Jésus était violent
Posté : 21 août09, 01:47
Extrait de "Jésus était schizophrène" de Jean-Philippe Cossette.
Chapitre 8
Jésus : un homme violent.
Selon les évangiles, à au moins 2 reprises, Jésus est entré dans le temple de Jérusalem et a fait beaucoup de saccage. Le premier incident est rapporté
par l’évangile de Jean Chapitre 2 :
« La Pâque des Juifs était proche et Jésus monta à Jérusalem. Il trouva dans le Temple les vendeurs de boeufs, de brebis et de colombes et les changeurs
assis. Se faisant un fouet de cordes, il les chassa tous du Temple et les brebis et les boeufs ; il répandit la monnaie des changeurs et renversa leurs tables, et aux vendeurs de colombes il dit : « Enlevez cela d’ici. Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de commerce. » - Jean 2 : 13-16
Ce récit est le premier incident, au début de son ministère, après les noces de Cana. Le second se passe vers la fin, alors qu’il venait d’arriver à Jérusalem depuis peu de temps et que sa crucifixion approchait. Il se peut
qu’il s’agisse d’un seul et même événement, dont la situation dans le temps est complètement différente entre les évangiles synoptiques et l’évangile de
Jean :
« Ils arrivent à Jérusalem. Étant entré dans le Temple, il se mit à chasser les vendeurs et les acheteurs qui s’y trouvaient : il culbuta les tables des changeurs et les sièges des marchands de colombes, et il ne laissait personne transporter d’objet à travers le Temple. Et il les enseignait et il leur disait :
‘ N’est-il pas écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations ? Mais vous, vous en avez fait un repaire de brigands!’ » -
Marc 11 : 15-17
Ces 2 événements sont à peu près semblables. Jésus, s’étant désorganisé, fait preuve d’une violence sans précédent envers des objets et des animaux et possiblement les vendeurs et les changeurs aussi qu’il frappe avec un fouet de cordes. Il a donc utilisé le fouet comme une arme. Il renverse des tables et des chaises. Il avait un tempérament très violent et était hors de contrôle, en pleine agitation psychotique. Ces 2 incidents étaient très graves et si Jésus vivait aujourd’hui, on aurait appelé la police pour le maîtriser et
on l’aurait emmené faire un séjour en psychiatrie pour recevoir des médicaments antipsychotiques et anxiolytiques pour diminuer son agitation. Il avait
donc un potentiel d’agressivité très élevé malgré les belles paroles qu’il prêchait.
Jésus ne faisait pas seulement preuve de violence physique, mais aussi psychologique et verbale. C’est ce qu’on peut lire dans les extraits suivants :
« Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt Celui qui peut perdre dans la géhenne à la fois l’âme
et le corps. » - Matthieu 10 : 28
Jésus a fait peur à ses disciples avec la notion de Géhenne (ou d’Enfer), lieu de flammes et de souffrances éternelles. Il leur laisse entendre
que s’ils n’obéissaient pas, ils s’y retrouveraient en guise de punition. La plupart des religions et sectes chrétiennes ont utilisé et utilisent encore cette
croyance en la Géhenne pour faire peur à leurs ouailles et les amener à se soumettre à leur doctrine. Cela s’appelle jouer la carte de la peur et ça fonctionne.
Jésus, étant convaincu d’être le fils de dieu et d’avoir raison dans ses croyances, condamne les villes qui n’ont pas accepté ses enseignements :
« Malheur à toi, Chorazeïn ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Car si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et Sidon, il y a longtemps que, sous le sac et dans la cendre, elles se seraient repenties. Aussi
bien, je vous le dis, pour Tyr et Sidon, au Jour du Jugement, il y aura moins de rigueur que pour vous. Et toi, Capharnaüm, crois-tu que tu seras élevée
jusqu’au ciel ? Jusqu’à l’Hadès tu descendras. Car si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui.
Aussi bien, je vous le dis, pour le pays de Sodome il y aura moins de rigueur, au Jour du Jugement, que pour toi. » - Matthieu 11 : 21-24
Jésus fait preuve de violence verbale en condamnant sévèrement les habitants des villes qui n’acceptent pas ses points de vues, allant jusqu’à dire que la Sodome biblique, détruite par une pluie de feu et de souffre, allait subir un jugement moins sévère qu’eux ! (Genèse 19 : 23-25). Il leur souhaitait
une souffrance atroce. Jésus avait des pensées assez violentes. Il donnait à ses points de vue une importance exagérée. On remarque le même état
d’esprit en Matthieu chapitre 12 :
« Les hommes de Ninive se dresseront lors du Jugement avec cette génération et ils la condamneront, car ils se repentirent à la proclamation de Jonas et il y a ici plus que Jonas ! La reine du Midi se lèvera lors du Jugement
avec cette génération et elle la condamnera, car elle vint des extrémité de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici plus que Salomon
! » - Matthieu 12 : 41-42
Le prophète Jonas est celui qui, selon la mythologie biblique, passa 3 jours dans le ventre d’un monstre marin. Salomon, quant à lui, était le troisième
roi d’Israël, réputé pour sa grande sagesse. Jésus se croyait meilleur et plus sage qu’eux ! C’était un véritable délire de grandeur.
Voici une autre déclaration témoignant de sa violence psychologique et verbale. S’adressant aux scribes et Pharisiens de l’époque, il leur dit :
« Serpents, engeance de vipères ! Comment pourrez-vous échapper à la condamnation de la Géhenne (l’enfer) ? » - Matthieu 23 : 33
Ses multiples mentions de la « Géhenne » sont une véritable obsession à propos du châtiment éternel que méritent selon lui les méchants, c’est-àdire
ceux qui n’acceptent pas ses paroles. Cette croyance en l’enfer se retrouve dans plusieurs religions. Elle est probablement apparut en ancienne Égypte, bien avant l’apparition du judaïsme et du christianisme.
Chapitre 8
Jésus : un homme violent.
Selon les évangiles, à au moins 2 reprises, Jésus est entré dans le temple de Jérusalem et a fait beaucoup de saccage. Le premier incident est rapporté
par l’évangile de Jean Chapitre 2 :
« La Pâque des Juifs était proche et Jésus monta à Jérusalem. Il trouva dans le Temple les vendeurs de boeufs, de brebis et de colombes et les changeurs
assis. Se faisant un fouet de cordes, il les chassa tous du Temple et les brebis et les boeufs ; il répandit la monnaie des changeurs et renversa leurs tables, et aux vendeurs de colombes il dit : « Enlevez cela d’ici. Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de commerce. » - Jean 2 : 13-16
Ce récit est le premier incident, au début de son ministère, après les noces de Cana. Le second se passe vers la fin, alors qu’il venait d’arriver à Jérusalem depuis peu de temps et que sa crucifixion approchait. Il se peut
qu’il s’agisse d’un seul et même événement, dont la situation dans le temps est complètement différente entre les évangiles synoptiques et l’évangile de
Jean :
« Ils arrivent à Jérusalem. Étant entré dans le Temple, il se mit à chasser les vendeurs et les acheteurs qui s’y trouvaient : il culbuta les tables des changeurs et les sièges des marchands de colombes, et il ne laissait personne transporter d’objet à travers le Temple. Et il les enseignait et il leur disait :
‘ N’est-il pas écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations ? Mais vous, vous en avez fait un repaire de brigands!’ » -
Marc 11 : 15-17
Ces 2 événements sont à peu près semblables. Jésus, s’étant désorganisé, fait preuve d’une violence sans précédent envers des objets et des animaux et possiblement les vendeurs et les changeurs aussi qu’il frappe avec un fouet de cordes. Il a donc utilisé le fouet comme une arme. Il renverse des tables et des chaises. Il avait un tempérament très violent et était hors de contrôle, en pleine agitation psychotique. Ces 2 incidents étaient très graves et si Jésus vivait aujourd’hui, on aurait appelé la police pour le maîtriser et
on l’aurait emmené faire un séjour en psychiatrie pour recevoir des médicaments antipsychotiques et anxiolytiques pour diminuer son agitation. Il avait
donc un potentiel d’agressivité très élevé malgré les belles paroles qu’il prêchait.
Jésus ne faisait pas seulement preuve de violence physique, mais aussi psychologique et verbale. C’est ce qu’on peut lire dans les extraits suivants :
« Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt Celui qui peut perdre dans la géhenne à la fois l’âme
et le corps. » - Matthieu 10 : 28
Jésus a fait peur à ses disciples avec la notion de Géhenne (ou d’Enfer), lieu de flammes et de souffrances éternelles. Il leur laisse entendre
que s’ils n’obéissaient pas, ils s’y retrouveraient en guise de punition. La plupart des religions et sectes chrétiennes ont utilisé et utilisent encore cette
croyance en la Géhenne pour faire peur à leurs ouailles et les amener à se soumettre à leur doctrine. Cela s’appelle jouer la carte de la peur et ça fonctionne.
Jésus, étant convaincu d’être le fils de dieu et d’avoir raison dans ses croyances, condamne les villes qui n’ont pas accepté ses enseignements :
« Malheur à toi, Chorazeïn ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Car si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et Sidon, il y a longtemps que, sous le sac et dans la cendre, elles se seraient repenties. Aussi
bien, je vous le dis, pour Tyr et Sidon, au Jour du Jugement, il y aura moins de rigueur que pour vous. Et toi, Capharnaüm, crois-tu que tu seras élevée
jusqu’au ciel ? Jusqu’à l’Hadès tu descendras. Car si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui.
Aussi bien, je vous le dis, pour le pays de Sodome il y aura moins de rigueur, au Jour du Jugement, que pour toi. » - Matthieu 11 : 21-24
Jésus fait preuve de violence verbale en condamnant sévèrement les habitants des villes qui n’acceptent pas ses points de vues, allant jusqu’à dire que la Sodome biblique, détruite par une pluie de feu et de souffre, allait subir un jugement moins sévère qu’eux ! (Genèse 19 : 23-25). Il leur souhaitait
une souffrance atroce. Jésus avait des pensées assez violentes. Il donnait à ses points de vue une importance exagérée. On remarque le même état
d’esprit en Matthieu chapitre 12 :
« Les hommes de Ninive se dresseront lors du Jugement avec cette génération et ils la condamneront, car ils se repentirent à la proclamation de Jonas et il y a ici plus que Jonas ! La reine du Midi se lèvera lors du Jugement
avec cette génération et elle la condamnera, car elle vint des extrémité de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici plus que Salomon
! » - Matthieu 12 : 41-42
Le prophète Jonas est celui qui, selon la mythologie biblique, passa 3 jours dans le ventre d’un monstre marin. Salomon, quant à lui, était le troisième
roi d’Israël, réputé pour sa grande sagesse. Jésus se croyait meilleur et plus sage qu’eux ! C’était un véritable délire de grandeur.
Voici une autre déclaration témoignant de sa violence psychologique et verbale. S’adressant aux scribes et Pharisiens de l’époque, il leur dit :
« Serpents, engeance de vipères ! Comment pourrez-vous échapper à la condamnation de la Géhenne (l’enfer) ? » - Matthieu 23 : 33
Ses multiples mentions de la « Géhenne » sont une véritable obsession à propos du châtiment éternel que méritent selon lui les méchants, c’est-àdire
ceux qui n’acceptent pas ses paroles. Cette croyance en l’enfer se retrouve dans plusieurs religions. Elle est probablement apparut en ancienne Égypte, bien avant l’apparition du judaïsme et du christianisme.