Les six erreurs doctrinales majeures de l'islam
Posté : 21 nov.09, 05:56
La première erreur :
Allah n'est comparable à aucune de ses créatures, pourtant les "pieux" verront sa face !... Alors, à quoi peut bien ressembler cette mystérieuse entité ? Peut-elle tout simplement exister avec une pareille non-définition ? Peut-on admirer et adorer l'invraissemblable indéfinissable qui a créé les humains pour les punir ou les récompenser selon son bon plaisir ? Croire que le grand néant est un personnage ou une énergie cosmique dotée d'un "moi" ? d'une conscience propre ?... Ectoplasme de l'infini obsédé par l'être humain, le traquant dans l'univers après l'avoir créé à partir du vide absolu pour le faire souffrir de mort et de culpabilité ; qu'il n'aurait créé que pour l'adorer et lui obéir aveuglément ?
C'est l'erreur la plus saugrenue et la plus répandue, presque toutes religions et sectes monothéistes confondues.
Car, d’après le Coran, Allah est Un, Transcendant, Indescriptible, Indivisible, Incomparable, Le Créateur, l’Eternel, Le Sublime, Le Saint, Le Pur, Le Parfait, l’Absolu. Il n’a pas été engendré et Il n’a pas engendré. Nul ne Lui est égal. Il est Le premier et le Dernier, l’Apparent et le Caché, le Commencement et la Fin, Il connaît parfaitement toute chose; Il est la‘‘Cause sans cause de toutes les causes’’, Il subsiste par Lui-même, Il se suffit à Lui-même, Il ne mange pas, ne boit pas et ne dort pas. Il est Immatériel et Intemporel, Il n’a ni corps ni forme, Il est Impénétrable, Imperceptible, Infatigable et Immortel. Il dirige l’Univers et tout ce qu’il contient, Il maintient l’équilibre de l’Existence.
La seconde erreur :
Allah a besoin seulement que l'on meurt musulman pour nous sauver sur la base de la profession de foi (la chahada). Les actes en bien ou en mal ne devenant que des options de vie - l'impunité finalement garantie pour les pires conduites.
C'est l'erreur la plus crasse.
En effet, Mahomet a dit: " quiconque dit: j'accepte Allah comme Seigneur, l'Islam comme religion, et Muhammed comme Prophète, le Paradis lui sera obligatoirement attribué".
La troisième erreur :
Allah n'a pas besoin de Rédempteur : il "pardonne" sans satisfaire aux exigences de la justice qui, elle, réclame une sanction. Il est donc impossible à Allah de rendre compatibles miséricorde (pardon) et justice (châtiment). Mais, ce qui n'est qu'un détail pour lui !
C'est l'erreur la plus grave.
1) Pour être juste, Allah doit punir.
2) Pour être miséricordieux, Allah ne doit pas punir.
2) Or la justice exige la punition, mais la perfection, elle, exige le pardon (miséricorde). Lorsque l'on fait l'un on ne peut pas faire l'autre en même temps.
3) Alors, comment Allah peut-il faire pour être juste et être miséricordieux à la fois ? !mpossible ! vu que ces concepts s'opposent simultanément. Le seul moyen ç'aurait été de susciter un Rédempteur/Médiateur, un prophète parfait capable d'établir un lien entre Dieu et l'homme ; capable de recevoir le châtiment pour les autres (ou payer la dette pour tous) et de ressusciter par lui-même afin que tous puissent ensuite être rachetés et justifiés, après repentance, pour pouvoir être guéris de la mort physique et de la déchéance psychologique parce que s'étant identifier à lui par amour et gratitude. La justice y aurait trouvé son compte et Allah la possibilité de pardonner sans risquer d'être injuste.
4) Seule cette certitude de pouvoir être pardonnés grâce à ce moyen peut donner les véritables foi, espèrance et forces nécessaires pour nous repentir ; et, par cette repentance, être justifier par le châtiment reçut par un autre comme si nous l'avions reçu nous-mêmes.
La quatrième erreur :
Allah a décrété que Mohamed serait le dernier prophète. Allah a donc décidé de bloquer la progression du genre humain et montre, par là, qu'il n'aime pas l'humanité en l'abandonnant sans suivi... pour éliminer la concurrence. Allah trouvent moins encombrant les prophètes morts que de vrais prophètes vivants. S'appuyant sur la faiblesse humaine, Allah veut être sûr que le faux prophète ait l'exclusivité et définitivement le dernier mot.
C'est l'erreur la plus destructrice !
L'histoire du monothéisme ne mentionne jamais une telle décision divine à une quelconque époque si ce n'est en réponse à certaines phases d'apostasie généralisée. Dieu cherche le bonheur de ses enfants, non à les gaver une fois pour toute et les abandonner ensuite à leur sort avec la gamelle au milieu de la pièce et l'unique porte verrouillée de l'extérieur. Il leur distille sa nourriture avec tendresse selon leurs besoins. Aucun texte n'annonce une telle situation pour une quelconque période de l'histoire de l'humanité. Au contraire, la fidèlité, l'amour et la sollicitude ont toujours été du côté de Dieu, et la désobéissance toujours du côté des hommes... L'homme ne possède pas une guidance instinctive comme l'animal, à la place il possède le libre arbitre moral qui le conduit à choisir entre le bien et le mal. Aussi, pour continuellement choisir le bien et persévérer jusqu'à la fin il doit être sûr d'une vie après la mort et recouvrer l'intégralité de sa personnalité pour une vie éternelle dans la joie. Cette espérance est la clé de son bonheur sur terre et qui donnera un sens à sa vie. Pour choisir personnellement cette voie, il devra la rechercher, la trouver, la reconnaître, l'expérimenter et prier pour obtenir une confirmation divine personnelle. Sans cette confirmation, il sera toujours à la merci d'un faux prophète, de fausses traditions et fausses croyances, et de l'influence active de Satan. La révélation personnelle est donc nécessaire ; et, qui dit révélation personnelle dit révélation collective, donc prophètes et prophéties constantes !
Les prophètes chrétiens après Jésus-Christ :
http://www.forum-religion.org/post86611.html#p86611
La cinquième erreur :
Allah n'a que faire du libre arbitre de l'homme : il le force à se plier à sa volonté d'une part par la terreur de l'enfer-feu, et d'autre part par la promesse de plaisirs charnels illimités dans son paradis sexuel peuplé de houris.
C'est l'erreur la plus infantilisante.
C'est une vision erronée qui se passe de commentaire. Elle porte atteinte au libre arbitre de l'homme en l'épouvantant d'un côté et en le corrompant de l'autre par l'exhaltation de sa convoitise au point de ne pouvoir plus penser à autre chose pour l'au-delà : les bas instincts sont flattés, d'où le succés de l'islam et la dépendance prononcée des mâles musulmans, toutes générations confondues, pour cette religion s'appuyant uniquement sur la violence et la drogue sexuelle.
La sixième erreur :
Allah aurait créé l'homme arbitrairement pour le voir souffrir, mourir et le ressusciter sans savoir si c'était juste de s'amuser à ce petit jeu - nous ne sommes quand même pas des pantins ! Nous aurions voulu exister avant cela sous une forme ou sous une autre et que l'on nous demande notre avis quant à venir dans le monde de la mortalité dans ces conditions !
C'est l'erreur la plus répandue dans le monothéisme dévlant parmi ses nombreuses dénominations.
jusmon
Allah n'est comparable à aucune de ses créatures, pourtant les "pieux" verront sa face !... Alors, à quoi peut bien ressembler cette mystérieuse entité ? Peut-elle tout simplement exister avec une pareille non-définition ? Peut-on admirer et adorer l'invraissemblable indéfinissable qui a créé les humains pour les punir ou les récompenser selon son bon plaisir ? Croire que le grand néant est un personnage ou une énergie cosmique dotée d'un "moi" ? d'une conscience propre ?... Ectoplasme de l'infini obsédé par l'être humain, le traquant dans l'univers après l'avoir créé à partir du vide absolu pour le faire souffrir de mort et de culpabilité ; qu'il n'aurait créé que pour l'adorer et lui obéir aveuglément ?
C'est l'erreur la plus saugrenue et la plus répandue, presque toutes religions et sectes monothéistes confondues.
Car, d’après le Coran, Allah est Un, Transcendant, Indescriptible, Indivisible, Incomparable, Le Créateur, l’Eternel, Le Sublime, Le Saint, Le Pur, Le Parfait, l’Absolu. Il n’a pas été engendré et Il n’a pas engendré. Nul ne Lui est égal. Il est Le premier et le Dernier, l’Apparent et le Caché, le Commencement et la Fin, Il connaît parfaitement toute chose; Il est la‘‘Cause sans cause de toutes les causes’’, Il subsiste par Lui-même, Il se suffit à Lui-même, Il ne mange pas, ne boit pas et ne dort pas. Il est Immatériel et Intemporel, Il n’a ni corps ni forme, Il est Impénétrable, Imperceptible, Infatigable et Immortel. Il dirige l’Univers et tout ce qu’il contient, Il maintient l’équilibre de l’Existence.
La seconde erreur :
Allah a besoin seulement que l'on meurt musulman pour nous sauver sur la base de la profession de foi (la chahada). Les actes en bien ou en mal ne devenant que des options de vie - l'impunité finalement garantie pour les pires conduites.
C'est l'erreur la plus crasse.
En effet, Mahomet a dit: " quiconque dit: j'accepte Allah comme Seigneur, l'Islam comme religion, et Muhammed comme Prophète, le Paradis lui sera obligatoirement attribué".
La troisième erreur :
Allah n'a pas besoin de Rédempteur : il "pardonne" sans satisfaire aux exigences de la justice qui, elle, réclame une sanction. Il est donc impossible à Allah de rendre compatibles miséricorde (pardon) et justice (châtiment). Mais, ce qui n'est qu'un détail pour lui !
C'est l'erreur la plus grave.
1) Pour être juste, Allah doit punir.
2) Pour être miséricordieux, Allah ne doit pas punir.
2) Or la justice exige la punition, mais la perfection, elle, exige le pardon (miséricorde). Lorsque l'on fait l'un on ne peut pas faire l'autre en même temps.
3) Alors, comment Allah peut-il faire pour être juste et être miséricordieux à la fois ? !mpossible ! vu que ces concepts s'opposent simultanément. Le seul moyen ç'aurait été de susciter un Rédempteur/Médiateur, un prophète parfait capable d'établir un lien entre Dieu et l'homme ; capable de recevoir le châtiment pour les autres (ou payer la dette pour tous) et de ressusciter par lui-même afin que tous puissent ensuite être rachetés et justifiés, après repentance, pour pouvoir être guéris de la mort physique et de la déchéance psychologique parce que s'étant identifier à lui par amour et gratitude. La justice y aurait trouvé son compte et Allah la possibilité de pardonner sans risquer d'être injuste.
4) Seule cette certitude de pouvoir être pardonnés grâce à ce moyen peut donner les véritables foi, espèrance et forces nécessaires pour nous repentir ; et, par cette repentance, être justifier par le châtiment reçut par un autre comme si nous l'avions reçu nous-mêmes.
La quatrième erreur :
Allah a décrété que Mohamed serait le dernier prophète. Allah a donc décidé de bloquer la progression du genre humain et montre, par là, qu'il n'aime pas l'humanité en l'abandonnant sans suivi... pour éliminer la concurrence. Allah trouvent moins encombrant les prophètes morts que de vrais prophètes vivants. S'appuyant sur la faiblesse humaine, Allah veut être sûr que le faux prophète ait l'exclusivité et définitivement le dernier mot.
C'est l'erreur la plus destructrice !
L'histoire du monothéisme ne mentionne jamais une telle décision divine à une quelconque époque si ce n'est en réponse à certaines phases d'apostasie généralisée. Dieu cherche le bonheur de ses enfants, non à les gaver une fois pour toute et les abandonner ensuite à leur sort avec la gamelle au milieu de la pièce et l'unique porte verrouillée de l'extérieur. Il leur distille sa nourriture avec tendresse selon leurs besoins. Aucun texte n'annonce une telle situation pour une quelconque période de l'histoire de l'humanité. Au contraire, la fidèlité, l'amour et la sollicitude ont toujours été du côté de Dieu, et la désobéissance toujours du côté des hommes... L'homme ne possède pas une guidance instinctive comme l'animal, à la place il possède le libre arbitre moral qui le conduit à choisir entre le bien et le mal. Aussi, pour continuellement choisir le bien et persévérer jusqu'à la fin il doit être sûr d'une vie après la mort et recouvrer l'intégralité de sa personnalité pour une vie éternelle dans la joie. Cette espérance est la clé de son bonheur sur terre et qui donnera un sens à sa vie. Pour choisir personnellement cette voie, il devra la rechercher, la trouver, la reconnaître, l'expérimenter et prier pour obtenir une confirmation divine personnelle. Sans cette confirmation, il sera toujours à la merci d'un faux prophète, de fausses traditions et fausses croyances, et de l'influence active de Satan. La révélation personnelle est donc nécessaire ; et, qui dit révélation personnelle dit révélation collective, donc prophètes et prophéties constantes !
Les prophètes chrétiens après Jésus-Christ :
http://www.forum-religion.org/post86611.html#p86611
La cinquième erreur :
Allah n'a que faire du libre arbitre de l'homme : il le force à se plier à sa volonté d'une part par la terreur de l'enfer-feu, et d'autre part par la promesse de plaisirs charnels illimités dans son paradis sexuel peuplé de houris.
C'est l'erreur la plus infantilisante.
C'est une vision erronée qui se passe de commentaire. Elle porte atteinte au libre arbitre de l'homme en l'épouvantant d'un côté et en le corrompant de l'autre par l'exhaltation de sa convoitise au point de ne pouvoir plus penser à autre chose pour l'au-delà : les bas instincts sont flattés, d'où le succés de l'islam et la dépendance prononcée des mâles musulmans, toutes générations confondues, pour cette religion s'appuyant uniquement sur la violence et la drogue sexuelle.
La sixième erreur :
Allah aurait créé l'homme arbitrairement pour le voir souffrir, mourir et le ressusciter sans savoir si c'était juste de s'amuser à ce petit jeu - nous ne sommes quand même pas des pantins ! Nous aurions voulu exister avant cela sous une forme ou sous une autre et que l'on nous demande notre avis quant à venir dans le monde de la mortalité dans ces conditions !
C'est l'erreur la plus répandue dans le monothéisme dévlant parmi ses nombreuses dénominations.
jusmon