Je n’ai pas compris ni la réponse ni l’argumentaire. (1)
Posté : 25 août09, 20:59
Je n’ai pas compris ni la réponse ni l’argumentaire. (1)
Petit préambule.
Ce petit préambule ne fait pas partie de la question.
S’il est sot – je suis consciente de ce risque – que cela ne vous prive pas de me donner une réponse à la question.
Depuis Descartes il est classique de fonder la connaissance sur le sujet connaissant.
Il semble que ce soit difficile de faire autrement puisque nous n’avons pas une connaissance immédiate de l’objet de connaissance, communément appelé le « réel ».
La première question est simple :
Il y a évidemment deux réponses simples :
a ) Oui ;
b ) Non ;
Mais il y a plein d’autres réponses :
c ) La question n’a pas de sens car elle est absurde (comme « quel est le goût de l’épistémologie des faïences ») ;
d ) La question n’a pas de sens car il est irréductiblement impossible de lui donner une réponse sérieuse ;
e ) La question a peut-être un sens mais jusqu’à présent on n’en sait rien ;
f ) La question a bien un sens mais jusqu’à présent on n’a pas la réponse ;
etc.
Je ne veux pas vous influencer.
Cela va sans dire mais cela va encore mieux en le disant,
je serais heureuse d’être édifiée par un argumentaire précis et non pas par une bibliographie.
À vous lire…
Petit préambule.
Ce petit préambule ne fait pas partie de la question.
S’il est sot – je suis consciente de ce risque – que cela ne vous prive pas de me donner une réponse à la question.
Depuis Descartes il est classique de fonder la connaissance sur le sujet connaissant.
Il semble que ce soit difficile de faire autrement puisque nous n’avons pas une connaissance immédiate de l’objet de connaissance, communément appelé le « réel ».
La première question est simple :
« Le réel préexiste-t-il au sujet connaissant ? »
Il y a évidemment deux réponses simples :
a ) Oui ;
b ) Non ;
Mais il y a plein d’autres réponses :
c ) La question n’a pas de sens car elle est absurde (comme « quel est le goût de l’épistémologie des faïences ») ;
d ) La question n’a pas de sens car il est irréductiblement impossible de lui donner une réponse sérieuse ;
e ) La question a peut-être un sens mais jusqu’à présent on n’en sait rien ;
f ) La question a bien un sens mais jusqu’à présent on n’a pas la réponse ;
etc.
Je ne veux pas vous influencer.
Cela va sans dire mais cela va encore mieux en le disant,
je serais heureuse d’être édifiée par un argumentaire précis et non pas par une bibliographie.
À vous lire…