les rabbins, après la destruction du premier et du deuxième temples, de réfléchir sur l'inspiration de l'histoire d'Esther, du Cantique des Cantiques ou du livre de l'Ecclésiaste, qui ont finalement été inclus dans la Bible. L'étude de l'histoire du canon biblique montre que ce dernier n'a pas été révélé par Dieu de façon rigide et que l'acceptation de certains livres a été beaucoup plus flexible.

N'y a-t-il pas un danger pour le judaïsme d'une part et l'identité juive laïcisée, de l'autre, d'ériger en culte la commémoration de la Shoah?

Oui, il y a un risque énorme. Le judaïsme est une religion de vie. Si on érige un culte de la Shoah, on risque de transformer cette religion de vie en une religion de mort. Cette préoccupation est centrale. Mais voyons les choses différemment. La Shoah est et reste au centre de mes préoccupations en tant que juif. La création d'un nouveau livre, d'un nouveau rouleau et d'une nouvelle liturgie peut sans doute régler ce problème. Je m'explique: à chaque fois que je lis un passage biblique - le sacrifice d'Abraham, les livres prophétiques ou le livre de Job... - je me demande comment l'appliquer avec cette Shoah omniprésente! Mais l'ajout d'un livre spécifique permettrait d'y concentrer la réflexion sur l'Holocauste et de redonner vitalité à tous les autres textes bibliques. Dans ce sens, on atteindrait l'objectif contraire au danger que vous mentionnez. Le danger, c'est l'absence de rite et de livre particuliers qui amène à penser, 365 jours par an, à un judaïsme pénétré de la Shoah. Pour qu'une transmission se fasse avec succès dans les génération à venir, ce n'est pas 365 jours par an qu'il faut penser à la Shoah mais un jour par an afin de continuer à vivre le judaïsme de la vie les autres jours. Avoir une date, un livre et une liturgie propres offre un effet limitateur, libérant les juifs du poids de la Shoah qui écrase le judaïsme.Car aujourd'hui, les questions liées à la Shoah entravent notre foi. Pourquoi pratiquer les commandements si Dieu ne nous a pas sauvés pendant la Shoah?

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l'hirondelle

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Ecrit le 26 juin08, 23:42

Message par l'hirondelle »

Un article qui date 2004!

medico

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Ecrit le 27 juin08, 02:06

Message par medico »

commentaire sur le livre de la sagesse d'aprés la bible OSTY.
(une élite de juifs cultivés avait entrepris la tâche de présenter aux paîens sous son meilleurs jour la religion des ancêtres, et n'hésitait pas à recherchre les points de contact entre la culture grecque et la traditiond'ISRAËL. c'est a ce mouvement que se rattache la SAGESSE.)
et plus loin il est aussi dit ( la SAGESSE refléte tout naturellement l'influence de la pensée grecque )
et encore (l'apport de l'héllénisme ne se limite pas pas a cette contribution . la philosophie a apporté son tribut . bien des expréssions de la SAGESSE se trouvent dans HERACLITE , PLATON , la STOA..il reste que la Sagesse a subi l'influence de la pensée grecque )
donc un livre qui a subi l'influence de la pensée grecque et forcément apocryphe . a mons que pour employé le langage du politiquement corect il faut dire que c'est un livre deutérocanonique.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

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Ecrit le 27 juin08, 02:13

Message par medico »

encore une parite apocryphe dans le livre de DANIEL.
QUATRIÈME PARTIE : LES ADDITIONS GRECQUES
L’histoire de Suzanne
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Message par mit »

l'hirondelle a écrit :Le même sujet a été posté sur le forum "l'arbre à palabres" par un clone d'un membre banni antérieurement.
Le fichier des dénonciateurs

Jean Kahn dévoile quelques secrets. Ainsi il existe, lui avait appris en 1992 le ministre de l'Intérieur Paul Quilès, un "fichier des dénonciateurs" de cent mille noms, constitué par Vichy durant l'Occupation et entreposé depuis dans les caves de la préfecture de police. "Je pense que le temps est venu de dévoiler la vérité sur ce sombre épisode de notre histoire, écrit Jean Kahn, les années ont passé, les dénonciateurs sont aujourd'hui devant leur Juge suprême ou largement nonagénaires".

Jean Kahn "l'Obstination du témoignage".

http://judaisme.sdv.fr/perso/dirige/jkahn/jkahn-lv.htm

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Message par ASSAD »

medico a écrit : donc un livre qui a subi l'influence de la pensée grecque et forcément apocryphe . a mons que pour employé le langage du politiquement corect il faut dire que c'est un livre deutérocanonique.
Ben, comment il peut prédire dans les détails ce qui doit arriver au Messie, alors ?

Et puis cette autre prophétie au chapitre 5

Elévation du juste :

Alors le juste s'y tiendra debout, avec une belle assurance,
face à ceux qui l'opprimèrent
et qui méprisaient ses efforts.
A sa vue, ils seront secoués d'une peur terrible,
stupéfaits de le voir sauvé contre toute attente.
Ils se diront entre eux, pleins de remords
et gémissant, le souffle court:
"C'est lui que jadis nous tournions en ridicule
et dont nous faisions un objet de sarcasme.
Insensés, nous avons jugé sa vie une pure folie
et sa mort déshonorante.
Comment donc a-t-il été admis au nombre des fils de Dieu
et partage-t-il le sort des saints?"


Tu peut expliquer Médico, comment quelqu'un qui n'est pas inspiré par Dieu peu prophétiser sur le Messie qu'il va envoyer ?


De plus ton raisonnement sur l'influence grecque est tout à fait pertinente pour l'évangile de Jean et le développement du concept du "Logos" qui est du platonicisme à l'état pur ...
J'espère que tu a enlevé Jean de ta bible ... (innocent)

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Ecrit le 27 juin08, 07:24

Message par medico »

tant fait pas tu trouveras pas de détails sur JESUS comme tu dis dans le livre de la Sagesse . mais sur la philosophie néo platonicenne la tu seras servi.
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