Mahomet un prophete selon le coran?????
Posté : 01 nov.09, 06:44
et bien pas tout a fait!!!
d'aprés le coran un vrai messager de dieu ne demande pas de "rétribution"
Le Coran rapporte les propos d’un croyant qui conseillait à son peuple de suivre les messagers qui ne demandent pas d’argent:
"Et du bout de la ville, un homme vint en toute hâte et il dit : "Ô mon peuple, suivez les messagers : Suivez ceux qui ne vous demandent aucun salaire et qui sont sur la bonne voie. Et qu'aurais-je à ne pas adorer Celui qui m'a créé ? Et c'est vers Lui que vous serez ramenés. Prendrais-je en dehors de Lui des divinités? Si le Tout Miséricordieux me veut du mal, leur intercession ne me servira à rien et ils ne me sauveront pas. Je serais alors dans un égarement évident. [Mais] je crois en votre Seigneur. Ecoutez-moi donc". Alors il [lui] fut dit : "Entre au Paradis". Il dit : "Ah si seulement mon peuple savait ! En raison de quoi mon Seigneur m'a pardonné et mis au nombre des honorés ".S. 36:20-27
De ce qui précède on peut donc présumer que les vrais messagers ne demandent pas d'argent ou ne reçoivent pas d’honoraires pour leurs services, un point réaffirmé dans les textes suivants:
"Raconte-leur l'histoire de Noé, quand il dit à son peuple : "Ô mon peuple, si mon séjour (parmi vous), et mon rappel des signes d'Allah vous pèsent trop, alors c'est en Allah que je place (entièrement) ma confiance. Concertez-vous avec vos associés, et ne cachez pas vos desseins. Puis, décidez de moi et ne me donnez pas de répit. Si vous vous détournez, alors je ne vous ai pas demandé de salaire... Mon salaire n'incombe qu'à Allah. Et il m'a été commandé d'être du nombre des soumis". S. 10:71-72
"Les (membres de la tribu d’) Aad traitèrent de menteurs les Envoyés (d’Allah). Et quand Hud, leur frère (contribule), leur dit : "Ne craindrez-vous pas [Allah]? Je suis pour vous un messager digne de confiance, craignez donc Allah et obéissez-moi. Et je ne vous demande pas de salaire pour cela; mon salaire n'incombe qu'au Seigneur de l'univers." S. 26:123-127 – cf. 26:109, 145, 164, 180
d'ailleur Mahomet a reçu l’ordre de suivre ces prédécesseurs:
"Voilà ceux qu'Allah a guidés : suis donc leur direction. Dis : "Je ne vous demande pas pour cela de salaire". Ce n'est qu'un rappel à l'intention de tout l'univers." S. 6:90
"Or, Nous ne t'avons envoyé (O Muhammad) que comme annonciateur et avertisseur. Dis : "Je ne vous en demande aucun salaire (pour moi même). Toutefois, celui qui veut suivre un chemin conduisant vers son Seigneur [est libre de dépenser dans la voie d'Allah]". S. 25:56-57
"Et tu ne leur demandes aucun salaire pour cela. Ce n'est là qu'un rappel adressé à l'univers." S. 12:104
donc d'apres le coran si quelqu’un prétend être un messager de Dieu mais qu'il exige d’être rémunéré par les destinataires dudit message au lieu de s’en remettre à Dieu pour ce qui concerne la couverture de ses dépenses et la satisfaction de ses besoins, alors on pourra légitimement se demander s’il est vraiment un envoyé divin ou s’il n’est intéressé que par l’argent!!!!!!
et pourtant Mahomet ne craché pas contre quelques rétributions:
"Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis : "Le butin est à Allah et à Son messager." Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants." S. 8:1
" Et d’après le récit sous l’autorité d'Ibn 'Abbas qui a dit concernant les paroles d’Allah, exalté soit-Il, ((«Ils t'interrogent (O Muhammad) au sujet du butin.) : Il dit : tes compagnons t’interrogent sur le butin de guerre du jour de Badr et aussi sur (la distribution) des armes et des chevaux. Dis O Muhammad : ‹Le butin appartient à Allah et à son messager.› Le butin de la guerre à Badr appartient à Allah et à Son Messager et rien n’est à vous ; il est aussi dit : tout appartient à Allah et le commandement au Messager pour ce qui est permis, (accomplissez votre devoir envers Allah) craignez Allah pour l’appropriation du butin de la guerre, (pour la question des différences entre vous) remédiez aux différences entre vous : que le riche donne au pauvre et le fort au faible et le jeune à l’ancien, (et obéissez à Allah et à Son messager) pour la réconciliation, (si vous êtes (de vrais) croyants) en Allah et Son Messager. (Tanwîr al-Miqbâs min Tafsîr Ibn ‘Abbâs )
Mahomet s'octroyé aussi des femmes en butin:
"Rapporté par Abdul Aziz :
D'après Anas-ben-Mâlik, lorsque l'envoyé d'Allah fit l'expédition de Khaïbar, nous fîmes la prière du matin devant cette ville avant qu'il fit grand jour. Le prophète monta ensuite sur sa monture ; Abou Talha et moi qui étais en croupe de ce dernier, nous en fîmes autant. Le prophète lança sa monture dans la rue de Khaïbar et mon genou touchait la cuisse de l'envoyé d'Allah. Comme il relevait le voile qui couvrait sa cuisse, je pus apercevoir la blancheur de sa cuisse. Une fois entré dans le bourg, l'envoyé d'Allah s'écria : « Allah est grand ! Khaïbar sera détruite ! Chaque fois que nous descendrons sur le territoire d'un peuple, sinistre sera le matin de ceux qui ont été avertis de nos menaces ! » Par trois fois il répéta ces paroles. A ce moment les habitants de Khaïbar, qui sortaient pour se livrer à leurs occupations habituelles, s'écrièrent : C'est Mohammed ! Abdelazîz fait remarquer que quelques-uns de nos compagnons assurent que les habitants ajoutèrent: avec son armée. La ville ayant été prise de force, ajoute Anas, on rassembla les captifs. Dihya se présenta alors et dit : « 0 prophète d'Allah, donne-moi une des femmes captives. » Le prophète lui répondit : « Va prendre une femme !» Et Dihya prit Safiyya, fille de Hoyayy. Alors un homme vint trouver le prophète et lui dit : « O apôtre d’Allah ! Tu viens de donner à Dihya Safiyya, fille de Hoyayy, la princesse des Qoraïdza et des En-Nadzîr; or cette femme ne convient qu'à toi seul. » Aussi le prophète a dit : « Qu'on les amène tous deux ! » Quand on les eut fait venir tous deux et que le prophète eut vu Safiyya, il dit à Dihya : « reprends une autre femme parmi les captives ». Anas ajoute : le prophète, ayant alors affranchi Safiyya de sa captivité, la prit pour femme. Tsàbit dit à Anas: « Ô Ab'ou-Hamza, quelle dot (Mahr) le prophète lui assigna-t-il ? », « Sa propre personne, répondit-il, puisqu'il l’affranchit et l'épousa ensuite. Ce fut en cours de route que Umm Sulaïm para Safiyya et la conduisit au prophète pendant la nuit, en sorte que le lendemain matin il se trouva être un nouveau marié. Alors le prophète dit : « Que quiconque a par devers lui quelque victuailles l'apporte ici ». Aussitôt on étendit une natte et chacun apporta ce qu'il avait, l'un de la graisse, l'autre des dattes. Et, ajoute 'Abdelazîz, je crois que Anas a parlé de sawîq (qu'on apporta également). On fit du tout le mélange appelé baïs et tel fut le festin de noces (Walima) de l'envoyé d'Allah. (Sahih al-Bukhari,)
d'aprés le coran un vrai messager de dieu ne demande pas de "rétribution"
Le Coran rapporte les propos d’un croyant qui conseillait à son peuple de suivre les messagers qui ne demandent pas d’argent:
"Et du bout de la ville, un homme vint en toute hâte et il dit : "Ô mon peuple, suivez les messagers : Suivez ceux qui ne vous demandent aucun salaire et qui sont sur la bonne voie. Et qu'aurais-je à ne pas adorer Celui qui m'a créé ? Et c'est vers Lui que vous serez ramenés. Prendrais-je en dehors de Lui des divinités? Si le Tout Miséricordieux me veut du mal, leur intercession ne me servira à rien et ils ne me sauveront pas. Je serais alors dans un égarement évident. [Mais] je crois en votre Seigneur. Ecoutez-moi donc". Alors il [lui] fut dit : "Entre au Paradis". Il dit : "Ah si seulement mon peuple savait ! En raison de quoi mon Seigneur m'a pardonné et mis au nombre des honorés ".S. 36:20-27
De ce qui précède on peut donc présumer que les vrais messagers ne demandent pas d'argent ou ne reçoivent pas d’honoraires pour leurs services, un point réaffirmé dans les textes suivants:
"Raconte-leur l'histoire de Noé, quand il dit à son peuple : "Ô mon peuple, si mon séjour (parmi vous), et mon rappel des signes d'Allah vous pèsent trop, alors c'est en Allah que je place (entièrement) ma confiance. Concertez-vous avec vos associés, et ne cachez pas vos desseins. Puis, décidez de moi et ne me donnez pas de répit. Si vous vous détournez, alors je ne vous ai pas demandé de salaire... Mon salaire n'incombe qu'à Allah. Et il m'a été commandé d'être du nombre des soumis". S. 10:71-72
"Les (membres de la tribu d’) Aad traitèrent de menteurs les Envoyés (d’Allah). Et quand Hud, leur frère (contribule), leur dit : "Ne craindrez-vous pas [Allah]? Je suis pour vous un messager digne de confiance, craignez donc Allah et obéissez-moi. Et je ne vous demande pas de salaire pour cela; mon salaire n'incombe qu'au Seigneur de l'univers." S. 26:123-127 – cf. 26:109, 145, 164, 180
d'ailleur Mahomet a reçu l’ordre de suivre ces prédécesseurs:
"Voilà ceux qu'Allah a guidés : suis donc leur direction. Dis : "Je ne vous demande pas pour cela de salaire". Ce n'est qu'un rappel à l'intention de tout l'univers." S. 6:90
"Or, Nous ne t'avons envoyé (O Muhammad) que comme annonciateur et avertisseur. Dis : "Je ne vous en demande aucun salaire (pour moi même). Toutefois, celui qui veut suivre un chemin conduisant vers son Seigneur [est libre de dépenser dans la voie d'Allah]". S. 25:56-57
"Et tu ne leur demandes aucun salaire pour cela. Ce n'est là qu'un rappel adressé à l'univers." S. 12:104
donc d'apres le coran si quelqu’un prétend être un messager de Dieu mais qu'il exige d’être rémunéré par les destinataires dudit message au lieu de s’en remettre à Dieu pour ce qui concerne la couverture de ses dépenses et la satisfaction de ses besoins, alors on pourra légitimement se demander s’il est vraiment un envoyé divin ou s’il n’est intéressé que par l’argent!!!!!!
et pourtant Mahomet ne craché pas contre quelques rétributions:
"Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis : "Le butin est à Allah et à Son messager." Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants." S. 8:1
" Et d’après le récit sous l’autorité d'Ibn 'Abbas qui a dit concernant les paroles d’Allah, exalté soit-Il, ((«Ils t'interrogent (O Muhammad) au sujet du butin.) : Il dit : tes compagnons t’interrogent sur le butin de guerre du jour de Badr et aussi sur (la distribution) des armes et des chevaux. Dis O Muhammad : ‹Le butin appartient à Allah et à son messager.› Le butin de la guerre à Badr appartient à Allah et à Son Messager et rien n’est à vous ; il est aussi dit : tout appartient à Allah et le commandement au Messager pour ce qui est permis, (accomplissez votre devoir envers Allah) craignez Allah pour l’appropriation du butin de la guerre, (pour la question des différences entre vous) remédiez aux différences entre vous : que le riche donne au pauvre et le fort au faible et le jeune à l’ancien, (et obéissez à Allah et à Son messager) pour la réconciliation, (si vous êtes (de vrais) croyants) en Allah et Son Messager. (Tanwîr al-Miqbâs min Tafsîr Ibn ‘Abbâs )
Mahomet s'octroyé aussi des femmes en butin:
"Rapporté par Abdul Aziz :
D'après Anas-ben-Mâlik, lorsque l'envoyé d'Allah fit l'expédition de Khaïbar, nous fîmes la prière du matin devant cette ville avant qu'il fit grand jour. Le prophète monta ensuite sur sa monture ; Abou Talha et moi qui étais en croupe de ce dernier, nous en fîmes autant. Le prophète lança sa monture dans la rue de Khaïbar et mon genou touchait la cuisse de l'envoyé d'Allah. Comme il relevait le voile qui couvrait sa cuisse, je pus apercevoir la blancheur de sa cuisse. Une fois entré dans le bourg, l'envoyé d'Allah s'écria : « Allah est grand ! Khaïbar sera détruite ! Chaque fois que nous descendrons sur le territoire d'un peuple, sinistre sera le matin de ceux qui ont été avertis de nos menaces ! » Par trois fois il répéta ces paroles. A ce moment les habitants de Khaïbar, qui sortaient pour se livrer à leurs occupations habituelles, s'écrièrent : C'est Mohammed ! Abdelazîz fait remarquer que quelques-uns de nos compagnons assurent que les habitants ajoutèrent: avec son armée. La ville ayant été prise de force, ajoute Anas, on rassembla les captifs. Dihya se présenta alors et dit : « 0 prophète d'Allah, donne-moi une des femmes captives. » Le prophète lui répondit : « Va prendre une femme !» Et Dihya prit Safiyya, fille de Hoyayy. Alors un homme vint trouver le prophète et lui dit : « O apôtre d’Allah ! Tu viens de donner à Dihya Safiyya, fille de Hoyayy, la princesse des Qoraïdza et des En-Nadzîr; or cette femme ne convient qu'à toi seul. » Aussi le prophète a dit : « Qu'on les amène tous deux ! » Quand on les eut fait venir tous deux et que le prophète eut vu Safiyya, il dit à Dihya : « reprends une autre femme parmi les captives ». Anas ajoute : le prophète, ayant alors affranchi Safiyya de sa captivité, la prit pour femme. Tsàbit dit à Anas: « Ô Ab'ou-Hamza, quelle dot (Mahr) le prophète lui assigna-t-il ? », « Sa propre personne, répondit-il, puisqu'il l’affranchit et l'épousa ensuite. Ce fut en cours de route que Umm Sulaïm para Safiyya et la conduisit au prophète pendant la nuit, en sorte que le lendemain matin il se trouva être un nouveau marié. Alors le prophète dit : « Que quiconque a par devers lui quelque victuailles l'apporte ici ». Aussitôt on étendit une natte et chacun apporta ce qu'il avait, l'un de la graisse, l'autre des dattes. Et, ajoute 'Abdelazîz, je crois que Anas a parlé de sawîq (qu'on apporta également). On fit du tout le mélange appelé baïs et tel fut le festin de noces (Walima) de l'envoyé d'Allah. (Sahih al-Bukhari,)