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L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 05:17
par W.Amadéus
Coran 4:34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs que Dieu accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection de Dieu. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand !

Quel grand amour Allah a t-il de la femme, frappez-les :D Bing une baigne dans ta face, uniquement parce que je craint (je ne suis pas sur) mais je pense que tu va me desobéire, alors une baigne comme Allah l'a dit.

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 05:53
par marie1
À première vue, ce verset paraît donner le droit au mari de battre sa femme. Il mérite cependant une analyse plus approfondie :

[...]Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand !

Il est important de noter que la traduction française ne contient pas toutes les subtilités de la langue arabe. De quelle genre de désobéissance s'agit-il ? Le mot désobéissance utilisé ici est lié aux voeux de mariage. Le mot arabe "Neshooz" signifie, dans ce contexte-ci, le bris des voeux de mariage. Donc, ceci ne peut s'appliquer que si la femme commet un acte grave comme charmer un autre homme, par exemple. Même si cela se produit, Dieu a donné aux hommes des étapes à suivre. La première étant le dialogue ( exhortez-les ). Faire chambre à part est la deuxième, si la première ne fonctionne pas ( éloignez-vous d'elles dans leurs lits ). Le mari doit se conformer à toutes les étapes de cette loi.

Il est aussi bien important de noter que la correction mentionnée au verset 4:34 est une correction symbolique. Si l'on étudie la tradition musulmane, on peut se rendre compte qu'elle équivaut à un petit coup pour signifier le mécontentement (Le prophète Muhammad a spécifié que c'est une tape qui ne laisse pas de marque). Si le mari choisit de l'appliquer, c'est pour sa femme un signe claire que les choses vont mal et qu'elle doit changer sa façon d'agir. Frapper son épouse pour la blesser est certes un péché manifeste. En effet, lorsque des femmes vinrent se plaindre au prophète Muhammad de violence de la part de leur mari, le prophète répondit que ceux-ci n'étaient pas de bons croyants :

Hadith Sunan Abu Dawud Livre 11, No 2141 :
Ne battez pas les servantes de Dieu ! [...] plusieurs femmes sont venus près de la famille de Muhammad en se plaignant de leur mari. Ceux-ci ne sont pas les meilleurs d'entre-vous.
Le prophète Muhammad a exhorté les hommes à se comporter convenablement envers les femmes à plusieurs reprises. Si le mari bat sa femme pour la blesser, celle-ci peut le poursuivre dans un tribunal islamique.
Quant au reste du verset [4:34] ...
Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection de Dieu.
Cette partie fait référence aux voeux de mariage et tout ce que cela implique.

Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs que Dieu accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien.

A l'époque, les hommes étaient les pourvoyeurs (et encore aujourd'hui dans la plupart des cas). Donc, Dieu ordonne aux femmes de rester respectueuses puisque leur mari pourvoie aux besoins de la famille ( et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien ). L'autorité dont il est mention ici est aussi relié à ce fait.

Si la femme regrette son geste, le mari n'a plus le droit d'agir contre sa femme ( Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand ! )

Conlcusion

Véritablement, le verset 4:34 du Coran fut révélé pour ordonner les hommes de ne pas battre leur femme. Si celle-ci comment une faute prouvée et brise volontairement ses voeux de mariage, Dieu a donné aux hommes, par ce verset, les étapes à suivre. La correction mentionnéee au verset 4:34 est une correction symbolique. Si le mari choisit de l'appliquer, c'est pour sa femme un signe claire que les choses vont mal et qu'elle doit changer sa façon d'agir. Un simple verset peut vouloir dire beaucoup comme vous pouvez le constater, mais chaque verset a son sens et son contexte. Il est très important de bien connaître le sens et le contexte de toutes les paroles du Seigneur afin de rester dans le droit chemin. D'ailleurs Dieu nous dit que le Coran est un guide pour les croyants afin que ceux-ci réfléchissent...

Le Coran [38:29]
[Voici] un Livre béni que Nous avons fait descendre vers toi, afin qu'ils méditent sur ses versets et que les doués d'intelligence réfléchissent ! Le Coran [30:21]
Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l'affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent.

Que Dieu soit loué !
Amen !

Source: Islam-Paradise

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:07
par chrisredfeild
1. EVE EN FAUTE ?

genese:
3.15 Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.
3.16 Il dit à la femme: J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. 3.17 Il dit à l'homme: Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre: Tu n'en mangeras point! le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie,

la bible montre clairement que la faute vient de eve, mais que dit le coran:

"(19) ‹Ô Adam, habite le Paradis, toi et ton épouse; Mangez de ses fruits à votre guise !; et n'approchez pas l'arbre que voici; sinon, vous seriez du nombre des injustes.› (20) Puis le Diable, afin de leur rendre visible ce qui leur était caché - leurs nudités - leur chuchota, disant: ‹Votre Seigneur ne vous a interdit cet arbre que pour vous empêcher de devenir des Anges ou d'être immortels!›. (21) Et il leur jura: ‹Vraiment, je suis pour vous deux un bon conseiller›. (22) Alors il les fit tomber par tromperie. Puis, lorsqu'ils eurent goûté de l'arbre, leurs nudités leur devinrent visibles; et ils commencèrent tous deux à y attacher des feuilles du Paradis. Et leur Seigneur les appela: ‹Ne vous avais-Je pas interdit cet arbre? Et ne vous avais-Je pas dit que le Diable était pour vous un ennemi déclaré?› (23) Tous deux dirent: ‹Ô notre Seigneur, nous avons fait du tort à nous-mêmes. Et si Tu ne nous pardonnes pas et ne nous fais pas miséricorde, nous serons très certainement du nombre des perdants›. ", sourate 7, versets 19-23.

dans le coran , dieu les blama tout les deux sans fair de distinction entre femme et homme, d'ailleur dieu pardonna leur erreurs :
« En effet, Nous avons auparavant fait une recommandation à Adam; mais il oublia; et Nous n'avons pas trouvé chez lui de résolution ferme. Et quand Nous dîmes aux Anges : "Prosternez-vous devant Adam", ils se prosternèrent, excepté Iblis qui refusa. Alors Nous dîmes : "ô Adam, celui-là est vraiment un ennemi pour toi et ton épouse. Prenez garde qu'il vous fasse sortir du Paradis, car alors tu seras malheureux. Car tu n'y auras pas faim ni ne sera nu, tu n'y auras pas soif ni ne seras frappé par l'ardeur du soleil". Puis le Diable le tenta en disant : "ô Adam, t'indiquerai-je l'arbre de l'éternité et un royaume impérissable ? " Tous deux (Adam et Eve) en mangèrent. Alors leur apparut leur nudité. Ils se mirent à se couvrir avec des feuilles du paradis. Adam désobéit ainsi à son Seigneur et il s'égara. Son Seigneur l'a ensuite élu, agréé son repentir et l'a guidé. » (S20/V115-122)
HERITAGE DE EVE:

l'image de eve dans la bible a eu un impact negatif dans la tradition judeo-chretienne de la femme:

"26 Et j'ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le coeur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par elle. 27 Voici ce que j'ai trouvé, dit l'Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison; 28 voici ce que mon âme cherche encore, et que je n'ai point trouvé. J'ai trouvé un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles toutes. " (Ecclésiaste 7:26-2.


" le péché commença avec une femme et à cause d'elle nous devons tous mourir " (Ecclésiastique 25:19,24).

et pour la tradition chretienne:

on sait que jesus selon les chretiens sa venu sur terre decoule directement de la desobeissance de EVE, car selon la bible elle a commis un peché, elle a seduit adam vers le peché, et elle a causé sa propore expulsion ainsi que celle de son mari du paradis a la terre, alors ils leguerent leurs peché a tout leurs descandant, donc tout ceux qui naitront auront une part de ce peché, donc pour purifier l'humanité, jesus fut sacrifier selon la bible, et donc eve est responsable du peché originel et de la mort de jesus.

"Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite, s'est rendue coupable de transgression." (I Timothée 2:11-14).
mais que dit le coran sur l'heritage de eve? on ne trouve aucun texte semblable dans le coran, car les 2 sont decrit comme ayant transgresser les regles de dieu, et les 2 dieu a pardonna, donc le peché originel n'existe pas en islam
" Quiconque fait une mauvaise action ne sera rétribué que par son pareil; et quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne action tout en étant croyant, alors ceux-là entreront au Paradis pour y recevoir leur subsistance sans compter. ", sourate Ghâfir (40), verset 40. [/color]" Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne oeuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions. ", sourate An-Nahl (16), verset 97. " Les croyants et les croyantes sont alliés les uns des autres. Ils commandent le convenable, interdisent le blâmable accomplissent la Salât, acquittent la Zakat et obéissent à Allah et à Son messager. Voilà ceux auxquels Allah fera miséricorde, car Allah est Puissant et Sage. ", sourate At-Tawba (9), verset 71.
le coran ne donne jamais cette image de femme tentatrice, le coran cite dans plusieurs exemple des femmes pieuses, alors que la bible dit :.......J'ai trouvé un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles toutes. " (Ecclésiaste 7:26-2. contrairement au coran:
" et Allah a cité en parabole pour ceux qui croient, la femme de Pharaon, quand elle dit "Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de son œuvre; et sauve-moi des gens injustes".
""De même, Marie, la fille d'`Imrân qui avait préservé sa virginité; Nous y insufflâmes alors de Notre Esprit. Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres: elle fut parmi les dévoués. ", sourate at-Tahrîm (66), versets 11-12

fille honteuse:

la vision de la femme entre le coran et la bible commence des la naissance:

levitique:
12.2 Parle aux enfants d'Israël, et dis: Lorsqu'une femme deviendra enceinte, et qu'elle enfantera un mâle, elle sera impure pendant sept jours; elle sera impure comme au temps de son indisposition menstruelle. 12.3 Le huitième jour, l'enfant sera circoncis. 12.4 Elle restera encore trente-trois jours à se purifier de son sang; elle ne touchera aucune chose sainte, et elle n'ira point au sanctuaire, jusqu'à ce que les jours de sa purification soient accomplis. 12.5 Si elle enfante une fille, elle sera impure pendant deux semaines, comme au temps de son indisposition menstruelle; elle restera soixante-six jours à se purifier de son sang.

donc si elle enfantera un garçon, elle se purifiera plus de 33 jours et plus de 66 jours si c'est une fille, mais que dit l'islam:
Om Salam (Qu'Allah l'agrée) a dit : « j'ai demandé au Prophète (PSL) combien de temps une femme reste après son accouchement ? Et il a répondu : quarante jours a moins qu'elle ne revienne à l'état de pureté avant ce délai » (Rapporté pa Hakim).

la on voit bien aucune distinction entre le mal et la femelle, mais le pire est a venir:
«Quand une femme a ses règles, que du sang s'écoule de son corps, elle est tenue pour impure pendant une semaine. Celui qui la touche devient impur et le reste jusqu'au soir. Tout lit où elle se couche et tout siège sur lequel elle s'assied, alors qu'elle a ses règles, devient impur. Celui qui touche ce lit ou ce siège doit laver ses vêtements et se laver lui-même; il reste impur jusqu'au soir. Si un objet se trouvait sur le lit ou le siège où elle a pris place, quiconque touche cet objet est impur jusqu'au soir. Quand une femme a des pertes de sang pendant plusieurs jours en dehors de ses règles ou que ses règles se prolongent au-delà du temps normal, elle est impure aussi longtemps que dure l'écoulement, comme pendant ses règles. Tout lit sur lequel elle se couche ou tout siège sur lequel elle s'assied est impur, comme pendant ses règles. Celui qui touche ce lit ou ce siège doit laver ses vêtements et se laver lui-même; il reste impur jusqu'au soir. » (Lévitique 15 :19-27).
sa veut dir que si une femme est impure, personne ne doit la touché , sinon il le sera aussi? et sa veut dir aussi que si elle touche une chose , cette chose sera impure et on ne doit pas la toucher?
alors que dans l'islam on a :

la parole du Prophète à Aïcha :

« Donne-moi le tapis de prière qui est dans la mosquée » elle répondit : « mais je suis dans ma période de règles » il rétorqua : « tes règles ne sont pas dans tes mains » [ rapporté par Moslem, Abu dâoud, tirmidhî, Nassâï et ibnou Majâh. (voir fiqh as-sunna t1p77-78)]

la bible donne aussi un regard negatif sur la naissance d'une fille, alors que le coran montre que cette naissance est un don:

" La naissance d'une fille est une perte " (Ecclésiastique 22:3).
alors que le coran:
"Et lorsqu'on annonce à l'un d'eux une fille, son visage s'assombrit et une rage profonde [l'envahit]. Il se cache des gens, à cause du malheur qu'on lui a annoncé. Doit-il la garder malgré la honte ou l'enfouira-t-il dans la terre? Combien est mauvais leur jugement! " (16:58-59).
" A Allah appartient la royauté des cieux et de la terre. Il crée ce qu'Il veut. Il fait don de filles à qui Il veut, et don de garçons à qui Il veut, " (42:49).
ou encor le hadith:
" Quiconque élève deux filles jusqu'à leur matûrité, lui et moi viendront le Jour de la Résurrection comme ceci ; et il joignit ses doigts " (Muslim).

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:13
par chrisredfeild
l'education feminine:
voici se que dit le nouveau testament:
" Comme dans toutes les Églises des saints, que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis de prendre la parole ; qu'elles se tiennent dans la soumission, selon que la Loi même le dit. Si elles veulent s'instruire sur quelque point, qu'elles interrogent leur mari à la maison ; car il est inconvenant pour une femme de parler dans une assemblée. " (I Corinthiens 14:34-35)
donc si la femme doit se taire comment pourra t-elle apprendre?
alors que l'islam nlous enseigne autre chose:

Selon Abou Sa’id Al Khoudri : une femme vint dire au Prophète : « O Messager d’Allah ! les hommes se sont réservés à eux seuls tes hadiths. Laisse donc pour nous l’une de tes journées pour nous enseigner ce qu’Allah t’a appris. Il lui dit : « Réunissez-vous tel jour ». Elles se réunirent donc et le Prophète vint à elles et leur enseigna ce qu’Allah lui avait appris. Puis il leur dit : « Chacune d’entre vous qui sera précédée dans l’autre monde par trois de ses enfants trouvera en eux un écran contre le Feu ». L’une d’elles lui demanda : « Et s’ils ne sont que deux ? » Il dit : « Même s’ils ne sont que deux. » [Rapporté par Al Boukhari et Moslim]
ou encor cette histoire qui montre le droit de la femme d'argumenter meme a coté de son prophete:

Khawlah était une femme musulmane, dont le mari a prononcé dans un accès de colère la formule suivante : " Tu es pour moi comme le dos de ma mère. " Les Arabes pagans considéraient cette déclaration comme un divorce qui délivrait l'homme de toute responsabilité, mais ne laissait pas la femme libre de quitter le foyer du mari, ou de se marrier avec un autre homme. En entendant ces mots de la part de son mari, Khawlah se trouva dans une situation misérable.

Elle partit alors voir le Prophète de l'Islam.

Le Prophète était de l'avis qu'elle devait être patiente puisqu'il ne voyait aucune autre issue. Khawla continua d'argumenter avec le Prophète en tentant de sauver son mariage suspendu.

Bientôt, le Coran intervint ; l'appel de Khawla fut accepté. Le verdict divin abolit la coutume inique. Un chapitre entier (sourate 5 du Coran fut révélé dont le titre est "al-Mujadilah" ou " La femme qui argumente " du nom même de cet incident.

" Allah a bien entendu la parole de celle qui discutait avec toi à propos de son époux et se plaignait à Allah. Et Allah entendait votre conversation, car Allah est Audient et Clairvoyant " (58:1).

cette femme si elle etait chretienne, va t-elle se defendre devant le prophete, ou restera t-elle en silence?

L'adultere:
l'adultere en islam est different a celui dans la bible, si on islam un homme et une femme commetent l'adultere, ils seront fouéter mais il seront tué seulement lorsqu'ils commettent tout 2 une relation extraconjugual, alors que la bible appelle relation extramritale est seulement l'adultere commis par une femme marié, et les 2 seront tué:
levitiques:
20.10 Si un homme commet un adultère avec une femme mariée, s'il commet un adultère avec la femme de son prochain, l'homme et la femme adultères seront punis de mort.

le coran:
AN-NUR
24.2. Administrez à la femme et à l’homme coupables de fornication cent coups de fouet chacun. Le respect de la loi de Dieu exige que vous n’ayez aucune pitié pour eux, si vous croyez en Dieu et au Jugement dernier. Ce châtiment devra être exécuté en présence d’un groupe de croyants.

la bible pourra meme brulé si :
levitiques:
20.14 Si un homme prend pour femmes la fille et la mère, c'est un crime: on les brûlera au feu, lui et elles, afin que ce crime n'existe pas au milieu de vous.
alors que bruler est strictement interdit pour n'importe quel péché, d'ailleurs un des compagnons du prophete etaient blamé par les autres compagnons en faisant ceci, mais il se repenta.

et la bible va encor loin, en tuant la femme qu'on decouvre qu'elle n'etait pas vierge lorsqu'elle fut marié; alors que dans l'islam elle ne sera que fouter:
deuteronome:
22.20 Mais si le fait est vrai, si la jeune femme ne s'est point trouvée vierge, 22.21 on fera sortir la jeune femme à l'entrée de la maison de son père; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu'elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi.


donc pourquoi tout le monde critique la viision de l'islam, je rajoute que l'histoire de la non lapidation d'une femme dans l'evangile de jean, est une histoire rajouté dans cet evangile ulterieurement dont on a la preuve.

proprieté de l'epouse:

Les trois religions partagent une inébranlable foi en l’importance du mariage et de la vie de famille. Elles croient aussi à la qualité de chef de famille du mari. Néanmoins, des différences criantes existent parmi les trois religions à propos des limites imposées au chef de famille. La tradition judéo-chrétienne, au contraire de l’Islam, étend le pouvoir du chef de famille jusqu’à lui octroyer la propriété de sa femme. La tradition juive à ce propos se justifie en disant que le mari possède son épouse comme il possède une esclave . Cela suffit à expliquer la double norme des lois sur l’adultère. On comprend aussi pourquoi le mari a le pouvoir d’annuler les engagements de sa femme. Enfin, dernière conséquence, on refuse à la femme tout contrôle sur ses propres biens et gains. Aussitôt que la femme juive se marie, elle perd complètement le contrôle de ses biens et gains au profit de son mari. Les rabbins juifs confirment que le droit du mari sur les biens de sa femme est un corollaire de sa propre possession : « Puisqu’il a pris possession d’une femme, n’est il pas logique qu’il prenne possession de ce qu’elle possédait ? », et « Puisqu’il a acquis la femme, ne devrait-il pas acquérir ses biens aussi ? » Ainsi, le mariage peut rendre la femme la plus riche pratiquement sans le sou. Le Talmud décrit la situation financière de la femme comme suit :

« Comment une femme peut-elle posséder quoique ce soit ? tout ce qu’elle a appartient à son mari ; Ce qui est à lui est à lui, et ce qui est à elle est aussi à lui..... Ses salaires à elle et ce qu’elle trouve dans la rue est aussi à lui. Les objets du foyer, jusqu’aux miettes de pain sur la table sont à lui. Elle aurait un invité à la maison qu’elle nourrirait, ce serait voler son mari... » (San. 71a, Git. 62a) La réalité des faits est que toute propriété de la femme juive n’a pour seule fonction que de susciter des prétendants au mariage.
En pratique, la famille juive assigne à sa fille une part des biens du chef de famille à utiliser comme dot en cas de mariage. C’est à cause de cette dot que les filles juives sont un fardeau malvenu pour leurs pères. Le père devait élever une fille pendant des années puis la préparer au mariage en lui octroyant une généreuse dot. Ainsi, une fille de famille juive constituait un handicap et non un atout . Cet handicap explique pourquoi la naissance d’une fille n’était pas célébrée avec joie dans l’ancienne société juive (lire la section « Filles Ehontées »). La dot constituait un cadeau de mariage présentée au marié sous les clauses d’une location. Le mari était alors le propriétaire réel de la dot, sans toutefois pouvoir la vendre. La mariée perdait tout contrôle sur sa dot au moment du mariage. En outre, on lui demandait de travailler après le mariage et tous les gains qu’elle récoltait allaient au mari, en échange de l’entretien qu’il lui incombait. Elle ne pouvait retrouver ses biens qu’en deux occasions : le divorce ou la mort de son mari.
Si elle venait à mourir, il hériterait de ses biens. Dans le cas où le mari mourait, la veuve retrouvait la propriété de sa dot originale, sans qu’elle ne puisse hériter d’aucune part des biens propres de son époux. On doit ajouter pour faire bonne mesure que le prétendant devait présenter un cadeau de mariage à sa future épouse, et une fois de plus, il est le propriétaire réel de ce cadeau, et ce tant qu’ils sont mariés.
Le Christianisme, jusqu’à récemment, a suivi la même tradition juive. Les autorités religieuses et civiles de l’Empire Romain Chrétien (après Constantin) exigeaient toutes deux un accord de propriété pour reconnaître le mariage. Les familles offraient leurs filles en augmentant sans cesse les dots, et par conséquent, les hommes tendaient à se marier plus tôt, alors que les familles reportaient le mariage de leur fille plus tard que de coutume . Sous la Loi Canonique, une femme pouvait réclamer sa dot si le mariage était annulé, sauf si elle était coupable d’adultère. Dans ce cas, elle perdait son droit à la dot au profit de son mari [24]. Sous la Loi Canonique et Civile, la femme mariée en Europe et Amérique chrétienne perdait son droit à la propriété. Une telle loi survécut jusqu’à la fin du 19ème siècle et début du 20ème. Par exemple, les droits de la femme inscrits dans la loi anglaise furent compilés et publiés en 1632. Ces droits prévoyaient : « que ce que le mari possèdait est à lui. Ce que l’épouse possèdait est à son mari » Non seulement, l’épouse perdait ses biens à son mariage, mais elle perdait sa personalité aussi. Aucun de ses actes n’avait de valeur légale.
Son mari pouvait contester et annuler toute transaction commerciale ou cadeau qu’elle aurait fait, car cela n’avait aucune valeur contractuelle ou légale. Pire, la personne qui avait participé avec elle à cette transaction était coupable de crime et accusée de complicité de fraude. En outre, elle ne pouvait ni attaquer en justice ni être attaquée en justice en son nom propre, et encore moins pouvait elle attaquer en justice son propre mari . Concrètement, la femme mariée était traitée en mineure aux yeux de la loi. L’épouse appartenait simplement à son mari, et perdait, par conséquence, ses biens, sa personnalité légale, et son nom de famille . L’Islam, depuis le 7ème siècle de l’ère chrétienne, a doté les femmes mariées d’une personalité indépendante ce que l’Occident judéo-chrétien lui a refusé jusqu’à très récemment. En Islam, la mariée et sa famille ne sont en aucun cas obligés de présenter un cadeau au marié. La fille de la famille musulmane n’est pas un handicap. Une femme est tellement digne en Islam qu’elle n’a pas besoin de présenter de cadeaux pour attirer de potentiels maris. C’est plutôt au prétendant de présenter à la mariée un cadeau de mariage. Ce cadeau est considéré sa propriété à elle et ni le prétendant ni la famille de la mariée n’ont de droits dessus. Dans certaines sociétés musulmanes de nos jours, un cadeau de mariage de plusieurs centaines de milliers de dollars en diamants n’est pas inhabituel . La mariée conserve ses cadeaux de mariage, même si le divorce est prononcé.
Le mari n’a droit à aucune part dans les biens de sa femme excepté ce qu’elle accepte de lui offrir de sa propre volonté . Le Coran a affirmé sa position sur cette question assez clairement :

« Et donnez aux épouses leur mahr (dot), de bonne grâce. Si de bon gré elles vous en
abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon coeur «
Sourate 4, An-Nisa (Les Femmes), verset 4

Les biens de l’épouse et ses gains sont sous son contrôle total et pour son utilisation exclusive puisque la responsabilité entière de l’entretien de l’épouse et des enfants revient au mari. Peu importe la richesse de leur vie, elle n’est jamais obligée de subvenir aux besoins de la famille sauf si elle le décide volontairement. Notons enfin que les époux héritent naturellement l’un de l’autre.
En outre, une femme mariée en Islam conserve son statut juridique légal en toute indépendance ainsi que son nom de famille. Un juge américain en commentant les droits des femmes musulmanes, a dit : « Une femme musulmane peut se marier dix fois, mais son individualité n’est jamais absorbée par celle de ses maris successifs. Elle est une planète solaire avec son nom et sa personnalité légale propre. »

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:18
par chrisredfeild
le divorce:

Les trois religions ont de remarquables différences dans leurs attitudes face au divorce. Le Christianisme exècre totalement le divorce. Le Nouveau Testament prône l’indissolubilité catégorique du mariage. On a attribué à Jésus la parole suivante : « Et moi, je vous dis : quiconque répudie sa femme—sauf en cas d’union illégale—l’exposer [la rend] adultère ; et si quelqu’un épouse une répudiée, il est adultère. » (Matthieu 5 :32). Cet idéal intransigeant est, sans aucun doute, irréaliste. Il suppose un état de perfection morale que les sociétés humaines n’ont jamais accompli. Quand un couple se rend compte que leur vie maritale ne peut plus se réparer, leur interdire le divorce n’arrangera rien. Forcer des caractères incompatibles à vivre ensemble contre leurs volontés n’est ni efficace ni raisonnable. Rien d’étonnant à ce que le monde chrétien ait été obligé de cautionner le divorce. Le judaïsme, d’un autre coté, permet le divorce, même sans aucune cause. L’Ancien Testament donne le droit au mari de divorcer de sa femme simplement si elle ne lui plait plus. « Lorsqu’un homme prend une femme et l’épouse, puis, trouvant en elle quelque chose qui lui fait honte, cesse de la regarder avec faveur, rédige pour elle un acte de répudiation et le lui remet en la renvoyant de chez lui, lorsque la femme est donc sortie de chez lui, s’en est allée, puis est devenue la femme d’un autre, si l’autre homme cesse de l’aimer, rédige pour elle un acte de répudiation et le lui remet en la renvoyant de chez lui, ou bien si l’autre homme qui l’avait prise pour femme meurt, alors, son 1er mari, qui l’avait renvoyée, ne pourra pas la reprendre pour en faire sa femme, après qu’elle aura été rendue impure. » (Deut. 24 :1-4). Les versets ci dessus ont causé de nombreux débats parmi les érudits juifs à cause de leurs divergences sur l’interprétation des termes « déplaisant », « honte, et « ne pas aimer » mentionnés dans les versets.

Le Talmud retient leurs différentes opinions : « L’école de Shammai considère qu’un homme ne devrait pas divorcer de sa femme sauf en cas de faute sexuelle, tandis que l’école de Hillel affirme qu’il peut la divorcer même si elle lui abîme sa vaisselle. Le Rabbin Akiba dit qu’il peut la divorcer simplement parce qu’il a trouvé une femme plus belle qu’elle » (Gittin 90a-b). Le Nouveau Testament suit l’opnion des Shammaites alors que la loi juive suit celle des Hillelites et du R. Akiba . Puisque l’opinion des Hillelites a prévalu, elle constitue aujourd’hui la tradition inscrite dans la loi juive qui donne au mari la liberté de divorcer de sa femme sans aucune cause du tout.

L’Ancien Testament ne donne pas seulement le droit au mari de divorcer d’une épouse « déplaisante », c’est même une obligation que de divorcer une « mauvaise femme » : « Cœur abattu, visage renfrogné et plaie du cœur, voilà l’œuvre d’une femme méchante. Mains inertes et genoux paralysés, voilà l’œuvre de celle qui ne rend pas heureux son mari. La femme est à l’origine du péché et c’est à cause d’elle que tous nous mourons. Ne laisse pas l’eau s’échapper, ne laisse pas non plus à une femme méchante la liberté de parole. Si elle ne marche pas au doigt et à l’œil, sépare-toi d’elle et renvoie-la. » (L’Ecclésiastique 25 :23-25).
Le Talmud rapporte plusieurs actions spécifiques de l’épouse qui oblige les maris à les divorcer : « Si elle a mangé dans la rue, si elle a bu avec gourmandise dans la rue, si elle a allaité dans la rue, dans chaque cas le Rabbin Meir dit qu’elle doit quitter son mari » (Git. 89a). Le Talmud a aussi rendu obligatoire le divorce de la femme stérile (qui ne porte aucun enfant depuis dix ans) : « Nos rabbins nous enseignent : si un homme prend une femme et vit avec elle pendant dix ans et qu’elle ne porte pas d’enfant, il doit divorcer d’elle » (Yeb. 64a) Les épouses, d’un autre coté, ne peuvent pas demander le divorce dans la loi juive. Toutefois, une femme juive, peut réclamer son droit de divorce devant le tribunal juif à condition qu’elle ait une forte raison. Très peu de situations permettent à l’épouse juive de déposer une demande de divorce. Ce sont les suivantes : un mari qui souffre de défauts physiques ou de maladies de la peau ; un mari qui manque à ses responsabilités conjugales, etc. Le tribunal peut soutenir la demande de divorce de l’épouse mais il ne peut dissoudre le mariage. Seul le mari peut dissoudre le mariage en remettant à sa femme un billet de divorce. Le tribunal peut le condamner, l’emprisonner, le faire payer une amende ou l’excommunier. Toutefois, si le mari est assez obstiné, il peut refuser de lui accorder le divorce et la garder attachée à lui indéfiniment. Pire encore, il peut l’abandonner sans lui accorder le divorce et la laisser sans mari ni divorce. Il peut épouser une autre femme, ou même vivre avec une maîtresse hors-union et qu’elle lui donne des enfants (ces enfants seront considérés légitimes sous la loi juive). De l’autre coté, la femme délaissée, ne peut ni se marier à un autre homme puisqu’elle est encore légalement mariée et elle ne peut ni vivre avec un autre homme car elle sera considérée comme femme adultère et ses enfants nés de cette union seront considérés illégitimes pour dix générations. Une femme qui vit cette situation est appel&e agunah (femme enchainée) [|Swidler, op. cit., pp. 162-163.]]. Aux Etats Unis aujourd’hui, on trouve entre 1000 et 1500 femmes juives agunot (pluriel de agunah), alors que leur nombre approximatif en Israel atteint les 16000. Des maris extorquent des milliers de dollars de leurs femmes piégées en échange du divorce juif [34].

L’Islam occupe la position médiane entre le Christianisme et le Judaïsme en ce qui concerne le divorce. Le mariage en Islam est un lien sanctifié qui ne doit pas être brisé sauf cas de force majeure. Les couples sont encouragés à explorer toutes les voies de conciliations chaque fois que leur mariage est en danger. Le divorce n’est envisagé seulement quand aucune autre issue n’existe.

En un mot, l’Islam reconnait le divorce, cependant, il le décourage par tous les moyens.

Considérons en premier lieu comment l’Islam reconnait le divorce. L’Islam reconnait le droit aux deux partenaires de terminer leur relation maritale. Pour le mari, ce droit est appelé en Islam : Talaq. En outre, l’Islam, au contraire du judaïsme, garantit ce droit à la femme, de dissoudre le mariage par ce qui est appelé Khula’ .

Si le mari dissout le mariage en divorçant de sa femme, il ne peut récupérer aucun des cadeaux de mariage qu’il lui a donné. Le Coran interdit explicitement aux maris divorceurs de reprendre leurs cadeaux, aussi riches et importants puissent-ils être :

" Si vous voulez substituer une épouse à une autre, et que vous ayez donné à l’une un quintar, n’en reprenez rien. Quoi ! Le reprendriez-vous par injustice et péché manifeste ? ."
Sourate 4, An-Nisa(Les Femmes), verset 20

Dans le cas où la femme décide de terminer son mariage, elle peut retourner ses cadeaux de mariage à son mari. Dans cette situation, le fait de retourner une partie des cadeaux de mariage est une juste compensation pour le mari qui aurait aimé garder son épouse, alors qu’elle choisit de le quitter. Le Coran enseigne au musulman de ne reprendre aucun des cadeaux qu’il a offert à son épouse excepté dans le cas où la femme choisit de dissoudre le mariage :

" Et il ne vous est pas permis de reprendre quoi que ce soit de ce que vous leur aviez donné, - à moins que tous deux ne craignent de ne point pouvoir se conformer aux ordres imposés par Allah. Si donc vous craignez que tous deux ne puissent se conformer aux ordres d’Allah, alors ils ne commettent aucun péché si la femme se rachète avec quelque bien. Voilà les ordres d’Allah. Ne les transgressez donc pas."

Sourate 2, Al-Baqarah(La vache), verset 229
Ainsi, une femme vint au Messager d’Allah cherchant la dissolution de son mariage. Elle dit au Prophète qu’ele n’avait pas à se plaindre du comportement ou des manières de son mari. Son seul problème était qu’elle ne l’aimait pas, à tel point qu’elle ne supportait plus de vivre avec lui. Le Prophète lui demanda : « Serais-tu prête à lui rendre son jardin (un cadeau de mariage qu’il lui avait donné) ? Elle dit : « Oui. » Le Prophète ordonna à l’homme de reprendre son jardin et d’accepter la dissolution du mariage. (Bukhari)
Dans certains cas, une femme musulmane voudrait bien conserver son mariage, mais se trouve obligée de demander le divorce pour des cas de force majeure : cruauté du mari, désertion sans aucune raison, mari qui ne remplit pas ses responsabilités conjugales, etc. Dans ce genre de situation, le tribunal Musulman dissout le mariage. En bref, l’Islam a offert à la femme musulmane des droits inégalés : elle peut décider de terminer son mariage par le Khula’ comme elle peut décider d’aller au tribunal pour obtenir le divorce. Une épouse musulmane ne pourra jamais rester enchainée par un mari récalcitrant. Ce sont ces droits qui ont séduit les femmes juives qui vivaient dans les premieres sociétés Islamiques du 7ème siècle. Elles cherchèrent alors à obtenir de leurs maris des billets de divorce dans ces tribunaux Musulmans. Les rabbins déclarèrent ces billets nuls et non avenus. Dans le but de mettre fin à cette pratique, les rabbins ouvrirent de nouveaux droits et privilèges aux femmes juives pour affaiblir le recours aux tribunaux islamiques. Les femmes juives vivant dans les pays chrétiens n’obtinrent pas les mêmes droits puisqu’à cause de la loi romaine de divocrce en cours, il n’y avait pas de loi plus attractive que la loi juive . Concentrons nous maintenant sur la façon dont l’Islam décourage le divorce. Le Prophète de l’Islam a dit aux croyants que : « de toutes les choses licites, le divorce est la plus détestée de Dieu » (Abu Daoud) Un homme musulman ne divorce pas de sa femme simplement parce qu’elle ne lui plait pas. Le Coran ordonne aux croyants d’être bons avec leur femme, même quand les émotions sont tièdes et que les sentiments sont négatifs.

" Et comportez-vous convenablement envers elles. Si vous avez de l’aversion envers elles durant la vie commune, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose où Allah a déposé un grand bien."
Sourate 4, An-Nisa(Les Femmes), verset 19

Le Prophète Mohammad a donné un ordre similaire : « Un croyant ne doit pas détester une croyante. S’il la déteste pour un de ses traits de caractères, il sera content avec un autre. » (Muslim).
Le Prophète a aussi insisté sur le fait que les meilleurs musulmans sont les meilleurs avec leur femme : « Les croyants qui montre la foi la plus parfaite sont ceux qui ont le meilleur caractère et les meilleurs d’entre vous sont ceux qui sont les meilleurs avec leurs épouses. » (Tirmidhi). Toutefois, l’Islam est une religion pragmatique et elle reconnait qu’en certaines circonstances, le mariage est sur le point de s’effondrer. Dans de tels cas, un simple conseil de bonté ou de maîtrise de soi n’est pas une solution viable. Alors que faire pour sauver un mariage dans ces situations ? Le Coran offre des avis pratiques pour l’homme ou la femme dont le conjoint est fautif. Pour le mari qui voit que la mauvaise conduite de son épouse menace leur mariage, le Coran donne quatre types de conseils comme détaillés dans les versets suivants :

" Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, (1) exhortez-les, (2) éloignez-vous d’elles dans leurs lits et (3) frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! Si vous craignez le désaccord entre les deux [époux], (4) envoyez alors un arbitre de sa famille à lui, et un arbitre de sa famille à elle. Si les deux veulent la réconciliation, Allah rétablira l’entente entre eux. Allah est certes, Omniscient et Parfaitement Connaisseur."
Sourate 2, An-Nisa(Les Femmes), versets 34-35

Les trois premiers points sont à essayer en premier. En cas d’échec, on cherche l’aide des familles concernées. Il est à noter que battre une épouse rebelle est une mesure temporaire qui se place en troisième et ultime moyen dans les cas extrêmes, dans l’espoir que cela remédie aux méfaits de l’épouse . Si cela fonctionne, le mari n’est autorisé par aucun moyen à continuer de la contrarier, conformément au verset. si cela ne fonctionne pas, le mari n’est pas non plus autorisé à poursuivre cette mesure, et il doit ensuite explorer la mesure de réconciliation par l’intervention des familles. Le Prophète Mohammad a enseigné aux mari musulmans de ne pas avoir recours à ces mesures excepté dans les cas de force majeure comme, par exemple, des obscénités manifestes qui seraient commises par la femme. Et même dans ces cas, la punition doit être faible et si la femme cesse, le mari ne doit plus s’irriter contre elle. « Dans la situation où elles sont coupables d’obscénité ouverte, laissez les seules dans leurs lits et infligez leur un léger châtiment. Si elle vous obéissent, ne cherchez plus à les ennuyer d’aucune façon. » (Tirmidthi) De plus, le Prophète de l’Islam a condamné toute punition physique injustifiée

maintenant , les chretiens, si vous nous disiez que jesus n'a imposé aucune loi, alors vous devriez nous prouver ceci, et pour le prouver, vous devrier vous conformé a ceci:
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 22605.html

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:35
par medico
regarde la charte concernant les longs copié collés.
et le sujet est sur le coran.

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:40
par chrisredfeild
ce n'est pas un copié collé, c'est un message ecrit par moi; posté dans ce forum : http://www.forum-religions.com/islam-ch ... -t1635.htm

l'essentiel, c'est mon ecrit, sauvegardé dans mon pc, et je le poste dans different forum,
pour la chart? je ne sais pas si j'ai transgresser qqchose?

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:44
par medico
chrisredfeild a écrit :ce n'est pas un copié collé, c'est un message ecrit par moi; posté dans ce forum : http://www.forum-religions.com/islam-ch ... -t1635.htm

l'essentiel, c'est mon ecrit, sauvegardé dans mon pc, et je le poste dans different forum,
pour la chart? je ne sais pas si j'ai transgresser qqchose?
de toute façon bien trop long et c'est un amalgame a la petite semaine.

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 06:53
par chrisredfeild
peut etre trop long pour toi, mais j'ai pris l'habitude de ne pas repondre seulement au forumiste, mais de repondre a tous.
des gens ne sont pas inscrit lisent frequentent surment se forum, ils sont des lecteurs potentiel.

et dieu sais que l'arguement que je vient de posté est tres puissant, sans equivoques, et je n'est pas comparé comme certains chretiens font, des verset quelquonque, mais j'ai comparé chaque verset biblique a son equivalent coranique.

exemple: les chretiens font ceci:
ils presentent le seul texte coranique ou il est ecrit : frapez les, puis il montrent un text biblique ou on lis : aimez vos femmes.
pourtant la comparaison est fausse, car le coran dit d'aimé vos femme bien plus que la bible, mais ma demarche est claire, je compare dans des situation identiques.
si la femme dans la bible n'a pas le droit de s'instruire qu'aupres de son mari, alors j'expose le texte ou la femme dansle coran pourra sortir pour s'instruire.
sa c'est une comparaison, et personne ne pourra contredir ceci

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 07:33
par W.Amadéus
Coran 4:34.quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les

C'est ça le message d'Allah pour les femmes, frappez-les. A un tel point que Muhamed qui n'est pas plus recommendable qu'Allah, a du rectifié ce verset en disant de frappez avec des conditions. Car Allah dit frappez-les sans autre arguments, si Muhamed ne serait pas là, les musulmans frapperaient leur femme, a chaque fois qu'ils auraient un doute sur leur obeissance.

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 07:56
par chrisredfeild
W.Amadéus a écrit :Coran 4:34.quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les

C'est ça le message d'Allah pour les femmes, frappez-les. A un tel point que Muhamed qui n'est pas plus recommendable qu'Allah, a du rectifié ce verset en disant de frappez avec des conditions. Car Allah dit frappez-les sans autre arguments, si Muhamed ne serait pas là, les musulmans frapperaient leur femme, a chaque fois qu'ils auraient un doute sur leur obeissance.
c'est le seul verset, et tu a loupé le hadith de notre prophete qui l'a expliqué, frappez n'est pas battre, les frapper legerement, sans touché le visage ou les parti sensible, relis tout en details se que j'ai ecrit si tu veut t'instruire.

mais je dirai aussi, qu'une femme prefere etre frappé legerement que la femme biblique qui est decrites d'une façon innacceptable, et meme si aucun texte ne dit de la frapper sa sous entend cette actions.
en pluis la femme musulmanes a le droit a l'heritage, a le droit de demandé le divorce, a le droit s'instruire dehors, son accord est necesaire pour validé un mariage, elle n'est impure que par les relation sexuelle mais jamais elle doit s'eloigné lors de ses mentrue.
la femme dans la bible n'herite pas si elle a un frere, ne peut s'instruire que par son mari, ne peut demandé de divorce, son accord pour le mariage n'est pas necessaire, lors de ses menstru elle doit s'isolé compltement celui qui l'a touche sera impure.

je n'est cité que qq exemple, vous ne tenez sur rien, et une femme prefere etre frapper legerement que de perdre tout ces droit.

Allah aime ses créatures

Posté : 09 août09, 08:07
par iloveislam
Allah aime toutes ses créatures , Il aime les hommes , les animaux , les oiseaux....., et parcequ'Il les a créés tous, Il leur donne de quoi vivre quoiqu'ils soient mécréants.
Dans l'autre Monde , sa clémence, sa miséricorde sera uniquement pour les pieux.
49:13: Ô hommes! Nous vous avons créés d'un mâle et d'une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d'entre vous, auprès d'Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand- Connaisseur.

Quand Dieu donne la possibilté à un homme de frappper ( ce mot est à prendre avec nuance ) ce n'est pas à n'importe quel homme, mais à un homme avec une forte foi, avec un trés bon comportement , qui aime beaucoup sa femme, qui a un esprit de justice et d'équité.
Le prophète Mohammed (pbsl) a expliqué ce verbe frapper en précisant qu'il ne s'agit de petits coups , similaires qu'on fait à un enfant non pas par haine mais par amour.
Ces quelques coups sont une étape dans la réconciliation entre époux et cela n'est pas la régle mais l'exception , car les gens qui respectent leur religion et appliquent la loi coranique ne peuvent pas frapper leurs épouses puisque Dieu dit:

Coran:
Et comportez-vous convenablement envers elles. Si vous avez de l'aversion envers elles durant la vie commune, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose où Allah a déposé un grand bien.
A bon entendeur.

Re: L'amour d'Allah envers les femmes

Posté : 09 août09, 08:13
par Obad
Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes. Amin

Salam aleicom


La femme battue ?

Aisha (radiya Allahou ‘anha) rapporte : Le Prophète SAWS n’a jamais levé la main sur qui que ce soit, ni sur une femme ni sur une servante, excepté lorsqu’il combattait pour la cause d’Allah SWT.

(Mouslim)

Dans l'événement d'un différent familiale, le Coran exhorte le mari à traiter sa femme avec bonté et ne pas fermer les yeux sur ses ASPECTS POSITIFS (voir Coran 4:19).

Si le problème est en rapport avec le comportement de la femme, le mari peut l'exhorter et lancer un appel à la raison. Dans la plupart des cas cette mesure est suffisante. Dans les cas où le problème continue, le mari peut exprimer son déplaisir d’une manière pacifique et diplomate, en dormant dans un lit séparé du sien.

Il y a des cas, cependant ou la femme persiste dans de mauvais traitement délibérés et exprime du dédain pour son mari et néglige les obligations maritales . Au lieu du divorce, le mari peut avoir recours à une autre mesure qui peut sauver le mariage, au moins dans quelques cas. Cette mesure est décrite comme une légère correction corporelle à la manière douce et correcte, mais JAMAIS SUR LE VISAGE, la faire plus comme une mesure symbolique et non à des fins punitives.

Suivez le texte Coranique apparenté:

-Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! (Sourate an-Nissa verset 34)

Même ici, cette mesure de DERNIER RECOURS est limitée et régie à certaines conditions:

1. Elle doit être vu comme UNE EXCEPTION RARE ? L'EXHORTATION REPETEE POUR LE RESPECT MUTUEL, LA GENTILLESSE ET LE BON TRAITEMENT, qui auront été utilisé bien avant.

Basé sur le Coran et les hadiths, cette mesure peut être utilisée dans les cas de lascivité de la part de la femme ou réfraction extrême et refus des demandes raisonnables du mari sur une base logique (nushuz).

Cependant les autres mesures, tel que l’exhortation, devraient être
essayé en premier lieu.

2. Comme il est défini dans des hadiths, ce n'est pas ADMISSIBLE de FRAPPER QUELQU'UN AU VISAGE, DE CAUSER TOUT MAL CORPOREL OU MEME D’ETRE SEVERE.

Ce qu’a qualifié le hadith comme « dharban ghayrah mobarih », où frappe légère, était interprété par les juristes comme un (symbolique) usage de miswak (un petit coup de brosse à dents naturelle)! Ils ont qualifié le frapper " admissible " comme tout ce qui occasionne aucune marque sur le corps.

3. Le fait que cette mesure soit permise face au sérieux caractère réfractaire soutenue N'IMPLIQUE PAS LE DESIRE DU RECOURS A UNE TELLE MESURE. Dans plusieurs hadith, Le Prophète Muhammad SAWS a découragé cette mesure. Parmi ses récits on cite :

« Ne battez pas les servantes d'Allah »

« Plusieurs femmes allèrent se plaindre de leurs maris (qui les battent) auprès de la famille du Messager de Dieu SAWS.
Le Messager de Dieu SAWS dit alors :

"Beaucoup de femmes sont venues plaindre leurs maris auprès de la famille de Mohamed SAWS, or ces hommes-là ne sont pas les meilleurs parmi vous». (Abou Daoud)

«Lors d’un sermon le Prophète SAWS dit :

"Il arrive que l’un de vous fouette sa femme comme il fouette son esclave, puis il aura, peut-être, avec elle des rapports charnels à la fin de ce jour ».

(Boukhari & Mouslim)

Dans un autre hadith le Prophète SAWS a dit :

...Comment fait quelqu'un de vous qui bat sa femme comme il bat le chameau et alors il peut l’embrasser (dormir avec) elle ?... (Sahih Al-Bukhari,op.cit., vol.8.hadith 68,pp.42-43).

4. La Vrai pour suivre la Sounna c’est suivre l'exemple du modèle qu’est Le prophète Muhammad SAWS, qui n'a jamais EU RECOURS à CETTE MESURE, sans se soucier des circonstances.

5. les enseignements Islamiques sont universels de nature. Ils répondent aux besoins et circonstances des divers temps, cultures et circonstances. Quelques mesures peuvent être efficace dans quelques cas et cultures ou avec certaines personnes mais ne peuvent pas être efficace dans les autres.

Par définition, un 'acte admissible’ n’est jamais exigé, et encouragé ou interdit. En fait, il est MEILLEUR D’EXPLIQUER L'AMPLEUR de l’acceptation, tel, comme dans la question de la « main », plutôt que de le laisser sans restriction et inqualifié, ou ignorer tout de l’ensemble. En l’absence de personne qualifiée sur ce sujet complexe, les gens peuvent interpréter la matière d’agir dans leur propre conception des choses et la mener à l’excès et à de vrais abus.

6. Tout excès, cruauté, violence famililale, ou abus engagé par « Le Musulman » ne peut jamais être suivre la voie , honnêtement, selon les prescriptions coraniques et de la sounnah.

DE TELS EXCES ET VIOLATIONS SERONT BLAMEES SUR LA PERSONNE ELLE-MEME, comme le fait qu'ils justifient leurs insolences en prenant comme appui les Enseignements Islamiques et ordres alors qu’ils manquent à suivre le vrai et la Sounna du Prophète SAWS

Source: http://www.eurowrc.org/00.news/15.news.htm