Philosophons
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
- IIuowolus
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Philosophons
Ecrit le 28 oct.09, 05:39Exercice de style.
Ennoncé:
100 Jours en Enfer ne me ferait pas plus apprécier une journée au Paradis.
100 Journées au Paradis ne rendrait pas pire qu'une journée en Enfer.
Question:
C'est quoi mon problème ?
A vos claviers.
Ennoncé:
100 Jours en Enfer ne me ferait pas plus apprécier une journée au Paradis.
100 Journées au Paradis ne rendrait pas pire qu'une journée en Enfer.
Question:
C'est quoi mon problème ?
A vos claviers.
Re: Philosophons
Ecrit le 28 oct.09, 05:43Tu es pyromane.
L'argument des "historiens" officiels: « Il ne faut pas demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible ; il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu » (Le Monde, 21 février 1979, p. 23)
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- Rabi_Ahdini
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Re: Philosophons
Ecrit le 28 oct.09, 07:02Merde! tu as déjà été en Enfer ou au Paradis?
Non? alors tu ne peux pas savoir ce que tu ressentira en y restons 100 jours ^^
Non? alors tu ne peux pas savoir ce que tu ressentira en y restons 100 jours ^^
- erwan
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Re: Philosophons
Ecrit le 28 oct.09, 08:53ton problème est que tu philosophes trop.IIuowolus a écrit :Exercice de style.
Ennoncé:
100 Jours en Enfer ne me ferait pas plus apprécier une journée au Paradis.
100 Journées au Paradis ne rendrait pas pire qu'une journée en Enfer.
Question:
C'est quoi mon problème ?
A vos claviers.
On est encore loin de l'enfer et du paradis , ces endroits n'ont de réalité que dans la foi , les descriptions de ces endroits n'ont pour objectif que de donner envie et de matérialiser ces endroits pour l'instant fictif.
On est sur terre et on vit , mais quelle genre de vie voulons nous?
[3:186]
Certes vous serez éprouvés dans vos biens et vos personnes; et certes vous entendrez de la part de ceux à qui le Livre a été donné avant vous, et de la part des Associateurs, beaucoup de propos désagréables. Mais si vous êtes endurants et pieux... voilà bien la meilleure résolution à prendre.
Certes vous serez éprouvés dans vos biens et vos personnes; et certes vous entendrez de la part de ceux à qui le Livre a été donné avant vous, et de la part des Associateurs, beaucoup de propos désagréables. Mais si vous êtes endurants et pieux... voilà bien la meilleure résolution à prendre.
- IIuowolus
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Re: Philosophons
Ecrit le 30 oct.09, 09:45la bonne questions et plutôt qu'elle vit créons-nous.erwan a écrit : On est sur terre et on vit , mais quelle genre de vie voulons nous?
Quand on vois ce qui se passe sur le forum, on se dit que cette energie serrais bien mieux exploité s'il était retourné contre les politiciens ou pour lutte contre la corruptions ou pour dénoncé la gestapoisation de la société.
- Rabi_Ahdini
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Re: Philosophons
Ecrit le 30 oct.09, 10:18Tout a fait d'accord.la bonne questions et plutôt qu'elle vit créons-nous.
Quand on vois ce qui se passe sur le forum, on se dit que cette energie serrais bien mieux exploité s'il était retourné contre les politiciens ou pour lutte contre la corruptions ou pour dénoncé la gestapoisation de la société.
Re: Philosophons
Ecrit le 31 oct.09, 14:15Trop d’absinthe ?... Ou pas assez ?...
_______________________
Bonsoir IIuowolus,
L’occasion de vous en poser la question pouvant ne plus se présenter … comment dire ?... (J’ai un côté terriblement « bonne femme ») … je ne tiens plus ! :
Hier, il me semble bien que vous étiez estampillé V.I.P. de ce forum …
… or cela ne semble plus être le cas …
… Et lorsque je vois des fanatiques portant « fausse-barbe-rasée » arpenter le forum avec une étiquette « modérateur » sous l’avatar ; je me dis :
« IIuowolus a dû faire une grosse-grosse-grosse bêtise pour se faire saquer comme ça ! »…
… Quoique ?!… Face à des fanatiques, une toute petite peut suffire …
Allons, IIuowolus, glissez moi tout dans la pupille, je ne répéterai rien de ce que j'y lirais …
… mais de grâce, ne me laissez pas mourir sans savoir !
_______________________
Je ne voudrais cependant pas laisser votre question sans réponse.
_______________________
Peu après son Nobel, le Grand Albert (pas celui qui fait tourner les tables !) subissait un journaliste qui ne comprenait pas qu’une indication de temps n’avait de valeur qu’en rapport au corps de référence.
De guerre lasse, Einstein lui servit cet exemple :
« Passez donc une heure chez votre dentiste, puis une heure avec une jolie femme ; vous verrez alors que la durée n’est pas la même ! »
J’ignore quel est le point important qui vous préoccupe.
Le temps ? [100 jours pour une journée]
La qualité ? [Enfer contre paradis]
Une seule chose est sûre : vous êtes le seul corps de référence pour ces deux dimensions de votre vie.
______________________
Quand à l’enfer d’Einstein ; permettez-moi de vous parler de mon dentiste …
______________________
Cela va faire 30 ans qu’il me soigne.
Au fil des années, je l’ai vu devenir un très grand praticien.
Dire que nous bavardons serait beaucoup, car allongé, bouche ouverte je dois convenir que je ne fais surtout que l’écouter.
Il me connait bien, et me parle donc souvent « religion » ; comme un Juif agnostique sait le faire ; je veux dire … en sachant choisir, et les sujets, et les moments !
Lorsqu’il travaille, il a la main sûre du grand professionnel qui officie sans anesthésie, et d’un ton professoral vous fait participer à l’effort de guerre : vous savez ce qui se passe dans votre mâchoire, et surtout les enjeux de la bagarre !
… zuiii …zzzuuiiiii … « nous libérons le bulbe » … ziiuuuu …
Et moi, je commence à me cramponner aux accoudoirs, car au fil des années, j’ai appris moi aussi à connaitre mon homme !
… uiizzzuuu … « bien, nous y sommes »…il repose sa fraise ; jette un œil suspicieux sur la dent … semble hésiter … et en prépare une autre …
« J’ai un ami qui vient de rentrer d’Israël …là il faudrait bien rincer …ça va être un peu long …»
Vous pensez bien que je le fais avec application, pour faire durer…
« Voilà, on ouvre bien grand … il est très pieux … un peu plus à droite, voilà … et il est allé prier au Mur … » … zzuiii … zzzzuuiiii …
« Là, il ne faut surtout pas bouger, sans quoi tu hurles … » … zuuuiiii … « … et il se balançait donc comme ça en priant … » …zzziiuuu …
Et de mimer le balancement de son ami en prière …
Cela n’affecte pas le contrôle de sa main, mais je m’arrime aux accoudoirs, car je sens que ça vient …
« …et il prie … et il prie en se balançant encore plus » ….zzuiiiiiii … « lorsqu’il entend une voix tonitruante qui descend du ciel et qui dit : » …zzziuuuuu … « Dis ! T’sais qu’tu causes à un mur !!!... » …uuuiizzz…
__________________
Voyez-vous, IIuowolus, au sujet de l’enfer, je pense que le plus dur doit être de s’y interdire de rire !
Mais pour l’heure, nous avons un monde à partager …et au présent !...
_______________________
Bonsoir IIuowolus,
L’occasion de vous en poser la question pouvant ne plus se présenter … comment dire ?... (J’ai un côté terriblement « bonne femme ») … je ne tiens plus ! :
Hier, il me semble bien que vous étiez estampillé V.I.P. de ce forum …
… or cela ne semble plus être le cas …
… Et lorsque je vois des fanatiques portant « fausse-barbe-rasée » arpenter le forum avec une étiquette « modérateur » sous l’avatar ; je me dis :
« IIuowolus a dû faire une grosse-grosse-grosse bêtise pour se faire saquer comme ça ! »…
… Quoique ?!… Face à des fanatiques, une toute petite peut suffire …
Allons, IIuowolus, glissez moi tout dans la pupille, je ne répéterai rien de ce que j'y lirais …
… mais de grâce, ne me laissez pas mourir sans savoir !
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Je ne voudrais cependant pas laisser votre question sans réponse.
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Peu après son Nobel, le Grand Albert (pas celui qui fait tourner les tables !) subissait un journaliste qui ne comprenait pas qu’une indication de temps n’avait de valeur qu’en rapport au corps de référence.
De guerre lasse, Einstein lui servit cet exemple :
« Passez donc une heure chez votre dentiste, puis une heure avec une jolie femme ; vous verrez alors que la durée n’est pas la même ! »
J’ignore quel est le point important qui vous préoccupe.
Le temps ? [100 jours pour une journée]
La qualité ? [Enfer contre paradis]
Une seule chose est sûre : vous êtes le seul corps de référence pour ces deux dimensions de votre vie.
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Quand à l’enfer d’Einstein ; permettez-moi de vous parler de mon dentiste …
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Cela va faire 30 ans qu’il me soigne.
Au fil des années, je l’ai vu devenir un très grand praticien.
Dire que nous bavardons serait beaucoup, car allongé, bouche ouverte je dois convenir que je ne fais surtout que l’écouter.
Il me connait bien, et me parle donc souvent « religion » ; comme un Juif agnostique sait le faire ; je veux dire … en sachant choisir, et les sujets, et les moments !
Lorsqu’il travaille, il a la main sûre du grand professionnel qui officie sans anesthésie, et d’un ton professoral vous fait participer à l’effort de guerre : vous savez ce qui se passe dans votre mâchoire, et surtout les enjeux de la bagarre !
… zuiii …zzzuuiiiii … « nous libérons le bulbe » … ziiuuuu …
Et moi, je commence à me cramponner aux accoudoirs, car au fil des années, j’ai appris moi aussi à connaitre mon homme !
… uiizzzuuu … « bien, nous y sommes »…il repose sa fraise ; jette un œil suspicieux sur la dent … semble hésiter … et en prépare une autre …
« J’ai un ami qui vient de rentrer d’Israël …là il faudrait bien rincer …ça va être un peu long …»
Vous pensez bien que je le fais avec application, pour faire durer…
« Voilà, on ouvre bien grand … il est très pieux … un peu plus à droite, voilà … et il est allé prier au Mur … » … zzuiii … zzzzuuiiii …
« Là, il ne faut surtout pas bouger, sans quoi tu hurles … » … zuuuiiii … « … et il se balançait donc comme ça en priant … » …zzziiuuu …
Et de mimer le balancement de son ami en prière …
Cela n’affecte pas le contrôle de sa main, mais je m’arrime aux accoudoirs, car je sens que ça vient …
« …et il prie … et il prie en se balançant encore plus » ….zzuiiiiiii … « lorsqu’il entend une voix tonitruante qui descend du ciel et qui dit : » …zzziuuuuu … « Dis ! T’sais qu’tu causes à un mur !!!... » …uuuiizzz…
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Voyez-vous, IIuowolus, au sujet de l’enfer, je pense que le plus dur doit être de s’y interdire de rire !
Mais pour l’heure, nous avons un monde à partager …et au présent !...
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http://www.forum-religion.org/post496406.html#p496406
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Re: Philosophons
Ecrit le 07 nov.09, 03:09J'ai été modérateur et admin pendant environ 3 ans, depuis j'ai un CDD est je n'ai plus le temps pour le forum.Anthyme a écrit : Bonsoir IIuowolus,
L’occasion de vous en poser la question pouvant ne plus se présenter … comment dire ?... (J’ai un côté terriblement « bonne femme ») … je ne tiens plus ! :
Hier, il me semble bien que vous étiez estampillé V.I.P. de ce forum …
… or cela ne semble plus être le cas …
… Et lorsque je vois des fanatiques portant « fausse-barbe-rasée » arpenter le forum avec une étiquette « modérateur » sous l’avatar ; je me dis :
« IIuowolus a dû faire une grosse-grosse-grosse bêtise pour se faire saquer comme ça ! »…
… Quoique ?!… Face à des fanatiques, une toute petite peut suffire …
Allons, IIuowolus, glissez moi tout dans la pupille, je ne répéterai rien de ce que j'y lirais …
… mais de grâce, ne me laissez pas mourir sans savoir !
J'ai quitté ma fonction en trés bon termes avec les autres membres du staff et chaque fois qu'Elaquim recrute, il essaie de voir si je suis encore partant...
Je me suis mis le statut V.I.P. en partant qui n'a rien d'officiel et qui n'a pas été reconduit à la nouvelle mise en page du forum et je m'amuse bien de voir tout le foin qu'une simple décoration artificielle peux suiciter.
J'ai apprecie cette retrocecité d'humour et me rejoui de te relire._______________________
Je ne voudrais cependant pas laisser votre question sans réponse.
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Re: Philosophons
Ecrit le 08 nov.09, 05:58pfff , si tu as des choses à dire , alors dis les clairement , pourquoi se cacher derrière une rhétorique incompréhensible pour dénoncer des choses ?anthyme a écrit
… Et lorsque je vois des fanatiques portant « fausse-barbe-rasée » arpenter le forum avec une étiquette « modérateur » sous l’avatar ; je me dis :
« IIuowolus a dû faire une grosse-grosse-grosse bêtise pour se faire saquer comme ça ! »…
… Quoique ?!… Face à des fanatiques, une toute petite peut suffire …
surtout si c'est pour ensuite lire ce genre de phrase
comment partager si on n'essaie même pas de se faire comprendre?Mais pour l’heure, nous avons un monde à partager …et au présent !...
[3:186]
Certes vous serez éprouvés dans vos biens et vos personnes; et certes vous entendrez de la part de ceux à qui le Livre a été donné avant vous, et de la part des Associateurs, beaucoup de propos désagréables. Mais si vous êtes endurants et pieux... voilà bien la meilleure résolution à prendre.
Certes vous serez éprouvés dans vos biens et vos personnes; et certes vous entendrez de la part de ceux à qui le Livre a été donné avant vous, et de la part des Associateurs, beaucoup de propos désagréables. Mais si vous êtes endurants et pieux... voilà bien la meilleure résolution à prendre.
Re: Philosophons
Ecrit le 08 nov.09, 08:21sujet, philosophons, d'iluowus,
sujet intrinsèque à sa personne... suis je reconnu ? puisque visiblement les admin lui courrent derrière...
on immagine pour sa brillante participation...
il faut que tu saches qu'une participation dans un forum est à titre de loisir, en somme on est là pour s'amuser, réfléchir, discuter, penser, sans exigences de la vie... et qu'ici on est beaucoup à avoir des contrats dans la vie... qu'ils soient d'ordre, morale, sentimentale, familiale, professionel, universitaire, mandataire ...
la reconnaissance de soi dans le monde... vaste question dont on fait part ici dans ce sujet...comme me disait un ami, la seule personne qui nous donne une valeur surdimentionel c'est notre maman... question ouverte... loool et il n'a pas tort :-p
c'est super ilo que tu as un CDD félicitation !
sujet intrinsèque à sa personne... suis je reconnu ? puisque visiblement les admin lui courrent derrière...
on immagine pour sa brillante participation...
il faut que tu saches qu'une participation dans un forum est à titre de loisir, en somme on est là pour s'amuser, réfléchir, discuter, penser, sans exigences de la vie... et qu'ici on est beaucoup à avoir des contrats dans la vie... qu'ils soient d'ordre, morale, sentimentale, familiale, professionel, universitaire, mandataire ...
la reconnaissance de soi dans le monde... vaste question dont on fait part ici dans ce sujet...comme me disait un ami, la seule personne qui nous donne une valeur surdimentionel c'est notre maman... question ouverte... loool et il n'a pas tort :-p
c'est super ilo que tu as un CDD félicitation !
Re: Philosophons
Ecrit le 08 nov.09, 09:42… Rare fidélité …
_______________________
Bonsoir IIuowolus,
Je vous remercie d’avoir répondu à mon interrogation.
Je dois cependant vous confier que loin de satisfaire à ma curiosité ; vos propos n’ont fait que l’attiser …
Les termes utilisés ‘administrateur’ ; ‘CDD’ ; quitté ma ‘fonction’ ; les membres du ‘staff’ (staff !!!) ; Eliaquim ‘recrute’ … bref … sont des termes qui m’évoquent le voisinage d’un D.R.H. soucieux d’efficacité.
Or ce souci d’efficacité, je n’arrive pas à le dissocier du domaine « quantitatif ».
Je n’ai bien sûr rien contre cela, car lorsqu’on « fait », il est logique de vouloir concrétiser avec efficacité, sans quoi, autant faire la sieste.
Je deviens simplement très suspicieux lorsqu’il s’agit de concilier « efficacité/quantité », qui appartiennent au domaine du « faire » ; avec « confiance/qualité » que je perçois dans le domaine de l’« être ».
C’est logique, car après tout … « Faire Être » étant d’essence divine ...
… lorsque les humains s’y mettent … gare aux impostures !...
_______________________
Je dois vous confier que j’ai cherché à découvrir les ‘arcanes’ de ce site « Religions du monde » ; et notamment qui finance, je veux dire ; qui « décide » de qui ‘administre’.
J’ai mal cherché, car je n’ai pas trouvé.
_______________________
Après tout, quelle importance.
Ce qui compte est de pouvoir disposer d’un support d’expression libre.
… C’est si rare !...
_______________________
Bonsoir IIuowolus,
Je vous remercie d’avoir répondu à mon interrogation.
Je dois cependant vous confier que loin de satisfaire à ma curiosité ; vos propos n’ont fait que l’attiser …
Les termes utilisés ‘administrateur’ ; ‘CDD’ ; quitté ma ‘fonction’ ; les membres du ‘staff’ (staff !!!) ; Eliaquim ‘recrute’ … bref … sont des termes qui m’évoquent le voisinage d’un D.R.H. soucieux d’efficacité.
Or ce souci d’efficacité, je n’arrive pas à le dissocier du domaine « quantitatif ».
Je n’ai bien sûr rien contre cela, car lorsqu’on « fait », il est logique de vouloir concrétiser avec efficacité, sans quoi, autant faire la sieste.
Je deviens simplement très suspicieux lorsqu’il s’agit de concilier « efficacité/quantité », qui appartiennent au domaine du « faire » ; avec « confiance/qualité » que je perçois dans le domaine de l’« être ».
C’est logique, car après tout … « Faire Être » étant d’essence divine ...
… lorsque les humains s’y mettent … gare aux impostures !...
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Je dois vous confier que j’ai cherché à découvrir les ‘arcanes’ de ce site « Religions du monde » ; et notamment qui finance, je veux dire ; qui « décide » de qui ‘administre’.
J’ai mal cherché, car je n’ai pas trouvé.
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Après tout, quelle importance.
Ce qui compte est de pouvoir disposer d’un support d’expression libre.
… C’est si rare !...
Re: Philosophons
Ecrit le 08 nov.09, 09:50surtout la tienne comme imposture...
le jour ou tu voudras discuter avec le commun des mortels cela dit...
ça va monsieur dieu sinon ? looool
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Re: Philosophons
Ecrit le 09 nov.09, 06:30Je ne suis pas du R.H. je suis orticulteur pour le moment, gestionnaire en logistique de premier mains et reconvertis comme technicien réseau.Anthyme a écrit :
Les termes utilisés ‘administrateur’ ; ‘CDD’ ; quitté ma ‘fonction’ ; les membres du ‘staff’ (staff !!!) ; Eliaquim ‘recrute’ … bref … sont des termes qui m’évoquent le voisinage d’un D.R.H. soucieux d’efficacité.
J'appelle juste un chat un chat histoire de communiquer avec le plus de précision.
Ouais si on fait quelques choses autant le faire bien. Ainsi on s'est pas levé pour rien et on apprends des choses.Or ce souci d’efficacité, je n’arrive pas à le dissocier du domaine « quantitatif ».
Je n’ai bien sûr rien contre cela, car lorsqu’on « fait », il est logique de vouloir concrétiser avec efficacité, sans quoi, autant faire la sieste.
Bah on peux chercher longtemps la seul rubrique intéressant dans les classements c'est la case "divers"Je deviens simplement très suspicieux lorsqu’il s’agit de concilier « efficacité/quantité », qui appartiennent au domaine du « faire » ; avec « confiance/qualité » que je perçois dans le domaine de l’« être ».
Oui on est juger sur ce que l'on fait, mais on aimerais tous être aimer comme on le désire "être compris dans ses actes" donc c'est un peu superficiel.C’est logique, car après tout … « Faire Être » étant d’essence divine ...
… lorsque les humains s’y mettent … gare aux impostures !...
C'est plus intéressant de comprendre ce qui a été fait et comment, ça en dit plus long sur la personne.
C'est Eliaquim qui administe et finance avec son pognon, sauf pour cette dernière année, il a lancé un souscription au membre du forum.Je dois vous confier que j’ai cherché à découvrir les ‘arcanes’ de ce site « Religions du monde » ; et notamment qui finance, je veux dire ; qui « décide » de qui ‘administre’.
J’ai mal cherché, car je n’ai pas trouvé.
Re: Philosophons
Ecrit le 09 nov.09, 11:45… Enfer en 17 chapitres …
_______________________
Bonsoir IIuowolus,
Pendant que je vous lisais, j’étais lentement gagné par une nostalgie indéfinissable.
Peut-être à cause de l’évocation de vos activités professionnelles.
À travers ce que vous dites, je crois retrouver les sentiments désabusés qui m’habitaient en abordant l’usine ; lorsque le quotidien doit s’articuler autour de concessions souvent humiliantes, toujours moralement mortifères.
Je comprends pourquoi, lorsque j’évoque la difficulté de concilier « faire » et « être » ; vous suggérez que cela se passe « dans la case "divers" ».
______________________
Je comprends aussi le parallèle que vous faites entre « être aimé » et « être compris » ; cependant, je pense que rechercher « amour » et « compréhension » conduit inévitablement à une situation de dépendance affective aliénante.
D’autant plus aliénante que tout ceci, comme vous le dites, est « superficiel » et se situe dans le domaine du « paraître ».
Considérations qui nous ramènent au chantier de la « vraie » vie ; où toute tricherie est déjà une défaite.
Peut-être faut-il alors, comme vous le suggérez, s’affranchir de toutes intentions, de tous projets, et ainsi s’ouvrir à la « diversité » des sensibilités qui affrontent le même quotidien.
Et avec elles, de concessions en conciliations, avancer lentement pour au final, dans le partage d’une victoire commune, donner un sens nouveau aux mots « aimer » et « comprendre ».
______________________
À ce propos, IIuowolus, permettez-moi cet extrait de « Si c’est un homme »
______________________
[L’Armée Rouge n’est plus très loin, les SS ont conduit le camp dans la ‘marche de la mort’ ; ne restent que les malades]
Les Allemands avaient disparu. Les miradors étaient vides.
Aujourd’hui je pense que le seul fait qu’un Auschwitz ai pu exister devrait interdire à quiconque, de nos jours, de prononcer le mot de Providence : mais il est certain qu’alors le souvenir des secours bibliques intervenus dans les pires moments d’adversité passa comme un souffle dans tous les esprits.
On ne pouvait pas dormir ; un carreau était cassé, et il faisait très froid.
[…Primo et deux Français, Charles et Arthur, partent dans les décombres du camp chercher un poêle, du charbon et des vivres…]
Le Lager venait de mourir, et il montrait déjà les signes de la décomposition. Plus d’eau ni d’électricité : des fenêtres et des portes éventrées battaient au vent, des morceaux de tôles arrachées aux toits grinçaient, et les cendres de l’incendie volaient au loin très haut dans les airs.
Les bombes avaient fait leur œuvre, et les hommes aussi : loqueteux, chancelants, squelettiques, les malades encore capables de se déplacer avaient envahi comme une armée de vers le terrain durci par le gel.
[…au milieu des baraques pillées, les trois hommes découvrent finalement ce qu’ils cherchaient …]
J’atteignis enfin le seuil de notre baraque et déchargeai le poêle entre les mains de Charles.
L’effort m’avait coupé le souffle, de grandes taches noires dansaient devant mes yeux.
Il s’agissait maintenant de le mettre en marche.
Nous avions tous trois les mains paralysées, et la fonte glacée se collait à la peau de nos doigts, mais il fallait de toute urgence faire fonctionner le poêle pour nous réchauffer et faire bouillir les pommes de terre. Nous avions trouvé du bois et du charbon, et même des braises provenant des baraques carbonisées.
Lorsque la fenêtre défoncée fut réparée et que le poêle commença à réchauffer l’atmosphère, il se produisit en nous tous comme une sensation de détente, et c’est alors que Towarowski (un Franco-Polonais de vingt-trois ans qui avait le typhus) fit cette proposition aux autres malades : pourquoi ne pas offrir une tranche de pain aux trois travailleurs ? Ce fut aussitôt chose faite.
La veille encore, pareil événement eut été inconcevable.
La loi du Lager disait : « mange ton pain, et si tu peux celui de ton voisin » ; elle ignorait la gratitude.
C’était bien le signe que le Lager était mort.
Ce fut là le premier geste humain échangé entre nous. Et c’est avec ce geste, me semble-t-il, que naquit en nous le lent processus par lequel, nous qui n’étions pas morts, nous avons cessé d’être des Häftlinge pour apprendre à redevenir des hommes.
[…]
______________________
Primo Levi.
« Si c’est un homme. »
(Pocket 3117-Pages 246 à 250)
______________________
_______________________
Bonsoir IIuowolus,
Pendant que je vous lisais, j’étais lentement gagné par une nostalgie indéfinissable.
Peut-être à cause de l’évocation de vos activités professionnelles.
À travers ce que vous dites, je crois retrouver les sentiments désabusés qui m’habitaient en abordant l’usine ; lorsque le quotidien doit s’articuler autour de concessions souvent humiliantes, toujours moralement mortifères.
Je comprends pourquoi, lorsque j’évoque la difficulté de concilier « faire » et « être » ; vous suggérez que cela se passe « dans la case "divers" ».
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Je comprends aussi le parallèle que vous faites entre « être aimé » et « être compris » ; cependant, je pense que rechercher « amour » et « compréhension » conduit inévitablement à une situation de dépendance affective aliénante.
D’autant plus aliénante que tout ceci, comme vous le dites, est « superficiel » et se situe dans le domaine du « paraître ».
Considérations qui nous ramènent au chantier de la « vraie » vie ; où toute tricherie est déjà une défaite.
Peut-être faut-il alors, comme vous le suggérez, s’affranchir de toutes intentions, de tous projets, et ainsi s’ouvrir à la « diversité » des sensibilités qui affrontent le même quotidien.
Et avec elles, de concessions en conciliations, avancer lentement pour au final, dans le partage d’une victoire commune, donner un sens nouveau aux mots « aimer » et « comprendre ».
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À ce propos, IIuowolus, permettez-moi cet extrait de « Si c’est un homme »
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[L’Armée Rouge n’est plus très loin, les SS ont conduit le camp dans la ‘marche de la mort’ ; ne restent que les malades]
Les Allemands avaient disparu. Les miradors étaient vides.
Aujourd’hui je pense que le seul fait qu’un Auschwitz ai pu exister devrait interdire à quiconque, de nos jours, de prononcer le mot de Providence : mais il est certain qu’alors le souvenir des secours bibliques intervenus dans les pires moments d’adversité passa comme un souffle dans tous les esprits.
On ne pouvait pas dormir ; un carreau était cassé, et il faisait très froid.
[…Primo et deux Français, Charles et Arthur, partent dans les décombres du camp chercher un poêle, du charbon et des vivres…]
Le Lager venait de mourir, et il montrait déjà les signes de la décomposition. Plus d’eau ni d’électricité : des fenêtres et des portes éventrées battaient au vent, des morceaux de tôles arrachées aux toits grinçaient, et les cendres de l’incendie volaient au loin très haut dans les airs.
Les bombes avaient fait leur œuvre, et les hommes aussi : loqueteux, chancelants, squelettiques, les malades encore capables de se déplacer avaient envahi comme une armée de vers le terrain durci par le gel.
[…au milieu des baraques pillées, les trois hommes découvrent finalement ce qu’ils cherchaient …]
J’atteignis enfin le seuil de notre baraque et déchargeai le poêle entre les mains de Charles.
L’effort m’avait coupé le souffle, de grandes taches noires dansaient devant mes yeux.
Il s’agissait maintenant de le mettre en marche.
Nous avions tous trois les mains paralysées, et la fonte glacée se collait à la peau de nos doigts, mais il fallait de toute urgence faire fonctionner le poêle pour nous réchauffer et faire bouillir les pommes de terre. Nous avions trouvé du bois et du charbon, et même des braises provenant des baraques carbonisées.
Lorsque la fenêtre défoncée fut réparée et que le poêle commença à réchauffer l’atmosphère, il se produisit en nous tous comme une sensation de détente, et c’est alors que Towarowski (un Franco-Polonais de vingt-trois ans qui avait le typhus) fit cette proposition aux autres malades : pourquoi ne pas offrir une tranche de pain aux trois travailleurs ? Ce fut aussitôt chose faite.
La veille encore, pareil événement eut été inconcevable.
La loi du Lager disait : « mange ton pain, et si tu peux celui de ton voisin » ; elle ignorait la gratitude.
C’était bien le signe que le Lager était mort.
Ce fut là le premier geste humain échangé entre nous. Et c’est avec ce geste, me semble-t-il, que naquit en nous le lent processus par lequel, nous qui n’étions pas morts, nous avons cessé d’être des Häftlinge pour apprendre à redevenir des hommes.
[…]
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Primo Levi.
« Si c’est un homme. »
(Pocket 3117-Pages 246 à 250)
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Re: Philosophons
Ecrit le 11 nov.09, 18:51ça va, je suis que dans ma huitième année de chomage, rien à voir avec les 14 ans qui bossent avec nous dans les programmes de réinsertion sociale.Anthyme a écrit : Pendant que je vous lisais, j’étais lentement gagné par une nostalgie indéfinissable.
Peut-être à cause de l’évocation de vos activités professionnelles.
Il existe des techniques de travail qui tiennent compte de se problème et qui on démontrer que la qualité et la productivité était augmenter de 30%À travers ce que vous dites, je crois retrouver les sentiments désabusés qui m’habitaient en abordant l’usine ; lorsque le quotidien doit s’articuler autour de concessions souvent humiliantes, toujours moralement mortifères.
mais comme les gens travaillent il n'ont pas le temps de prendre du recule ou de s'informer correctement dans leur formation continue.
Oui, on ne peux pas partâger une émotion par contre on peux nous rassurer dans nos choix.Je comprends aussi le parallèle que vous faites entre « être aimé » et « être compris » ; cependant, je pense que rechercher « amour » et « compréhension » conduit inévitablement à une situation de dépendance affective aliénante.
Oui, on sous-estime la force de la communauté parce qu'elle nous renvoie à l'empathie, voir la téléphatie que nous éprouvont dans nos contactes amicaux.Peut-être faut-il alors, comme vous le suggérez, s’affranchir de toutes intentions, de tous projets, et ainsi s’ouvrir à la « diversité » des sensibilités qui affrontent le même quotidien.
Et avec elles, de concessions en conciliations, avancer lentement pour au final, dans le partage d’une victoire commune, donner un sens nouveau aux mots « aimer » et « comprendre ».
Je me suis intéressé trés tot à cette époque de l'histoire et aujourd'hui, je constate que les causes de cette époque, sont plus navrante que la soufrance qu'elle ont engendrer.À ce propos, IIuowolus, permettez-moi cet extrait de « Si c’est un homme »
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